Narcissisme? [ Rp ouvert a tous, minimun 2,Venez nombreux^^]

Invité

Mon premier réflexe ! Chercher un livre. Oui un livre, vous savez cette masse, de forme rectangulaire, remplit de mots, et de temps en temps, contenant quelques images…Je traversais donc une partie de la prison, observant les détenus, que je rencontrais, les admirant. Certains me provoquèrent, ou me poussèrent car j’étais nouveau, oui ! Mais aussi car mon regard les gênait quelques peu. Je dois faire attention, car ici en prison, si quelque chose te plait pas, on te le dit, mais on te le fait comprendre…
Après avoir demandé mon chemin a plusieurs détenues, peu recommandable, je me retrouvais devant cette bibliothèque.
J’entrais gentiment, je ne dirais pas que j’observais tout car je le fais à chaque fois. Il me fallait plusieurs choses. Les journaux retraçant mon arrestation, mon procès et mon incarcération. Mais je voulais aussi Hannibal rising, et le livre nommé cadavres exquis de je ne sais plus qui !

Je déambulais donc dans cette pèce, entre les livres, je fouinais a droite a gauche, jusqu'à :

« H….H….Hiboux : un rapace fasse a des proies, n’importe quoi les titres aujourd’hui ! H… hermaphrodite : ma femme et son sexe….Oh ! Mon dieu, il y a même des photos, mais c’est sale ! Oh ! Le joli petit escargot….. »

Je repose le livre a sa place et continue tranquillement ma recherche.

« H….Ah ! Hannibal. Magnifique, il est ici et il est disponible. »

J’embrasse le livre comme si c’était une sorte de relique et retourne sur mes pas, pour chercher a C, le livre cadavres exquis. Après quelques minutes de recherche, je me retrouve en possession des deux livres tant désirés. Je me dirige donc vers les journaux, et en prend plusieurs, ou je fais la une !

« Woua ! L’image est impeccable, et je suis magnifique dessus. Il y a même mon dossier dans DeadDolls.MAGNIFIQUE ! »

(DeadDolls :pure invention ! magasine tendance parlant des tueurs en série)

Je souris un moment, puis reprenant mes esprits, je prend ces journaux et me dirige a un table libre, ou je m’assois et commence a lire les journaux, car je préfère garder les livre pour ma cellule, ou sinon, au pire, pour une autre fois. J’avais tellement envie de me lire et de me voir, que je n’aurais pas pu accrocher sur un livre ou un journal parlant d’autres choses que de moi !

Invité

J'entrai dans la biliothèque avec un seul but, comprendre pourquoi je suis ici ! Car ma mémoire me jouait encore des tours...
Plusieurs prisonniers me regardaient, mais je ne faisais pas attention et me dirigeai vers les journaux.
Je vis à plusieurs reprises des gros titres comme "un tueur en série arresté !", "une femme tuée dans son magazin" et, "meurtre dans un centre de rééducation pour handicapés !" et je vis en photo.... moi !
Je m'assis vite sur la chaise qui se trouvait à côté de moi. Je regardais l'article, choquée ! Puis quelques images me revenaient... des flash me voyant avec le couteau de cuisine... les visages appeurés de mes victimes...
mais rien qui ne m'expliquait ce qui m'avais ammené à faire cet acte... !
Ce n'est pas moi sur la photo ! c'est impossible !

Invité

Elle ne vit pas….Elle ne vit pas qu’elle s’était assise juste a coté de moi. Elle est vraiment perturbée, elle n’a pas l’air d’admettre ce qu’elle a fait ! Mais qu’a-t-elle fait ? Je tourne la tête vers le journal qu’elle tient fermement ! Je pense que c’est ce journal qui la traumatise. Je regarde le dossier qu’elle regarde, apeurée le regard vide, et qu’est ce que je vois ! Elle ! Haha ! Magnifique, il n’y a pas d’autre mots. Je lis le gros titre :

MASSACRE DANS UN CENTRE DE REEDUCATION, LA CRIMINELLE FINT LA SCHYZOPHRENIE ET OUBLIE MEME QUI ELLE EST ! MENSONGE OU VERITE ?

Quel plaisir pour les médias de s’emparer de ces affaires criminelles, ils n’attendent que cela ! Et nous on leur offre de bon cœur.

« Encore vous ? on se croise souvent en si peu de temps, le destin a peut être voulut qu’on discute… »

Je lui souris souris tendrement, pour la rassurer de mes intentions, et je continu dans ma lancée :

« Que ce passe t il ? Depuis notre première rencontre, bien que brève, vous avez l’air complètement perturbée ! Faites attentions car ici toute personne profite des faiblesses des autres, croyez moi loin de la sont mes intentions, je suis juste un être curieux. Je voudrais comprendre ce qu’il vous arrive et aussi peut être vous aider à comprendre ce qu’il se passe. »

Je la contemple, et l’observe lentement, comme à mon habitude. Quelle innocence, quelle fragilité, cela me met dans tout mes états, on dirait un enfant, un petit enfant, sans défense face au monde qui l’entour. J’aime beaucoup l’idée. Lorsqu ‘elle détourne le regarde, j’en profite pour passer vite fait ma langue sur mes lèvres, et cache, le DeadDolls, ou je suis sur toutes les pages.

Invité

Je regarde le journal, indétachable ! Quand une voix familière me parle. Je tourne la tête et vit un homme. Son visage ne me dit rien, mais quand je me concentre sur son sourire... ça me rapelle quelque chose... mais ma tête continue à me faire mal...

"désolé... j'ai l'impression de vous avoir déjà rencontrer, mais je ne me souviens plus de vous..."

Puis je répondis à sa question, toujours troublée par ce que j'ai vu...

"bah, en fait, je ne sais même pas moi ! je ne sais plus où je suis... ce que j'ai fais... qui j'ai rencontré ! j'ai des troubles de la mémoire... c'est la seule chose que j'arrive à me souvenir..."

Le trouble, la peur qui était en moins étaient devenus insupportable ! Je n'en pouvais plus ! Puis je me mise à pleurer mettant ma tête dans mes mains.

Invité

Elle Balbutia quelques mots, me montrant cette envie de se libérer.

« Je suis Lucy Monostone, je me suis sûrement présenté, nous nous sommes vu devant l’entrée ! Mais suis-je bête ! J’avais un masque me couvrant tout le bas du visage. Vous vous rappelez maintenant ? »

Je pris délicatement sa tête, et la déposa sur mon épaule, en lui chuchotant :

« Mon épaule est la pour ça, vous pouvez pleurez dessus, je suis là ! Vous verrez ça ira mieux après. »

J’en profitais, pour sentir son odeur d’innocence, j’aimais cette odeur de fraîcheur, qu’elle dégageait.

« Laisser moi lire votre journal et j’essaierais de vous relater ce qui c’est passé lors de votre perte de mémoire, mais d’abord, pleurer un bon coup, et reprenez vous lentement. »

Je sortie un mouchoir propre de ma poche et le déposa sur la table, lorsqu’elle reprendra ses esprits.

Si près, si dangereuse est la tentation, si grande est l’envie, la morde un petit coup, la mordre au niveau du coup…

Invité

Après avoir passé un petit moment à cherché la bibliothèque, je finis par arrivé à l’intérieur. Il y avait beaucoup de prisonniers, des femmes comme des hommes. Je n’aime pas très lire mais je ne suis pas la pour faire ce genre de chose que je considère comme une perte de temps. Je m’installe tranquillement sur une chaise et pris un livre qui trainé sur la table. Sans lire le titre je l’ouvris et fit mine de lire, tout en balayant la salle du regard discrètement. Quand soudain mon regard s’arrêta sur un homme et une femme avait l’aire de pleuré sur son épaule. C’était un homme charmant, un vrai visage d’ange, mais peut être que c’était en réalité un démon qui sait. Je continué de le fixé lui et la femme, tout en regardant de temps en temps le livre afin de ne pas trop attiré l’attention. Je les imaginés déjà tout deux, côte à côte, allongé contre un mur, le corps réduit en charpie. Quelle belle œuvre d’art cela ferait. Je me demande pourquoi cet homme et cette femme sont incarcérés. Questions que je me pose pour la plupart des détenus que je vois. Peut être que je pourrai tisser des liens avec ces deux personnes qui sais. Cette fois ci je regardé les deux personnes un peu moins discrètement afin qu’il me repère et peut être m’invité à me joindre à eux. Je patiente inlassablement comme je sais si bien le faire.

Invité

Tandis qu'elle pleurait sur mon épaule, je me sentis épié. Bien que je n'ai aucun don de voyance, ou de se genre de ressenti, bien que je ne sois pas parano non plus, Je sentais quelqu’un nous regarder ! Mais c’est inexplicable et quelque peu stupide, vu qu’il y a pas mal de détenus déambulant ici même. Je tournais donc lentement la tête, sans déranger la demoiselle qui pleurait et qui tentais de se reprendre, en cherchant qui pouvais bien regarder dans notre direction. Certains nous regardais mais il n’avait pas le regard accroché a nous. Enfin mon regard rencontre, l’individu qui nous fixait. Il me disait quelque chose…en une seconde le déclique se fit, je tourne la tête et regarde par-dessus la tête de ma compagne pour voir le journal, et que vois-je ? Une photo de l’individu en question.

L’ARTISTE REPEINT SA CHAMBRE ! ON DECOUVRE UNE MULTITUDE D HORREUR CHEZ LUI ! ARTISTE ? OU DEGENERE ?

Voila le titre de l’article…Je retourne la tête, pour face face a son regard, et je laisse apparaître sur mon magnifique visage un petit rictus, qu’il comprendrait, si il était digne de ses œuvres. Mon seul sourire, pouvais lui indiquer, que cette proie était a moi. Mais je suis extrêmement généreux envers ceux qui le méritent ! J’espère qu’il mérite, ma générosité.
Tout en le fixant du regard, je chuchote, ce petit bout de femme :

« Tout va bien, je suis la, tout va bien, tu ne craint rien, pleure, et tu ira mieux après. »

Je pris ensuite soigneusement le soin de planquer dans ma veste, l’exemplaire de Deadolls de ce mois si me concernant, et heureusement il n’y avait qu’un exemplaire de ce moi si ! Soyons discret, au moins au début, le but est de ne pas affoler une proie.

Invité

Mon regard se croisa en fin avec cet homme et la petite grimace qui m’adressa me mis quelque peu mal à l’aise. Cherché t-il à me faire passé un message ? Ou simplement voulez t-il me faire peur ? Quoi qu’il en soit je regardai cette femme quelques secondes et le regarda immédiatement après en me pinçant les lèvres, histoire de dire que cette femme me plaisez. Je posai le livre sur la table puis me leva de ma chaise et me dirigea en direction d’une rangée de livre prés des deux individus. Je faisais mine de cherché un livre, quand mon regard fut attiré par la première page d’un journal prés des deux personnes. Je me penchai légèrement prés de celui-ci afin d’y lire le gros titre. Misère ! On parlé de moi et en plus une photo de moi souriant au photographe. J’espère qu’il n’avait pas eu le temps de lire le journal, car sinon sa pourrait pas tourner comme je l’espère. Mais je fus comême un peu flatté. Ce n’est pas tout les jours qu’on fait la une des journaux. Bref je décida d’entamé la conversation avec cet homme et cette femme. Je me dirigea donc prés d’eux puis dit tout doucement :

"Excusé moi, je suis nouveau ici, et je cherche un livre. Il y a une personne à qui s’adressé ou bien peut être que vous pouvez me renseigné"

Je lui souria brièvement et croisa les bras en attendant sa réponse.

Invité

Il me regarde, il la regarde, il nous esquive, il nous regarde, il cherche quelque chose, il nous regarde, il vient vers nous, et le voila parmi nous. A quoi joue-t-il ? Laissons faire le temps ! Et on verra bien. Je dois admettre qu’il possède, contrairement à moi, une carrure imposante…

« Excusé moi, je suis nouveau ici, et je cherche un livre. Il y a une personne à qui s’adressé ou bien peut être que vous pouvez me renseigné »

Il me coupe dans mon observation détailler de sa personne, enfin tant pis, cela m’amuse de savoir qui est le monstre qui se cache en lui.

« Ecoutez, ce ne sont que des détenus qui s’occupe de la bibliothèque, donc je vous conseil de vous adresser a moi, je suis sur de pouvoir vous aider ! Je vous donne un exemple de suite de ma compétence en matière de littérature. »

Je prends le journal où il est sur la couverture, tout en faisant attention de prendre soin de cette demoiselle en détresse et je lui tend le journal face a lui, pour qu’il puisse admirer le gros titre, ainsi que sa photo.

« Chercheriez vous ceci, très chère ami ? »

Je ne pus m’empêcher de rire discrètement, d’un rire grincent et lugubre, mais qui ma fois avait son charme.

« Sinon je peux vous conseiller ceci ! »

Je lui tendis le livre que j’avais pris : « cadavre exquis»

« A ce qu’il parait c’est un vrai délice ce livre, mais je n’ai point eut le temps de le consommer ! Mis a part la préface, qui était déjà a mon goût… »

Je lui sourit a nouveau, je repose le journal sur la table, et je recentra mon attention sur ce petit bout de femme.

Invité

Je regardai l’homme me présenté le journal, avec un petit air satisfait et moqueur. A présent il savait qui j’étais et j’espère que sa partenaire n’avait pas entendu ni même vu le journal. Je pris le journal dans mes mains et lui montra ma photo.

"Je suis magnifique sur cet photo, n’est-ce pas ? J’aurais bien voulu transformé le photographe en œuvre aussi, mais avec tout les policiers et les fédéraux dans le coin, j’ai calmé mes hardeurs. Je m’appelle Théodore Franklin, mais vous devez le savoir étant donner que vous venez de me montré la page consacré à moi."

Je lui souria, avec un grand sourire et en penchant légèrement ma tête sur le côté. Je pris le livre qu’il me tendait, je lu la couverture. Sur la première page était marqué : « cadavre exquis ». Je lui redonna le livre puis dit :

"Oh, je vois, meusieur est cannibale ? je n’ai pas vraiment pratiqué le cannibalisme moi-même mais sa m’est arrivé, j’avoue que la première fois ce n’était pas fait exprès. Mais une fois gouté, j’y est pris goût."

Je m’appuya lentement contre le mur, qui se trouvé à mon côté tout en continuant de le regardé. Etait il vraiment un cannibale, ou simplement un jeune fanatique de ce genre de chose, mais qui n’ose pas le réalisé ? Je me pinça encore les lèvres en regardant la fille pleuré dans ses bras.

Invité

J'ai suivi Théodore jusqu'à la bibliothèque ainsi qu'il me l'a gentiment proposé. Je découvre à cette occasion le dédale de couloirs. Je me sens encore plus perdue que quand je suis arrivée il y a quelques heures dans cette prison. Heureusement que je ne suis pas seule.

En entrant dans la bibliothèque je vois qu'ily a là d'autres personnes, des prisonniers comme moi semble-t-il. Mais qui sont-ils vraiment? qu'ont-ils fait de mal pour se retrouver ici? Je le découvrirai sans doute au fur et à mesure.

Théodore vient de demander un renseignement à l'un des prisonniers présents. Et il regarde maintenant un journal sous les yeux visiblement amusés de l'autre. Que lui montre-t-il? Et cette jeune fille là-bas qui semble un peu hébétée? Que lui a-t-il dit pour qu'elle paraisse ainsi toute retournée?

Je me sens mal à l'aise... j'ai envie de partir mais quelque chose me retient ici malgré moi, une force à laquelle je ne peux résister malgré la peur que je ressens.

Invité

Maintenant qu'Emilie était la, je plia le journal en deux et le cacha dans ma poche. Elle ne devait pas savoir qui j'était, ou elle me rejétrée. Je me pencha prés de l'homme et lui chuchota à l'oreille.

"Pas un mot à ma partenaire, ou bien je balance t'es petits dîner à ta compagne ok?"

Je lui souria et parta en direction d'Emilie, je la serra au niveau de la taille et colla ma tête contre la sienne, afin de détourné son attention. Et je lui chuchota également:

"Emilie je veus que tu sache que je serais toujours la pour toi, je serai pour te protéger et t'écoutai si tu le souhaite. je ne te ferais jamais de mal."

Je colla mes lèvres contre sa nuque et l'embrassa légèrement. Je devais resté extrement vigilent et j'espère que ce cannibale n'allait pas tout gacher.

Invité

Je suis rasurée par les paroles apaisantes de Théodore. J'ai tellement besoin que quelqu'un veille sur moi ici. Je n'aime pas me sentir seule et cette impression oppressante dans cette prison. Je ne peux même pas à me laisser aller à mes rêveries habituelles car tout me ramène à cet maison, à ce cadavre dans le salon, ce cadavre plein de sang. Les images reviennent sans cesse jusqu'à ce que les paroles apaisantes et les getes protecteurs de Théodore me rassurent.

Je le vois qui parle à l'autre individu, celui à qui il a demandé un renseignement et qui lui a montré ce journal. Il ne semble pas content mais je n'entends pas ce qu'il lui dit. Peu importe d'ailleurs. L'essentiel c'est que la peur et le cauchemar quitte mon esprit. Je me calme.

"Oui Théodore... j'ai besoin d'être protégée... protège-moi ici... de mon côté je t'apporterai toute l'aide que tu voudras...j'ai confiance en toi"

Invité

Il me parle de cannibalisme ! C’est avec tout ce que j’ai dit sur le livre, c’était voulut ! Maintenant il me menace, mais je ne vois pas vraiment ce qu’il pourrait balancer, alors qu’il ne me connaît pas. Enfin il veut se protéger, je le comprends. Après qu’il eut finit de parler, il se déplace vite fait dans la bibliothèque, et se retrouve face a une charmant prisonnière, qui après qu’il lui ait prononcé quelques mots que je n’ai pas entendu, se met a rougir, elle est sous son charme…Enfin a moins qu’il soit ensemble, elle a complètement craqué pour lui.
Mon regard croise à présent celui de sa protégée. Ce qui provoqua ce même tic, ma langue passe lentement sur les lèvres. C’est un tic que je ne peut contrôler, d’où l’appellation TIC. Quand j’avais ce tic, cela me donnait un visage machiavélique, mais dès que c’était finis, c’est comme si le démon disparaissait des traits de mon visage, laissant a nouveau place a mon visage habituel d’un petit ange innocent. J’AIME JOUER !

J’adore la tournure de la rencontre ! Je pense les inviter a un de mes dîners, un de ces soir. Car mes soirées étaient vraiment magnifiques, étant fin cuisinier, mes anciens amis étaient très heureux de venir manger chez moi… Je les laisse venir a nous, quand ils auront finit leur discussion.

Invité

Je me ressaisis et relève ma tête de son épaule. Je vis un mouchoir sur la table, je le pris.

"merci"

Je m'essuis les yeux et un flash me vient. Je me vois le jour de mon arrivée... je suis debout devant un homme masqué... Je tourne vivement la tête vers mon voisin

"je me rapelle... on m'avait demander d'enlever votre masque... !"

Puis un jeune homme nous regarde et vient vers nous. Je sèche vite mes larmes et fait style il ne c'est rien passé... Il parle à Lucy. Je les écoute d'une oreille mais ne dis rien. Je ne veux pas les gêner dans leur discution... Mais, à un moment, le prisonnier venu nous rejoindre dis :

"Oh, je vois, meusieur est cannibale ? je n’ai pas vraiment pratiqué le cannibalisme moi-même mais sa m’est arrivé, j’avoue que la première fois ce n’était pas fait exprès. Mais une fois gouté, j’y est pris goût."

Cannibale ?? j'ai déjà entendu ce mot... voici le désespoir de perdre la mémoire... ma tête me fais mal mais je me concentre. Et la définition me vint ! je me rapelle ! je souris, heureuse d'avoir réussi cet exercice diffiile ! mais je devint plus songeuse... cannibale veut dire qu'on mange des humains... !
Je tourne la tête vers Lucy en faisant des gros yeux Ô_° !
serait-ce la raison de son emprisonnement ? et le port du masque ? mais ce n'est pas possible... il est trop gentil... !
Puis une jeune fille vint nous rejoindre. Elle me sort de mes pensées...

Invité

Je finis d’enlacé Emilie en écoutant ses paroles. C’est bon, je pense qu’elle a finit par avoir confiance en moi, elle était sous le charme. J’aurai pensé sa plus difficile mais je ne vais pas m’en plaindre. Je relâcha mon étreinte puis lui dit à voix basse.

« Ne t’inquiète avec moi tu seras toujours forte. Tu veus choisir un livre pour t’occupé dans la cellule ? Ou bien tu préfère te distraire un peu avec moi… »

Je lui adressa un sourire puis rigola. Je la pris par la main et l’emmena jusqu'à une rangée de livre, Je faisais le pitre en cherchant quelques livres, essayant de la faire rigolé en faisant des grimaces devant certains livres. Un vrai môme. Je la regarda souria et lui adressa un regard qui voulait dire bien des choses… puis je m’adressa à elle.

« Tu peus regardé en bas si il ya des livres qui parlent de peinture s’il te plait ? »

J’attendait qu’elle se baisse à fin de regardé dans la direction de Lucy.

Invité

Théodore se montre toujours rassurant pour moi. Il se comporte même un peu comme un pitre. J'ai envie de rire et cela ne m'est pas arrivé depuis si longtemps, des mois, je serias presque tentée de dire des années. Je le regarde amusée. Le regard qu'il m'adresse il ya bien longtemps qu'un homme ne m'a pas regardée comme cela. Je me sens de plus en plus proche de lui.

Il me demande de regarder s'il y a des livres de peinture dans le bas des rayonnages de la bibliothèque. Je n'aurais pas imaginé qu'il s'intéresse à la peinture. Je me penche et inspecte les rayons du bas. Je reste ainsi penchée pendant un petit moment car je ne vois rien. Et voilà ... je viens d'apercevoir un livre sur les peintres de la Renaissance italienne... et puis en voilà un autre. Je me relève et me tourne vers lui.

"Qu'est-ce que tu préfères? un livre sur les peintres de la Renaissance italienne ou un livre sur Picasso?"

Invité

Pendant que Emilie se penchée à la recherche d’un ou plusieurs livres d’art, je regarda furtivement Lucy pour voir ce qu’il faisait. Ce tic qu’il venait de faire en regardant Emilie J’étais sûr maintenant qu’il s’intéresser à elle. J’ai moi même le même tic. Je le regarda fixement dans les yeux, comme pour dire que c’était ma propriété. La femme à ses côtés venait de relevé sa tête et de séché ses larmes. Puis Emilie se releva et m’adressa la parole :

"Qu'est-ce que tu préfères? un livre sur les peintres de la Renaissance italienne ou un livre sur Picasso?"

Je la regarda, lui souria et lui dit :

"Les deux sont très bien, je te remercie énormément Emilie. Si tu veus qu’on parte je te suis, ou bien on peut aller s’asseoir si tu veus."

Je prit de nouveau ses mains, elles étaient si douces, j’adorait sentir la chaleur qui me parcoure lorsque je la touche. J’aurait aimer à cette instant aller plus loin, tant connaître le goût de ses lèvres…. mais je ne devais pas tout gâcher maintenant. Je la remercia de nouveau pour les livres, et les prit aussitôt.

Invité

Pourquoi engraisse-t-on les oies ? Pour les manger ! Pour on se souci des autres ? Pour les mieux les utiliser. Pourquoi aimons nous ? Pour mieux abuser nos victimes…Je ne suis pas malsain, je suis humain. Mes pensées sont toujours décousues, je pense tellement de choses en même temps, que tout sort et cela semble illogique ! Je parle de victimes, puis la je dis, pour moi la prison ce n’est pas la fin, mais le début d’un nouveau jeu ! Amusons nous, la vie peut être si courte et remplit d’imprévu, que je profite de chaque instant ! Par exemple, ma compagne de bibliothèque, je la savoura chaque instant, je sens son odeur a chaque moment. Elle est si douce, si pure…Tous mes sens en sont perturbés, mon imagination me joue des tours ! Je l’imagine dans ma cellule, complètement perturbée, a ma merci, et je me voie la caresser, la chérir, la sentir, profiter d’elle, pour qu’une fois rassasiée d’elle, de ce qu’elle représente a mes yeux, ce que j’ai pu ressentir pour elle, je me décide a passer a l’étape supérieur. Je la déguste, et comme ça son esprit a elle, s’ajoutera aux 9 autres qui me hantes toutes les nuits et qui emplissent mon cœur de joie ! Dans ces moment, tout ce que je dis n’a plus de sens, je cherche juste à satisfaire ma propre personne, et a jouer ! Oui jouer, le jeu de la vie ! Ce jeu même que je pratique avec ma charmante victime, comme j’ai pu jouer avec les autres, paix a leurs âmes.

« Je suis ravis de voir que vous allez mieux ! Je vous le dis sincèrement, car je dois admettre que votre sourire me met dans mes états. Mais vos yeux me regarde d’une façons douteuse, ai-je fait quelques chose que je n’aurais pas du ? »

A ce moment précis, je contrôlais plus mon excitation. C’est fou, l’effet que me fait les victimes que j’ai connu…J’ADORE !

Je lui offris mon regard d’innocent et gêné ! Pour faire comme toute personnes qui se gêné face a un regarde aussi étrange. Je fuyais exprès son regard, pour donner un effet de gêne sans en faire trop, durant ces esquives de regard, j’observais mon camarade, qui avait l’air de s’amuser tout autant que moi. Il me repoussait ! Je sentais son envie de me dire : c’est a moi ! C’est mon bétail ! Ne t’avise pas de t’approcher ! Ce qui me poussait encore plus a rendre plus difficile son jeu…Comme dévoiler son art…

Invité

Je me sens si bien avec lui. Théodore m'a pris les mains après m'avoir remerciée pour les livres. Il est toujours souriant et prévenant. Il y a si longtemps que quelqu'un ne s'est pas intéressée à moi que je lui en suis très reconnaissant. Il me fait oublier les évènements sinistres que je viens de vivre. Je devine que lui-même est terriblement tourmentée par ce qu'il a vécu. Le meurtre de sa femme a du le marquer profondément. Comment pourrait-il en être autrement d'ailleurs. Il m'a dit, dans la cellule, qu'il regrettait ce qu'il avait fait.

Si je peux l'aider à tourner la page je le ferai... oui! j'ai envie de l'aider. Ma main sert la sienne un peu plus fort. Je me presse tout contre lui en posant ma tête sur son épaule.

"Tu n'as pas à me remercier... j'ai cherché ces livres pour toi avec plaisir. Si tu as besoin d'autre chose tu peux me le demander. Si je peux le faire je le ferai. Nous serons plus forts à deux dans cette prison."

Je le regarde avec un grand sourire et je sens mon coeur qui bat un peu plus fort.

"Théodore, si on allait dans un coin tranquille ... tous les deux... enfin... si ça existe dans ce trou à rats..."

Invité

Emilie venait de poser sa tête sur mon épaule et de serré encore plus fort mes mains. Sa me faisait vraiment bizarre, aurait elle réagit pareille si elle aurait su qui j’étais vraiment ? Je serrai mes mains autour de sa taille, en faisant attention de ne pas serré trop fort pour ne pas l’étouffé. A cause de ses longues années passées à tués, je ne me rendais plus trop compte de ma force. Elle m’adressa la parole :

"Tu n'as pas à me remercier... j'ai cherché ces livres pour toi avec plaisir. Si tu as besoin d'autre chose tu peux me le demander. Si je peux le faire je le ferai. Nous serons plus forts à deux dans cette prison."

Elle m’adressa un sourire et je fis de même également. Puis, elle m’adressa la parole à nouveau :

"Théodore, si on allait dans un coin tranquille ... tous les deux... enfin... si ça existe dans ce trou à rats..."

A cet instant précis je restai vide sans rien dire pendant quelques moments. La vision de mon ex femme parcouru mes pensées. On était encore jeunes, et elle m’avait dit exactement la même chose, en me serrant dans ses bras. J’étais fous amoureux, mais c’était à cause d’elle que ma folie prit des circonstances plus graves.

Je serrais un peu plus fort Emilie dans mes bras puis lui répondit :

« Très bien comme tu veux, ou veut tu allé ? Je te suis… »

Je lui adressa un sourire, puis attendit sa réponse.

Invité

Je regardai Lucy et il me dit tout souriant

« Je suis ravis de voir que vous allez mieux ! Je vous le dis sincèrement, car je dois admettre que votre sourire me met dans mes états. Mais vos yeux me regarde d’une façons douteuse, ai-je fait quelques chose que je n’aurais pas du ? »

Je répondis en regardant dans le vide, douteuse...

"non il n'y a rien !"

Je lui fis un petit sourire timide. Non ce n'est pas possible ! pas lui, pas cet ange ! il ne peut pas être cannibale !
Je le regarde longement en me mordillant la lèvre inférieure... puis je lui fis un grand sourire, soulagée...

"mais je voudrais savoir quelque chose... pourquoi etiez-vous le seul à porter un masque le jour de notre arrivée ?"

Invité

OUI ! Lorsque sa question arriva enfin, je sentis l’excitation monter en moins d’un coup ! Qu’allais-je dire ? Qu’allais-je faire ? Bah jouer bien sur…

« Je sentais que cette question viendrais un jours…On m’a mis ce masque, car lors de mon procès j’ai mordu jusqu’au sang un des gardiens ! Je ne sais pas si il le méritait, mais il a été ce qu’il y a de plus incorrecte avec moi ! il m’avait même frappé violemment sur le chemin, alors durant le procès, puisqu’il continuait de m’humilier…Ce qui arriva, arriva ! Croyez moi, j’y repense souvent, et je me dis, qu’il ne méritait pas cela ! Jésus quand les romains l’on fait souffrir, lui a été fort et aimant, et c’est laissé faire…J’aurais du…. »

Je fis une petite pause, histoire de faire l’homme confus et emplit de doute puis repris :

« Je sais que vous me le demanderez à un moment où a un autre ! J’ai été amené ici, pour meurtre….Comment expliquer cela, en fait, il m’arrive parfois d’avoir des blancs, et dans ces moment la, Je ne sais pas ce qui se passe, et quand je reviens a moi, il y a toujours un mort, tué dans des circonstances atroce ! Mais les juges n’ont pas voulut me croire sur mes pertes de mémoire, et m’ont accusé de tous ces meurtres et m’ont mis ici… »

Qu’est ce que je dis moi ? Des pertes de mémoires ? Et oui ! Je me base sur ce qui peut la toucher…

« Après on m’a accusé de cannibalisme ! Oui….Je ne supporte pas cette idée d’avoir pu manger un bout de quelqu’un…Voyez vous avant d’être arrêté, j’étais bien en chair, maintenant, depuis que je sais que j’ai mangé une partie de quelqu’un, il m’arrivait de me faire vomir…d’où le fait que je sois mince. Je ne supporte pas la violence et je me retrouve en plein milieu… Voila vous savez tout a présent… »

Je mimais la personne triste mais soulagé de se dévoiler enfin, sans honte, tel un petit enfant n’osant avouer quelque chose a la petite fille qu’il aime.
Je la regardais enfin en attendant sa réponse.

Je me levais et lui dit :

« Je reviens dans deux minutes, notre chère ami a oublié son journal. »

Je pris le journal ou il était en première page, me dirige vers le petit couple, et tend le livre a mon ami, en faisant en sorte que sa compagne puisse bien voir l’image et le titre parlant de lui. »

« Vous aviez oublié ceci ! Ne me remerciez pas, c’est tout naturel ! »

Puis repartis m’asseoir en face de mon amie et attend sa réponse.

Invité

(Tu oublis que j'ai moi même prit le journal avant et j'ai bien pris soin de le mettre dnas ma poche, mais à moin qu'il y est 10 000 journals dans la bibliothéque alors :))

Invité

Théodore me sourit mais j'ai l'impression qu'un voile est pass édans ses yeux. Quelque chose doit lui tourner dans la tête. Quelles pensées peuvent ainsi l'assombrir. Quel secret n'ose-t-il avouer. Je lui sers encore un peu plus fort la main. Je sens la chaleur de son corps contre moi.Je ne pense qu'à cette sensation oubliée d'apaisement intérieur et je veux profiter de l'instant présent. Mais je veux aussi le faire partager à Théodore.

Il vient de me répondre qu'il me suivra là où j'aurai envie d'aller. Je ne connais pas grand chose dans cette prison. Et je ne suis pas sure qu'il y ait vraiment des endroits tranquilles àpartager à deux. Mais une idée me trotte dans la tête. Il y a de nombreuses heures que je suis levée, mes vêtements me collent à la peau. Je ressens l'envie de prendre une bonne douche. Et si nous allions par là-bas...

"Et... qu'est-ce que tu dirais si nous allions jusqu'aux douches?... j'ai tellement envie de prendre une douche... Ca me fera du bien... tu n'en as pas envie toi?"

Et je prends la direction de la sortie de la bibliothèque pour aller vers les douches emmenant le jeune homme.

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