Blanc et noir, blond et brun... /!\ Contenu chaud /!\

[je m'en doute t'en fais pas ^^ (enfin, j'espère surtout pour toi Oo)]

Pour le moment, ce n'est pas bien clair tout cela, j'intenssifie la supériorité dans mon regard, puis, je lui sur un ton qui lui crache presque au visage :

-Tu me feras le plaisire d'apprendre par coeur ton numéro et plus vite que ca... Si jamais je te croise alors que tu ne connais toujours pas ca...

Je me disais aussi qu'il s'était désintéréssé un peu trop vote de sa lessive pour que cela soit naturel. Je n'ai qu'a baissé le regard, pour voir qu'il était repassé à l'attaque. un frisson me parcoure, cel en est même visible pendant une seconde ou deux, mais qu'est ce qui me prend ? J'ai dis que je ne me laisserais plus faire.

D'un geste, j'éloigne sa main, puis, je t'attrape par le col, mon visage a seulement quelques centimètres du siens, et je lui siffle :

-Ne t'avise pas de me toucher c'est bien clair ?

Puis, je le laisse tomber a nouveau sur le sol, je projetant d'ailleurs un peu contre celui ci.

[euh... gné ?]

Le voyant s'en aller, je me redresse. D'après ses paroles, il semble enbfin avoir comprit comment je vois les choses. Le terme sous merde, oui, je n'y avais pas pensé, mais il est tout a fait approprié pour désigner la plus part des détenus ici, enfin a mes yeux. J'aime regarder les gens de haut, oh oui, j'adore ca... Ce sourire supérieur que j'affiche si souvent est maintenant encore une fois affiché sur mon visage.

-Tu as tout compris on dirait... Et si je m'occupe du bétail, c'est parce que c'est mon métier non ?

En revanche, sa deuxième question me coupe (enfin) le sifflet...
Je suis un peu déstabilisé au début, mais je sais me reprendre assez vite. Je croise les bras, et je lui dis :

-Car le corps souffle des choses qui viennent contredire ce que l'esprit me crie... Ca répond a ta question ?

[bien sur, tous, sans exeption ]

Bon, il veut une réponse crue ? Si il n'y a que cela pour lui faire plaisire...

-Pour faire plus simple, j'évite un maximum de coucher avec n'importe qui, même si cela peut parfois faire envie, et il se trouve justement que... tu es n'importe qui...

Enfin... Je m'en abstiens, mais depuis ce matin... Mais ca, bien entendu, il n'est pas obligé de le savoir, je ne pense pas avoir dans cette prison encore une grande réputation. Aussi, cela m'étonnerais fort qu'il soit au courant, d'ailleurs... c'est tout simplement impossible, puisqu'il ne connaissait pas mon nom. Il n'avait donc pas encore croisé une des "conquète" que j'avais déja eu dans ces murs.

Me révulser ? Non, je ne pense pas que ce soit le mot, disons que je les concidère comme des gens ne faisant a peine plus partie de l'espèce humaine, mais sans le vouloir, il a touché un point senssible. Je ne me donne pas l'impression que je suis quelqu'un d'important, JE suis quelqu'un d'important ! C'est du moins ce que je me répète chaque jour.

-Ta gueule merdeux... Et... c'est un boulot comme un autre.

Mais c'est dingue ca, il ne se vexe jamais ou quoi ? On m'aurait fait ce genre de coup, ca aurait fait longtemps que cela serait parti en coups, ou bien si je m'étais senti inférieur, que je serais partis, mais lui pourtant...

Oh et puis autant qu'il sache, comme ca, peut etre que j'aurais la paix.

-Fous moi la paix maintenant, j'ai tié un trait sur ce genre de vie, j'ai pas dis que ca ne me plaisait pas, j'ai dis que je ne voulais plus de ca !

Enfin, j'ai tiré un trait... J'essaye au moins, je ne pensais pas que ma première mise a l'épreuve serait si compliquée... Le le regarde avec mes yeux pleins de haine, toujours plein de haine... Depuis le début, depuis que je suis dans cette pièce il est toujours comme cela pratiquement...

-Et arrete la parano, ca a aucun rapport avec ca...

Oui, je m'énnerve, parce que ce comportement ne me correspond pas, et je me sens de moins en moins viril... déchiré, oui, c'est le mot, je sauis vraiment déchiré. Mon corps en réclame encore, et d'avantage d'ailleurs mais l'esprit tente de freiner tout cela.

une fois qu'il serait au trou, je serais tranquil, enfin...

[Je suis arcelé Oo ! Mdr !]

Quel enfoiré... On a vraiment l'impression qu'il arrive a lire dans mes pensées, pour y trouver la moindre faiblesse... La moindre faille dans ma "protection"... Et on peut dire que pour le moment, il frappe toujours au bon endroit, pour lui, mais au mauvais endroit de mon point de vue.

On peut dire qu'il ne se décourage pas facilement, je lui ai déja deonné un bon nombre de coup, repoussé un certain nombre de fois, insulté, etc... Et pourtant, cet enfoiré fait comme ci de rien n'était, ca m'agace, ca m'agace ! Et si il finit par me faire craquer, je pèterais surement un cable juste après, contre moi même, et surtout contre lui, mais ca, il l'aurait cherché !

Je préfère ne rien dire a ses paroles, pour le moment, je veux qu'il disparaisse, mais il est hors de question que je parte, ma fièrté m'empeche de faire cela. en plus, il semble prendre plaisire a faire tout cela, je me sens ouvertement manipulé, d'habitude, c'est moi qui manipule les autres, jamais l'inverse... Cet enfoiré il va... Il va finire par réellement se retrouver face contre terre.

Marié ? Moi ? N'allons quand même pas jusque la, restons réalistes. Mais tout de même... Profiter de moi... Je sers les dents, non, elle ne profiterait jamais de moi... Enfin, j'essaye en tout cas de m'en convaincre, c'est vrai qu'elle aurait tout interet a m'avoir dans sa poche, mais non.. Ce n'est pas ce qu'elle cherche... et pourtant.. D'après son dossier, elle a toujours tenté de manipuler les autres, a moins qu'elle ne dise la vérité... Son amnésie... J'avais pourtant de plus en plus de peine a le croire.

Mon coirps devient alors encore plus tendu qu'avant, retenant mon poing, je voulais qu'il se taise, oh oui, qu'il se la ferme, une fois pour toute ! Je le regarde, il est toujours sur le sol, j'ai envie de lui donner un de ces coup de pied... Mais si je commence, je ne m'arreterais plus, ennervé comme je suis, il faut mieux donc que je tente de me calmer pour le moment. Je me contente de serrer les dents, puis, je baisse légèrement la tete, et je lui dis :

-Ta... Ta gueule, t'as compris ?

(ouiiiiii ^^)

Fini le "tu me dois obeïssance", j'ai gagné ! Il se laisse tomber à mes côtés et m'embrasse... Ses lèvres contre les miennes, voilà quelque chose que je ne pensais pas avoir... mais douces en plus... Il se détache de moi:

"T'as plutot interet a ce que ca vaille le coup, crois moi..."

Pour tout réponse je lui souris et pose de nouveau une main sur son membre. Je rouvre rapidement son pantalon et reprend un mouvement rapide de va et vient. Mon autre mains détache les boutons de sa chemise pour me libérer l'accès à son torse.

N'osant reprendre ses lèvres de ma propre initiative - pas envie de le ramener trop vite à la réalité - je plonge dans son cou que je couvre de baisers papillons puis ma langue descend lentement sur sa clavicule jusqu'à trouver un téton déjà dur. Je le lèche, le titille, le mordille...

Je le pousse ensuite, doucement, à s'étendre sur le sol. L'une de mes mains est toujours très active au niveau de son entre-jambe, quant à l'autre, elle passe sous ses hanches et rejoint ses fesses pour terminer de faire descendre pantalon et boxer.

Ma bouche descend lentement sur son corps, redessinnant ses abdominaux, puis j'atteinds son nombril que j'explore un petit moment. Ma main encore libre a rejoint sa soeur et ces deux coquines frolent, serrent, caressent, excitent, effleurent... Tout pour le rendre fou de désir...

J'abandonne son ventre, dévie sur le côté, évite son entre jambe et descend sur l'intérieur de ses cuisses. Je les mordille puis, cedant à ses gémissement, (je me permets de faire jouer un peu Ludwig) je pose mes lèvres sur le bout rougi de son membre.

Aussitôt, mes doigts abandonnent celui-ci pour, l'une, aller jouer avec ses bourses et, l'autre, se diriger lentement vers ses fesses... Vais-je oser le préparer à me recevoir ? Je lui offrirai un meilleur spectacle en le chevauchant, mais de mailleurs sensations en le prenant... Grand dillemne... Bah, on vera bien sa réaction, dans l'état où il est, même s'il ne veut pas que je le pénètre, il ne me repoussera pas définitivement...

Ma langue recommence à faire des arabesques sur toute la longeur de son sexe alors que mes doigts se glissent entre ses fesses vers l'entrée de son intimité.

[Ralala... au moins, avec toi, Ludwig a bien un BOXER et non un slip >.< (tiens, je projète de demander un changement de rang... C'est pas si mal mister moxer finalement nan ? XD]

Je me laisse deshabiller sans rien dire, sans rien faire de spécial, de toute facon, qu'il ne s'atende pas a ce que je fasse quoi que ce soit... enfin, disons pas grand chose. Comme pour "m'excuser", j'insiste bien sur le fait que celui qui désire vraiment ce rapport ici, ce n'est pas moi, c'est lui.

Je finis par enlever complètement ma chemise, qu'il n'avait jusqu'ici qu'ouverte, puis, la posant sur le sol, je me laisse allonger par lui. Je dois quand même lui reconnaitre une qualité, il sait vraiment s'y prendre... Car il arrive même a mù'aracher quelques gémissements, et quelques soupirs de plaisire.

Pour le moment, je ne sais pas ce que je ferais, s'il tente de s'inniter en moi, je ne pense pas le repousser, sauf si je me rend compte que finalement il n'en vaut pas la peine, mais une chose est sure, lui de son coté en a envie.