De retour [ contenu chaud ]

Je rentrai dans ma cellule un peu en ratard du couvre feu. Heureusement j'avais passée inaperçue. Je me coucha sur mon lit heureuse de ne plus sentir al sueur et la crasse sur mon corps et regarda autour de moi. J'avais sûrement réveillé les prisonniers qui avaient réussis a trouver le sommeil. Puis ferma les yeux. Ne trouvant pas le someil je repensa a ce qui s'était passée depuis mon arrivée à Sadismus.

-Il s'en est passé des choses...

Puis je regarda la grande prairie qui longait le chemin de terre mal entretenue qui menait à la prison ou, sûrement, je passerais le restant de mes jours. La lune était pleine ce soir là. Comme tout le soirs ou j'avaus commis mes meurtres.

- Cogner pour entrer chez moi ?

Je le regarda avec un sourire moquer puis approcha mon visage très prés du sien et lui chuchotta à l'oreille

- Et puis je ne voudrais pas réveiller un si beau jeune homme !!!

Je retourna me coucher sur mon lit le sourire aux lèvres. il me semblait bien énervé celui là. C'est certain qu'être pris avec trois filles dont une qui tabasses les hommes ça ne doit pas être de tout repos je continuais a me retourner sur mon lit

- Ha merde je suis pas capable de dormir

Malheureusement un agent passait au même moment

- Tait toi pétasse t'es pas seule

Je lui fit un clin d'oeil. Depuis mon arrivée je n'avais pas rien fait. Sauf lorsque j'avais menacé Ryan de lui aracher son membre. J'en avait effectivement envis. Je tourna la tête . Joséphine dormais encore et Katheryn était toujours au trou. Je déposa un baiser sur ses lèvres

- Pourquoi pas je n'aurai sûrement aps la chance de rencontre un autre bel homme musclé et qui ne dépasse pas 50 ans ...

Je mit mes deux mains sur son torse et les descendit jusqu'a son entre jambe

- Hum je crois que tu en a envie depuis un bout toi.

je remonta un peu mes mains et les mit dans son pantalon attendant de voir comment l'homme réagirait

Je retint des cris de plaisir et, sous le coup de la jouissance planta mes ongles dans la chair de l'homme sentant son corps chaud contre le mien puis je descendis ma main le long de son membre devenue dur sous l'excitation et fit des mouvements de haut en bas. Je ne pouvait pas approche ma bouche car l'homme était déja affairé à mes seins puis lorsqu'il eu terminé je glissa ma langue sur son torse et la descendit lentement jusqu'à son entre jambe que je mit dans ma bouche sentant sa semance envahir ma bouche


hj: Wooooo ça s'envient pas mal cochon Maybeth va le tolèrer ?

(hey ralentit tu vas vite !)
Je fermai les yeux dure et poussa un soupire d'aise en la sentant caresser mon membre. J'avais déjà de la difficulté à me retenir de ne jouir elle ne m'aidait pas. Je la repoussa doucement et la ramena vers moi en chuchota sensuellement dans son oreille.
- Tu ne voudrais pas que çca se termine si vite ...

J'embraissai sa bouche, sa gorge, sa poitrine, son ventre et bien tôt j'arriva au bas-ventre. Je lui lança un regard narcois et glissa mon menton entre ses jambes, commençant un cuni. Je mordillai, suçai et laichai gentilment le petit bouton rose qui lui donnait tant de plaisir. Quand je la sentit près de s'abandonner, je remontai rapidement reprendre sa bouche en la pénétrant doucement en profondeur. Rapidement mes coups de bassin emplifièrent et mon vas et vien devint rapide et profond. Pendant ce temps ma langue tournai avec la sienne dans sa bouche.

( C'est que je veux pas que Bosë ou un garde vienne quand Catrina et Stanley vont baiser oO )

Quand je sentit son corps pénètrer le mien je je retint des petits cris de plaisir. Je continua a tourner ma langue avec la sienne malgré le fait que j'avais de plus en plus de difficulté a m'occuper de cette activité. Je placa mes mains sur son dos puis lorsqu'il me pénètra a nouveau je sentis mes ongles s'enfoncer dans la chair de son dos. Puis je chochotta à son oreille

- Mais bien sûr que non le plaisir n'en serait que diminué.

J'haletta lorque je sentit les coups de hanches commencer je glissa mes mains sur aon dos durant l'acte le laissant déverser son plaisir entre mes jambes puis lorsque je sentit que son plaisir avait été déversé et qu'il se coucha mes mes côtés je pris sa main et colla ma tête dans le creu de son épaule. J'étais ien contre son corps.

- Hum tu es doué

[hj: vraiment désolé du retard ]

je glissa mon doigt sur le torse de l'homme sentant sa chaleur m'envahir. Il n'était aps rare pour moi de baiser sans sentiments amoureux. Car rares était les sentiments autre que la peur et la soufrance que j'avais eu depuis mon enfance. Je crois que c'est pour cette raison que j'avais tant aimé tuer c'était la plus grande joie que j'avais ressentit depuis que j'avais mon innocence aux mains de mon effroyable père. J'étais consciente de l'erreur que j'avais commise ce soir. Après m'être faite arrêtée j'avais promis de ne plus tuer et de ne rien faire sans sentiments. Et maintenant me voila nu dans le lit d'un inconnu.

- Je crois qu'on devrait pas reccomencer... A moin qu'il n'y ait autre chose entre nous que de la baise.

- Je crois qu'on devrait pas reccomencer... A moin qu'il n'y ait autre chose entre nous que de la baise.

Je m'étais assoupis contre sa tête, la chaleur bien faisante de nos deux corps me faisait complètement oublier ma claustrophobie. Mes yeux à moitié fermé s'ouvrir brusquement. C'est vrai que je me laissais pas mal aller, d'habitude à l'heure qu'il est je serais déjà retourner dans mon lit sans penser à elle. Mais le contact humain lui avait beaucoup manqué malgré qu'il le fuyait plus que d'autres choses. Mon corps se tendit un peu contre le sien et je lâchai sa main en amorçant un geste pour me relever.

Je pris le bras musclé de Stanley dans ma main. Je sentis la chaleur de son bras réchaufer ma main gelée.

-Alors tu m'abandonne maintenant ? Tu baise et tu retourne te coucher comme si de rien n'étais ???

Je colla ma tête contre son torse. J'avais tellement besoin de chaleur humaine. J'airais été prête à sauter dans les bras de n'importe quel inconnu. Mais j'avais envi de Stanley depuis son arrivée à la prison.

- Alors tu n'as toujours pas répondu a ma question.

Sa main glacée sur mon bicep bien développé freina mon geste, je levai les yeux dans le noir vers ce qui semblait être son visage.

-Alors tu m'abandonne maintenant ? Tu baise et tu retourne te coucher comme si de rien n'étais ???

Je la sentis se blottir contre mon torse d'où une chaleur bien faisante s'échappait en permanence. Je figea pendant quelques instants avant de, lentement, enrouler un bras protecteur autour de sa taille et en l'allongeant avec moi chuchota dans son oreille, ma joue contre la sienne.
- Plus ou moins ...

Je reposai ma tête sur l'oreiller, mon bras toujours autour d'elle et mes épaules si larges qu'elles couvrait son corps tout mince et fragile. Je posa mon menton sur son front. J'étais hésitant mais elle avait autant besoin de chaleur humaine que moi alors pas la peine de le cacher. Je poussa un soupire sourd et chaud contre son front en entrefermant les yeux.

- Tu voudrais bien dormir avec moi cette nuit ???

Je ne répondis pas mes déposa un doux et profond baiser dans con cou en caressant la courbe de son dos de haut en bas. Hola Stan ! Tu deviens trop affectueux ça fait peur ! J' arrêta aussitôt et resta immobile contre elle. Quand je sentis ses lèvres sur les miennes je prolongea le baiser un peu plus longtemps, un gentil baiser du bout des lèvres. Si elle voulait vraiment pas être tout seule j'apprécirais moi même de rester même si je me le cachait. Je lâcha une réponse positive détachée, j'étais assez fatiguer je ne dormais pas beaucoup de plus de nos ébats.

- Dit Stanley pourquoi tu es ici ?

Mon corps se tendit comme un arc contre le sien, je relevai mon regard sombre vers ses yeux, ce n'était pas une question suspicieuse mais autant lui dire tout de suite ce que je pensais des questions. Je dis d'une voix moin agressive que j'aurais pu faire mais qui la dissuaderait sans doute de poser d'autres questions.

- Pas de tes affaires ...

-

- cadela do caralho (va te faire foutre)

Je redressai vivement la tête et lui lança un regard incrédule, tentant veinement de comprend le flo de parole incompréhensible qu'elle venait de me dire d'une manière qui me laissait croire que ce n'était pas très gentil.

- Quoi ?!

Puis elle quitta précipitamment le lit pour se mettre à la recherche de ses vêtements. Hey ben, elle ne l'avait pas pris du tout. Je restai figé un moment, la bouche entrouverte puis je réussis finalement à me reprendre assez rapidement et à être furieux d'avoir été surpris de cette manière. Elle réussit enfin à prendre un morceau de vêtement qui s'avéra être son soutient-gorge. Elle s'attendait décidément à ce qu'elle l'interesse ...En fait il n'y avait pas vraiment réfléchit et ce n'était pas vraiment le moment.

- Va t’en de mon lit.

Je plissa des yeux menaçants vers elle, elle se prenait pour qui pour me donner des ordres !!! Je commençai à chercher à tatton mes propres vêtements, je réussis finalement à enfiler un caleçon mais je restai dans le lit.

- Ton nom n'est pas écrit dessus, prend celui qui est libre ...

-Ça signifiait « Va te faire foutre »

Je resta surprise par son ton soudainement si menaçant. Puis je m’approcha de son oreille et lui dit d’un sans émotion :

-J’ai brûlé des hommes vivant pour bien moins que ça alors me cherche pas.

Je trouva ma petite culotte que j’enfilai précipitamment puis je me retournai vers l’homme qui n’était pas encore partit de mon lit

-Alors tu dégages ???

Je me posta devant le lit et claqua du talon impatiente d’avoir la paix. Je n’avais jamais aimé me faire manquer de respect. Je scrutai la lune si brillante à ce temps ci de l’année repensant à mon adolescence ou je la regardais avec mon premier petit ami. J’étais bien loin de ce moment si romantique avec Stanley qui me traitait comme une merde.

Et encore une fois j'ai été trop impulsif et plein d'agressivité. Je venais de coucher avec elle et je lui faisait même pas confiance. Ce caractère anti-social devenait imposant sur Stanley par rapport à ses rares qualités. Elle reste le spieds bien encré dans le sol et me regarde droit dans les yeux. Elle a une tête sur les épaules, j'aime ça ...Je soutient son regard et voyant qu'elle ne comprenait pas mes intentions je décidai de les dévoiler plus clairement, tanpis pour l'orgueil. Je pousse un bref soupire exaspéré avant de lacher sur un ton plus adoucit:

- Je t'ai dis d'aller dans l'autre lit, celui-là il a des draps propres ...Je fais un signe vers mon lit... Tu vas avoir froid dans des draps mouillés ...

En effet le lit dans lequel j'étais présentement étendu, qui s'avérait être le sien, était à quelques endroits trempé de sueur et la technologie de la prison n'était pas très au point alors: ni chauffage ni ventilation.

-Tu veux dire…

Je baissa le regard, honteuse. Cela pouvait sembler stupide, voir même illogique mais je fus réellement touché de l’intention de Stanley car, depuis mon arrivé, il était le seul à s’être, ne serais-ce que légèrement, occupé de moi. Je luis fis un léger sourire et éclata d’un rire nerveux.

-Je me sens stupide là …

Je me pencha un peu et déposa un baiser sur les lèvres de Stanley et alla me coucher dans son lit. Je leva les couvertures et me coucha dans le lit. Sentant l’odeur de l’homme avec qui j’avais passé la nuit m’envahir les narines. Je ferma les yeux est repensa à ma stupidité. Il n’avait voulu que m’aider et moi je lui avais crié dessus. Il m’avait peut-être répondu bêtement mais d’un côté, peut-être que ce sujet le mettais mal à l’aise… je m’étais emportée

-Je m’excuse…

J’ouvris les paupières et les referma aussi tôt lorsqu’un gardien éclaira notre cellule de sa lampe de poche pour voir si tout allait bien.