Ou suis -je? [ouvert a qui le veut]

Je me reveille. Ma tête tourne, j'ai mal partout. Il fait noir. Aurtour de moi,du bruit . Les enfoirés, il m'ont droguée pour me tenir tranquille. Je ne peut même pas bouger, ils m'ont passée une camisole. Auraient t'ils peur d'une "faible femme?". En tout cas voir leur ami mourir a dû les calmer. Il l'avait cherché aussi. Je n'etais pas sa chose, il a fait une grave erreur en voulant abuser de moi, et l'a payé cash.

Ces voix, je les connait,ce sont celles ce mes gardiens. Je me rend compte que j'ai en fait quelque chose qui me recouvre le visage. Je suis dans une voiture ou un camion, allez savoir. On me lève , avec force, pour me mettre debout.

"Tu fait moi la fière hein, sale garce ? "

Dit la voix d'un de mes gardiens, retirant le sac de toile recouvrant ma tête. Je plisse les yeux, la lumière revient , violente. Face a moi, l'homme édenté me fixe avec un sourire mauvais.

"Ici tu a interêt a te tenir a carreaux".

Il me choppe alors et m'ammène dehors, ses collègues autour de nous. Je suis devant l'entrée ce qui semble être une prison. Peut etre une prison " a nous? " ou l'ont m'envoit? Non cela ne ressemble a rien de connu, c'est ... pire.

"Bienvenue en enfer " dit il alors en eclatant de rire. "Tu va avoir plein de nouveaux compagnons de jeu a Sadismus,j'en suis sur " dit il ave cun grand sourire, sourire cruel.

"Sa..dismus? " dit je alors,surprise. Ce nom me dit quelque chose. J'en est vaguement entendue parler. Un jour un type dont on ne savait plus quoi faire avait été envoyé là-bas. J'ai appris plus tard qu'il etait mort seulement trois jours après son arrivée.

"Allons y " dit il alors,me faisant avancer en direction de l'entrée.J'essaye de me défendre,mais en vain,il est plus costaud que moi et ayant une camisole, je ne peut rien faire. Me voir me débattre semble l'amuser , ce sadique prend son pied. On arrive a l'entrée, il approche alors son visage du mien, murmurant : " Tu va apprendre ce qu'est vraiment la souffrance , le petit passage a tabac que l'ont t'a infligée n'est rien a côté "

Les portes s'ouvrent alors, avec lenteur . On me retire la camisole de force, plusieurs armes a feu pointées sur moi, pour me mettre des chaines et me menotter. Puis j'avance. Sadismus, me voila....