Blanc et noir, blond et brun... /!\ Contenu chaud /!\

Mon linge sale s'accumulant, je me pose enfin la question de "et on en fait quoi ?" Finalement c'est une discution entendue au refectoire qui me donne la réponse... il y a une laverie !

Je parcours donc les couloirs à la recherche de cette fameuse laverie. Un panneau à moitié effacé me l'indique enfin. Je pousse la porte, la salle est vide. Plusieurs machines et seches linges sont à notre disposition...

Sans réflechir, je foure mes draps et mes uniformes dans une machine et au moment de la fermer, je m'arrete... Tant que j'y suis... J'ôte mon uniforme du jour et le mets aussi dans le tambour. Puis je pars à la recherche de lessive. Où est range ce truc ? Ah ! Trouvé ! Par terre, à moitié renversé... quoi de plus normal !!

Je vérifie le règlage et lance le programme. Il ne me reste plus qu'à attendre... merde, maintenant que je suis en boxer, je suis bloqué ici... avec le bruit que fait ce truc, je peux même pas dormir... Je pousse un long soupir et me laisse tomber sur un banc. Finalement, je m'y étends et ferme les yeux.

Invité

[vous deux je vous hais, ma boite de MP va saturer >.< !]

Ce matin, étant occupé a autre chose et avec quelqu'un d'autre que les personnes avec qui je devais passer la matinée, a savoir les prisonniers dans le refectoire, puisque mon role était de les surveiller, je devais cet après midi faire en sorte que l'on remarque bien ma présence, histoire de bien dire a tout le monde que je faisais bien mon boulot,et que non, je n'étais pas parti dieu ne sait ou.

De ma fameuse démarche, je déambulais dans les couloirs, faisant tournoyer gaiment ma matraque sur le coté, sifflotant, je me dirigeais je ne savais pas vraiment ou, je faisais juste une petite ronde, histoire de voir si tout le monde se tenait bien tranquil.

Mes pas me menèrent jusqu'a la laverie, ou j'entendais du bruit. J'entrouvris la porte, puis j'entrais voyant ici un homme, détenu, en boxer. Je donnais un petit coup de matraque sur une des machines, l'air de rien, pour lui faire remarquer ma présence.

-C'est pas Las Vegas ici, remets tes fringues !

Pas vraiment de chance pour lui, mon comportement avec Sybille m'exaspérait tellement, je me sentais tellement faible, que je ressentais le besoin d'affirmer encore plus mon autorité... sur les autres, et quoi de mieux pour ce faire que la violence.

Des coups anormaux me font ouvrir les yeux. Ah oui, anormaux... Ce n'est pas la machine qui s'emballe mais un mâton qui joue de la matraque.

"C'est pas Las Vegas ici, remets tes fringues !"

La bonne blague ! Je reste obstinément calme et m'assoie "correctement" sur le banc. Puis je lui réponds d'une vois ni amicale ni agressive:

"Ils sont dans la machine."

Et puis, quel rapport avec Las Vegas ? Bon, j'y suis jamais allé, je ne sais pas... mais je doute quand même que les gens s'y promènent en sous vêtements... Je me garde bien d'exprimer mes pensées, il n'a pas l'air de bonne humeur et je craint qu'il passe ses nerfs sur moi...

Je reporte mes yeux sur le minuteur, il reste au moins une demi-heure avant que ça soit terminé et apres je vais devoir mettre tout ça au sèche linge... ça lui laisse le temps de me tabasser autant qu'il en a envie... Je me demande comment faire pour éviter cela, j'ai été épargné depuis mon arrivé ici (si on omet mon passage au trou) mais je crois que mon répis est terminé... Je soupire. Mon premier séjour en taule c'était pas trop mal passé, je n'en suis sorti qu'avec cette cicatrice à l'arrière de mon bras droit, mais Sadismus... il n'est pas prevu que j'en sorte...

Invité

Dans la machine... La prison mettait a disposition plusieurs vetements pour les prisonniers, mais il fallait toujours que les détenus trouvent le moyen de tous les laver en même temps... Aussi, la laverie devenait souvent lieu de strip teas général, et cela virait d'ailleurs en petite seuterie collective, ce qui est le cas de le dire.

Je m'avancais vers lui, le regardant de haut, de mon pas lent et balancé, jouant toujoujrs avec ma matraque, puis, arrivé a un ou deux metre d'Alec, je lui lancais un regard méprisant, et je lui dis :

-Et bien trouve en d'autres, je suis pas gardien d'un camp de nudisme, ni de plage.

Pour le moment, je ne m'énnerve pas, cela serait injustifié, même si de toute facons la plus part de mes collères sont injustifiées...

Je regarde plus attentivement mon interlocuteur, il a des traits féminins, comme moi... un peu plus marqués... D'ailleurs, c'est plus une attitude féminine que des traits féminin chez moi, mais passons... J'aime bien ce genre de traits chez un homme cela... Oh, calme, j'ai dis pas plus tard que ce matin que je me calmerais.
Je secoue la tete, encore plus ennervé.

C'est juste une impression ou il me provoque ? Qu'est-ce qui lui prend ? Si ca l'emmerde tant que ça de me voir à poil, il a qu'à se barrer, y a plein d'autre détenus à aller faire chier !

Voilà qu'il commence à me détailler de haut en bas... Finalement ça ne semble pas lui déplaire tant que ça que je ne porte rien. Je ne bouge pas d'un pouce, toujours assis, malgré qu'il se soit avancé vers moi. Je lève la tête pour le regarder (je vais pas non plus fixer son entre jambe quand même...) Il est blond et a des cheveux longs. Kirof, Gleb... maintenant lui, c'est une manie chez moi les mecs aux cheveux longs. Il est plutôt pas mal, je trouve, mais j'aime pas son regard... ce regard que les mâtons posent sur les détenus.

Je finis par m'appuyer contre le mur en soupirant.

"Y a pas d'autres vêtements ici et je vais pas sortir dans cette tenue... justement parce que nous ne sommes pas dans un clan de nudistes. Il n'y a personne ici, je gène personne, personne me voit."

Mmm... Peut être un peu trop agressif... Enfin bon, je suis un taulard, c'est normal, non ? Je cesse de fixer son visage et observe les affaires qui tournent en vitesse dans le tambour plein d'eau:

"Je serais à l'heure pour le repas."

Comme si c'est ce qu'il l'interresse... de toute facon, il a qu'une envie, c'est me frapper alors qu'il le fasse et qu'il me foute la paix... N'empèche qu'il est vraiment pas mal...

Invité

Pourquoi frapper quelqu'un qui n'a finalement rien fait ? Aucune idée, mais ma main part quand même écraser un coup dans son visage. Ca fait un bien fou...

Il fallait que cela sorte, c'est sortit, et ca détend, et qu'il ne vienne pas se pleindre, je ne suis pas d'humeur a écouter un détenu geignard. non, pas du tout, en plus de cela, même si ce coup a légèrement remonté mon humeur, elle reste quand même relativement massacrante... Il faut dire que face a un détenu, mon humeur n'est jamais vraiment joyeuse gentille et accueillante...

-Tu me gènes moi, tant qu'a surveiller cet endroit, je préfère faire aux mieux mon travail.

Un ton presque calme, arogant en tout cas, supérieur, comme toujours, avec n'importe qui, ou presque, toujours cette pointe de supériorité dans le ton, j'ai toujours été supérieur ou presque face a mes interlocuteur, que ce soit par mon nom, par ma fortune, ou comme dans ce cas, par mon statut.

Et voilà, ça venait de commencer.

Le coup était parti rapidement et je l'avais recu de plein fouet...heureusement qu'il n'avait pas utilisé sa matraque. Ont-ils des consignes du genre "la matraque, pas pour la tête, on veut pas de cadavres"... j'en doute... Je sens un filet de sang couler de ma lèvre. Je me redresse, me lève et le fixe un instant puis je nettoie le sang du revers de ma main. Je m'éloigne de lui, plus par prudence que par peur.

"Il faut être accompagné d'un gardien pour faire sa lessive ? Je l'ignorais... Il y a certainement des prisonniers pires que moi qui recquèrent votre attention..."

Mon regard se durcit. Je deteste la violence gratuite parce que je l'ai trop subie... mais que puis-je y faire. Si je continue à le provoquer c'est comme ça que ça va finir, c'est certain.

"Si vous repassez dans une heure, je serais habillé de pied en cape."

Je sens que je vais provoquer sa colère. Je le peux m'empecher de fixer son visage si fin, si pâle, si gracieux...

"Si vous n'étiez pas gardien et moi prisonnier..."

Si je n'avais pas tué... Je ne pense pas qu'il ai entendu mes mots mais j'évite de prononcer les suivants... Si je l'avais rencontré dans d'autres conditions... je serais déjà en train de le tripoter...

Invité

En tout cas il ne répliquait pas, c'était déja cela... *il faisait même comme si de rien n'était, a par le geste de la main qu'il fit pour essuyer la petite coulée de sang qu'il avait au coin des lèvres. Le voila maintenant qui s'éloigne, lui aurais je fais peur ? Cela affiche sur mon visage un sourire amusé.

-Cela n'a rien a voir avec vous les détenus... Je fais simplement mon travail, hors, il est dit dans le règlement de Sadismus qu'un gardien a tout les droits, hors, le fait que des parasites comme toi se baladent en sous vetements me dérange, j'ai donc le Droit, de te le faire "savoir".

Je lance un air amusé ensuite a la caisse d'objet trouvé. Il y a deux bacs, un contenant les vetements pour homme, un pour les vetements pour femme. L'un est vide, l'autre plein, les femmes décidément éguarent tout... Je pose ensuite mon regard sur Alec, m'assurant qu'il ai bien vu ou je regardais juste avant, puis je lui dis

-Y'a plein de fringues la dedans non ? alors habille toi, le temps que tes autres vetements sèchent.

Après la violence, l'humiliation, je m'amusais commeun gamin.

Je le regarde, figé. Il veut que je mette un uniforme féminin ? Je sens mon coeur s'accélerer. Je ne peux pas faire ça. Il en est hors de question... Si je les mets, si je decide de ne pas resister, d'obéïr, je ne pas chercher les ennuis... Je l'entends déjà me dire que ça me va bien... Je déglutis difficilement. Ca, c'est impossible...

"Ceux là ne m'iront pas." et il a pas interet à dire le contraire. "Mais si ça vous gène tellement que je sois en sous-vêtement, je peux rêgler le problème... En plus vous aurez la preuve que je ne peux pas porter ces uniformes..."

Je le provoque, mais c'est lui qui a commencé et gardien ou pas, je préfère encore recevoir des coups que me travestir. Suite à mes mots, tout en gardant mes yeux plongés dans les siens, j'ôte mon boxer et le laisse tomber à terre.

"Voilà, je ne suis plus en sous-vêtement"

Je me mets discrètement en garde, ne voulant pas me montrer trop prêt au combat mais contractant mes muscles pour encaisser la douleur et pouvoir me proteger en cas de besoin... Et répondre s'il le faut vraiment.

Invité

Dès qu'il a prononcé ses paroles, je devine ce qu'il va faire, il est très peu original dites moi... Je le regarde faire avec toujours ce même regard dédaigneux, je le regarde de haut, puis, je m'épproche doucement, donnant un coup de pied dans son boxer, pour qu'il revienne aux pieds de son propriétaire.

Ensuite, je ne cesse d'approcher, et je simmule un coup de matraque, que j'arrete cependant juste devant le nez du jeune homme, avant de faire demi tour très calmement. Puis, je me retourne, lance un regard au boxer sur le sol, puis,a nouveau, je relève mes yeux vers Alec, puis je lui dis :

-J'ai dis que je ne gardais pas un camp de nudiste, alors range moi ca, Petit...

J'avais bien insisté sur le dernier mot, étant un homme, je savais ou frapper pour blesser les gens dans leur fièrté, j'affichais un petit sourire, et oui, il fallait bien prendre ce mot a son double sens, a vrai dire, je n'avais pas tellement attardé mon regard sur le sex d'Alec, je voulas juste le faire un peu enrager.

"Petit" ? Je manque de rire... La dernière tournante à laquelle j'ai participé m'a convaincu du contraire... Au moment où ces monstres m'ont foutu à poil l'un deux a eu un sifflement et ça a donné quelque chose du genre "Bah putain ! T'es bien monté pour une fillette"... Mais bon, ce n'était pas vraiment cette partie là de mon anatomie qui les interressait... Je ferme les yeux un instant, cherchant à chasser ces images.

Il me demande de me rhabiller... C'est trop tard, je ne peux plus... je l'ai trop provoqué... Je me penche lentement pour ramasser mon boxer et le pose sur l'une des tables à mes côtés.

"C'est sale par terre, je vais quand même pas le laisser trainer, quelqu'un risquerait de marcher dessus."

Je suis ridicule c'en est pitoyable...

Je me détourne, sans vraiment lui tourner totalement le dos néanmoins et je vais m'appuyer sur le mur à l'opposé de la pièce puis je pose ma main sur mon sexe.

"Je suis désolé que cette "petite" chose ait heurté votre pudeur... vous ne devriez pas rester dans ce cas..." dis-je d'un ton envouteur alors que je commence un mouvement de va-et-vient lancinant...

Quite à le provoquer, autant y aller jusqu'au bout ! Je ne vais pas me contenter d'être nudiste, je vais être exibitionniste !

Invité

Voila qu'il se met a jouer les chochottes... de plus, mon petit "message" ne semble pas l'affecter, pourtant, d'habitude, cela marche a tout les coups... Bef, au final, ce n'est pas bien grave, mais il est beaucoup trop arogant a mon gout, et encore, je n'ai pas tout vu...

Quand il commence a se tripoter comme si de rien n'était, je m'approche de lui, pas du tout gené par ce qu'il était en train de faire, car il faut quand même dire que malgrès ma gueule d'ange, on ne faisait pas pire que moi en terme de perversité, c'est juste que j'avais décidé de me calmer en ce moment....

enfin bref, je me dirrige vers lui, et sans prévenire ou crier garde, je lui donne un puissant coup de poing dans l'estomac, atendant de voir comment il le receptionnerait pour continuer

Puis, je croise les bras, et je répète :

-Vas te fringuer !

Il s'approche de moi. J'ai les yeux semi-fermés mais je ne fais que jouer le jeu... Je le surveille. Il s'approche encore. Cette fois, je vois venir le coup et je me plie en deux juste avant qu'il me percute pour amortir le choc. Je me redresse presque aussitôt et fait un pas en avant, je suis presque collé à lui, il n'a plus assez d'amplitude pour me décocher un coup douloureux. Je sens son souffle sur mon visage et, provocateur jusqu'au bout, je lui réponds:

"Et apres ? Vous trouverez une autre raison pour me frapper. Il n'y a que ça qui vous occupe, vous, les mâtons. Nous frapper... Vous n'avez même pas besoin de raisons pour le faire, alors pourquoi me faire chier avec cette histoire de fringues ?"

Mon regard est provocateur. Je sais que mon sexe est dressé par l'excitation du moment... Sa proximité (il est vraiment bien foutu), l'adrenaline du combat, cette impression de vivre à nouveau, d'exister... Oui, j'y prends plaisir, ça fait bien longtemps que je ne me suis pas laissé aller à ça... La dernière fois, ça m'a couté un coup de couteau...

Invité

Oui, j'aime profiter de mon statut que j'ai quand j'exerce mon métier pourfrapper les détenus et après ? Je n'en ai pas honte, de toute facon, presque 'importe qui me croise ici, il peut témoigner, je frappe pour un rien... Et a chaquefois, j'y prend le même malin plaisire, a chaque fois, le même sourire s'affche sur mon visage.

Je remarque bien entendu son errection, mais qu'il ne vienne pas me chercher trop près, j'ai pris de bonne résolutions, et elle sont trop fraiches pour que je veuille les rompre... c'est a dire que je les ai faite il n'y a même pas 24h... Délais pendant le quel je respècte ce que je me suis promis, après il est vrai que... Passons.

Quoi qu'il en soit, il est venu lui même réclamer le coup que j'avais envie de donner depui un bout de temps. De part sa proximité, je n'ai qu'a lever le genoux assez rapidement, pour que celui ci vienne cogner dans l'entrejambe d'Alec.

-Tu veux aller au trou c'est ca ?

(Oups, n'ayant pas ce genre de "point faible", je n'y ai pas pensé...)

Je me détourne de lui et le frole comme si de rien n'était. La mascarade a assez duré, j'en ai marre. Pourtant je lui réponds quand même.

"Non, j'ai pas spécialement envie de me faire voler mes affaires pour cause d'absence... Je serais bien embeté si je n'avais plus d'uniforme."

J'attrape mon boxer et l'enfile rapidement avant de reprendre ma place que le banc qui me servait de "lit" avant l'arrivé de ce mec. Je m'y assoie et m'appuie nonchalament contre le mur. On pourrait croire que je cherche les coups, mais ce n'est pas le cas... Je suis juste las des contacts humains.

Je jette un oeil à la machine qui commence à s'affoler. Bien, c'est l'essorage, dans peu de temps ca sera fini... restera pous que me le sechage... Le bruit devient infernal, ça sifle, ça cogne... Je regarde les raies de blanc se meler au gris de l'uniforme... Voilà quelque chose qui serait beau à peindre... si j'avais une feuille.

Invité

[pas beaucoup d'esprit on dirait... c'est quand même connu]

Il me lache enfin, je dois dire que ce n'est pas si mal, j'ai du mal a résister quand on se comporte avec moi comme ce jeune homme venait de le faire... A vrai dire, hier encore, j'aurai sauté sur l'occasion et je...

Je me frappe alors le front avec ma main, mais que suis je en train de devenir... En tout cas, quelque chose qui n'est pas moi, d'un coté cela me plait, mais d'un autre... Non. Enfin bref, je dois me concentrer avant tout sur pourquoi je uis ici, s'ile pense se débarassé de moi aussi facilement...

-T'as 5 secondes pour enfiler des fringue... Sinon crois moi que tu vas y aller au trou !

Par pure prévision, je m'approchais d'un pas, tout en commencant a compter, Pourquoi tant insister ? Je me sentais déja assez mal comme cela, j'avais besoin d'affirmer mon autorité, même d'une facon aussi pitoyable, je m'en moquais, après tout, a part lui, personne ici ne me jugeais, et je me fourais éperduement de son jugement...

Je détache mon attention de ce mélange de couleur et fixe mes yeux sur lui. Il commence à m'emmerder... Dans le sens où il m'ennuie...

La machine s'emballe à nouveau fesant un bruit épouvantable, elle attire mon attention encore un fois puis je me tourne vers lui.

"Frappez moi, sautez moi, foutez moi au trou, les trois même si ça vous amuse... Mais je ne porterais pas ces fringues abandonnées."

J'ai failli dire "ces fringues de femme", mais ça aurait été lui tendre une perche... Je préfère être las de son petit jeu plutôt que de perdre contrôle de mes actes suite à une remarque cassante comme il semble aimer les faires.

Alors qu'il s'avance vers moi, mon regard est attiré par les mouvements de sa chevelure dorée. Voilà encore une personne que j'aurais pris plaisir à peindre... L'extérieur ne me manque pas tant que ça, mais la peinture... je souffre de devoir m'en passer.

Invité

Bon, cette fois ci il y aura le droit, je soupire, d'un air las... Pour une fois que je gardais mon "calme", il ne coopérait pas.. Tanpis, en tout cas, cela ne m'encourageait pas a tenter de me contenir pour une prochaine fois.

Je n'ai plus qu'a faire un pas, et je suis assez proche de lui. Ausstôt, je lui empoigne le bras violament, et avec force, pour ensuite le forcer a se lever et a me suivre. De plus, comme je suis maintenant relativement ennervé, je ne manque pas d'enfoncer mes ongles dans le poignet que je tiens fermement, et je me dirige d'un pas rapide vers la sortie de la pièce, direction la salle d'isolement.

-Bien, puisque tu sembles tellement aprécier ta nouvelle tenue, on va aller la montrer a tout le monde dans les couloirs, et si par hasard ca interesse quelqu'un, je me ferais un plaisire de te confier a lui !

Le verrou de la porte est ouvert, mais celle ci n'est qu'entrouverte, aussi, je donne un coup de pied dedans, pour l'ouvrire, et ainsi aller dans le couloirs, avec Alec sur les talons, qui me suit bien malgrès lui.

Au moment où il m'attire dans le couloir, j'entends la machine se calmer. Je m'arrête net, ses ongles me griffent un peu plus. Pourtant, je sais parfaitement me défaire d'une telle prise... et je ne m'en prive pas. Posant ma main libre sur son poignet, je le force à le plier et fait tourner ma main prisonnière de manière à ce qu'elle glisse sur sa paume. Mon sang perle, mais il ne me tient plus, c'est déjà ça... Pratique les arts martiaux parfois...

"Vous permettez, ma machine est terminée je dois mettre mes affaires au sèche linge."

Je me recule vivement avant qu'il n'ait eu le temps d'ébaucher le moindre mouvement d'attaque et lui tourne délibérément le dos en me dirigeant vers l'appareil maintenant silencieux.

Le provocant toujours, je continue à parler - on croirait presque que je cherche les coups - à son attention:

"Vous ne voulez pas garder un camp de nudiste mais vous avez envie de montrer à tous les prisonniers que c'est ce que vous faites... Etrange... Enfin bon, je tranferts tout ça dans une autre machine et je veux bien venir me promerner avec vous, monsieur... monsieur ?"

Tiens, je ne connais même pas son nom...

Invité

Ah, le voila qu'il se dégage de mon emprise, comme si de rien n'était... Furieux et vexé, je tape du pied, avant de le suivre a nouveau dans la pièce. Je suis ridicul de m'acharner ainsi, mais mon tempérament m'y oblige, ma fièrté aussi d'ailleurs, et tant que je n'aurais pas "gagné", je continuerais mon petit cinéma.

Il est maintenant dos a moi, grossière erreur, j'arrive par derrière, pour lui donner un violent coup de pied dans le dos, j'ai dis qu'il irait au trou, et il irait au trou, qu'il le veuille ou non, et il était hors de question que je le laisse faire tranquillement ses petites affaires personnelles avant d'y aller... Je le regarde sur le sol, il venait juste avant cela de me réclamer mon nom. Avec un petit sourire en coin, je lui dis :

-Ludwig Helies... Et toi ? ton matricul ?

Pas besoin de connaitre les noms de ces sous espèces d'humains, leur matricul me suffisait amplemant. Je me mets ensuite a genoux près de lui, et je lui siffle :

-Ne m'oblige pas a t'y emmener par la peau des fesses...

Il tappe du pied au moment où je lui échappe, c'en est prèsque risible, mais je ne dis rien. Malheureusement, il se renprend plus vite que je ne le pensais et je recois un coup de pied dans le dos. Je me laisse tomber à terre en me rattrappant sur mes paumes. Je me laisse rouler pour coller mon dos douloureux contre le sol froid de la pièce, c'est presque agréable.

Il se penche sur moi et se présente. C'est quoi ce nom d'aristo ? Il me demande mon matricule... Et puis quoi encore, je ne suis pas un numéro. Je fronce les sourcils et je le vois s'ageunouiller près de moi.

"Ne m'oblige pas a t'y emmener par la peau des fesses..."

"Je suis sûr que vous trouveriez ça très excitant."

Mes mots sont sortis tous seuls, sans que j'y réflechisse. Et je ne contrôle pas mes geste au moment où mon bras s'étend pour toucher son entre-jambe

"A moins que vous ne le soyez déjà..."

(c'est à toi de me le dire, là...)

Invité

[forcément, si on peut même plus employer des expressions... Forum de tarés jvous l'dis moi XD ! :p]

Encore une chose que je n'avais pas prévu... Il avance doucement sa main, pour effleurer mon entre-jambe... Je ne dis rien je... Stop, je l'ai dis ce matin, je ne me laisserais plus prendre par ce genre de petit jeu, mais je n'ai pas le courage de protester, pour le moment...

Aussi, faisant celui qui n'avait rien remarqué a la perfection, et ignorant ses paroles qui étaient a la limite de la provocation, je lui répète sur un ton plus sec :

-Ton matricul !

Non, je n'ai pas le droit de me laisser faire, mais a quoi bon quand on aime tellement cela. Cependant, j'arrive enfin a me ressésire, pour d'un mouvement de bras, éloigner le siens.

Mon regard noir, au sens propre comme au figuré, le fixe, attendant sa réponse, et qu'il ne fasse pas la sourde oreille cette fois ci...

Chose étrange, il me laisse faire. Je l'effleure et le caresse cherchant à provoquer une réaction. A l'évidence, ça ne lui déplait pas. Je crois un instant qu'il va me laisser continuer jusqu'à ce qu'il succombe mais il finit par me repousser mais je ne recois aucun coup supplémentaire... J'ai trouvé son point faible. Je le regarde, provocateur et lui répond... pas tout a fait comme il l'entend:

"Trente... heu... Cinq, deux... J'en sais rien, je suis pas un numero... Mais il doit être écrit sur mon uniforme, non ? Laissez moi les sortir, je vous répondrais. A moins que mon prenom vous suffise... C'est Alec."

Mes yeux sont plongés dans les siens. Je ne bouge pas, étendu devant lui, presque nu, ma main reposant près de sa cuisse... Tiens, ma mains est près de sa cuisse ! Mais que fait-elle là ? Oh ! Mais elle est en train de remonter sur l'interrieur de la dite cuisse... Je lui souris et mord ma lèvre, sensuel.

(pourquoi j'arrive pas à écrire des posts longs ?? Il est chiant Ludwig à pas se laisser faire... mais dis moi, parce que je ne veux pas spaculer là dessus... dans quel état c'est dans le... boxer de Ludwig ?)

Invité

[AAARG ! Vous n'êtes qu'une bande de vilaine pas belles >.<, vous allez me faire chier combien de temps avec ce BOXER ? Pas ma faute si je préfère qu'il porte un BOXER, plutot qu'un slip, qui en porte d'ailleursce genre de... Chose >.< ? Pour ce qui est de l'interieur, ca fait dodo, NA, t'avais qu'a pas etre missante :p]

Au moins il fait semblant de chercher a donner son numéro.. Mais le coup du "je ne me souviens pas" n'est pas nouveau, et il n'est pas le premier a le faire... et c'est bien trop facil de dire cela, d'ailleurs, il est cencé connaitre son numéro par coeur, encore un bon prétexte pour le jeter au trou.

Je laisse s'afficher sur mon visage un sourire amusé, puis, je raproche un peu mon visage de lui, pour lui siffler sur un ton supérieure :

-Les gens de ton espèce n'ont pas besoin de nom... Un numéro suffit...

Puis, je me recule, mais comme je suis occupé a le regarder dans les yeux, je ne remarque pas sa main qui revient a la charge, magrès que je l'ai déja repoussé une fois, de tute facon, je l'ai fais une fois, je pourais le faire deux ! Je pense...

(mais tu sais, je me moque de toi, mais je pense pareil, dans mes fics, mes person e portent que des boxer...)

Il ne semble pas avoir appercu mon manège pourtant je l'effleure ouvertement... Je pousse un soupire et murmure:

"soixante dix huit."

Ses yeux sont plongés dans les miens alors que mes doigts atteignent sa braguette, la frôle, descendent un peu plus... puis se collent plus fortement en entammant un mouvement régulier de va et vient.

"Les gens de mon espèce..."ma voix n'est qu'un souffle, "sommes nous forcément tous coupable ?"

Bien sûr, je suis coupable... mais je ne peux m'empecher de penser à Gleb, il a tué mais... est-il coupable pour autant... Un gardien peut-il comprendre cette notion de circonstance atténuante... Surtout ce gardien qui pue la richesse et le luxe...

Mes yeux perdent leur éclat rageur et deviennent... tristes ? Oui... quelque chose dans le style...

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