Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
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| Seul en cellule | |
| | Auteur | Message |
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Hannibal Invité
| Sujet: Seul en cellule Lun 9 Avr - 0:53 | |
| Après un long parcours dans les murs de Sadismus Jail,j'arrive enfin dans ma cellule.Elle était ni plus petite,ni plus grande que les autres.Je ne vois personne mis a part moi dans celle-ci.Avait-il eu vent de ce qu'éait devenu mo ancien compagnon de cellule à l'hopital Psychiatrique?Etais-ce cela la raison de mon isolement.Non je ne crois pas je vit 4 lit surperosé dans la chambre.Nous devions donc etre 4 dans la cellulle.J'attends imptatiemment de voir mes compagnon de cellule.Ca y est,les gardes me détache et me laisse dans la celllule je leurs dit:
"Agent...Kimblee,si je ne m'abuse?"
J'avais lu son badge.
"Je sens l'odeur d'une femme sur vous.Un bien doux parfum n'est pas?Quand est ce que vous l'avez baisé?Ce matin?Hier soir?Lorsque que je sortirait d'ici je me ferais un plaisir de vous rendre visite à vous et votre femme..."
Il me cria de me taire,j'au un sourire de coin avant de lui dire:
"Avez vous un enfant?"
Il ne répondit pas et s'en alla de devant ma cellule;Après tout je sens que je vais bien m'amuser dans cette prison.... |
| | | Fabricio Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Lun 9 Avr - 23:40 | |
| "Petoum, petoum poum poum! Hihihhii!"
J'offre à mes charmantes escordes, un coup de coude amicale, en espérant que mes quelques pas de danse leur avaient réchauffer le coeur. Visiblement non puisqu'on me demande bêtement de me calmer sous peine de recevoir un je-ne-sais-quoi trop emmerdant pour en discuter. Quoiqu'il en soit, je jète un regard à Alessandro qui semble profiter du voyage, balançant la tête de gauche à droite, trimballé sans délicatesse ou gentilesse par un garde balai-aux-fesses qui me lance de drôles de regards. Peut-être parce que je lui souris bêtement. Une homme bête à une bête, des regards bête pour un homme-bête. Hihii! Qu'importe, bercé par les tintements de mes souliers, j'avance d'un pas rythmé vers mon nouveau petit havre de paix, du moins, c'est ainsi que je le concoi. Clikk, clakk, clonk mes petits souliers à claquettes qui rebondissent sur le sol. J'ai strictement refusé d'en porter d'autres, imaginant déjà l'ennui que le pavé de cette prison pourrait m'offrir. Me voilà donc, clik clonk clak, condamné dans ces murs pour l'éternité jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Bien posté devant ma cellule, j'offre un immense sourire fendu jusqu'aux oreilles à mon garde de droite qui se démène aussitôt pour ouvrir la porte grillée. J'étire la jambe puis je me pose au bout de mon pied, puis je libère mes bras en posant mes affaires personnelles sur mon lit, celui du bas, à gauche sans jeter un regard à mon copain de chambre. Je tend les bras vers le deuxième qui me confit Alexandro, une poupée ventriloque qu'on a injustement ouvert pour vérifier son contenu, à la peinture parfois écaillée et aux vêtements semblables au miens. Je dépose ladite poupée sur le même lit et lui caresse la tête tendrement avant d'observer mes escortes qui me prennent sans doute pour un tarré bon à enfermer. Je leur souris alors qu'ils quittent la cellule en verrouillant la porte derrière eux.
Je me fourre les deux mains confortablement dans les poches en examinant la pièce avec un sourire toujours fendu aux lèvres. C'est alors que mes yeux entrent en contact avec ceux de mon compagnon de chambre, je suis d'ailleurs déçu d'en avoir un moi qui avait cru bonnement être seul dans mon petit havre de paix. Je ne déloge pas son regard, qui plus est, je le maintiens jusqu'à ce que mon derrière soit égal à celui d'Alessandro qui a légèrement penché la tête vers l'avant.
Je croise les jambes, tournant le pied dans les airs, posant les mains sur mes genoux. Je regarde toujours fixement mon nouvel ami, oui, je le traite ainsi car je ne compte pas tenir rancune à des inconnus avec qui je dois partager une partie de mon intimité. Je lui souris donc un sourire fin tissé au coin de mes lèvres, Alessandro à mes côtés, je pense. Cet inconnu ne l'est pas, quelque chose me dit que son visage, ses traits et ce drôle de sourire me sont familiers, je n'arrive pas à mettre le doigt dessus mais je sais que la solution n'est pas très loin. |
| | | Time min Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Mar 10 Avr - 9:38 | |
| J’étais enfin arrivé dans ce qui allait devenir ma demeure, bizarrement, je m'en fichait. J’airais pensé être plus enthousiaste que ça. Mon gardien était nerveux pensant sûrement que j'allais lui jouer un tour. Pourtant depuis le début je n'es jamais fais quoi que ce soit pour m'enfuir. Les hommes vraiment... Je pu donc par la suite depuis le visage de mes camarades, rien de particulier. Ce qui m'intéressais plus au contraire c'est se qu'il avait fait. Mon garde me fit entré dans la cellule, je dois avouer n'avoir n'y envie de sourire n'y de pleurer. Je devait plus ressemblait a une statue qu'autre chose. Il mit du temps a me détacher les mains, je peu donc que montrer quelque peux mon énervement:
"C’est moi qui vous donne autant de sueurs froides? Faite votre travail et dépêchez vous. C’est affligent un incompétence pareil."
L’homme alla lus rapidement et fini enfin par me libérer, si je m'étais écouté à ce moment là. Il aurait reçut ma main dans la figure. Une foie que l'homme fut partie et la porte bien fermé, je me retournai vers les colocataires.
"bien le bonjour monsieur..."
Je commençai à détailler les deux hommes. Quel manque de tact, même une femme sans défense comme moi au milieu d'hommes. Le visage de ses hommes me disait vaguement quelque chose, après tout étant juge je devais m’informer sur toute la détenue les plus dangereuse. Le temps de retrouver et de mettre des nom sur les visages elle se présenta.
"Je suis TIME Ming, mon nom résumer ce que je suis: fragile comme de la porcelaine, mais précise et complexe..."
Les noms ne lui revenait pas pourtant chacun deux avait ses particularité. Elle finit par retrouver le nom d'un des deux
"Monsieur Lecter, avec un dossier comme le votre, vos avocats on du se donner du mal... j'ai lu vos exploits dans la presse, vous êtes un des plus célèbre criminel, si vous permettez de m'exprimer ainsi... par contre vous..."
Je me tourna vers l'autre homme en effets on visage me disait quelque chose, mais il ne devait pas avoir faire des chose extraordinaire.
"Je ne me souviens pas vous avoir vu dans la presse."
Je me trouvait plutôt calme. Peu être qu'en fin de compte c'était mon élément. A vrais dire il n'y a avait pas grand chose qui me trahissait. J’étais toujours debout. Je devoir vraiment avoir l'aire d'une statue comme ça. Je finit par toucher mon visage, il était toujours aussi froid, et donc toujours aussi blanc. Je devais semblait être sans défense, et pourtant. |
| | | Hannibal Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Mer 11 Avr - 4:09 | |
| J'avais désormais deux autres compagnons de cellules.L'un était un homme calme et très décontracté,l'autre était une femme d'un sang froid apparemment admirable.Je décide donc de parler à la jeune femme.
"Bonjour,mademoiselle,c'est un honneur pour moi d'etre reconnu comme étant l'un des plus grand criminels de ce pays."
Après cette phrase flateuse envers moi-meme j'excerca un salut en baissant légèrement les yeux.
"En effet mes avacats ont eut du mal avec moi et je ne leurs et pas faciliter la tache car j'en ai manger une.Une délicieuse jeune femme qui avait à peu près votre age...Que de souvenir...Mais excusez mon impolitesse,j'ai omis de demander votre nom.Quel est votre nom?"
Je me tenait droit et excerçait une pression sur toute la cellule |
| | | Time min Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Mer 11 Avr - 5:08 | |
| Que de souvenir... Mais excusez mon impolitesse, j’ai omis de demander votre nom. Quel est votre nom?"
A ces mots je ne pu que sourire, soit il était fatiguais. Où il commençait à se faire vieux. Je ne peu donc m'empêché de lui répondre.
"Hélas je ne vous suis pas laissé location d'être impoli, enfin sur ce point. Je me suis déjà présenté. Mais j'ai bien l'impression que je vais devoir le refaire. Je me nomme TIME ming ex juge..."
Pourtant mon était simple a retenir, et j'avait sacrifié quelque minute de la conversation pour donner des indice sur ma personne. J’était comment le dire simplement... déçu par monsieur lecter. J’allai donc me reposer sur mon lit, enfin ce qu'ils appelaient un lit... rien de très confortable. J’aillait avoir des marques.
"Monsieur lecter mettez vous à votre aise, ici personne n'aura peur de vous, enfin je suppose que notre ami non plus."
Je me tourna regarda alors l'autre homme dont le nom ne me revenait toujours pas. Malgré ses exploit monsieur lecter ne me fait pas peur, c’était même très agréable de parler avec lui, même si il n'était pas très attentif a ce que je disais. Contrairement à moi il avait des expressions sur le visage ou une attitude qui traduisait ce qu'il voulait faire. Ce genre de personnages me plaisaient, moi qui n'est jamais su que jouer la comédie, faire pression avec comme seul atout ma personne, je n'y arrivait pas.
"Je pense qu'il serait temps que vous vous présentiez..." |
| | | Fabricio Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Mer 11 Avr - 12:11 | |
| Une jeune femme s'introduit à eux, comme un fantôme égaré. Je ne suis pas particulièrement contre les chambres mixstes mais je dois avouer que tout ceci me rend un peu mal à l'aise. C'est ainsi que cette jeune femme se présente et lorsque j'entendis son nom, c'est la bouche d'Alessandro qui s'agita.
"Eh ben! On peut dire que vous avez du timming! Hihihihii!"
La poupée a grincé d'une voix aïgue, mesquine et son rire ce veut un grincement de porte rouillée. C'est en gloussant que je reprend les paroles de mon complice.
"Alessandro, toujours le mot pour rire, n'est-il pas? Hihhhi!"
Je pose une main attentive sous mon menton alors qu'on dévoile l'identité de celui qui m'obsédais depuis mon arrivée. Je claque des doigts, une expression ravie au visage.
"Monsieur Lecter, voilà enfin je vous trouve. J'ai cherché dans mes souvenirs et voilà que vous apparaissez clairement. Je ne croyais jamais cohabiter à vos côtés et j'espère que vous ne ferez pas de mes cotes votre à coté. Hihihi!"
Mon silence m'a permit d'étudier avec soin chacune des tonalités de leur voix, leur mimique, leur prononciation. Je sais que je devrai les observer pour atteindre la perfection, elle viendra. De nouveau, je souris et j'hoche la tête en direction de la jeune femme.
"Oui, oui! Vous avez raison, trop de balablas moins de flaflas."
Je me relève d'un geste quasi théâtral, une main près de l'épaule, j'incline mon corps en déclinant mon identité.
"Je suis Fabrricio Von Harrt."
Je me relève en lissant le fin contour de mon chapeau que je fais tourner sur ma tête d'un coup de main. J'ai bien pris soin de rouler les 'r', j'espère que mes compatriotes comprendrent l'importance d'en faire autant. C'est alors que j'attrappe la main du patin et que je le fais voler jusque sur ma main pour le maintenir correctement assis. Sa bouche s'anime tandis que mes lèvres restent parfaitement immobiles.
"Alessandro, pour vous servir. Mais ne vous servez pas de moi!"
La marionnette s'incline à la manière de son maître et je m'assis à ses côtés sur le lit. De nouveau silencieux, j'ai bien apprécié me dévoilé à ces nouveaux camarades et j'attend, bien évidement, leur réaction. |
| | | Time min Invité
| Sujet: Re: Seul en cellule Mer 11 Avr - 15:30 | |
| "Alessandro, pour vous servir. Mais ne vous servez pas de moi!"
Cette prestation était tout simplement ridicule, il pouvait pas le faire comme tout le monde.
"Pantin ridicule, oui... si vous avez l'intention de jouer au marionnettiste dans en empiétant par la même occasion sur mon espace sonore. Je réduis alessendro en miette et vous pouvez dire au revoir a vous atout masculin. J’espère m'être bien fais comprendre..."
Ce mec me semblé trop joyeux ces blague n'était pas amusante, encore un raté qui avait finit par tuer quelqu'un pour se rendre intéressant. Il y en avait pas mal dans ce monde. Même si son physique ne me rendait pas indifférente, monsieur lecter était plus enterrement. Enfin je resté comme toujours de marbre face a un étalage de bêtise. Il allait devoir faire mieux pour m'impressionner.
"un conseil mon cher vous devriez vous écraser, a moins que vous ayez quelque chose de plus intéressant a faire pour raconter que nous présenter votre ami, que je ferais bien brûler."
J’allai devant fabricio le regardant sans émotion. Je ne voulais pas d'un guignol mais d'une personne assez déranger pour que ma vie devienne plus excitante, et si il n'arrivait pas à la cheville de monsieur lecter, je devais le faire disparaître de cette Cellule.
"Montrez moi que vous n'étés pas aussi stupide que vous le montré, ça effacera ma si mauvaise impression envers vous. "
quitte a me faire analyse pas monieur lecter, je ne voulais aps être dérangé par dans lélaboration de mon projet. même si ce guignole pouvait mettre utile en fin de compte. |
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