Home sweet Home [ ouvert a tous ]

Me voici enfin dans mon nouveau chez moi ! Après plus d’une heure d’attente, pour tout ce qui est paperasse, et autres obligations, avant d’être vraiment un membre de cette prison…
Mais me voila devant la porte de ma cellule. Deux gardes m’ont amené a mes quartiers, Ils m’ont enlevé cette camisole qui me tenais chaud, très chaud je dois dire, mais m’ont laissé les menottes et le masque…
Un des gardes me pousse dans ma cellule et me dit :

« Allez entre et met toi dos a nous, pour que je puisse te libérer »

L’autre sans réfléchir, rétorqua :

« Et aucun mouvement brusque, sinon tu auras affaire a moi ! »

Je ne pus m’empêcher de rigoler, un de ces rires cyniques, dont seul la folie connaît le secret.

« Pas de problème boss ! Je ne ferais rien qui pourrait vous nuire, j’ai juste envie de me dégourdir les bras. »

Je me retournais donc, et il s’approcha pour, enfin me libérer. Quelle joie ! Quel délice de pouvoir bouger mes petits bras

« Merci boss, merci beaucoup ! »

Les deux matons rigolèrent et quittèrent les lieux en discutant entre eux. Et moi j’étais la au milieu de la cellule a rire et a bouger mes bras dans tout les sens possible et inimaginable. Ne tenant plus je commençais a m’étirer dans tout les sens. J’étais tellement bien, que j’en avais oublié mon masque. Mais qu’importe, j’étais bien, même très bien.
Je ne fis même pas attention si il y avait d’autres détenues dans ma cellule…

« Haha ! Je vais enfin pouvoir fumer ! »

Je posais par terre, mes nouveaux effets, qui comprenaient des affaires personnelles, et aussi mes draps, pour sortir de ma poche mon paquet de cigarette. Et de l’autre je sortais mon zippo et tenta d’allumer ma clope, mais j’avais toujours ce masque.

« Arf, je l’avais oublié celui la ! »

Je l’enlevais donc délicatement et enfin je pus allumer ma clope ! J’étais au paradis, et je ne fis attention a aucune des choses qui pouvait m’entourer.

[Hj: je viens squatter ^ ^]

Je ne sais pas pourquoi, mais toutes mes journées commence pareils, je me réveille en sursaut dans mon lit, les pensées toujours tournés vers mon cauchemard, le même depuis trop longtemps, puis, une fois les yeux bien ouvert, je me demande ce que je fous ici. Cette matinée n'as pas fait éxeption, je commence à en avoir l'habitude.
Je reste quelques instants dans ce lit, à ne penser à rien, tout en regardant le sommier du lit qui se trouve au dessus du miens, rien de bien palpitant.

Quand je trouve enfin le courage ou plutôt la motivation, je me lève et prend la direction des douches, rien de telles pour se réveiller. L'eau est glaciale à souhait et généralement il n' ya personne d'aussi bonne heure. Je ne vais pas passer dix ans à raconter comment je me suis doucher, étant donnée qu'aucune chose intérressante ne s'y est passer, j'ai sauter la case réfectoire, pour retourner directe à ma cellule, j'ai pas tellement faim se matin et en vu du brouha qu' j'arrive à entendre, il y a de grande chose qu'il y est, encore une baston.... Pour changer tiens, je ne sais pas ce qu'ils ont le matin, mais pratiquement à chaque fois deux détenus se cognent pour des raisons des plus stupides, un exemple ? L'un des prisoniers prend le dernier petit pain, le mec derrière lui sa ne lui plaît pas, et comme la seul chose qu'ils ont pour régler le conflit ses leurs points....

Bon allez, direction ma cellule, si seulement cela pouvait être vrai, mais non, faut que je la partage avec trois autres détenus, non deux pour le moment, l'un des lits est inocuppé.
Tiens, y aurais t'il du grapuge dans ma cellule, oh oui, faîte que mes deux locataires se soit entre tuer.... Je déchante bien vite. Les gardiens nous ont rapporté un nouveau, ils peuvent pas s'arréter de tuer dehors ?

Les deux gardiens quittent le nouveau, ils semblent de bonne humeur, manquais pu que ça, un comique, comme co-détenu.
Bon, et à quoi il ressemble ce fou là ? Je m'avance vers l'entré de ma chambre, si on peut qualifier ça ainsi.
Et bien, je suis pas deçu, au moment où j'arrive, il vient de finir sa gymastique, attaché comme il l'était, je comprend, minute, c'est bien un masque qu'il porte, mais qu'est ce qu'il à put foutre pour qu'on lui colle le deguisement du parfait cannibale ?
Oh, non, on change de pensée, sa ne se fait plus les mangeurs d'homme de nos jour, hein ?
IL ne sembla pas remarquer qu'il porte toujours cet attirail lorsqu'il veut allumer sa cigarette, je ferme quelques secondes les yeux, histoire de ne pas voir la flamme qui ne tardera pas à sortir du briquet, j'ai en hooreur le feu, pour tout dire, j'en ai une peu incontrolable.

Bon, je vais pas rester indifiniment devant cette porte, alors direction mon lit, comment ça je viens de le quitter ?
Je passe en moyenne 3heures par jour sur ce lit, à lire, ou tout simplement réflechir.
Je passe devant le détenu, et m'installe confortablement, enfin plutôt aussi confortalement que possible sur mon lit. Et pose mon regard marron abyssale sur le nouveau, histoire de mieu voire à qui j'ai à faire.

Je suis partis faire un tour du batiment pour prendre des reperes et chercher mon costume de détenus.J'avais vus toutes sortes de détenus et ca m'avais étonné de voir beaucoup de femmes.Je n'aurais jamais imaginé en voir autant dans une prison.J'ai aussi croisé quelques personnes qui me semblent mineures...Qu'on-t-ils pus bien faire pour venir ici a cet age?
J'avance dans le couloir et je vois 2 gardiens qui sortent de la cellule H.Il a surement dus arriver quelque chose a cette femme qui est dans ma cellule...Je n'aime pas ce genre de personnes.Elle n'e m'a meme pas adressé la parole un seule foix depuis que je suis arrivé.Elle me semble bizarre et très froide.
j'avance donc jusqu'a la cllule et ouvre la porte.Je la vois llongée ur son lite comme quand je suis arrivé et un autre homme est la entrain de fumer une cigarette.Il a la peaux très blanche qui me fait penser au gothics qui devenaient de plus en plus nombreux quand j'ai quitté le Japon. Par reflexe, je rgarde a ma valise.Personne n'y a touché.j'en prend aussi une, l'allume et m'assois sur mon lit.

-Hey! T'es qui?

Une détenue entre dans ma cellule, une femme…je crois que je suis chanceux, très chanceux.
Je reprends mes esprits, et observe les moindres détails de ce nouvel arrivage, à la manière d’un chat. Avec ce regard vide et pénétrant, prenant le temps d’examiner chaque détails. Cette technique d’observation, je l’ai acquise après avoir passé plusieurs heure à observer mon chat observer…Et je comprend que cela puisse gêner quelque peu, car quand quelqu’un vous décortique du regard, cela peut déstabiliser, moi le premier.
Je dois admettre que le peu de femme que j’ai connu ou du moins aperçu dans cette prison, sont d’une grande beauté…je me trompe peut être, mais je ressent chez elle un grand froid, enfin je me comprend, un être glacé…
Quelqu’un entre dans la pièce durant mon observation, mais je n’y prêtes pas attention, j’admirais la finesse de ses traits, c’est une lumière…La lumière est dans ma cellule. En pensant ces mots, je ne pu m’empêcher de faire apparaître sur mon visage angélique, un petit rictus discret, tout en passant ma langue sur mes lèvres.

« Hey! T'es qui? »

Me parle t on ? Dommage que la phrase soit si brut, enfin bon, je suis un être tolérant et gentil. Je me relève lentement, toujours dos a lui, et je tourne lentement la tête, comme dans ces films ou le méchant se retourne face a la victime, pour dévoiler aux yeux de tout le public, qui il est vraiment ! Une fois face a lui, je lui souris.

« Lucy Monostone, pour vous servir. »

En disant ces mots, je j’inclinais légèrement la tête et le dos en signe de salutation respectueuse. Ce que m’avait appris mes parents jadis. Ils disaient :

« Le respect est la base de tout ! »

J’avalais une dernière bouffée de cigarette avant de l’éteindre au sol et la jeter en dehors de la cellule. Puis je les admirais lentement tout les deux.

« Vous étés mes compagnons de cellule, je présume. Je suis enchanté de vivre parmi vous. »

L'homme se retourne et me regarde en me saluant. La premiere chose que je ramarque, c'est qu'il a les yeux de couleurs differentes.une lentille?Un oeil en verre?Un problème génétique?Je n'avais jamais vus ca.Mais il n'a pas une tete de psychopate, mais je préfère quand meme faire attention.On ne vient pas dans cette prison pour rien!

-Lucy Monostone, pour vous servir.

Celui-la n'est pas muet, apparament! Et poli en plus...Il éteint ca cigarette et la jette a travers les barreaux.

-Vous étés mes compagnons de cellule, je présume. Je suis enchanté de vivre parmi vous.

-Moi, c'est Nihil Oyama

je dis ca en lui tendant la main.

-Je viens d'arriver il y a quelques heures.On m'a aussi dit que je devais aller dans dans cette celulle.Mais elle, elle ne m'a pas adressé la parole.

Je la regarde du coin de l'oeil, en espérant que cette phrase puisse la faire réagir.Je suis satisfait d'avoir un compagnon de cellule avec qui avoir des conversation.Je pensais n'avoir a faire qu'avec des tarés.

[Plus intéressant sont les tarés qui parlent et qui sont sociable lol]

J’acceptais de bonne foi sa main. Ceci fait, je repris possession de ma main et la mis a mon visage, pour sentir son odeur et la retenir, puis lui sourit.

Je retint sa remarque a propos de la fille couché sur le lit, et donc je me décidais a voir comment elle fonctionnais. Je m’approche d’elle, puis une fois à la hauteur de son doux visage, je la contemple, et en profite pour sentir son odeur aussi. Douce extase, et je n’en dirais pas plus a ce sujet.

« Et vous demoiselle, comment dois-je vous nommer ? »

Me redressant et faisant ainsi face aux deux individus, je les regarde à tour de rôle, et leur dit :

« Je sais que personne n’aime en parler, mais vous êtes ici pour quel motif ? »

J’attendais patiemment leurs réponses, les laissant ainsi réfléchir à leur réponse.

-Je sais que personne n’aime en parler, mais vous êtes ici pour quel motif ?

Cette question me perturbe un peu. C'est vrai, ca.Qu'est ce que je fais ici?Je ne me rappelle meme plus du jour ou j'ai tué ma famille...Ce n'est vraiment pas ma faute, si j'ai fait ca. C'est comme quand quelqu'un est furieux et qu'il jette quelque chose par terre...Moi j'étais vraiment furieux et j'ai tué ma famille.Je trouve ca plutot injuste de me punir pour ca.J'ai des reggrets, j'aurais préféré finir mes études et faire ma vie tranquilement comme médecin, et maintenant je suis condamné a finir mes jours en taule.Mon avocat avais bien fait son travail en évitant la pène de mort, mais j'aurais quand meme préféré ca, ou alor réussir à me sucuider.Enfin, cette fortune restait un espoir pour moi.

-J'ai peté les plombs juste une foix dans ma vie.En 10 minutes, ma vie a baculé.

Je dit ca en accentuant le une inconsciament, et je préfère ne pas présicer ce qui s'est vraiment passé.J'ai un peux honte de ca, mais si je suppose que ce n'est pas pire qu'eux.J'ai fait ca sous la colère, je pense que c'est pardonnable.

[dsl RP court lol ]

« -J'ai pété les plombs juste une fois dans ma vie. En 10 minutes, ma vie a basculé. »

Etrange réponse, on sent bien qu’il n’est pas a l’aise sur ce sujet, on peut déduire plusieurs choses ! Il peut très bien ne pas admettre sa faute, ou regretter ce qu’il a fait…

« Pourriez-vous développer ce que vous dites ? Ne soyez pas gêné, si on est la c’est qu’on a tous fait une erreur. Par exemple je suis la pour meurtre, 9 pour être plus précis. Ce sont hélas des choses qui arrivent »

J’avais envie de jouer avec eux, voir ce qu’ils valaient….espérons, espérons…

(Désolé du retard, j'ai eu une abscence imprévu ^^ '' )

Blablabla, pourquoi perdre du temps en vaines paroles, après mon arrivée, un autre détenu à fait son apparition, et à interpeller le nouveau, au moins je connais le nom des locataires de notre petit palace. Nihil, qui me lance en même temp une petite pique, qui me laisse comme d'habitude de marbre et Lucy, qui semble des plus bavard et qui ne cesse de relancer la discussion.
Tiens, d'ailleurs, il s'approche de moi et se baisse à mon niveau, je plonge mon regard Marron dans ses yeux, histoire de tenter de le juger. Je n'en déduis pas grand chose, cela doit être un de ses types qui cache assez bien son jeux. Génial me voila bien avancer.
Je dois être d'une humeur éxélente, cela pourrais expliquer le faîte que je me lance dans la conversation, à moins que ce ne soit pour passer le temps, ou par curiosité, sans doute un peu des trois.

Maya Péléîde

Simple entré en matière, Quoi, vous vous attendiez à plus, je n'allais pas en plus faire comme si j'était réellement heureuse de les connaîtres, je n'aillais pas leur proposer une tasse de thé, accompagné de charmant biscuit ?
Tiens mais quel sujet original, le genre de sujet que seul des détenus peuvent parler, depuis que je suis ici, on m'as poser cette question je ne sais combien defois.
J'attend déja la réponse de Nihil, avant de repondre, 10min avait suffit pour faire basculer sa vie, généralement, il en fallait pas beaucoup plus, moi, il m'avait fallu qu'une soirée, une nuit maudite où l'on m'avait tout pris, ma famille, ma vie, mon avenir...

Je suis entré par éfraction dans une maison, j'y est tué tous les occupants et le propriétaire avec mon katana... Le jour de mon proscès, j'ai tenter de tuer un témoin.

Je n'est pas préscisez que les types que j'ai tué était de la mafia locale et que c'était par vengeance, je n'est pas non plus préscisez que c'est à coup de flingue voler à un flic que j'ai voulu tuer le dernier assassin de ma famille, j'ai du aussi omnettre de préscisez que je compte finir ma vengeance.
Autant qu'il pense ce qu'ils veulent.

-Pourriez-vous développer ce que vous dites ? Ne soyez pas gêné, si on est la c’est qu’on a tous fait une erreur. Par exemple je suis la pour meurtre, 9 pour être plus précis. Ce sont hélas des choses qui arrivent

Quoi?9 meutres?je n'aurais jamais crus ca de cet homme, je me demande quel genre de tueur ca peut etre...Violeur, cannibale ou tout simplement quelqu'un qui prend du plaisir a tuer?Dans tous les cas, je dois me méfier de cet homme.Je ne sais meme pas si j'arriverais a dormir dans la meme chambre que ce type...le pire, c'est qu'il dit ca comme si il dirait ce qu'il a mangé pour le petit déjeuner, ca semble normal pour lui.Mais je n'ai pas le temps de réagir que la femme répond enfin.

-Maya Péléîde
Je suis entré par éfraction dans une maison, j'y est tué tous les occupants et le propriétaire avec mon katana... Le jour de mon proscès, j'ai tenter de tuer un témoin.

je préfere quand meme un peux ca si elle tue en ayant un but ''valable''...Enfin, elle me sauve un peu la mise en détournant la conversation vers elle, je n'ai pas envie de dire ce qui s'est passé, meme si c'est moins pire qu'eux.je ne répond pas a lucy. Je préfere qu'ils parlent eux 2, comme ca j'en apprendrais un peux plus.