L'aigle est mis en cage

J'aime pas le noir.....pourtant ma vie a toujours était un retour aux enfers. Là je pense y plonger totalement. A l'intèrieur du camion des force de l'ordre, l'obscurité est tel que je ne voi même pas ce qui pourrait se trouver côté de moi. Le temps me semble si long, j'entend les policiers parler, mais je ne m'intéresse guère a leur conversation.

J'ai envie de manger des sushis...; pensais-je alors que dans quelques heures j'allait être inséré dans une prison des plus sécurisé.

Je n'ai aucun regret pour ce que j'ai fait, c'est personne l'avait mérité, je suis toujours serein, je n'ai aucun remort. C'est surtout le visage des personnes que j'ai tué qui va me manquer. Il faut dire, j'en tire un certain plaisir, a voir leur imcompréhension et leur peur. En y repenssant, cela me fait quelque peu sourir. Puis le camion s'arréte. Une des portes a l'arrière souvre puis la deuxième. La lumière pénètre enfin dans ce petit espace.

Je plisse alors les yeux, puis je sort lentement. Les policiers qui m'escortent, ne sont vraiment pas souriant enfin bon, je pense que vu la situation il n'y a rien de marrant, mais moi, cela ne m'empéche pas de sourir. Ils son équipés de tazer au cas ou je résisterai. Quelques mètres devant se trouve une immense porte qui doit sans doute être l'entrée de la prison.

"Bon les gars je crois que vous pouvez me laisser la, je trouverai l'entrée comme un grand." Dis-je avec un légé rire a la fin.

Un des policiers me prit le cou.

"Ecoute moi le guignol, je sait pas si tu te rend compte, mais ici c'est pas une prison, c'est une morgue....."

Rien a faire, ca ne me fait plus peur de mourir a présent. Les policiers m'emmènent a présent devant la porte. Elle est vraiment immense. Pas facile de s'échapper par la porte d'entrer. Je songe déjà a partir, mais je me rend compte que se sera plus que sportif. L'intèrieur doit sans doute être encore plus sécurisé.

Punaise, il sont vraiment trop collant les deux autres....j'éspère avoir une belle demoiselle comme hotesse d'acceuil....

Je regarde alors autour de moi, et je remarque que aucun gardien n'est posté devant l'entrée. C'est bizarrre mine de rien, je pense plutot qu'ils sont en train de se relaier. Je suis excité a l'idée d'entrer dans ce batiment.

"Dites les gars je vous attire autant pour que vous me colliez comme ça ?"

L'un des policiers me frappe a la tête, et dans mon état second, il est vrai que je m'emporte un peu facilement, alors j'ai riposté avec un cou de tête lui cassant le nez. Le deuxième me paralyse avec un cou de tazer. Je pose ainsi un genou par terre, et j'attend alors dans cette position que quelqu'un viennent me tirer des griffes de ces policiers.

Je sors juste de la chambre queje partage avec Ralph, je n'ai pas encor les idées bien en place mais le boulot avant tout! Evidament je me colle encore une entrer de prisonnier et celui ci n'a pas l'air des plus sympa...

Allez je suis d'assez bonne humeur methode douce... Il a de la chance! Je fais signe et la porte s'ouvre, et je me retrouve devant un beau spectacle. Un des garde qui entourait le prisionnier à la nez brisé, je lui sourit narquoise et lance d'un ton superieur et moqueur:

"-alors, il est si coriace que ça ce nouveau prisonnier pour que vous soyez deux à la tenir en laisse et qu'en plus l'un de vous soit blaissé... Bravo mesieurs... "

Je regard de haut le prisonnier, il est immobilisé... Bon je me baisse à se hauteur et je lui dis en passant deux doigts sous son menton pour qu'il me regard:

"-suis moi..."

Je le relève en le tenant par un bras, ses mains sont dans son dos menotées... Je fais un signe de tete aux deux policiers et la porte se referme sur nous dans un bruit de tolle. Nous faisons quelques pas et je lui lance:

"-bravo, bien joué... Je suis sous le charme, j'aime les entrer un peu originale et là, je dois dire que c'est plutot bien... Alors tu es: Shieft Lance. Et quà tu fais de si méchant pour etre mis ici? Je n'ai pas eut le temsp de lire ton dossier desolé... "

La porte s'ouvre, j'ai toujours la tête baissé, je ne regarde plus que le sol. Je suis encore un peu engourdi par la décharge. J'entend alors une voix de femme, comme si elle se moqué des policiers. A l'intèrieur de moi, je souri, je suis même amusé par ce qu'elle leur disait, mais je n'exteriorise rien. Les bruits de pas se rapproche....il est vrai que je suis quelque peu angoissé, car je ne sait pas comment va réagir ce gardien avec moi. Si jamais elle me considère comme de la merde, je pourrai toujours lui en faire baver plus tard...Mais non, elle glisse de doigt sous mon menton et par réflex, je relève légèrement la tête. C'est belle et bien une femme...une trés belle femme même.

Si le bon dieu existe je lui remercie pour ce cadeau...., je me met a sourir en pensant a cela.

La jeune femme me soulève et me demande de la suivre, chose que je ne pouvait de toute façon pas refuser. On dépasse ainsi la porte, et je tourne légèrement la tête, assez discrètement. Je regarde alors le policier ayant le nez cassé et je bouge le mien, un peu comme dans ma sorcière bien aimé, comme pour le narguer, aprés quoi je leur sourit et la porte fini de se fermer.

Nous continuons donc de marcher quand la jeune femme engage la conversation. J'ai quand même du mal a savoir si c'est ironique ou bien vrai ce qu'elle était en train de me raconter. Puis elle commence donc a me demander ce que j'ai fait pour atterrir ici.

"La chose la plus horrible je pense que ce serait avoir tué la directrice d'une chaîne de télé, devant tous les spectateurs qui devait regarder a ce moment la.....enfin c'est le crime qui ma conduit jusqu'ici, avant cela, j'ai tué je pense douze personne......"dis-je d'un ton sec et froid, comme si c'était banal.

Je pense qu'aprés ce qu'elle vient d'entendre, soit elle va resté aussi naturel et alors je lui tire mon chapeau, soit elle va devenir moins familière et me considérer comme une vermine qui n'a ca place qu'en enfer.

Les menottes me font de plus en plus, par contre depuis que nous sommes entrés dan l'enceinte je me suis calmé. Je devint alors cet être froid et calme que je suis habituellement....Même si normalement je ne parle que trés peu dans cet état, j'ai quelques question a poser sur comportement et surtout sur ce qu'elle venait de dire.

"Dit moi ?....si je peu te tutoyer bien sur.....Est ce que votre phrase de tout a l'heure était ironique ou sincère ? J'ai rarement vu des gardiens de prison me féliciter pour mon entrée qui plus est un peu mouvementé...."

Je continu a la suivre, de toute façon je ne peux rien faire d'autre si ce n'est l'écouter.

Je le regardais droit dans les yeux mes pupilles rouge sang fixé sur cet homme qui avait du sang sur les mains... Un de plus un de moins, j'en avait vu des pire que ça...
On continu à marcher et je lui réponds alors en passant ma main libre dans mes cheveux, mon autre main étant occuper à tenir les menottes du prisonniers.

"-le tutoiment n'est pas tres conseillé, si tu ne veux pas te faire laminer par les autres gardiens évite de la faire devant eux, mais si ils nous arrivera de se retrouver juste tout les deux, cela ne pose pas de probleme."

Je suis bien trop gentille mais bon, au fond pourquoi etre dur et cruel avec les prisonniers, ce sont des etres humains comme moi, et je ne dois pas oublié que moi aussi j'ai tué... Je n'ai pas tenu compte de ses crimes, si il pensait m'impressionner avec ca c'est loupé... Je plante mes yeux dans les siens et dit:

"-ce n'était pas ironique, c'est assez monotomne de bosser ici, lorsque ca bouge ca fait du bien. "

On arrive devant une porte, je passe ma carte magnétique pour l'ouvrir, et je fais passé Shieft devant moi, nous voila dans la prison, dans son batimentprincipale. Je dois donner ses quelques affaires obligatoires à ce nouveau prisonnier. On rentre dans une petite pièce et je dis en le postant devant une chaise en face d'une petite table:

"-jt'explique mon fonctionnement, je suis pas méchante, lorsqu'on ne me cherche pas, mais si on m'enerve vos mieux pas que ce soit sur ta gueule que je me passeles nerfs... C'est clair? Assieds toi..."

Je me tourne et je vais chercher quelques trucs qu'il faut que je lui donne. Habillé de mon jeans taille basse, de mes bottes en cuire et de ce petit débardeur moulant, je me dirige vers un casier en métal. Comme à mon habitude je marche en me déhanchant...

Sont regard en dit long. Je comprend trés vite qu'il y a des cas pire que moi ici. Je suis quand même un peu plus rassuré. Il est vrai que cela aurait pu m'efrayer d'avantage, mais non, au moins je connaitrais des gens encore plus horrible. Puis la phrase qui suivit ma laissé un peu sur le carreau. Un gardien qui aime quand ça bouge, si ce n'est que ça, je pourrais bien la satisfaire....

Une fois arrivé devant les portes du batiments principal, je me mit a regarder discrètement où cette femme range sa carte magnétique. Je ne compte pas croupir le restant de ma vie en prison, non j'ai d'autre projet, ma quète n'est pas encore fini. Quelques personnes méritent mon jugement et je le leur donnerais. Nous entrons donc dans le batiment. Un peu avant, elle m'avait prévenu de ne pas tutoyer les autres gardien, mais si il arrivait que je me retrouve seul avec elle, cela ne la génait pas.

On arrive donc dans une petite pièce. Les menottes commencent vraiment a m'agacer, je ne suis pas quelqu'un de bien méchant, seulement que lorsqu'on m'énerve ou quand je suis dans une phase d'escitation estrème. Je reste alors debout devant une chaise face a une petite table. Là, elle commence a me débaler comment elle fonctionne. Il faut être franc, en réalité je n'écoute que d'une oreille, mon regard plongant sur sa poitrine dont le débardeur fait bien ressortir les formes.

Lorsqu'elle fini sont petit discour, elle m'ordonne de m'assoir chose que j'execute immédiatement. Elle parti alors chercher mes affaires, avec une démarche assez provocatrice il faut l'avouer.

Argghhhh....si je n'avais pas ses menottes tu peux être sur qu'elle y serait passé....a moins qu'elle soit du genre a ne pas coucher pendant le travail.....

Je ne peu m'empécher de la regarder comme ça. Elle revint ensuite avec mes affaires, qu'elle déposa sur la table. Je lui adressa alors un sourir en guise de remerciement.

INSUPORTABLE, les menottes deviennent vraiment insuprotable. Pire que la prison, les menottes me faisait me ressentir vraiment prisonnier. Alors d'une voix toujours aussi neutre et froide je demande au gardien si elle peu me les retirer.

"Excuse moi, mes ces menottes me font de plus en plus mal, je n'ai rien de bien méchant, je ne tue pas au hasard, alors pas la peine de me laisser menotté....je demande ça comme un service personnel, je comprend si tu refuse..."

Je suis persuadé qu'elle va refusé, mais il fallait quand même essayer pour être fixé. Pendant le petit temps de reflexion du gardien, je ne regarde alors que son visage. Il est magnifique, et ses yeux rouges lui donne encore plus de charme. Dommage qu'elle soit gardien et moi prisonnier.

Lorsque je reviens, je me rends compte que le regard du prisonnier ne m'a pas quitté une seule seconde... Encore une fois mes formes et mes charmes marchent à merveilles... Si il savait...

Je dépose les affaires à lui remettre sur la petite table et je lui dis en ignorant tout d'abord la question qu'il me pose:

"-drap pour le lit, sous vetements propres, quelques habits... une brosse à dent et en prime si tu fumes un paquet de clope, si tu ne fumes pas tu pourra toujours le revendre à d'autres prisonnies..."

Mon regard était posé sur lui, et j'avais prononcé tout ce petit discourt avec un peu de lassitude, j'avais tellement l'habitude de la dire... J'incline la tete sur le coté gauche, et je commence à marcher dans la pèce à tourner autour de lui, en me demandant si oui ou non je vais le détacher. De toute façon, je dois bien le faire pour qu'il se change et pour une fouille corporelle...

Je ressors de la salle et je reviens comme si de rien n'était, je viens juste de couper les caméras de surveillances... Je déteste etre espionné dans mon boulot...

Je passe donc derrière lui, je le fais lever et je colle mon corps au sien. Mes mains passe sur son torse musclé, puis sur ses abdos, je passe mes mains dans chacunes des poches de ses fringues, et je prends un certain plaisir à ce que cela soit sensuelle... Je descends jusqu'au bas du pantalon, rien... Très bien... Pour une fois les flics ont fait leurs job comme il le faut...

Je me relève et je lui chuchotte alors à l'oreille, en introduisant la cle des menotte dans la serrure sans pour autant tourner la clef:

"-je vais te libéré pour que tu change de fringues... Puis nous irons tranquillement visiter ta cellule. Ok?"

Un clic se fait entendre et je recupère les menotte de mon prisonnier.

Elle récupère des affaires pour moi, et les déposa devant moi, sur la petite table. Puis vint en suite la déscription de ce qui ce trouvé en face de moi. Je m'en fiche pas mal a vrai dire. J'écoute encore sans raiment écouter. Non je regarde autour de moi, et remarque la présence de caméra. Les gardiens ne doivent pas avoir le droit a la moindre erreur. Elle passe a côté de moi mais je ne prète aucune attention al'endroit où elle peut bien aller. Quelques secondes plus tard, elle pénètre de nouveau dans la pièce m'oblige ame lever et commence a me fouiller.

Elle le fait d'une façon bien sensuel, profitant , je pense, de mes formes, puis descend peu a peu, pour enfin s'arréter et juger que je ne possède rien sur moi. Je suis quand même intrigué par ca façon de faire, je pense que cela n'est pas vriament toléré par ses supèrieurs mais peut être que je me pose trop de question. En tout cas, j'aprécie beaucoup se moment sans pour autant le montrer, mais intèrieurement je suis comblé. Elle se relève puis me chuchote a l'oreil et introduit la clé dans la serrure, cpendant je ne peut toujours pas enlever les menottes.

J'écoute tout ce qu'elle me dit, sans dire un mot....a vrai dire depuis le début je ne parlais pas plus que ça. Elle tourne la clé et récupère ainsi les menottes. Je commence a me masser le poignet droigt, puis le gauche, avant de tourner autour de la table obsevant mes affaires et le gardien. Je me pose une autre question, est ce que je dois me déshabiller devat elle ? Ce n'est pas grand chose, ça ne me dérange pas de me déshabiller devant elle, mais je pensais que je le ferai une fois dans ma cellule. Enfin bon.

J'enlève alors ma veste noir, et la pose délicatement sur la chaise. Puis vien le tour de la cravate que je dépose sur la veste. En suite je retire ma chemise blanche, la repli et fait pareille que mes autre affaires. Je lache quelques coup d'oeil sur les affaires que je vais bientot porter. Ce n'est pas vraiment ce que j'aime mais j'ai psle choix. Pour le bas c'est le même cinéma. Une fois en caleçon, je me décide au bout de quelques minutes a enfiler mais nouveau vêtements.

C'est pas vraiment la classe, c'est même trop banal. Ah, ça ne me va pas je peux ps m'être ça; pensais-je.

Je vais enlever les vêtements quand je me dit qu'apréstout ce n'est pas la mort, je pouvais faire un effort. Je m'avançe alors vers le gardien et je passe une main dans son dos et ma main droite derrière son cou pour rapproche son visage du mien. Elle ne semblait pas surprise, doncelle avait l'habitude de ce genr de comportement.

Bien mademoiselle......, je regarde son badge puis la regarde dans les yeux, Vlana Macneil, puis je te demander un rendez vous ? Bien sur en prison tu ne vois pas trop qu'elle genre de rendez vous je peux te demander, mais au moins passer un petit moment avec moi histoire de mieux se connaitre et puis aussi pour rembourser le faite que tu m'as un peu tripoté pendant ton inspection....alors qu'est-ce que tu en penses ?

Mais main ne bloque nullement les mouvement de cette Vlana, elle peut donc ce dégager comme elle veut.

Je pense bien qu'elle a aussi profité de me matter quand je me suis déshabillé. Au moins si elle ma matté, cela veut dire que j'attire toujours autant.....enfin bon.......en ce moment, Vlana me regarde droit dans les yeux. J'avou que se yeux rouges ont beaucoup de charmes, et il serait dure d'y resister. Sa main se glisse derrière son dos et prend la mienne. Je n'ai aucun frisson, mon visage se rapproche plus prés du sien, mes lèvres effleurent les siennes, puis je me dégage et retire mes mains. Je la regarde et lui parle d'une façon toujours aussi neutre.

"J'éspère que tu vas pas me pauser de lapin...a et j'éspère que tu t'es bien rincé l'oeil ? ça sera la dernier fois que tu pourras me voir a moitié nu."

Je me tourne m'avance vers la table récupère mes affaires, et me retourne face au gardien, me laissant un peu tomber en arrière histoire de me coller a la table. Je ne regarde pas Vlana dans les yeux perdu dans mes pensées, et surtout préocupé de savoir ce que je vais manger se soir. J'ai envie de tellement de chose, mais je me suis dit de ne pas me faire d'illusion et donc j'essaye d'imaginer quelle genre de repas on peut avoir dans cette prison. Aprés cette petite reflexion, mon regard se perd dans celui de la jeune femme. Il est vrai que je peux la regarder durant des heures sans m'en lasser. Ses yeux rouges sont d'une telle beauté, il est rare d'en voir des si beaux.

Je me redresse, me décolle de la table, et attend patiement de me faire guider vers ma cellule. Une autre pensée me creusé la tête, il faut que je me remette en forme, car j'ai pas subi un traitement de faveur avec les autres policiers, et donc il fallait que je trouve une salle de musculation ou même un sac pour y frapper dedans.

Ses lèvres effleurent les miennes, superficiel, galant, et en plus ce ca culotté... Il me plait... Je sens que je vais mamuser avec lui... A entendre ses paroles, j'ai la net impression qu'il crois que je suis sensible à son charme... Certe il est pas mal, mais si seulement il savait... Il ne sait meme pas posé la question pour la couleur de mes yeux qu'il contemple depuis bientot 5minutes...

Il se détache de moi, et va se caller sur la table... C'est à mon tour d'avançer vers lui, j'ai iben fait d'aller désactiver les caméra, je crois que Bôse n'aurait pas apprécié... Je me pose devant lui et je me colle de nouveau à son corps, mes yeux au fond des siens... Je lui murmure:

"-a ta place je ne serai pas si sur de moi... Tu ne connais rien des personnes qui sont ici... tu ne connais rien de moi... "

Un clic se fit entendre, je venais de lui repasser les menottes aux mains, il ne croyait quand meme pas que j'allais le laisser aller librement tout de suite dans la prison... Par amusement je fais jouer un de mes doigts sur ses lèvres et lui dit de nouveau:

"-allez suis moi... On va visiter tes nouveau appartement..."

(suite cellule T)