Ma nouvelle maison? [Contenu chaud]

« I’m was ungry for love, I’m was ungry for fun” Fredonnais-je d’un air désintéressé tout en entrant dans ce qui devait être mon bureau pour cette année à Sadismus ... ma nouvelle maison Je retins un vomissement en songeant à cela. Rien que de penser devoir rester dans une horrible prison, sombre, lugubre, durant au moins un an, me rendait tout simplement totalement folle. Une prison? Pourquoi donc? J’étais tombée sur la tête? Et pas dans le sens figuré, même si cela m’était arrivé plus d’une fois étant petite. Je m’éloigne là. Oui sûrement, car dans mon état normal jamais je n’aurais postulé pour un tel emploi, et encore moins accepté lorsque l’on m’avait annoncé que j’étais prise pour le travail. Mais j’avais été tellement surprise de pouvoir travailler pour le gouvernement, surtout avec mon histoire et l’intérêt médiatique dont j’avais été la cible. C’était bien payé, la prison n’était que le seul inconvénient, et en voyant mon bureau, s’en était un de taille, c’était devenu la pire épreuve de ma vie. J’avais vécu beaucoup de choses difficiles? Non, c’était certainement pour cette raison que j’étais aussi peu compatissante en fait.

- Damnit! Shit! Jurais-je d’une voix forte, ne me retenant pas du tout pour laisser tous les mots les plus affreux sortir de ma jolie bouche. Celle que j’avais bien humectée pour ne pas abîmer mes lèvres pulpeuses ainsi que mes cordes vocales auxquelles je tenais particulièrement. J’avais une jolie voix, je ne le cachais à personne.

Mais qu’est-ce que c’était cette horreur? J’étais maintenant persuadée que la salle d’isolement devait avoir meilleur goût que cet endroit terrible. Je posais mes mains sur mes hanches, laissant ainsi tomber de cette façon tout ce que je j’apportais. Qu’ils tombent si l’envi leurs en prenaient bordel! Mon bureau était dégoûtant! Une véritable destruction de l’humanité, un déchet nucléaire. Je fis un tour rapide de la pièce, Terrorisée. J’avais peur d’une pièce simplement pour son mauvais goût en matière de décoration, cela vous donne t’il un bon avant goût de ma personnalité si « fleurissante »? Je cherchais des possibilités de décoration pour cette salle où je devrais passer la majeure partie de mon temps. Mais sincèrement, c’était pratiquement un cas perdu, je ne voyais pas comment je parviendrais à le rendre magnifique. Certainement viable, mais jamais très très beau.

- Et je suis sensée bien travailler, dans ses conditions?

Je soupirais, me laissant tomber sur la chaise, dont, dois-je vraiment le souligner? Carrément inconfortable de mon bureau, la tête entre les mains. Je n’avais encore vu personne, mais j’espérais vraiment qu’une chose serait parfaite. Les mec ... Gardiens, prisonniers, peut importe, si ils n’étaient pas attirant, qu’est-ce que je ferais de mes journées moi? J’écouterais les gens? Baliverne! Ce ne sont que des condamnés à mort de toute façon non? Alors qu’ils soient tristes et/ou perturbé, c’était supposé m’empêcher de dormir ça?
Je me retourne en une prouesse dont je suis la seule maîtresse pour avoir le dos sur mon bureau. Position étrange? C’est normal, je suis étrange ... Et pour faire une belle combinaison de tout ça, je me fiche de ce que les autres peuvent penser de moi. TaDam! Et avec tout ça nous avons une belle et séduisante Kassie Clarks, perturbée à souhait, mais tellement adorable!

Berk, la vue que j’avais, placé de cette façon n’était pas plus plaisante. Le plafond était également une horreur, brun, noir, dégoûtant. J’ai le cœur au bord des lèvres depuis que je suis entrée, et je n’ai même pas encore vu ma chambre.

– NON!

Je me redresse d’un bon en songeant à ça, à ma chambre. Jamais je serais capable de dormir dans un endroit affreux. Je ferais des cauchemars! De l’urticaire, Et faire l’amour dans un endroit morbide, très peu pour moi! Je laissais échapper un hurlement rageur et je ramassais les choses que j’avais laissées tombé quelques instants auparavant pour les remettre sur mon bureau. Non je trouverais un bel endroit où m’amuser dans cette prison, je le trouverais, j’en étais bien persuadée. Sur mon honneur ... Oh, quel honneur? Je ris à cette pensée, je ne croyais pas en avoir. Non, alors tant mieux, je m’amuserais beaucoup plus sans aucun honneur et valeur dans une prison de meurtriers.

Je me réinstalle joyeusement sur ma chaise en songeant à cela. Joignant les mains. Allez patients! Déboulés dans mon bureau, seule condition? Être de préférence bel homme, séduisant. Pas intéressé? Je saurais bien vous faire changer d’avis! J’étais envahie par une nouvelle intense soif de ... d’hommes? Non, ce n’était pas le mot, j’étais fonceuse, je savais ce que je voulais obtenir, et j’étais persuadé que ce que je cherchais finirait par passer cette porte un jour où l’autre. J’espérais simplement que ce ne serait pas trop long. J’avais cette petite tendance à être vraiment impatiente ... Surtout lorsque je songeais à de nouvelles proies potentielle, et une prison devait grouiller d’hommes, et ils ne devaient pas être tous moches!

Une foutu séance chez un psy. Obligatoire qu'ils disent.
Comme si MOI je pouvais avoir besoin d'un psy. MOI le grand et magnifique. Sa seigneurie en ce monde putride et dégénéré.
MOI dont la seule aura suffit à plaire. MOI dont l'intelect tant supérieur aux autres ne souffre d'aucune concurance.
Foiré de gardien qui m'ont remis ce foutu masque.
Comme si j'allais les mordres...quoi que. Ils s'y sont mis à quatre quand même pour reussir à m'immobiliser. Dire que j'en ai seulment blessé deux. Dont un à une jambe cassé, l'autre il lui manque une oreille , enfin un bon boût de cette oreille. Dailleurs encore un morceau est coincé entre deux molaires, c'est très désagréable.

Ils sont deux à me trainer aggripant chaque bras pendant que ceux de derrière me balance quelques coups de matraque dans les côtes.
Ils veulent que je me pleigne . MOI me pleindre à ces vermisseaux de gardiens. Plutôt crever. Quoi que mourrir de la main de ces porcs n'est pas plus valeureux que de mourrir allongé dans la fange.

On arrive à la porte du psy je me débat un peu, c'est le jeux aussi après tout. Celui avec le bout d'oreille en moins reviens de l'infirmerie avec un bandage autour de la tête. Il me jette un regard noir et me balance son poing dans la tempe. Je suis légèrement sonné, mais la seule idée que cet insecte ait porté la main sur moi ...j'en rage.

Il ouvre la porte et je vois enfin le psy, ou plutôt la psy. Mignone assise impatiemment sur sa chaise qui s'empresse de se lever. Ses affaires sont encores au milieu de la pièce, elle est nouvelle, de la chair fraiche, un délice pour les yeux. Peut être méritera t-elle d'être un de mes défouloirs. Le dernier fut ce gorret d'alec. Rien qu'à la pensé de cet être abject je rage . Si jamais ma divine main se pose sur ce vers je le réduis en miettes.

On m'asseoit de force sur une des chaises je me débat, j'arrive même à pousser légèrement un des gardiens. Un autre s'empresse d'attraper mon bras libre. Je regarde le gariden au bandage s'expliquer avec la psy.

Madame voici le patient matricule 607-67-1 nommé Bloodsun Kirof. Voici le dossier. On est obligé de lui laisser ce masque il est dangereux, il m'a bouffé l'oreille tout à l'heure ce dingue.

Je ne peut m'empécher de sourire , même si cet ingrats pourrait me remercier de l'avoir rendu plus beau, cette paire d'oreille ne collaient absolument pas avec le reste. La prochainne fois je finirais mon boulot.
Ces cons m'attachent les poignets à la chaise avec des menottes, laissant les clefs sur la table pour la psy. Pour quoi faire , aucunne idée. Mais il me laissent seuls avec le doc.

Si vous avez le moindre problème dites le dans l'interphone et on arrive.

Sur ce il désigne une espèce de boîte noir très laide sur le bureau affreux.
Il fait singne à ces colègues et sortent de la salle refermant la porte me laissant seul avec cette charmente Psy.

J’observe mon charmant patient passer les portes de mon charmant bureau. Toutes des choses bien charmantes selon moi. Charmant sera mon nouveau mot de prédilection. Pincer moi, car je rêve, ou plutôt, je fais un horrible cauchemar. Je ne pouvais pas avoir un bouffeur d’oreille comme patient. Je suis certaine que sous ce masque ce cache un être d’une rare beauté, mais il y a un masque justement. Je reste pétrifié un long moment et j’écoute d’une oreille, oreille, comme c’est ironique, ce gardien là vient d’en perdre un gros bout ... D’une oreille distraite ce que l’on me disait à propos du patient. Mais lorsque les autres membres de cette pièce vinrent pour partir, je me redressais rapidement.

– Ah Ah, non! Attendez!

Je sors rapidement de mon bureau pour rejoindre les gardiens. Ces horribles êtres immondes qui me laissaient avec un danger public. Je tenais à mes deux oreilles moi, ainsi que toutes les autres parties de mon merveilleux corps! Je me place brusquement devant eux pour les empêcher de poursuivre leur route. Du moins, brusquement, ce que me permette mes talon haut, c'est-à-dire des choses bien limités. J’agite les bras de façon perdu et je dis en posant finalement mes mains sur mes hanches :

– Vous me faites quoi là? Venez faire une séance vous, mais ne me laissez pas avec un ... Monstre!

Si il y avait un record guiness du nombre de levés de sourcils simultanément, je crois que nous aurions gagné ici. Ils se lancent un regard, et l’un deux pose l’une de ses mains sur mon épaule. Il est grand, et pourtant je suis grande moi-même, c’est certainement la seule personne qui puisse se permettre ce geste. Même si je ne l’apprécie pas forcément.

- Allons ma ptite dame, c’est vot boulot.

Roulement de yeux, serrement de poings, je n’avais qu’une seule envie, lui arracher l’autre oreille. Sérieusement, je commençais à comprendre ce prisonnier de l’avoir handicapé celui-là. Je ne termine que part une petite grimace, faisant ainsi rigoler les autres gardes et je retourne dans mon bureau. Je m’installe confortablement, ce qui inclus de balancer mes souliers à talon haut dans un coin de la pièce, avec grave et féminité. Ha Ha, que je m’amuse. Bon je dois me consacrer pleinement à mon joli spécimen de patient.

Je passe un grand coup de bras sur mon bureau. Faisant virevolter tout ce qui s’y trouvait, dont le dossier de mon patient. J’avais besoin de ce genre de choses? Non, pas du tout. Je me levais ensuite sur ma chaise, et je pris place en position assise sur mon bureau. J’observais sans me cacher la personne devant moi, collant mes jambes sur ma poitrine, dévoilant ainsi plus longuement mes belles cuisses. Je ne suis qu’un pêché vivant ...

– Vous me pardonnez si je ne vous enlève pas ... Commençais- je en pointant évasivement la muselière dont il était affublé.

J’haussais les sourcils. J’avais peur de lui, mais je ne montrais jamais ce genre de choses. J’étais bonne actrice, et ce prisonnier était avant tout un homme, et j’aimais les hommes plus que tout au monde. Bon trêve de pensées. Je devais parler avec lui. Régler son problème? Certainement pas, mais je devais passer une heure en sa compagnie, je me devais d’être un semblant professionnel. Alors, alors, par où commencer. Tient, j’aimerais bien connaître son nom. Je roule les yeux, détail inutile, il avait un numéro non sur sa chemise de détenu, c’était la même chose. Mais lui il connaîtrait le mien.

– Je m’appelle Kassie, et je tiens à mon corps, alors évitez de « m’arracher » des bouts ... Vous pouvez comprendre, n’est-ce pas?

Je lui fis un beau et grand sourire enjôleur. Alors si il résistait à cela, je passerais au plan B. Je comptais réellement faire craquer un détenu avec un masque de cannibale? Pourquoi pas, un défi de plus ou de moins. J’aurais préféré quelque chose de plus simple en commençant, mais je n’allais pas me plaindre.

– Vous pouvez parler avec ce, truc? Demandais-je d’un air déçu.

Car sincèrement, si il ne pouvait rien dire, la séance serait longue. Je pouvais parler pour deux, mais c’était loin d’être aussi amusant. Je baissais ma tête entre mes genoux, observant toujours le détenu. Peut-être qu’il n’aimerait pas être regardé de cette façon, mais j’admirais ses traits. Maintenant j’avais envi de mieux l’observer sans son masque, car il ne semblait pas laid du tout, très attirant même. Mais ce truc était vraiment gênant!

Je mordille ma lèvre du bas, dois je préciser que peut importe ce que je fais, c’est toujours d’une façon très sensuel? Même lorsque j’agis avec masculinité, je suis féminine et sensuelle. Je suis un peu nerveuse. Je ne le serais pas habituellement mais il y a de quoi avec un homme qui porte un masque semblable à celui d’Hannibal. Et il vient d’arracher une oreille non? Quoi que de connaître Hannibal Lecter m’aurais bien plue, un être qui dégage une telle force, simplement dans un film. Ce personnage devant moi n’était t’il pas un peu semblable? Il ne peut pas parler. Moi je ne veux pas passer une heure dans ses conditions. Je veux, et il doit me faire la conversation, je me languis d’entendre sa voix qui doit sonner merveilleusement à mes oreilles.

– Allons, je fais peut-être une erreur, mais dites le moi si je suis sensible de perdre une oreille, je ne voudrais pas me retrouver comme cet homme ...

Je me penche, je respire un peu plus rapidement. Faire ce geste m’effraye et j’ai un peu plus de difficulté à le cacher maintenant. Je vais lui enlever ce masque une bonne fois pour toute. Et puis ... Il est attaché, je ne risque rien. J’espère qu’il n’était pas ligoté lorsqu’il a arraché l’oreille du gardien. Je m’approche de lui et je pose mes mains derrière sa tête. Lui laissant ainsi une très bonne vue sur ma poitrine. Je ne tente même pas de la cachée, je n’y songe même pas et cela m’importe peu. Après un long travail acharné je parvins finalement à lui retirer cette horreur. Oh ... Quelle délivrance, autant pour moi que pour lui j’imagine.

Je me recule doucement, me replaçant de la même façon. Je souris car je ne m’étais pas trompée, il a un très beau visage, une sensualité qu’il ignore peut-être lui-même. Il est chanceux, je suis capable d’apprécier la vraie beauté. Je me mordille à nouveau la lèvre. Je suis un peu nerveuse, mais cela a-t-il une réelle importance? Le temps passe lentement, mais j’ai l’impression que lorsqu’il ouvrirait la bouche pour me parler, il s’accélèrerait soudainement ...

– Alors, n’est-ce pas mieux ainsi? Demandais-je d’une voix douce.

J’étais redevenue relativement calme, cachant à nouveau mes craintes à son égard. Je ne voulais pas qu’il voit que j’avais peur de lui car je voulais le connaître, du moins, pas en profondeur, simplement savoir si les choses pouvaient se terminer autrement qu’un « au revoir, et à jamais » En langage simple, je voulais une partie de jambe en l’air, ce n’était pourtant pas bien compliqué! Je passais doucement une main distraite sur mes jambes bien douces et je dis finalement :

– Daignerez-vous un jour me faire ... « l’intense » plaisir d’entendre votre voix? Dis-je d’une voix quasi sensuelle.

Il n’allait tout de même pas rester de glace. Je venais de lui enlever son masque, alors il devait me parler, c’était tout de même la moindre des choses, et si il ne m’adressait pas la parole je serais vraiment déçue, car je sentais que la simple entente de sa douce voix me laisserait pétrifiée. Mais de bonheur cette fois là. J’étais facilement excitable, mais pas pour n’importe qui, et j’étais attirée sexuellement par cet homme, tout simplement parce qu’il donnait l’impression d’être inaccessible, dangereux. Il m’effrayait, et c’était exactement ce qui me poussait à aller plus loin, à poursuivre sur ma lancée. Je ne pense qu’à cela, ma beauté, la beauté des autres, et le sexe. Mais attention, je ne suis pas l’une de ses nympho, je choisis soigneusement les hommes avec qui je couche, et si le premier à passer ma porte m’intéresse autant, ce n’est qu’un pur hasard.

– À moins que vous préféreriez des questions ... Plus professionnelles. J’en suis capable également, ne vous m’éprenez pas, mais avouez que cela serait beaucoup moins amusant? Non?

Je fais un sourire de défi, une étrange lueur brille dans mes yeux, je veux cet homme. Rapide vous direz? Peut-être. Mais lorsque je veux quelque chose je l’obtient, peut importe le temps que cela prendra, je sentirais ce prisonnier en moi, coûte que coûte. À moins qu’évidement je ne lui plaise pas du tout, mais cela était pratiquement impossible, et ... N’avais-je pas remarqué un bref sourire sur ses lèvres? Peut-être l’avais-je imaginé, peut m’importais.

Elle se mordille la lèvre signe d'hésitation. Mais enlève moi ce masque que ma divine voix se fasse entendre. Quand à l'oreille je n'ai pas à prévenir. Tu dois apprendre à me satisfaire, mais les tiennes vont assez bien avec ton jolie visage je ne te les enlèverais pas ...enfin pas tout de suite.

Elle prend enfin une décision convenable. Elle se penche pour détacher ce bout de cuir sur moi. Elle me colle sa poitrine au niveau des yeux. Très jolie vue, ce serait encore mieux sans vêtements mais pour le moment c'est très satisfaisant. Ca y est je sens que la pression s'amenuise, puis disparait. Peu à peu je sens le cuir qui se détache de ma peau, je peut respirer. convenablement. J'ouvre doucement la bouche pour détendre ma machoire contractée. Bien sur on peut y voir encore quelques trâces rouges du sang de ce vers d'oreille.

Je lis enfin je me vois dans son regard. MA beauté me surpasse. Il faut dire que les miroirs se font rare ici alors je n'ai pas trop l'occasion de me contempler, surtout sans cette saleté.

Citation :

Alors, n’est-ce pas mieux ainsi?

Je ne lui répond pas tout de suite, d'abbord il faut que j'enlève ce foutu bout de chair coincé. J'ouvre un peu la machoir mais les lèvres fermés et j'essaye désespérément d'enlever ce morceau. Je pousse, je frotte ...et ça y est je dégluti avec ce bon goût. J'avoue moi même que ce n'était pas d'une très grande classe, mais qu'est ce que désagréable d'avoir un bout de viande coincé entre deux dents.

Citation :

Daignerez-vous un jour me faire ... « l’intense » plaisir d’entendre votre voix?

Hmm sa voix est douce, sensuelle j'apprécie.

Ca peut se faire, Kassie , merci de m'avoir enlevé cette chose.

Je m'abaisse à la remercier pour quelque chose de normal. Mais c'est le jeux, si je lui dit maintenant de se détacher et de s'allonger nue sur son bureau elle refusera, je serais obliger de me détacher tout seul, faut il que je me rong les poignets pour que les menottes passent et là je m'occuperais d'elle. Aussi ne voulant pas ronger mes divins poignet je laisse ma sublime stratégie se mettre en place.

Citation :

À moins que vous préféreriez des questions ... Plus professionnelles. J’en suis capable également, ne vous m’éprenez pas, mais avouez que cela serait beaucoup moins amusant? Non?

Oui surement, le dernier psy que j'ai vu c'était avant ici. Effectivement ce n'était pas amusant surtout pour lui. Mais je vous aime bien, et je suis sur que vous ne ferez pas les mêmes erreurs que lui.
Et puis il n'était pas aussi joli, sinon je ne l'aurais pas ...abimé.
Surtout ne vous en faites pas pour oreille, il va s'en remettre, ils s'en remettent tous de toute manière.

Je trépigne d’impatience, il va me parler, j’ai l’impression d’être une gamine. Mais j’en suis une en soi. Je n’ais disons jamais été d’une grande maturité. Tant pis, j’ai certainement d’autres qualités, que, je l’espère, des hommes trouveront en moi ... Une chose que je sais, faire l’amour est un grand jeu, et je n’ai aucun problème à expérimenter de nouvelles choses. Je ne me cache pas qu’en prison, j’aurais certainement la chance de jouer à de nouveaux jeux, n’est-ce pas? Et c’est exactement ce qui me plaît le plus en cet endroit.

J’observe ses mouvements, son regard est encré dans le mien. J’adore ce rapprochement, j’ai l’impression d’être tellement près de lui, mais également très éloignée, c’est un sentiment étrange, je dois l’avouer. Mais pas désagréable. Je me fiche du pourquoi il est ici, je ne suis pas venue à Sadismus pour pleurer et avoir peur des détenus. Ils ne me font pas peur, ils m’excitent Je suis peut être une personne éternellement perturbée, mais parmi eux, ne suis-je pas totalement saine d’esprit? Cette pensée me ravive. J’allais profiter de l’instant présent, je voulais m’amuser, je m’amuserais.

Je ne cache pas une grimace lorsqu’il évoque que le psy avant moi avait perdu son doigt. Peu ragoûtant comme histoire, mais au moins il a la gentillesse de me préciser qu’il m’aime bien et c’est la seule chose que je dois retenir car c’est un pas vers l’avant. Des erreurs, j’en commet tout les jours, espérons simplement qu’il s’aura les appréciés.

– Mais je suis quelqu’un de bien maladroite, ce serait dommage de me faire perdre un doigt ou une oreille pour de simples erreurs.

Je m’approchais un peu, n’ayant que la distance entre le bureau et la chaise où il était installé qui nous séparait. Je ne pouvais pas m’avancer tellement plus, à moins d’être assise sur lui. Et pour l’instant je n’étais pas assez en manque de sexe pour faire une chose comme cela. Je tiens à mon corps tout de même. Et là il ne peut pas me toucher avec sa bouche. Même si je meurs d’envi d’aller à sa rencontre ... Sa jolie bouche.

Il m’avait remercié de lui avoir enlevé la chose qui devait l’empêcher de respirer puisqu’il ne pouvait même pas parler. Je suis contente, je lui plais. Je n’ai jamais eu l’impression que je devais plaire à quelqu’un. Peut-être qu’ici c’était la crainte et l’envie qui me poussais à agir ainsi, je voulais qu’il me désire, et je sentais que si il me demandait de le détacher, je ne pourrais pas m’en empêcher. Je serais certainement poussée de tremblement lorsque je prendrais possession de la clé pour la passer dans les menottes. Mais il m’envoûtait, il allait me chercher au plus profond de moi-même et j’adorais cette sensation que je n’avais jamais vécue auparavant.

– J’espère simplement que vous prendrez en considération ces maladresses, qui ne sont en aucun cas bien méchantes.

J’avais parlé d’un ton assuré. Lui décrochant un sourire aguichant. Je voulais lui montrer que je n’avais pas peur, même si ce n’était pas le cas. Que si il demandait les bonnes choses, mon corps lui appartiendrait l’espace d’un instant. J’aimais que les hommes prennent les devant durant l’acte. Je tenais les rennes de ma vie, je ne laissais personne gérer ce que je pensais ou faisais, mais durant l’acte, la force d’un homme m’excitait plus que tout au monde ... Perturbée? Oui je l’étais, et sincèrement, j’adorais ça. Car la vie serait tellement ennuyante si tout le monde était parfait. N’est-ce pas?

Voilà, alors c’était à lui de décider ce qu’il voulait, ce qu’il attendait de moi. Il voulait que je le détache? Peut-être et sûrement. Mais je voulais lui faire confiance, et je voulais être remerciée de la bonne façon, sentir son corps contre le mien, avoir peur, mal, peut importait, car ses sentiments faisaient partit du jeu. Mais je voulais qu’il me prenne et maintenant le sentiment était tellement fort que mon corps hurlait d’envi, je sentais ma poitrine se raffermir d’excitation, j’étais crispée sous l’envie. Et cette attente était tellement douloureuse, et tellement bonne en même temps ...

Citation :

– Mais je suis quelqu’un de bien maladroite, ce serait dommage de me faire perdre un doigt ou une oreille pour de simples erreurs.

Je vous l'ai dit, vous je vous aime bien. Vous ne perdrez pas de doigt ou d'oreille pour une simple maladresse. Et puis je ne voudrais pas vous abimer, ça ne vous irait pas un doigt en moins ni une oreille. J'ai jugé pour les autres qu'ils sauraient s'en passer, aussi maintenant ils s'en passeront.

Ses yeux reflètent un sentiment étrange. Ils brillent d'une sorte de joie, bien sur c'est une joie d'être fâce à MOI mais d'habitude ils ont peurs, serait elle la parfaite escalve que je cherche ? Quelqun pour me servir... entre temps il faudrait qu'elle me debarasse de ces saletés de menottes. Elles sont assez désagréable à porter et puis pour mes projets ce serait plus simple les mains libres.

Citation :

– J’espère simplement que vous prendrez en considération ces maladresses, qui ne sont en aucun cas bien méchantes.

Il faut l'espérer, je n'aime pas les gens méchants.

Enfait ceux qui sont méchants envers moi. La jalousie les obsédant tellement qu'ils s'en prennent à MOI. Mais je sais que je suis parfait. Aussi tous ce qu'ils disent ne peuvent être fondés que sur du vent.

Je ne peut que voir ses yeux briller encore plus d'envie ? Oui on pourrait dire ça comme ça. De l'envie, elle me veut. Mais que croit elle, ce n'est pas elle qui m'aura mais moi qui l'aurait. Elle me sourrit, je sourris à mon tour. Cet échange de sourire est idiot et patéthique. Autemps qu'elle me détache tout de suite.

Kassie je pense que pour les biens de la consultations nous devrions être sur un terrain égale non ? Enfin c'est ce que l'autre prétendait. Aussi pour que nous soyons sur un pied d'égalité il faudrait me détacher car vous etes libre et moi non.

Est ce que je lui saute dessus dès qu'elle me détache ou j'attend qu'elle fasse le premier pas. Je pense que je vais attendre, qu'elle s'abandonne à moi. Complète et entière, elle me donnera son corps et son âme. Car seul MOI pourrait en être digne. Que dis je elle est digne d'avoir le privilège que j'accepte son corp et son ame. Tout sera à moi. Je la possèderais, je la fairais mienne et elle m'adulera comme toute ou elle mourra comme toute les autres.

Je me mordille de nouveau la lèvre du bas. Je ne sais pas quoi faire. Même si j’ai envi de lui, il m’effraie déjà en était ainsi attaché. Si je le détache, alors je risque de tout perdre. Pas seulement mon emploi. Mais également ma vie. Je laisse échapper un petit rire. Oh, une chose que vous devez savoir, je suis une ricaneuse, je peux rire dans toute sortes de situations. J’ai un très beau rire, il colle vraiment avec mon image, mais sérieusement, autant beau qu’il soit, si il ne va pas avec la situation du moment ...

– Pardonnez-moi ... Mais, ne passerais-je pas pour la folle de la prison?

Je baissais un peu la tête, laissant ainsi tomber quelques mèches de mes cheveux dans mon visage. Je la relevais doucement, je ne savais pas quoi faire. Et puis Damnit! Qu’est-ce que je risquais? J’avais envie de ce mec, je le désirais, je ne pourrais jamais me retenir. Depuis quand est-ce que je craignais quelqu’un? Bon, il était évident que je n’avais jamais côtoyé de prisonniers auparavant. Mais qu’est-ce que cela changeait?

Je sautais en bas du bureau, envahie par une nouvelle force. Alors mon beau, qu’est-ce que ça te dirait d’avoir les mains détachées? Moi j’en brûle d’envie. Mais j’espère que pour cela, tu sauras bien les utiliser, ces dites mains. Je m’approche de lui et j’attrape la clé au passage. Je la fait tournoyer un peu dans mes mains avant de finalement me pencher vers lui. Je lui susurre à l’oreille :

– Heureusement pour vous, je me fiche de ce que les autres pensent ...

Et un déclic singulier ce fit entendre, celui de la serrure de ses menottes. Voilà, il était libre. Et moi je sentais mon cœur frapper ma poitrine fortement, trop fortement, j’en avais même mal. Mais peut importait, j’étais tellement excité, par la suite des évènements. Doucement je pris les menottes et je les balançais au fond de la pièce. Je repris sensuellement ma place sur le bureau et je dis :

– avouez que d’être libéré de ses «choses » vaut toute les thérapies du monde ... Terminais-je en ajoutant un clin d’œil.

J’humectais doucement mes lèvres. Ma position était aguichante. Alors si il ne se rendait pas compte que je le désirais, alors je ne savais pas que faire de plus. Je voulais qu’il prenne les rennes, qu’il prenne les décisions. Qu’il joue son rôle d’homme quoi. Je ne doutais pas qu’il en était capable ... Mais je voulais le voir à l’action, subir l’action, sentir toute son ardeur en moi ... Souffrir, avoir du plaisir, je sentais que rien de ce qui se passerait serait doux, et je m’en fichais, je ne voulais pas de douceur.

Je le fixais dans les yeux, brûlant d’envie, d’énergie. Ce que je dégageais devait se répandre dans la pièce. Je ne pouvais plus attendre, jamais je n’avais ressentis une telle chose et je n’en n’avais pas du tout honte. Non, jamais je n’aurais honte d’avoir envie d’un homme. Lorsque je n’aurais plus le goût d’une bonne baise, alors là j’aurais vraiment honte.

Elle se met à rire . Oserait elle se moquer de moi ? Aurais je dis quelque chose qui merrite de rire. Non rien de tous celà elle rit seule. Cette psychologue est complètement dingue. D'un côté ici ils sont partout. Tiens elle m'addresse la parole.

Citation :

Pardonnez-moi ... Mais, ne passerais-je pas pour la folle de la prison?

Bien sur que non sinon vous ne seriez pas de ce côté du bureau.

Qu'elle me détache. Allez détache moi . C'est un ordre. Obéis, fais ce qu'on te dit. Enfin fait ce que JE te dis. Sa mèche tombe devant sa figure, elle la remet en place, semble se questionner. Mais qu'attend elle? Qu'elle se dépêche.
Ca y est elle se bouge ...enfin. Elle vient vers moi et oh miracle me détache. J'ai envie de dire que ce n'est pas trop tôt mais je me retiens. Elle n'a pas encore eu l'occasion de voir mon divin corps elle ne peut encore être une fidèle servante.
Elle balance les menottes à l'autre boût de la pièce. Aussi elle n'a pas peur, il faudra faire monter un peu l'adrénaline avant que ce soit meilleur. Il faut que la peur l'en vahisse peu à peu, là je serais en forme.

Citation :

avouez que d’être libéré de ses «choses » vaut toute les thérapies du monde

Il ny'a rien à ajoutter , bien sur que c'est mieux. Mais que croit elle que je ne suis jamais libre ? Il ny'a juste que lorsque on me déplace qu'on m'attache. Dailleurs elle me fait un clin d'oeil. Que croit elle ? Elle ne sera une servant comme les autres, je n'ai aucune favorite, elle ne sont que des objets que j'utilise à MA guise. Mais je décide de lui répondre quand même.

Bien sur.

Court mais concis. Comme j'aime que soit les paroles. Je me masse les poignets là où les menottes étaient un peu plus tôt. Je me lève tranquilement sans lui adresser un regard. Pour le moment le premier point sera d'être tranquil. Aussi contournant la chaise tranquilment je me dirige vers la porte. Je l'entrouvre toujours sans un mot et m'assure qu'aucun gardien ne se trouve aux alentours. Satisfait, je la referme et attrapant la chaise la bloque.
Maintenant je me retourne vers elle. Elle déborde d'envie, ses intentions sont claires. Je souris mais mes yeux sont toujours aussi froid. Mon sourire d'ailleurs est étrange ce n'est pas un sourire de joie. Mais plutôt le sourire d'une clown psycopathe que l'on voit dans les mauvais films d'horreur. Il faut qu'elle ait peur, sinon il ny'a aucun intérêt. Elle a voulu jouer avec le feu il faut qu'elle se brûle pour que ce soit amusant.
Enfin je m'approche doucement du bureau et je suis maintenant fâce à elle. Son regard est brulant de passion et d'envie.
Je pourrais lui sauter dessus tout de suite mais ce serait sa victoire et elle ne peut gagner contre MOI. Elle doit s'offrir si elle veut recevoir la grâce de son nouveau seigneur. Ce n'est pas à moi d'avancer le premier.
Mais il faut quand même que j'esquisse le début pour qu'elle s'offre complètement.
Aussi d'une main je la pousse sur son bureau pour l'allonger sur le dos.

Je la regarde et sourit

Maintenant Kassie vous devriez signaler que votre thérapie ne doit en aucun cas être dérangé, je ne voudrais pas voir notre ami oreille forcer cette porte.

Je le regarde aller. Il se lève et bloque la porte. Il ne veut pas être déranger, j’apprécie cette attention. Cela veut dire qu’il compte bien s’amuser avec moi. Je suis une gamine, j’aime les jeux. Des jeux dangereux je l’accorde, mais je veux jouer. Je sens que je vais me plaire dans cette prison. Si tous les détenus sont comme lui ...

Il s’avance vers moi, un drôle d’air sur le visage. Ok je dois avouer que sont regard, ce sourire, j’ai un peu peur. Mais j’ai peur depuis le début de la séance et c’est certainement ce qui me pousse à toujours aller plus loin. J’aime le sentiment de la peur. Je veux le garder. Et il veut que je ressente une certaine crainte à son égard, j’en suis persuadée. Je n’ai aucun problème avec ça. J’ai peur.

[b] Maintenant Kassie vous devriez signaler que votre thérapie ne doit en aucun cas être dérangé, je ne voudrais pas voir notre ami oreille forcer cette porte.[/i]

Je reste silencieuse un long instant. Effectivement, si ce gardien venait à passer la porte pendant que nous ... « terminions notre thérapie » cela serait fort navrant. Je crois que je lui arracherait moi-même l’autre oreille d’ailleurs. Alors j’acquisse, naïvement ... J’ai tout fait pour me mettre dans l’embarra. Détaché, aguiché, un détenu dangereux et maintenant j’avertirais de ne pas me déranger sous aucun prétexte. Et puis? J’aimais vivre dangereusement, que voulez vous?

Je me laisse tomber sur le dos sur le bureau lorsqu’il me pousse. Je n’émets aucune résistance. Mais je me tourne vers la boite noir et j’appuis sur le bouton. Voilà, lorsque j’aurais parlé, plus personne n’oserait venir nous déranger.

– Et bien messieurs les gardiens, cette séance ce déroule parfaitement, il me reste encore 45 minute, j’ose donc espéré qu’aucun d’entre vous ne viendra tout gâcher. N’est-ce pas?

Il ne m’en fut pas plus pour avoir la promesse des gardiens. Je me replace sur le dos et je regarde Kirof. Allons, peut-être que je devais lui donner un petit coup de pouce. L’entement, et de façon sensuel je fis descendre ma jupe. L’attrapant avec deux de mes doigts et l’envoyant valser par terre. Il ne me restait qu’un string comme sous-vêtement puisque je ne portais même pas de soutien gorge.

– Je vous laisse vous attaquer au haut, peut-être? À moins que vous ayez une autre manière de fonctionner.

Je fis passer ma langue sur mes lèvres. Aller ... Ne me fait pas attendre plus longtemps. Je ne crois pas être capable de m’abandonner d’une autre façon. Je ne porte qu’un chandail qui ne cache pas grand-chose, et disons qu’un string je pourrais ne pas en porter et cela ferait la même chose. Je me replaçais en position assise, m’avançant un peu plus vers le bout du bureau et passant mes jambes autour de la taille de Kirof. Je forçais un peu pour l’avancer doucement vers moi. Aller, ne soit pas timide ...

Je reste muette, allons, allons, allons. Un peu de calme Kassie. J’aurais espéré qu’il m’aide à enlever mes vêtements. Mais certainement qu’il avait d’autres envies, encore mieux que simplement me dévêtir. Alors cette pensée ne fait que me donner un coup de pouce pour poursuivre mon avancée. Surtout lorsqu’il m’embrasse, et qu’il me laisse apperçevoir son torse. Beau, musclé, je n’osais pas espérer moins bien de sa part. Lorsqu’il met fin au baiser j’enlève mon chandail. Et je termine par mon string. Alors voilà, je ne porte plus rien, sauf une petite chaîne en forme de croix dans mon cou, mais là je doute que cela ne l’importune.

Je suis nue, je n’ai qu’une seule envie, qu’il me prenne enfin. Vivre une expérience nouvelle. J’aime les baises diversifiées. Oui je suis perturbée, et puis? Je suis parfaitement consciente de mon état d’esprit. Ça ne pardonne pas tout, mais je suis dans une prison maintenant, qui ce soucis de ce genre de choses ici ....

Je m’approche de nouveau de lui. Il s’est également déshabillé. Mais qu’elle sotte je suis, il ne s’est pas encore totalement dévêtit, je devais l’aider à terminer. Je m’empare fougueusement de sa bouche et je fais descendre ses pantalons jusqu’à ses pieds. Il me fait languir, mais je commence à en avoir assez, je veux qu’il me fasse goûter de son expérience à lui, je veux vivre pleinement ce qu’il allait me faire.

– Allez, vous devez me remercier pour les menottes maintenant ... Dis-je d’une voix sensuelle en écartant seulement un peu ma bouche de ses lèvres.

Je lui lance un regard qui en dit long. Je mouille déjà, je suis excité, si il ne commence pas maintenant nous n’auront même pas le temps ... Bon 40 minutes pour faire l’amour, c’était beaucoup, mais je ne voulais pas manquer de temps ... Ce serait bien décevant, il faudrait recommencer.

Je poursuivais le baiser, tout en le caressant longuement. Débutant par le torse, faisant aller mes doigts contre lui. Je descendais lentement vers son entre jambe. Je ne l’empoignais pas, je trouvais que j’avais fais beaucoup de choses jusqu’à maintenant. Je voulais être certaine de bien prendre mon pied, J’entrais ma langue dans sa bouche, aller mon beau prisonnier, montre moi ce que tu sais faire et je serrais totalement à toi, esclave de ton corps ...

[excuse moi si c'est court, mais je voulais répondre avant demain]

[pas grave ...j'addore le "j'aime les baises diversifiées" .]

Elle enlève enfin tout. Son corps se dévoile à MA personne. Effectivement mes première impressions étaient bonnes. Elle saura je suppose être digne de recevoir mon divin membre. Point négatif cette croix. Si elle croit en un autre dieu que moi celà pourrait être très désabréable. Mais je saurais convertire cette païenne après.

Ca y'est elle entame réelment le premier pas après les tâches ingrates que de se déshabiller. Seul les laquets déshabillent les gens, un seigneur ne se donne la peine, on le fait pour lui. Je sens ses lèvres en même temps que le pantalon à mes pieds qui d'un mouvement de cheville tombe au sol.
Quelle fille crédule, je n'ai pas à la remercier de son geste car une personne de ma stature ne peut rester attaché. Il était de son devoir de me détacher et maintenant de partager ce moment de plaisir.
Elle continu de m'embrasser caresant mon torse elle déscend même jusqu'à mon entre-jambe qui aussi lentement que ses caresses commence à se dresser.

Maintenant fâce à fâce je la plaque sur son bureau, mes deux jambes de part et d'autre de son bassin. Nos lèvres ne se sont pas décollées et une de mes mains commence à lui caresser la poitrine. Quand à l'autre décidée que le temps étant comptés les lentes caresse suffisaient. Aussi prennant la main de Kassie elle la place autour de membre qui se dresse presque totalement. Encore quelques seconde et il sera tendu sous les caresses de la psychologue.

Encore des caresses? Pas que je n’aime pas, non j’aimerais si je baisais avec une personne normale. Là je faisais l’amour avec un prisonnier, un homme avec qui je ne le ferait certainement qu’une seule fois. Je veux de l’action, de la bestialité, je veux souffrir, avoir chaud, je ne veux vivre cela qu’une seule fois dans ma vie, alors je veux que ce soit parfait.

Il me plaque contre mon bureau. Hmm, enfin, la bête derrière l’homme commencerait t’elle à se faire sentir? Aller, tu es un prisonnier, soit agressif. Il m’embrasse et je sens ses mains sur ma poitrine. Pour sa part il me met la main sur son membre qui déjà était dressé. Il veut que j’use de mes doigts magiques? Bien, monsieur le détenu, vos désirs sont des ordres .... J’entreprends un mouvement de va-et-vient d’abord très lent. Je sais parfaitement comment faire languir les hommes. Je fais également bouger bien profondément ma langue dans sa bouche. Et ensuite j’accélère un peu le mouvement.

Je n’arrête pas mes caresses sur son membre. Mais j’enlève ma langue de sa bouche pour dire d’une voix basse à son oreille :

– Tu me fais languir ... Et je n’aime pas ça ... Montre moi que j’ai bien fais de te détacher ...

Je remis ma langue dans sa bouche plus violement. Serrant un peu plus son membre. Rien pour lui faire mal mais je voulais simplement qu’il comprenne que je voulais qu’il soit plus lui-même. Je ne doutais pas une seule seconde qu’il savait très bien user de la force lors de l’acte, alors je voulais qu’il me le montre. J’avais parlé d’un ton provocateur. Je doutais fortement que je m’aventurais dans un terrain dangereux en lui parlant de la sorte. Mais je jouais avec le feu depuis l’instant où je lui avais retiré son masque. Je n’allais tout de même pas m’arrêter maintenant ...

Je posais mon autre main sur ses fesses, sans aucune gêne je les serrais fermement. Il avait un corps sublime, il devait bien savoir comment s’en servir autre que de simples caresses non? Je voulais plus, je me doutais que je voulais peut-être des choses impossibles, mais peut importait, qu’il m’impressionne! Et j’avais baisé beaucoup dans ma vie, de bonnes impressions j’en avais de moins en moins. Alors je voulais quelque chose ... quelque chose qui ne s’exprimait même pas en mot avec lui.

Je lui mordis doucement la lèvre pendant que je l’embrassais, j’aimais faire ressentir d’autres sensations aux hommes avec qui je baisais. Mais j’aimais également en ressentir, alors qu’il ne me laisse pas en plan, car il n’aurait même pas le temps de jouir ... Peut-être qu’il était dangereux, mais je pouvais toujours demander de l’aide aux gardiens ...

Elle commence les vas et vient avec sa main. Elle est doué il faut le reconnaître. Aussi je lâche sa main pour que mes demains entrprennent de s'occuper véritablement de cette poitrine dressée.
Elle retire sa langue ...pour quoi faire me parler.

Citation :

Tu me fais languir ... Et je n’aime pas ça ... Montre moi que j’ai bien fais de te détacher ...

Quoi ? QUOI ? Elle me donne ...un ...ordre ? Je rage, je l'ai laissé jusque là en paix. Elle n'avait pas fait de bétise. Je l'avais prévenu qu'il fallait être prudente. Mais elle me donne un ordre, à moi . A MOI ! UN ORDRE !
Je sens vaguement sa main qui me prend par les fesses ou bien ses dents qui me mordent. Si je sens très bien ses dents en fait, une autre erreur elle va abimer mes sublimes lèvres.
Je n'en peut plus, le jeux est terminé. Je détache mes lèvres et je me met à rire doucement. La passion de mon regard est reparti , le premier air est revenu mélé à l'étincelle de la colère. Mes mains lâche sa poitrine et appuie sur ses épaules la plaquant véritablement à son bureau empéchant le moindre mouvement pour se dégager.

Ne me parle pas comme ça inconsciente. Ne t'avise plus jamais de me donner un ordre. Oreille aussi m'a donné un ordre ... personne ne peut ME donner des ordres. Bandes de vermines vous ne pouvez rien m'ordonner. Toi comme un autre de ces vers inférieur. Je n'ai pas à te montrer que tu as bien fait de me détacher. JE ne pouvais pas rester attaché. MA liberté était normale.
Ne t'avise pas non plus de me mordre. Ne t'avise pas de M'abimer. Cette bouche est une création divine. Tu ne peut abimer un DIEU.

Impie elles ont toute refuser de me vénérer ...elles ont osé me donner des ordres. Maintenant elles sont mortes ...je les ai toutes dégustées.

JE n'ai plus rien à perdre toi tu a ta vie . Maintenant soit sage !

ELLE veut de l'action. Très bien celà se passera plus vite. J'attrape ses deux poignets et les maintient d'une main à côté de sa tête. De l'autre j'enfonce mon sexe dressé dans son intimité. J'enfonce toute la longueur d'un coup. Ne me préocupant plus de caresses ou quoi que ce soit d'autre j'entame des coups de bassins vigoureux et puissants l'intention n'est plus de lui procurer un quelquonque plaisir. Le but est de la blesser. De la chatier .
Mon autre main maintenant libre se remet à malaxer ses seins cette fois ci avec force , pinçant par moment ses tétons dressés .
Elle m'a mordu les lèvres je fais de même, sauf que moi je sens son sang qui commence à couler.

[Alors voilà toute la rage de Kirof! J'aime ça ]

Ok, je voulais de l’action, je voulais même avoir un peu mal. Mais là j’ai peur, il m’effraie. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi furieux. J’écoute ce qu’il me dit avec incrédulité, je suis quelqu’un qui s’aime beaucoup, sincèrement, j’aime mon corps, ma personnalité, mais lui! Je n’ai jamais connu quelqu’un qui s’aimait autant. Ma parole, il se prend pour un dieu? Non, je n’aime plus du tout cette histoire de baise. Je jette un coup d’œil vers la boite noir. Mais je n’ai le temps de faire le moindre mouvement, il me plaque durement sur le bureau et attrape mes poignets. Ils les tient fermement et il est beaucoup plus fort que moi. En temps normal ce genre de chose m’aurait amusée, excité, mais non, là j’ai l’impression qu’il ne veut plus s’amuser ...

Il entre violement son membre en moi. Je suis trop orgueilleuse pour crier. Et pourtant, je le devrais non? C’est ainsi que l’on viendrait à mon aide en m’entendant crier. Mais je ne veux pas. Je me suis attiré dans les ennuis, je ne veux pas que l’on pense toutes sortes de choses à mon égart. Non, je vais m’en sortir seule, je n’aimais pas dépendre des autres. Et si je dois devoir quelque chose à « oreille » ... Il voudra certainement coucher avec moi et il ne m’intéresse pas du tout. Moi un mec qui s’est fait arracher l’oreille ... Quoi que j’ai l’impression que si je ne fais pas tout ce qu’il dit, je vais perdre plus d’une oreille, moi.

Il donne des coups de bassin. J’ai l’impression d’être transpercée. Je sens des larmes de rage et de douleurs envahir mes yeux. J’ai mal. Mais ce n’est pas assez insupportable pour que je cris. Mais je gémis un peu par contre, car même si il me fait souffrir, mon corps a tout de même des sensations, ce que je voulais ressentir voilà quelques instants que maintenant je ne veux plus. Non, je suis allée trop loin, ce n’est pas ce que je voulais. Je voulais prendre mon pied. Mais ce n,est pas ce qui se passe actuellement. Il s’en prend à mes seins tout en forçant mon intimité, j’ai baisé de nombreuses fois, mais là il me fait mal, il y va trop fort. Il pince mes tétons, douloureuse sensation, mais ils sont toujours dressés. Mon corps souffre, mais il prend encore du plaisir ...

Et ensuite il me mord les lèvres, il veut se venger du petit mordillement que je lui avait infligé. Ce n’était pas grand-chose, je ne l’aurais même pas fait saigner. Pas comme il me faisait actuellement. Je sentais mon sang se répandre lentement dans ma bouche. Je ferme les yeux. Cris idiote, cris! Mais j’en suis bien incapable. Il me tétanise, je suis paralysée. J’ai peur maintenant, oui, j’ai tellement peur. Mais je fais un geste, un geste de défense que j’aurais dû retenir je le sens. Je le mord également, la lèvre, mais cette fois-ci ce n’est pas mon sang que je sens dans ma bouche ...

Je lève les yeux, encrant mon regard dans le sien. Je ne tente plus de cacher ma peur. Surtout après ce que je viens de faire. Que va-t-il m’arriver? Je n’aime pas du tout la rage avec laquelle il poursuit ses coups de bassin. Je sens une larme que je retenais tant bien que mal couler sur ma joue. Bande de con de gardiens, comme si il fallait m’écouter!

Je gémis plus fortement lorsqu’il donne un coup de bassin plus violent. Mince, j’ai l’impression qui m’arrache l’intérieur, et laisser moi vous dire que ce n’est pas du tout agréable. J’ai mal, j’ai tellement mal. Mais je suis incapable de placer un seul mot. C’est comme si ma gorge était tellement serrée que je ne pourrais jamais parler. Je détestais ça, car je voulais lui dire d’aller se faire foutre, que jamais je ne m’excuserais.

Mais est-ce que c’était vraiment la bonne solution? Si je lui demandait le pardon ... « à sa grandeur » que je le suppliait d’arrêter. Alors tout se règlerait non? Mais j’étais incapable. Pourquoi? Je l’ignorais. Mais c’était un orgueil stupide, car il pourrait très bien me tuer. Et moi je n’aurais eu qu’à lui demander pardon pour qu’il me laisse sauve.

– tu crois que je vais m’excuser ... Laisse tomber ton Utopie, mon vieux!

Je donne un fort coup de poignet et je parvins à me soustraire de son emprise. Je ne perd pas une seule seconde. J’appuis sur le bouton pour entrer en communication avec les gardiens. Mais je ne dis rien. J’hésite. Non, je ne devais pas hésiter, mais j’étais incapable. Je ne voulais pas que l’on me trouve dans cet état. Je n’avais rien à foutre de ce que les gens pensaient de moi, tant que cela restait de bonnes choses. Mais comme ça, nue, avec cet homme. Je ne voulais pas que l’on me trouve ainsi.

Je maintenais le doigt sur le bouton, tremblant légèrement. J’étais tellement stupide ... Je tournais les yeux vers Kirof. Le fixant avec frayeur. Je devais faire quelque chose. Mais quoi? Il était bien plus fort que moi, je ne pouvais rien contre lui. Non, je n’avais qu’une seule chose à faire et j’en étais encore incapable ...

[encore un peu de souffrance pour Kassie et elle va le supplier, ne t’inquiète pas. ]

Mon vieux ... les seuls paroles qu'elle aurait pu dire devraient être ou maître. Ou alors une supplique pour que j'arrête. Mais elle me parle comme si j'étais n'importe qui. Et puis elle fait une erreur. Une très grave erreur. Elle arrive à se dégager et appuit sur le bouton de l'interphone. Mais là sa voix est bloquée, elle pourrait crier, elle aurait dû crier. Appeller de l'aide. Mais non elle se contente de me regarder. Nos yeux se croisent j'y lis sa peur, sa terreur. Jusque là rien de nouveau depuis que jai commencé son regard est comme sa. Elle est en colère également ...surement contre elle même de se refuser entièrement à mon être.

Son doigt tremble sur le boutton. Je reprend sa main délicatement, je la pose tout aussi délicatement sur le bureau à côté de l'autre. J'appuie cette fois ci plus fort m'assurant qu'elle ne les bougera pas.
Du pied je pousse l'interphone jusqu'à ce qu'il tombe du bureau. Maintenan elle ne sera plus tentée de demander de l'aide.
Je continue mes mouvement de bassin dont j'ai augmenté la puissance, j'ai l'intention de continuer encore un peu dans cette position puis bientôt , très bientôt je vais en changer. Je la traversais de l'autre côté, pour l'humilier encore plus. Pour lui rappeler qu'elle n'est rien qu'une vermine, un objet tout au plus.

[Ok pas de problème , je m'inquiète pas :) ]

Il reprend les mouvements de bassins. Je ferme les yeux lorsqu’il fait tomber l’interphone par terre. Idiote, je suis tellement idiote. Non, tout ça devait cesser maintenant. Je devais arrêter, il devait me lâcher. Je savais ce que je devais faire, je le savais. Je gémissais à chaque mouvement de bassin, chaque fois que je sentais son membre s’infiltrer plus loin en moi.

– Arrête ... Murmurais-je d’une voix faible.

Ce n’était pas une supplication. Mais j’étais au bord de céder pour finalement le supplier. Je n’avais pas de force, il me l’enlevait toute. Je ne voulais pas laisser tomber de cette façon, mais c’était trop difficile, trop douloureux, trop effrayant. Et je ne voulais pas mourir. Je ne resterais certainement même pas traumatisée de cette expérience, j’ai beaucoup trop désinvolte. Quelques jours à me morfondre et ce serait passé. Si il ne me tuait pas bien sûre.

– Je n’en peu plus ... Tu me fais mal. Dis-je d’une voix toujours faible, basse. J’avais les yeux fermés, j’étais crispée, et j’avais l’impression que le moindre mouvement m’arracherait un hurlement de douleur. Et pourtant je me retenais, je ne criais pas, je ne crierais pas.

J’ouvris les yeux, le fixant avec rage, colère. Je n’avais rien fait, et il me faisait souffrir de cette façon. Ce n’était pas moi la fautive, mais bien lui! J’avais été gentille, douce, sensuelle, tout ce que les hommes adoraient habituellement, mais lui! Je ne savais même pas ce qu’il désirait, ce qu’il voulait de moi! Pourquoi se pensait t’il si supérieur. Bon je devenais cinglante, et j’avais l’impression que ce n’était pas le moment, du tout ...

- Dit moi ... pourquoi est-ce que sa « supériorité » est t’elle en prison? Crachais-je d’une voix forte. Je reprenais un peu d’aplomb. Si c’était une bonne chose, j’en doutais vraiment. Mais j’avais une drôle de personnalité.

– Là où tu étais, il n’y avait pas assez de monde à soumettre? Pauvre Taré! Dis-je d’une voix toujours forte.

Je le fixais rageusement. Qu’il me laisse! J’allais devenir folle! Je ne voulais même plus le sentir en moi, doucement ou non, je voulais qu’il me fiche la paix, maintenant!

Citation :

Arrête ...

Je souris quand j'entend sa voix. Elle commence à craquer. Elle se rend bientôt elle me supliera d'arrêtter. Mais je lui ai laissé sa chance. Maintenant c'est trop tard. A moins qu'elle ne se montre particulièrement convaincante bien sur.

Citation :

Je n’en peu plus ... Tu me fais mal.

C'est ton chatiment , la douleur est ta punition.

Ca y'est elle comence à se lamenter, à se pleindre. Bientôt , très bientôt elle supliera. Comme toute d'ailleurs.
Elle ferme les yeux puis les rouvres. Son air à complètement changé. Elle affiche de la colère, du défi. Elle ose donc me défier MOI ? Qu'elle souffre d'autemps plus alors.

Citation :

Dit moi ... pourquoi est-ce que sa « supériorité » est t’elle en prison?

Elle ose ouvrir la bouche pour dire de pareilles choses. Elle ne doit que me supplier. Il faut qu'elle comprenne. Du revers de la main je la frappe , claquant ma main contre sa joue.

Il ne me semble pas t'avoir autoriser à parler pour autre chose que de me supplier.

Citation :

Là où tu étais, il n’y avait pas assez de monde à soumettre? Pauvre Taré!

Quoi elle m'insulte ? Personne ne peut m'insulter et s'en sortir indemne. Cette fois ci c'est mon poing qui vient s'abattre sur sa paumette.
Elle précipite les choses à son plus grand malheur.

Je ne veux pas t'entendre parler ma larve. Les seules choses qui sortiront de ta bouche sront les cris et les plaintes.

Je me retire d'elle maintenant, si j'avais une cigarette et que je fumais je me serais accordé une pause. Mais ne fumant car celà abimerait mon divin corps je décide de finir cete magnifique séance d'aprentissage.

Maintenant accroupi toi et présente moi l'autre côté vermine. Fais le de ton gré sinon je serais obliger de te retourner de force et là tu sauras ce qu'est la vrai douleure. Obéïs et je serais peut être clément , j'épargnerais alors ta misérable vie.

Ce n'est qu'à moitié vrai enfait. J'aime bien ce genre de jouet. Il faudra que je revienne la voir un autre jour. Alors nous recommencerons. J'espère qu'elle obéïra , je n'ai pas envie de la tuer, je n'aime pas abimer mes jouets.

J’ai tellement peur. Mal, j’ai chaud, il ne me laisse pas, il ne veut pas me laisser. Je pleure, je sens les larmes couler sur mes joues. Je n’en peu plus, il faut qu’il arrête.

-Je t’en pris … Supliais-je d’une voix basse.

Mais il continuait à me transpercer l’intérieur. Il me dit que c’est mon châtiment, que de subir toute cette douleur c’est ma punition. Il va me rendre malade. Il est fou, et moi je ne peux rien contre lui parce qu’il est plus fort que moi. Parce que je suis beaucoup plus faible que je le croyais. Je gémis, j’ai trop mal. J’ai l’impression qu’à chaque coup il me détruit de plus en plus …

Je sursaute et je laisse échapper un petit cri lorsqu’il me gifle. Oui, je comprends, je n’ai pas été tellement gentille. Mais je comprends que ce n’est pas la bonne solution, je dois lui obéir, sinon il me tuera. Il me frappe à nouveau. Plus fortement cette fois-là, un coup de poing sur la pommette. Je ferme les yeux, pourquoi ne me laisse t’il pas? Il ne trouve pas que c’est assez … Que c’est assez?

Maintenant accroupi toi et présente moi l'autre côté vermine. Fais le de ton gré sinon je serais obliger de te retourner de force et là tu sauras ce qu'est la vrai douleure. Obéïs et je serais peut être clément , j'épargnerais alors ta misérable vie.

Il vient de me laisser, je croyais que c’était terminé, que je n’aurais plus à subir tout cela. Mais ce qu’il dit me laisse sans voix. Il veut continuer mais de l’autre coté? Mais il est complètement malade, je ne veux pas! Non, je ne veux pas! Mais ce qu’il dit m’effraie. Si je ne l’écoute pas. Si je ne fais pas tout ce qu’il me dit, il me tuera. Et je n’ai aucun doute là-dessus. Je tremble et je secoue la tête.

-Je … non … je ne … peux pas!!!

Je le fixe, les larmes coulants abondamment sur mes joues. Comment est-ce que tout à pu changer aussi radicalement? Tout allait bien pourtant, j’étais douce, il l’était également, le jeu c’était changé en cauchemars …

-Je t’en prit … Non, ne me fait pas ça … Dis-je d’une voix étouffée par les sanglots. Il restait encore 25 minutes à la consultation. Il pouvait me faire ce qu’il voulait. Je me redressais un peu et je dis, d’une voix que je voulais le plus convainquant possible.

-Pourquoi … Pourquoi est-ce que les choses doivent se dérouler de cette façon?

Je m’approchais un peu de lui et je l’embrassais dans le cou, je frémis, j’étais dégoûtée de faire ça, j’espérais qu’il ne s’en rendait pas compte. Je dis en relevant doucement la tête :

-Nous pouvons reprendre du début … Je te donnerais du plaisir … Je suis bonne tu sais …

Je baissais les yeux, voulant atteindre son membre. Je me disais que si je lui changeait les idées il oublierait qu’il voulait me faire souffrir, qu’il voulait entrer en moi dans l’autre sens … J’attrapais lentement son membre, effrayée. Et je commençais un mouvement de va-et-vient. J’espérais qu’il était du genre facilement excitable, car sinon ce genre de choses n’aurait aucun effet, et il voudrait continuer ou il était rendu … Je sentis une larme couler à cette idée. Non, je ne voulais pas qu’il me fasse ça.

[désolé de l'attente je t'avais oublié ]

Ca y'est les nerfs ont lâchés. Elle se met à pleurer, la colère , le défi tout à disparu elle n'est plus qu'un agneau dans mon piège. ELle voit sa propre mort dans la prunelle de mes yeux et celà la térifie. Je la terrifie. Tant mieux plus elle a peur et plus je sens la vie dans mon entre-jambe. Plus elle souffre et plus j'apprécie.

Citation :

Je t’en pris …

Elle me supplie enfin, elle comprend. Elle se repend de ses actes. Qu'elle souffre , qu'elle fasse pénitence de sa bétise.
Elle cri lorsque je l'ai frappé, j'ai adoré ce cri. J'ai senti un frisson de plaisir lorsque je l'ai entendu. Ses cris sont un délice.
Je lui impose son ultimatum ...elle réponde, ses lèvres bougent pour échapper quelques mots. Elle doit dire oui, qu'elle va obéïr.

Citation :

Je … non … je ne … peux pas!!!

QUOI ?!

Elle ose, elle me désobéit encore une fois, elle choisi donc la douleur, à sa guise ça m'arrange. Je m'apprete à la retourner de force quand elle continue d'ouvrir la bouche. Etant de bonne humeur je conscent à répondre à ses stupides question.

Citation :

Pourquoi … Pourquoi est-ce que les choses doivent se dérouler de cette façon?

Car telle est ma volonté. Je suis le maître tu n'es que mon jouet, je décide de tout te concernant.

Ellle m'embrasse dans le cou, essayerai t'elle de se faire pardonner. Je suis dans un bon jour je vais voir ce qu'elle peut accomplir par pénitence.

Citation :

Nous pouvons reprendre du début … Je te donnerais du plaisir … Je suis bonne tu sais …

Elle prend mon membre et entame des vas et vient, il lui faudra plus que ça pour se faire pardonner.

Si tu veux expier tes fautes il te faudra plus que tes doigts pour y arriver.

Aussi avec un sourire lubrique je passe une main en douceur derrière sa tête. Me redressant de façon à être assis sur le bureau j'appuie alors sur sa tête violement rompant toute volontée de résister amanenant sa bouche au niveau de mon sexe dressé. Qu'elle commence donc par là, on verra après si elle saura se faire pardonner.