Pv Thorkel

Ian

Je me sens bizarre et perdu dans ma tête. J’ouvris mes yeux et tout ce que je vois c’est du noir avec une petite lumière devant moi. Je vois flou…très flou…non mais… où suis-je!? J’essais de bouger ou de me lever, mais rien. J’ai une douleur derrière ma tête qui me fait mal et qui m’énerve. J’entends quelque instant pour ensuite regarder autour de moi. Je suis….coucher….dans un coin…sur une table!?Attaché!? En plus...je ne puis bouger mes bars et mes jambes….comme si une sorte de corde ou des chaînes me retiens très fort.

Bon…là….je vais essayer de me défaire. Je bouge à gauche…et maintenant à droite….merde…rien!? Ce type veux vraiment pas que je parte ou quoi!? Là…je veux vraiment quitter ce lieu. Je regarde à ma droite puis…je vis que je suis...dans….une salle de torture!? MAIS!?....ok…je ne veut pas voir ce type…mmm…dans un sens oui…je pourrais le connaître et lui METTRE UN RACLER…il m’énerve déjà…oh mon dieu…je ne veut pas qu’il soit un gros pas beau gardien avec des poils sous les aisselles….ou peut-être...un vieux pervers en manque de sexe qui me veux à cause de ma beauté!...NON! JE VEUX SORTIR DE LÀ! Je ne veux plus voir de LAIDEUR!

Après quelques minutes, j’arrête de me débattre. Merde…j’ai mal à la tête, je suis FRUSTRÉ et puis j’ai faim….mmm….comment je pourrais formuler…que….JE DÉTESTE D’ÊTRE ATTACHÉ ET EN PLUS…JE DÉTESTE D’ÊTRE DOMINER! Arg….

- Espèce de….si tu est là...détache moi avant que je te pète les deux jambes et que j’en fasse un rôtis pour les cannibales et puis…avec ton visage…je vais en faire un chandelier…à non…c’est vrai….si tu est TROP laid…tu va tout gâcher!

Bon…là je parle tout seul. Bien jouer Ian…bravo…tu est le parfait imbécile attacher sur un table…gggrrrrrrrrrr…..j’ai hâte de voir la face du type qui ...A...OSÉ...de m’attacher ainsi…

Je patiente tranquillement son réveil. J’ai hâte de voir la tête qu’il va faire, ce qu’il va dire. Depuis que je l’ai amené ici et attacher, je me suis mis dans un coin le plus sombre. Je me suis placé conte le mûr froid de la salle, les bras croisés, signe que ma patience est grande. Il me donne le loisir de l’observer. En le regardant allongé là sur la table, je me dis que j’ai fait une belle trouvaille. La perle rare en somme. Quand j’ai vu cette beauté dans le couloir, je n’ai pas pu m’empêcher de le vouloir, d’en faire ma chose. Enfin quelqu’un d’intéressant a se mettre sous la dent.

Il bouge enfin, le réveil va être un peu pénible pour lui. Il ne s’y attend même pas, ça m’excite. Je me demande par quoi je vais commencer. Il gesticule comme un beau diable, tant mieux, le coup que je lui ai porté n’était pas trop grave. Avec une telle vivacité il me prouve que le jeu va être délectable. Un vrai petit bijou prometteur.

Maintenant il crie, vocifère contre moi, pourquoi me prend-il pour un laid, il m’insulte sans m’avoir vu de ses yeux. Il commence mal, à ça place j’aurais mis un petit bémol s'il y a une chose que je déteste se sont les insultes un peu trop faciles. il fait gamin comme ça. Mais bon là ou il est c’est assez normal de réagir comme ça. Mais il ne va pas falloir qu’il pousse le bouchon un peu loin. Cela m'embêtera de le corriger tout de suite alors que l'on a pas fait encore connaissance dans les règles.

Je ne peux m’empêcher de rire dans mon coin, moi en forme de chandelier mais ou a-t-il pécher un truc pareil. Bon maintenant assez rit, il est tant de me présenter à lui. J’ai hâte de commencer avec cet appétissant Apollon.

Je m’avance vers la table en sortant de l’ombre. Tout en marchant vers lui, je sors mon sabre, il ne me quitte pas et il est bien caché sous mon pardessus noir. il est rare que je l'utilise, mais aujourd'hui je sais un peu spécial, car il est spécial. Je vais le tour, très lentement de la table, son visage est réellement sublime, j’espère qu’une chose que son corps le soit aussi. J’aurais touché le gros lot, je vais toucher au charme de cet homme. Mon sabre passe près de lui, de son visage.

*je le taillade ou pas, comme ça il ne sera plus à personne, mais à moi seul*

Mais avant je descends mon bras armé, ma lame capture le premier vêtement, sa veste de détenu. J’en coupe les boutons, j’écarte les pants, je refais de même avec son T-shirt. Je n’ai pas encore regardé son expression du visage, que pense-t-il à présent ?

-Ce beau corps si bien dessiné, cette peau nacrée, je vais les posséder, les détruire peut être. Dès à présent tu vas être mon jouet, j'aime en faire le tour jusqu'à épuisement. On ne m’insulte pas. Je déteste ces mots désagréables

Ian

J’essais encore de me détacher en essayant de me contorsionner, mais rien ne marche. Il m’a vraiment attaché bien dure et très bien solide. Grrrrrr, là j’ai froid et j’ai vraiment faim. J’ai faim de plusieurs choses en même….faim de bouffe, faim de rire, faim de sang et de sexe….arg…j’ai faim tout court. Mmm….le plafond à l’air vraiment laid….mon dieu…je suis vraiment dans une salle de torture ou dans une salle d’un gardien fou… laid comme un singe mal lavé? Ou pire!?….MON DIEU….pourquoi …j’imagine un homme chauve, binocle, qui adore les vieux films de Rintintin ou bien les films de cow-boy…eerrrkkk…il doit être un culotter en manque d’homme?

Après quelque minute de silence, je sentis quelque chose bouger pas loin de moi. Mon regard c’est vite dirigé dans un coin sombre et je vis un homme habillé de noir aux cheveux blonds avec un teint très pâle. Il marcha très doucement autour de moi comme un prédateur avec sa proie. J’ai très bien vu son sabre m’approcher de moi. Non mais, on n’est pas dans l’époque Édo ou bien dans l’époque ancien temps! Il se croit pour qui? Un samurai? Un imbécile costumer?...ggrrr…Je n’aime pas l’ambiance et puis….cet homme…n’est pas ce que j’ai imaginé…il n’est pas laid…mais...pourquoi je dit cela!? Non…je crois que je deviens fou…pourquoi je dis qu’il n’est pas laid? ARG!

Dans le malheureux moment, il pointa le sabre près de mon visage. Je resta silencieux et mon regard observa la lame argentée qui me menaçait de détruire mon visage si je faisait quelque chose de trop…merde…dans quel pétrin la vie ma mise…elle veux ma mort ou quoi!? Maintenant, l’homme à côté de moi….m’enlève mon chemisier avec douceur...puis…mon pantalon et à la fin...mon chandail. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai resté immobile en regardant sa lame toute le long. Je déteste quand qu’on me prend pour une proie…peut-être qu’en jouant trop avec la mort, la vie ma réservé une torture et une grande punition. Quand il fit les gestes un par un, mes joues furent rouges sans que je m’en rende conte…j’ai peur et je ne sais pas ce qu’il va me faire…minute….moi peur? PIIFFT! JAMAIS! Pour qui il me prend ce type? Même s’il n’est pas laid, pourquoi moi? Parce que il est tellement désespérer de la vie qu’il s’en prend aux détenus pour les torturés ou bien les déshabiller pour en faire des films pornos personnels? Non…je ne veux pas faire cela…non…non…non….merde….

-Ce beau corps si bien dessiné, cette peau nacrée, je vais les posséder, les détruire peut être. Dès à présent tu vas être mon jouet, j'aime en faire le tour jusqu'à épuisement. On ne m’insulte pas. Je déteste ces mots désagréables

Dit-il. Ce beau corps…qu’est-ce qu’il veut dire…il veut les posséder à lui seul ou le détruire!? Grr….LÀ il m’énerve….il m’a déshabillé pour me faire honte, maintenant il veux vraiment me prendre pour un jouet…en faire le tour jusqu’à épuisement? Est-ce que j’ai bien compris?...Tsk…Allé...baise moi comme un chien et après cela ...je vais te tuer pour m’avoir attaché et me traité comme une petit proie innocente qu’on va égorgée de peur! HA! Monsieur n’aime pas être insulté? Alors…j’ai le droit parce que là il m’insulté en m’attachant…moi qui a l’habitude d’être le prédateur…maintenant cet homme EST le prédateur et moi….la petite proie. Grrrr….J’ai envie de lui faire mordre la poussière en lui pénétrant des aiguilles dans le cœur. Tu va voir…cela va être ta mort mon cher...ta mort pour m’avoir attaché comme une brebis qu’on va tuer et manger sa chair.

- Hmph! Qu’est-ce que tu va me faire?, dis-je avec un air hautain en essayant de cacher ma gêne, tu va me baiser jusqu’ à t’épuiser? Ou bien tu vas me faire les 101 histoires de tortures sexuelles? Tsss…

Je le fixe, mais c’est qu’il prend un teinte rougeâtre, ce n’est pas difficile de l’embarrasser celui-là. Il se tortille comme une anguille sur la table. Il va falloir qu’il arrête ça, cela lui fait une danse trop sensuelle, il n’a même pas idée. Il ondule du bassin, il est très souple en plus.

Je ranger mon sabre, pour le moment je n’en ai plus besoin. Je ne vais utiliser que mes mains, ça va être divin. Je reviens à lui, il en proie à une colère froide, je constate qu’il me lance un regard meurtrier, c’est très bien. J’adore cette manifestation de sentiment. Je me demande s’il doute de lui, entre passer de rouge à la fureur, il ne faut pas aller chercher bien loin. En complète contradiction mentale, je veux, je ne veux pas.
Je ne peux m’empêcher de sourire, et là c’est sûr il le prendra très mal.

*- Qu’est-ce que tu va me faire? Tu va me baiser jusqu’ à t’épuiser? Ou bien tu vas me faire les 101 histoires de tortures sexuelles? *

Tu as beau te défendre de la sorte rien ne changera. S’il croit m’énerver, ou me faire sortir de mes gongs avec ce genre de phrases, c’est encore raté.
Je n’ai vraiment pas réfléchit à la question, tout c’est passé si vite que j’ai commencé par l’attacher. Je ne le connais et je veux éviter tout tracas, j’ai peu être affaire à une furie.

-Que vais-je t faire pleins de choses agréables et moins agréables aussi. Coté torture je manque de pratique en ce moment, on dirait que tout le monde veux se tenir à carreaux. Ca me manque.
Tu connais les 101 histoires de torture ? On est connaisseur alors, je ne sais pas si je sais en faire 101, mais si tu veux bien nous pourrions les compter ensemble, comme ça je saurais ou j’en suis.
Quand à te baiser jusqu’à "T"’épuiser c’est une bonne idée, entre deux tortures, ça te dis, HISTOIRE de te récompenser de me laisser faire. Je suis sûr que tu vas adorer.

Là, il est vrai que je ne peux qu’éclater de rire. Il a une tête à faire peur. S’en doute de la peur, et de la rage déforment ses traits pourtant si beaux quelques minutes auparavant. Que m’importe, il n’a pas le choix.
Pas question de le laisser miroiter plus en avant, je le quitte brusquement pour me diriger vers une petite armoire, que j’ouvre avec mes clefs. Là est entreposé différents outils, je regarde ces instruments, et je m’empare d’un couteau à fine lame. Je ne veux pas que les marques restent trop visibles sur ce corps sveltes.

Je me retourne, pense un peu à la suite des événements puis je marche en direction de la table.

-Alors tu as déjà bouffé ta langue ? C’est pas bien, je vais en avoir besoin d’ici peu.

Je passe la mienne sur mes lèvres.

Ian

Il me souriait après avoir dit ma première phrase pour me défendre. Haha….c’est cela…c’est cela que je pensais….il va vraiment me faire n’importe quoi et puis je n’aime pas son sourire…il me fou les chocottes bordel! Il a l’air d’être un maniaque sexuelle en manque ….non…PIRE! En plus, son regard…il est presque pareille que le mien...lui et moi nous avions la couleur bleu et le gris imprégné de folie….grrr…pourquoi il est une face d’ange…OH! Je rêve…cela doit être un rêve! Un ange qui me torture peut toujours vouloir dire que la vie me réserve la torture et la mort le plaisir…à non…là je réagis comme une fille…beurk! Il a de long cheveux blond, des yeux comme le mien puis un beau visage pâle….erh…je comprend plus rien…je suis attaché et là…je dégringole…

-Que vais-je t faire pleins de choses agréables et moins agréables aussi. Coté torture je manque de pratique en ce moment, on dirait que tout le monde veux se tenir à carreaux. Ca me manque.

QUOI? AGRÉABLE ET DÉSAGRÉABLE? …bordel…il veut me faire craqué pour me torture…alors cela ne marchera pas avec moi! Aaww...pauvre petit...cela lui manque…et EN PLUS…il manque de pratique…HA!...Je m’en fou…je comprend pourquoi le monde ne veut d’un ange qui attache …hehehe…

-Tu connais les 101 histoires de torture ? On est connaisseur alors, je ne sais pas si je sais en faire 101, mais si tu veux bien nous pourrions les compter ensemble, comme ça je saurais ou j’en suis.

Là il m’énerve. Je suis un expert dans la torture et personne vas oser me dire cela…j’ai vraiment envie de le tuer!!!!

Quand à te baiser jusqu’à "T"’épuiser c’est une bonne idée, entre deux tortures, ça te dis, HISTOIRE de te récompenser de me laisser faire. Je suis sûr que tu vas adorer.

Puis-je dire que je veux sa peau sur un plateau d’argent? Puis-je dire que je veux sa tête sur mon foyer? Puis-je dire que j’ai vraiment envie de l’offrir aux cannibales? Bordel, Il a mit un grand accent sur ‘’T’épuiser’’….gggrrrr…moi être épuiser pour cela? Nah...il va voir...je suis pas une poule mouiller! Oui…un ange me dire cela PFFF!!! Il veut juste me faire peur...il ne va pas le faire! J’ai encore mal en arrière la tête, mais dans les rêves c’est normal! …Histoire de ma récompenser….moi adoré? ….

Après avoir fini son petit discours, il pouffa de rire. Il rit comme un gros laid…beurk! Il alla, ensuite, chercher quelque chose dans une petite armoire pour en sortir un objet. Je me demande quoi…tsk! Je suis sure qu’il va me montrer un caméra et me dire’’ Cela est pour filmer nos performance...non…ma performance et ta honte!’’. Vraiment, s’il dit cela, je vais lui sauter à la gorge et essayer de me débarrasser de ses menottes qui me font mal.

Il revint avec scalpel en me disant.

-Alors tu as déjà bouffé ta langue ? C’est pas bien, je vais en avoir besoin d’ici peu.

Il va me couper la langue!? Attend, est-ce qu’il est vraiment un ange? Est-ce que c’est bien un rêve?Bordel! En plus, je me sans tout nue et je ne veut pas que quelqu’un voit mes nombreuses cicatrices sur mes mains. Je regarde en haut pour les voir pendant quelques secondes, puis je reviens vers cet homme. J’essais de les cachés.

- Ma langue? Alors t’en a de besoin? Tsk!, dis-je avec un air sensuel, je ne savais pas que tu voulait te faire plaisir avec cela…ta femme t’a pas satisfait?...Awwww, que la vie est triste pour toi!

Je fis une pose un peu provocatrice. Ma tête un peu de côté avec un regard sensuel. Mon corps un peu vagué et mes jambes ensembles. Même si je suis attaché, mon corps peut bouger à peine. Je suis souple…mneh…

- Aller mon chou!, dis-je en riant sensuellement, Vas-y! Viens me chercher?

Je me fiche de son scalpel. J’essais d’épargner la torture forte…en vrai dire…je déteste que quelqu’un me fait la torture…parce que c’est moi qui le fait…pas quelqu’un à pars moi…Pis, je rêve…ce n’est pas la réalité…arg! La ferme Ian! Tu résonnes comme une femme! Erh… Je vais essayer de jouer un jeu avec lui…mais il ne m’aura pas!

Je le regarde comme s'il avait perdu la tête, mais était-ce vraiment de la folie. Il peux passer de la tristesse, à la provocation en allant vers la sensualité.
il me cherche c'est indéniable, et bien il va pouvoir faire montre de son charme, ou de ses charmes, on verra le moment venu.

*Mais de là à ce qu'il m'appelle mon chou, faut pas pousser*

-Alors comme ça tu veux faire le mariole avec moi. Très bien … Je suis sûr que je vais adorer ça. Mais NE M'APPELLE PLUS MON CHOU !! CONNARD! Quand à aller te chercher je ne vais pas parcourir des kilomètres et toi non plus. T'es pas bien là attaché sur la table …

Sur ce j'enfonce son couteau au milieu de son torse. Je ne suis pas allé très profond, juste de quoi apercevoir des gouttes de sang perler de sa peau blanche. Et contraste les deux sont fort saisissant, un régal pour les yeux, de la douleur pour lui. Je me penche sur la peau rougit, je la nettoie, de ma langue, les quelques gouttes de sang. Puis je me redresse et le gratifie de mon plus beau sourire.
Je me doute que c'est très peu de souffrance pour l'homme allongé sur la table. Car j'ai eu le temps de voir ce qu'il cache au niveau des mains. Avant qu'il ne referme ses doigts sur ses paumes, j'ai aperçu les cicatrices. Pourquoi vouloir les cacher? Des cicatrices j'en ai vu plus ici que nul part ailleurs, c'est chose courante.
Brusquement je me saisis d'une de ses mains et l'ouvre avec force pour les voir d'un peu plus près.

-Apparemment ce n'est pas la première dirait-on. Monsieur a déjà subit des sévices. Qui t'as fait celles-là? Et pendant que j'y pense donne-moi ton nom.

C'est vrai j'ai toujours l'habitude de savoir les noms et prénoms de ceux qui passent entre mes mains. Celui-ci ne ferait pas exception. Je lui pris le menton en forçant sur mes doigts pour que nos visages soient proches mais aussi pour qu'il me regarde bien en face.

-Alors cette langue …Fonctionne-t-elle toujours aussi bien … Je ne t'entends plus …


[DLS que ce soit si cours]

( J'ai essayé de poster avec un genre de musique différent, mais si c'est trop bizarre ou bien incompris..dis le moi ^^ oh et...j'ai eu mal à la tête alors j'ai essayé de faire de mon mieux >.<')

Ian

-Alors comme ça tu veux faire le mariole avec moi. Très bien … Je suis sûr que je vais adorer ça. Mais NE M'APPELLE PLUS MON CHOU !! CONNARD! Quand à aller te chercher je ne vais pas parcourir des kilomètres et toi non plus. T'es pas bien là attaché sur la table …

Dit-il en m’enfonçant un couteau dans le milieu de mon torse. Je sens quelque chose en moi qui voulais surgir, mais tout ce que j’ai eu c’est de la peur et de la honte. Tsss, il n’aime pas qu’on le provoque…alors il a pris la mauvaise personne. Je n’aime pas être ainsi …à cause des souvenirs qui me revient.

Quand la lame transperce ma peau, je sentis un pincement et la froideur du métal. Je fermis fort mes yeux quand il lécha mon sang qui coula de ma petite plaie. Un frisson parcouru mon corps et j’essais de caché mon visage le plus possible. Ses souvenirs que je me rappel…ceux que j’ai toujours détesté et voulu les détruire ou bien que je voulais m’en sortit indemne…revienne. Arg! Je vais rester silencieux et je vais essayer d’ignorer en pensant à autre chose. Mais comment je peux faire cela bordel! C’est que j’ai toujours fait dans mon passé….ignorer et perdre la mémoire ne pleine action. Je ne comprend pas ma réaction…d’habitude je répond et j’essais toujours de provoquer …mais là…je fait rien...comme si je restais la proie et lui le prédateur.

Quelque seconde on passé et il ouvrit mes mains de force. Non!!! Je ne veux pas qu’il le voit bordel…là je suis dans la merde.

-Apparemment ce n'est pas la première dirait-on. Monsieur a déjà subit des sévices. Qui t'as fait celles-là? Et pendant que j'y pense donne-moi ton nom.

Tsk! Monsieur à décidé de ce mêler de mes affaires? Cela n’est pas de ses ognons. Pourquoi le dire à cet homme que je connais à peine 10 minutes? Bordel…je pense que cela n’est pas un rêve. Je vais essayer de jouer un jeu ou bien embarquer dans quelque chose….erh…

Il vit que je ne réponds pas, alors il décide de prendre mon menton pour me voir de plus près. Je vois de plus près ses yeux qui ressemblent au mien. Je me perdis en ne sachant pas ce que je pense. Je me sens bizarre.

-Alors cette langue …Fonctionne-t-elle toujours aussi bien … Je ne t'entends plus …

Dois-je lui répondre? Tsk! Il me fait chier! On dirait qu’il m’hypnotise….je ne l’aime pas…on dirait qu’il veut entré dans ma vie…erh….je vais voir quelque chose…

- Ian…Darklion Veinslayn…, dis-je en essayant de regarder autre part que ses yeux. Si tu veux vraiment savoir pourquoi j’ai des cicatrices...alors je vais te faire un aveu. En échange…tu me promets de dire ton nom…Je ne veut pas ignorer celui qui à les mêmes yeux que moi…

J’attendis quelque seconde et pris mon souffle en essayant d’oublier le sang qui coulait de ma plaie.

- À pis bordel…tu veux vraiment savoir...alors quand dis tu si ton boss tu viole, te mutile les mains avec des fils en acier et te film en faisant du porno pour le vendre sur Internet!!!, dis-je fortement. Après, vous voyez qu’il fait juste de l’argent pour lui en vous utilisant comme une marionnette…et à chaque nuit qui vous viole…il vous rie dans la figure en disant qu’il vous aime mais cela n’est pas sincère…dire qu’il est celui qui t’a pris sous son aile et qu’il dit que vous êtes son chouchou…mais dans le fond il vous traite comme un rien…vous avez longtemps travailler pour lui en tuant ses ennemis et en lui ramenant de l’argent pour ensuite mériter quelque chose en retour…mais tout ce qu’il vous a donner c’est de la nourriture…de la mutilation…du sexe et un théâtre pour pratiquer votre plus grand rêve…

Mes yeux se remplirent d’eau sans que je sache. Je me suis arrêté, voulant vider ce que j’avais sur le cœur, mais il fallait que je lui dit…si cet homme était vraiment un ange ou bien quelqu’un dans un rêve.

- À la fin, quand il voyait que vous êtes un peu trop puissant pour lui...il vous à jeter comme de la merde …alors comment vous voulez que je réagissent...HEIN? Je ne sais pas qui pourrait comprendre ce que je ressent…PFFF…vous peut-être? Ttssss...je pense pas…

Je lâche sa main abimée, puis je m’éloigne aussi de lui. Je ne m’attendais pas à un tel revirement. J’ai beau chercher loin dans ma mémoire depuis que l’on est ici, je ne vois pas … Je ne vois pas à quel moment on est venu échanger mon prisonnier.
Finis l’arrogant, le joueur de charme … Place au vrai Ian Darklion, et son visage en larmes.
Je regarde encore, l’eau de ses yeux coule comme une source limpide. Il ne me parait plus comme avant. Il n’y a plus qu’une émotion qu’il montre et pour un homme comme lui cela doit être pénible … Comme sa vie, je crois que c’est le seul détenu dont je me charge qui a reçu de tels sévices. Comment peut-on tomber aussi bas ? Comment faire de telles choses aussi bestiales sur un être humain.

J’ai l’honnêteté de dire que je suis consterné par ce qu’il a vécu, quand d’autres s’en foutraient. Même si c’est un détenu, je peux simplement avouer que son histoire m’a touché, surtout la façon dont il l’a narré. Peut-on comprendre si on ne l’a pas vécu …Non, mais on peut compatir. Le mal est fait, il n’a eu personne pour le sortir de là. Combien de jeunes sont passés par là. Un certain nombre, et il y en a quelques uns ici.
Je ne m’éloigne plus, j’avance près de lui. Sa détresse est palpable. Chaque parcelle de son être est envahie par cet émotion qui peu détruire une personne en un rien de temps qu'il faut pour le dire.

Lentement, doucement mes mains se posent sur ses joues. De mes doigts j'essuie les larmes qui y coulent encore, dans une caresse. Je ne dis rien, pourquoi faire, je ne fais que cette chose simple, mais qui parfois apaise.
Je l'avais trouvé séduisant dans le couloir, à ma première rencontre avec lui, maintenant c'est bien plus que cela. Maintenant il me captive bien plus que cela. Ses yeux, de la même couleur que les miens comme il aime le dire, sont plus limpides qu'avant. Ils ont changés, magnifiquement.
Je me penche vers lui, mes cheveux en profitent pour venir effleurer son torse nu, imberbe et blanc. Je dépose un baiser sur son front pour qu'il se calme, pour que ses larmes se tarissent. J'aimerais faire plus mais ce n'est pas vraiment l'instant. Qui c'est peut être j'aurais se désire.
Vais-je encore me montrer conciliant? Je l'ai déjà trop fait. Je suis celui qui l'a attaché à cette table, alors je peux me permettre ce geste si anodin soit-il. Je ne peux rien dire sur ce que je ressens, j'en suis bien incapable pour le moment. Je ne suis qu'un gardien qui doit cacher ses émotions, ne jamais les divulguer …ou presque.

-Thorkel Daarkenwald … c'est mon nom.

Et en tout Thorkel qui se respect, je pourrais peut être goutté à ces charmes, et cette peau blanche de pureté qui n'en a que la couleur.

Ian

Quand il posa ses mains sur mon visage, je sentais une forte présence m’entourer. Il m’essuya mes larmes et moi...tout ce que je faisais c’est essayer de ne pas pleurer comme un enfant qui est gravement blessé. Je ne comprenais pas sa réaction. Il me réconforte avec de tendre geste qui m’apaise, mais je voulais crier de tout mon âme la colère emmagasiner depuis toutes ses années. Là je me déteste. Je pleur devant cette inconnu….et cela me fait honte. D’habitude…je ne pleur jamais devant quelqu’un sans raison et même encore…j’ai toujours caché mes émotions à qui qu’onc.

Le vide du plafond est comme un écran de douleur. Je vois tous mes souvenirs défilés par un comme …si cela veut encore plus me tuer ou bien m’anéantir. Une ombre passe dans mon visage et je vois soudainement cet homme s’approcher de moi. Ses cheveux caressèrent mon torse dénudé avec tant de douceur comme si ils viennent effacé chaque parcelle de ma douleur. Je sens comme s’il chaque des mèches me donnèrent un frison et un réconfort. Je ne comprends pas et je me perds dans ma tête.

Il dépose un baisé sur mon front ce qui me fait chavirer de ma pensé. Même si je suis inerte, je commence à rougir. Pourquoi? Mais…pourquoi?....Je ne comprend pas. On dirait que j’aperçois des ailes de lumière autour de lui. J’y vais un peu trop fort. Imaginer que cet homme est un ange qui vient apaiser mes douleurs? NAH!....je….je suis confus….je suis trop confus….je suis peut-être entrain de devenir fou…

-Thorkel Daarkenwald … c'est mon nom.

Mon regard se pose sur celui de cet homme…nommé Thorkel. Je le regarde comme si j’étais une brebis noire égarée dans un troupeau de brebis blanches.

- Thorkel…?

Après quelques secondes, je me retourne le visage vers ma gauche en rougissant de plus belle.

- Pourquoi êtes vous ainsi avec moi? Pour vous je ne suis qu’une simple vermine…alors pourquoi ses tendres gestes? Pour me faire du chantage? Ou juste parce que je fait trop piter?

Je le sens par ce que je lui impose. C'est normal, il ne doit pas avoir l'habitude qu'un homme s'occupe de lui ainsi. Surtout après ce qu'il vient de m'avouer.

Son visage devient cramoisi. Il est encore plus appétissant quand il rougit. Il tourne la tête, encore une fois, comme c'est mignon, mais pas pour longtemps. J'aime le regarder, voir ses traits fins changer d'expression au fur et à mesure de ses pensées. Je peux lire en lui comme un livre ouvert. Ces songes vont vers moi, je crois que je lui inflige le doute, mais quel est ce doute.je regrette vivement de ne pas lire dans les esprits. Ce serait beaucoup trop simple et passablement excitant.
Je me saisis de son visage, je veux qu'il me regarde dans les yeux. Ce que je vais lui dire ne va pas lui plaire mais mettra un terme à toutes ses pensées, celles qui ne vont pas dans mon sens. Et à moi la transformation de sa figure.

Ian croit que c'est de la tendresse que je lui apporte, mais je vais vite le détromper. Malheureusement pour lui. Il m'intéresse c'est vrai, mais pas pour un moment de tendresse. Je ne désire que posséder son corps de quelques manières que ce soit.

-J'aime les gestes tendre parfois … Mais ne te méprend pas sur mon compte. Je n'ai aucune pitié pour les vermines de ton genre. Tout ce qui m'captive c'est mon plaisir avant tout. Et ton corps va me le donner.

Mes deux mains se saisissent de sa tête, je la relève un peu vers moi. Nous sommes maintenant très proches. Je peux sentir son souffle chaud sur ma peau.

-Je ne suis pas comme ton ancien Boss. Je ne cacherais rien sur mes intentions véritables.
Et pour commencer …

Ma bouche se presse contre la sienne. Le baiser est brutale, possessif. Plus de tendresse, elle s'est envolée pour faire place à la violence d'une étreinte sauvage.
Ma langue force le barrage de ses lèvres. Quand enfin elle capitule, je viens jouer les troubles fêtes à l'intérieur de sa bouche. Je m'incruste, je la cherche. Nos langues se trouvent, mais je sais que c'est involontaire de sa part. Qui voudrait d'un baiser forcé avec une personne du même sexe. Mais je continue de jouer, de le contraindre. Il capitulera aussi …

Je fus surpris quand il m’embrassa. J’ai essayé de l’en empêcher, mais rien à y faire. Sa force était trop présente et moi je me sens faible de plus en plus. Je n’ai pas dormit depuis 3 jours à cause de Mina qui chantait dans ma tête. Maintenant, je pense à ce Thorkel. Il me veut quoi au juste. Je veux vraiment avoir sa tête sur un bûcher quand il m’a traité de vermine. En plus, il veut du plaisir avec mon corps…alors il veut me violer et en faire un objet sexuel. Bordel, à chaque fois que je suis pas sur mes gardes…il y a toujours un qui me saute dessus pour m’avoir comme jouet sexuel. Je suis quoi moi? Rien qu’un pauvre idiot qui fait bien la job de sexe?....je ne suis pas un prostitué…loin de là…même si je l’ai déjà été…

Je sens sa langue contre la mienne. Je panique. Je ferme mes yeux le plus fort possible et tout ignorer, mais j’en suis pas capable. Je serre mes mains ensembles. Tellement que ma colère qui monte que mes bras en tremblent. J’essais de me défaire de son baisé en tournant ma tête de côté. Je sais que ses mains me tenaient de côté, alors je décide de le mordre très fort.

- Je ne suis pas un animal qu’on prend à la légère et non plus une vermine, dis-je fortement en colère en bougeant comme un détraqué. Tu me crois pour qui ? Un prostitué ? Une poupée gonflable ? Un objet sexuel facile? Va chier!!!

J’essais de me défaire de mes chaînes en bougeant mon corps comme un fou. À force de trop bouger, je sens du sang et des plaies qui se forment. Je tape fort sur la table avec mes coudes et mon dos.

- Salopard! Détache moi tout suite pour que je saute sur ta petite gueule pour la démolir.

Je commence à être trop nerveux et avoir peur. Des larmes s’échappent et mes yeux se remplirent de colère.

- Je ne suis pas une poupée et non loin qu’un objet de plaisir! Connard!

Il se débat comme un hystérique, un beau sauvage. Je n’ai que faire de sa colère de sa hargne envers moi. Je me redresse et le laisse faire.

*Grand bien lui fasse, il aime avoir mal ce petit*

J’ai du sang coulé le long de ses poignets. Je ne vais pas pouvoir m’attaquer à ce coté-ci, c’est trop entamé. Mais son corps recèle encore d’endroits inexplorés et intactes, je ne fais pas de soucis.
Il devient virulent, m’insulte encore une fois. Quand est-ce qu’il va comprendre qu’il ne faut pas faire ça. Je l’avais pourtant prévenu. Ses yeux sont larmoyants, comme c’est touchant de voir qu’il peut être en larmes tout en étant en colère. Je serais presque ému … Nan ! Sans rire … pas de pitié !

Bon il va falloir s’y mettre. Dans un grand élan je lui flanque une baffe monumentale. Sa tête part avec force à droite. Je crois que j’y suis allé un peu fort, il me parait sonné. Une marque rouge vient teinter son joli visage, elle va sûrement changer de couleur bientôt. C’est bien dommage, cependant il l'a mérité. Pourquoi les détenus sont toujours à faire le contraire de ce qu’on leur demande. Je soupire un peu, je reprends le fil en cours, c'est-à-dire ce corps qui m’appartient dès à présent. Le léger détail inconnu, c’est qu’il ne le sait pas encore. Je vais m’employer à le lui faire réaliser cet état de fait.

Je penche de nouveau sur lui, je reprends la tête entre mes mains. Je le force à me regarder. Je veux encore voir ses yeux humides. Et c’est moi qui lui est fait ça, tout est de ma faute. Il fallait bien en arriver là puisqu’il ne saisit pas ou est la place, c’est pourtant clair et limpide.
Sur cette table, juste pour moi.

-Je t’avais demandé de ne pas m’insulter, de rester à ta place. Tu fais tout de travers, tu es à moi, peut m’importe ce que tu as fait avant, tu es là en ce moment pour moi. C’est clair dans ta p’tite tête. Tu auras beau gueuler et te débattre, je m’en contre fou.

Sur ce, je déchire que qu’il restait de sa chemise en lambeaux. Elle vole loin de nous, dans un coin de la pièce. Se déchet il ne le mettra plus de toute façon.

Je recouvre ses lèvres de ma bouche, je repars à la recherche de sa langue. Et plus question de le laisser contester, palabrer. C’est décidé il sera à moi, même sous la torture.

-Laisse-toi faire ou tu auras très mal. Tu te soumettras d’une façon ou d’une autre.

Mes doigts parcourent son corps, je déchiffre chaque parcelle de peau. Quand ma main passe sur sa poitrine, je sens son cœur battre à une vitesse folle. Je crois que j’ai fait un choix judicieux en le prenant lui. Mon exploration est merveilleuse, je me sens de plus en plus excité. Mais je veux que cela dur longtemps, et je prendrais tout mon temps.
Il aimera c’est certain.

Ian

Il voyait que je me débattais trop, alors il me frappe sur mon côté droit de la tête. À ce moment, ma douleur fut si forte que je me suis calmé rapidement. Ma tête reste immobile, toujours vers le côté droit et mes yeux démarquent une colère profonde et bouillante. Je veux le tuer, je veux le faire regretter de toucher à mon beau visage et à ma personne. Il n’a pas le droit de me toucher avec ses mains sales. Même si ce mec aux mêmes yeux que moi, jamais je ne le pardonnerais. Comment faire confiance à un homme qui veut te violer et t’avoir en entier. Moi, je le tuerais tout de suite ou peut-être le violer moi-même et le torturer. J’ai mal à la tête depuis le cou et je me sens un peu étourdit.

Il se penche de nouveau vers moi et me pris la tête. Mon corps reste immobile, sauf mes yeux. J’essais de détourner son regard pour ne pas pensé à rien. J’ai vraiment envie de pleurer, mais je me retiens.


-Je t’avais demandé de ne pas m’insulter, de rester à ta place. Tu fais tout de travers, tu es à moi, peut m’importe ce que tu as fait avant, tu es là en ce moment pour moi. C’est clair dans ta p’tite tête. Tu auras beau gueuler et te débattre, je m’en contre fou.

Pourquoi tout le monde veut me posséder? Qu’est-ce que je suis vraiment à leur yeux et…qu’est-ce que j’ai de si beau? Je suis narcissique, mais d’une autre manière. Devant les faibles je le suis, mais devant plus fort que moi je ne le suis plus. J’essais de toujours être plus fort que les autres pour mériter le respect.

Depuis qu’il ma dit cela, je pense à mon ancien boss qui me disait la même chose. ‘’ Tu est à moi et peut importe de que tu fais…tu sera toujours à moi. Même si tu gueule ou bien tu te débat...cela m’excitera encore plus et je voudrais plus te baisé.’’ Alors, j’arrête tout mouvement pour me retenir de faire pire. J’ai mal aux poignets et aux jambes. Sauf que je m’en contre fou pour le moment.

Quelques secondes qu’il m’a dit cela, il m’arrache le reste de mes vêtements. Il m’embrasse ensuite, mais j’essais de le repousser. Ses lèvres et sa langue son sur les miennes d’un tel rage que je ne puis résister. Sa passion qu’il exerce pour m’avoir est grande…et j’ai peur.

-Laisse-toi faire ou tu auras très mal. Tu te soumettras d’une façon ou d’une autre.

Je sens que ses mains et ses doigts passent tranquillement mon corps nu. Mon cœur bat la chamade. Je serre mes mains ensemble et mes jambes bougent une contre l’autre. À chaque centimètre qu’il passe avec ses doigts, je veux frissonner. J’essais de ne pas lui céder et de rester immobile pour qu’il m’abandonne. Je ne veux pas….me soumettre à lui. Je dois faire comme Elyan ? Se laisser se faire violer pour ensuite échapper à son ennemis pour le contre attaquer? Humm...bonne idée, mais je ne suis pas ce genre de personne. Se sacrifier soi-même? Je ne suis pas certain.

Je pousse quelques cris de gémissements. En même temps, je me retiens pour ne pas avoir du plaisir. Est-ce que je dois vraiment me soumettre pour ensuite le contre attaquer? Je vais essayer. Dans ce genre de situation, je dois faire un sacrifice…au moins essayé un. J’embarque dans son jeu, mais pas au complet. Je le laisse m’embrassé et je rajoute une petite passion. Question de le faire céder. Et puis, je rie. Je ne sais pas mais je rie. Je tourne ma tête et je lui dis d’une voix un peu bizarre.

- Pourquoi tu veux te salir les mains d’un être comme moi? Tu crois que je vais me soumettre à toi? Mon dieu…je ne suis qu’un pauvre détenu et toi un gardien…comment veut tu que toi...un homme d’une grande classe se salisse les mains d’un meurtrier qui à été un violeur à son tour? Je ne vois pas ce que tu trouves en moi de si beau…

Je me retourne vers lui et je lui lèche le visage avec une passion animale.

-Tu goûtes si bon, dis-je avec une voix sensuelle et un peu femelle. Que j’ai juste envie de te manger tout cru….

Je sais que ses mains me parcours encore le corps, mais j’essais de les oublier. Je ne comprends pas ma réaction encore. Je perds un peu la boule depuis que je suis attaché sur cette table. Je ne veux pas retourner dans mon passé. Je ne veux pas…

Je laisse encore ma main vagabonder au grès de mes fantaisies. Son corps ondule sous mes paumes. Mais cela ne doit pas être de passion, je crois qu’il essaie de se subtiliser à ce contact. Il sait pourtant que c’est peine perdue, rien n’y fera, il sera à moi. Pour ne pas l’admettre tout de suite, je pourrais être gentil.
Un gémissement sort de sa bouche sensuelle, ou cette fois je ne me trompe pas, c’est bien ça. Il aime alors et ne veut pas me l’avouer, c’est normal. Je lui fais de l’effet tout de même.
Tout à coup il rit, comment peut-on rire dans sa situation, alors qu’il risque de se faire violer. En faite c’est le cas pour le moment. Rire dans les circonstances actuelles est de trop. Puis il me parle maintenant, il parle de moi, le gardien et « grande classe », faut pas exagérer. Il me parle de lui, meurtrier et violeur.

*Je m’en fous, je lui ai pourtant dit. Rien n’y fera*

Quand son visage revient vers moi, il lèche le mien. C’est à rien y comprendre. Il me gueule dessus parce que je veux le violer. Maintenant il fait le consentant, sait-il ce qu’il veut ?
J’avais décidé de ne plus me poser de questions. De m’en foutre royalement de tout ce qu’il pourra me dire ou faire. Mais je ne retiens qu’une chose.

« Que j’ai juste envie de te manger tout cru…. »

Alors comme cela on est deux. Oui moi aussi j’en ai envie, chaud, très chaud
Je ne prends pas la peine de lui répondre. Pourquoi ? Mais j’ai d’autre chat à fouetter. Il vient bien de me dire qu’il en avait envie aussi, alors pourquoi tant de paroles inutiles.
Je reprends possession de son cou, je m’en détache pour descendre vers sa clavicule à ma portée, puis je descends encore inlassablement. Je veux le gouter encore plus. Mes mais prennent l’initiative, elles parcourent ses tétons, font un va et viens aérien. Ma bouche continue de le parcourir, elle descend rejoindre mes mains pour prendre le relais. Je goutte le premier téton, je le garde en bouche, le lèche, je redessine le contour de ma langue, mais se n’est pas suffisant. Alors je le mordille doucement, ensuite un peu plus fort. Aussitôt je m’attaque à l’autre … Même punition.
De ma langue je glisse entre les deux jusqu’à son nombril. Mon excitation est à son comble, je vais devoir accélérer les choses. J’agace son intérieur, l’humidifie, et dépose un baiser. Pendant je m’occupe de ce petit trou tout mignon, je donne à mes mains le droit de caresser l’endroit que je viens de quitter, ses tétons. Ils sont dressés au maximum, signe qu’ils ont aimé mes petites faveurs de tout à l’heure.
Puis mes doigts se déplacent, dévalent son corps mince, s’arrêtent sur ses hanches fines et divinement étroites. Mes doigts buttent contre l’élastique de son pantalon, ceux des prisonniers sont une bénédiction pour les gardiens comme moi. Pas de ceintures, pas de boutons, un plaisir, vite et bien fait. Je relève la tête, je suis presque assis sur ses genoux, je suis près à faire glisser le tissus trop gênant. Je le regarde un instant dans les yeux.
Ma voix se fait chaleureuse, sensuelle et grave, avec une touche d’ironie, je lui murmure.

-Qui va bouffer l’autre en premier, dis-moi … ?

Je sens qu’il est sur moi comme un poids très lourd. Ses mains et ses lèvres me parcourent le coup comme des mains d’anges salis par la luxure. Ensuite, je sens sa langue et son âme sur mes mamelons comme une douceur profonde imprégnée de lueur sombre. Je me retiens en me mordant la lèvre pour ne pas succomber à mes pulsions et mes frissons insupportables. Je bouge un peu en tremblant tout en me contrôlant. Je ne veux point tomber entre ses mains. Je ne veux pas…Je m’en veux de l’avoir fait réagir. J’aurait du écouter ma petite voix qui disais’ Non Ian, ne fait rien…ne le fait pas’’. Mais comme un idiot de la première classe, j’ai écouté le pire des hommes…moi…

Je sens encore ses lèvres et sa langue goûter à mes mamelles comme si il les mange avec du miel. Ses dents rejoignirent le lot tout en créant des frissons insupportables de plaisir. Je me mord encore plus ma lèvre tout en fermant mes yeux et en grimaçant de jouissance imprégné de douleur. Je revis mon passé et je ne sais plus quoi faire. Je dois retenir mes pulsions d’homme en manque pour le refouler en colère sur mon lit ou bien une autre personne. Pourquoi Thorkel me fait tout cela? Qu’est-ce que je lui ai fais de ci grave dans sa vie? Je ne comprends plus…


Ses mains et sa langue se dirigent tout doucement vers mon ventre pour ensuite s’arrêter sur mon nombril. J’essais de ne pas regarder et de me retenir, mais rien à y faire. En le voyant aller, mes joues devinrent rouges et mes gémissements augmentent. Mes bras tremble tellement que je me retiens. Je le vois avec son élégance blonde jouer dans l’orifice de mon petit nombril inoffensif et seul avec sa langue salie par la salive. Je veux lui dire d’arrêter et de partir, mais je crois qu’il ne m’écoutera pas. En fais, si je fais cela …cela voudrais dire que je suis un lâche. Non…je dois rester jusqu’au bout de la ligne même si ma vie en dépens. Je le vois et comment je fais pour le regarder. Non, il ne faut pas que je regarde…sinon je vais facilement tomber dans le vide.

Je ferme mes yeux tout en serrant mes poings. Je veux crier et dire quelque chose…appeler à l’aide…mais je ne peux pas. J’en suis incapable. Je respire de plus en plus vite en paniquant et en gémissant de tout les sens. Mes mains se serrent et je tourne ma tête vers le côté. Une larme s’écoule et je tremble en fermant très fort mes yeux. Je vois tous ses souvenirs d’enfance renaître des cendres de ce moment avec cet homme.

Quand il enleva ce qui retenait mon pantalon, ma tête se tourne férocement vers lui avec peur. Mes yeux ouvrirent grand et un désespoir surgir de mon regard. J’avais les chocottes. Je vois son sourire doux me danser dans le visage comme si de rien d’était. Son regard plonge dans le mien comme si il le détruit avec deus rayons lumineux. Sa voix grave si chaude grugea mes oreilles avec gentillesse et fierté.

-Qui va bouffer l’autre en premier, dis-moi … ?

Mes joues devinrent rouges encore. Je détourne son regard en tournant ma tête vers la droite. Mes yeux s’humidifient en voulant verser la peine de mon âme imprégnée de colère infinie.

- Tsk…tu veux aller jusqu’à là?, dis-je rauque et fébrile, Si tu fais cela...tu est un homme mort…

Je devine tout de suite la suite interminable et poussée. Je vois la scène défiler comme un film. Je le vois s’amusé avec mes bijoux masculins et moi, gémir et trembler de plaisir interminable et souffrant. Je ne veux pas…encore subir les mêmes moments de mon enfance. Ma voix se fit plus couper et essouffler.

- Tu vas voir, c’est moi….qui…te mangerais….si tu continue…

Je le regarde et je vois ses cheveux me chatouillé le corps tout en me donnant des frissons. Je me sens bercer dans les louanges des anges déchus, comme si cela est un rituel de sacrifice pour honorer la luxure. Je l’imagine, aussi, en vampire voulant mon sang pour son propre plaisir et se nourrir de mes pêchés et ma source vitale. Ses yeux profonds imprégnés de soif d’envie me grugent l’esprit. Je ne sais plus quoi faire avec lui…Je me sens impuissant…face à cet être qui m’aspire et crée mes satisfactions approfondies.

Ma voix si fis plus soumise et très profondément perdu.

- Thorkel…

[dsl je suis obligé de faire cours, sinon je vais faire trop jouer ton perso]


Il m’appelle, semble perdu. Que veut-il ? Il est en colère et l’instant d’après il est comme résigné. Je vais faire selon mon propre désir et croire que c’est ce qu’il veut.

Je me penche à nouveau sur son ventre. Je picore de petits baisers. Je ne veux pas de frustration, c’était assez pénible tout à l’heure. Non maintenant j’irais jusqu’au bout peu importe sa colère. Je ne veux entendre que des gémissements venant de sa bouche.

Je descends plus bas, ma main c’est déjà emparé de son pantalon et le faire glisser le long de sa cuisse. Je lui soulève un peu ses fesses et continue à faire descendre le tissu. Cette chose faite, je peux m’attaquer à son sous-vêtement. Ian se tortille, ne veux pas, mais je tire une bonne fois dessus, jusqu’à ce qu’un déchirement se fasse entendre. Le tissu n’a pas résisté, tant pis. Ainsi dénudé je dois dire que ce jeune a des atouts des plus séduisants, voir appétissants.

Je m’incline à nouveau, je dépose mes lèvres sur son sexe à moitié dressé. Il ne le sera pas pour longtemps, j’entends bien qu’il le soit complètement. Je le capture dans ma bouche, il se cambre, gémit. Même s’il ne le veut pas, il n’a pas le choix. L’homme est ainsi fait. J’entame de longs vas et viens. Des gouttes perles sur son gland, je les lève avec plaisir. C’est si exquis de le gouter.

Finalement je me redresse brusquement pour le contempler, ses yeux sont fermés. Je m’approche de lui tout en caressant son corps au passage. Je m’allonge sur sui et viens mordiller son cou gracile.

-Je sais que tu aimes même si tu me dis le contraire. Avoue et tu n’auras pas mal …

Ian

Je ne sais pas pourquoi, mais à chaque baisé qu’il me donnait….je sentais un couteau qui me travers en me jouant dans le corps. Comme si mon courage s’enlève à chaque lèvre posée…à chaque sensation de peur …à chaque fois qu’il s’approche. Les couteaux, vilains et vicieux, me fait tomber dans le plus profond de mes cauchemars. J’ai peur…très peur….mais en même temps…j’avais faim ….faim de quoi? Peut-être faim d’un plaisir gratuit…


Je me perds dans ma tête, voyant un côté sombre m’entourer. Est-ce ma peur ou bien moi-même? Je ferme les yeux et soudainement, je sens que Thorkel si dirige ou je pense : Mes partis génitaux. Il enlève rapidement ce qui les recouvre. J’essais de me tortiller avec les forces de ma volonté qui me reste, mais sa façon…il réussit. Un déchirement sonore sifflotait dans mes oreilles …comme pour m’annoncer ma peine de mort.

Ses lèvres se posèrent sur mon membre masculin. Je sens la sensation de sa salive et de sa langue comme un mini jouissance en hausse qui veux éclater comme le mont vénuse dans mon corps. Je grimace et serre mes mains ensemble pour résister à la tentation. Il continue et j’ai envie de me défouler, de jouir, mais je ne veux pas. Je me retiens….mais pourquoi je me retiens. Est-ce que je suis dégoûté? En fait oui….Dégoûté de quoi? J’en sais rien. Je me tortille, gémis avec une voix aigue en essayant de résister à tout se plaisir….mais pourquoi je fait ça? Tellement que je serre mes mains que mes ongles me fait saigner et entre dans ma peau. Je ne ressemble plus rien à pars les lèvres et le corps de Thorkel. Thorkel……Thorkel….Thor…Pourquoi à ce nom une excitation viens? MERDE….merde….je ferme les yeux et retiens mon souffle. Ne pense plus à lui…ne pense plus à lui….dduu caaallmmmeee.

Je suis excité, je frissonne, mais j’ai peur. Trouver l’erreur. J’ai peur qu’il me fasse les 101 tortures et qu’il me viole avec du gros sexe sale en riant de ma gueule. Je le vois qu’il arrête…et viens rejoindre mon cou. Je frisonne. Je pense au pire moment qui peut arriver.

-Je sais que tu aimes même si tu me dis le contraire. Avoue et tu n’auras pas mal …

Je tourne ma tête vers le côté et j’ouvre mes yeux à moitié Mes yeux avaient de la tristesse mélangé avec du plaisir…brillant avec l’eau de mes larmes. Je ne dis qu’un mot qui me passe par la tête. Je le soupir, un peu coupé et blessé imprégné d’innocence.

- Thorkel…thor…

Je referme mes yeux et je pense à lui. Maintenant, il me hante….bordel. Je respire un peu plus vite….je sens que l’excitation me monte et cogne à la porte en disant’’ Allez allez! Ouvre moi cette porte! Allez allez je veut entrer!’’ Innocente et perdu que je suis…je renonce à ma conscience et donne la place à mon plaisir qui était enfermer seul dans une cage.

Je me déraidis le corps et les mains, laissant place à la relaxation et un rire roucoulé s’échappe de moi. Je me tourne le visage vers lui, voyant qu’il me perce du regard. Je fonds. Je colle mon visage sur le sien et je gémis un peu féminin. Drôle d’action non? Pas pour moi…

-Thorkel, dis-je encore en gémissant dans son oreille. Sais-tu ce que tu es entrain de dire? Tu trouve petit…à petit…mon point faible…le plaisir…

Je le lèche subitement son oreille et un sourire grand me traverse le visage.

J’aime le son de sa voix, j’aime ce qu’il m’avoue. C’et tout simplement jouissif. Je sens sa langue me titiller l’oreille, il a donc conscience que j’irais là au grès de mon désir pour lui. Il ne fait qu’accepter ma demande, totalement consentant.

Ma main attrape son visage et je capture ses lèvres avec force. Je trouve le chemin qui me mène à sa langue, celle là même qui me prodiguait une douceur quelque instant plus tôt. Il me répond sans détour, l’appel est plus fort. Mon excitation aussi. Tout en continuant notre baiser, je quitte son visage, pour reprendre là ou j’avais arrêté. Mes doigts retrouvent son sexe durcit à l’extrême. Quelques gouttes de sperme commencent à en sortir. Preuve que lui aussi en de plus en plus éveiller au désir. Je lui prodigue une caresse le long de son membre. Mais le temps m’est compté, je suis moi-même à la limite du plaisir. Je ne veux pas que se soit un acte bâclé, je n’y vois aucun intérêt à ça. Pendant ce temps mon autre main lui caresse les cheveux, ils sont doux et soyeux. Comment un prisonnier peut avoir une si belle chevelure, généralement ils ne prennent aucun soin d’eux. Ou alors c’est naturel chez lui.

Je quitte cette bouche gourmande, ma respiration est plus forte, mon cœur bat plus vite, mon corps réagit plus vivement. J’ai besoin de me soulager maintenant, et le faire aussi pour lui. Je suis de plus en plus serré dans mon pantalon, il faut absolument que je me libère, ça fait trop mal. je me détache de ce corps chaud et me redresse. Je m’assois sur la table et défait mon ceinturon, puis ouvre ma braguette. Je peux enfin dégager mon membre en pleine érection. Je viens le retrouver. Je lèche mes doigts pour les humidifier au possible. Ceux-ci rejoignent l’entrée de son intimité, j’insinue un doigt. Je regarde le visage d’Ian. Mais maintenant je ne peux plus reculer. Pendant que mes doigts contentent son anus, j’en profite pour renouveler ma fellation. J’ai deviné qu’il en était très sensible, qui ne le serai pas ?

Ma langue vient régaler au bout de son gland rougit et humide. J’en aspire les gouttes qui perlent à son extrémité. Sa saveur est fort agréable, je pourrais y rester un moment mais je dois malheureusement écourter cette friandise Je lui fais des coups de ciseaux pour le dilater au maximum. Je me place entre ses jambes pour me mettre en position d’attaque. Enfin je ne crois pas que se soit le terme juste pour l’instant délicieux dont je vais être récompensé. Mais avant cela je reviens vers le doux visage d’Ian. Je mets ma main près de son corps pour venir à lui. Nos corps ne se touchent pas. Je crois que je n’y résisterais pas sinon. Mes lèvres prennent possession des siennes avec délicatesse. Je les goute, les effleure, avant de lui parler.

-je vais m’introduire, surtout détends toi. Sinon tu auras mal, j’en ai plus l’intention.

Mes doigts sortent de son antre maintenant préparé à me recevoir. Je le prends par les hanches pour le soulever un peu. D’une main je me saisis de ma verge et la place à la porte de son intimité. Doucement, je m’enfonce en lui, ressort, puis repart à l’intérieur. Ainsi je ne risque pas de le blesser. Je fais cette manœuvre à plusieurs reprises, pour finalement me plonger jusqu’à la garde. Je stoppe tout mouvement, l’endroit est si étroit, si chaud. Je ferme les yeux un moment pour en ressentir tous les bienfaits.

Ian

Je ne me comprends plus. En fais, j’agis contre moi-même. Tellement que je suis attiré par l’envie et le désire que je ne puisse dire non à cet homme. En plus, je peux avouer qu’il dégage un charme très étendu. Mais je viens de remarquer que…c’est drôle et stupide à dire mais…j’attire les hommes d’une grande classe aux cheveux blonds…je me sens un peu…perdu…

Le baisé passionné et profond qu’il me donne est comme si s’est la première étape d’un commencement. Je me laisse faire, contre mon gré, contre ma volonté. Comment résister à cela? Il arrête subitement. Je le regarde aller dans toute sa splendeur de prédateur pour se diriger à mes partis masculin. Je frémis d’excitation et de peur. Il le caresse avec tant de douceur que je ne puis gémir faiblement. La tentation est trop forte. Une seule phrase me venir en tête, profonde et sombre ‘’ Simple tentation….simple tentation…’’ Elle résonne comme des cloches dans ma tête.

Sa main me caresse les cheveux. Cela me fait calmer et être plus relaxe. Je ferme les yeux tout en me glissant la tête sur sa main. Je sens comme un réconfort profond…comme une sorte d’ambiance très riche en désir et en réconfort masculin. Oui, je pense cela. Je le ressens. En fais, même si j’ai peur, je suis récompenser par un opposé : Désir. Soudainement, il s’assit sur le côté. Je me demande ce qu’il fait. Je tourne ma tête et je vois un mouvement brusque…il enlève sa ceinture. Un gémissement sortit de moi et je retourne tout de suite ma tête. Je ferme les yeux doucement, imaginant ce qu’il va faire. Mon dieu…

Quand il revins vers moi, il ….d’accord…je vais pas le prononcer. Je rougis aussitôt en lui jetant un regard incertain et apeuré. Je serre mes poings et mes jambes un peu en serpent. Il continu son manège avec mon membre…merde…je gémis encore en rougissant...par gêne. Je comprends pas les gens qui aime avoir cela dans leur bouche…c’est pourtant dégueu non? Pour moi, jamais je ne le ferais. Il continu et continu…et moi je fléchis…je bouge un peu bizarrement…je frisonne…frémis…je sens que je vais venir …BORDEL!

Je vois qu’il va passer à l’action en se positionnant en califourchon. Une seule main et son bassin me touche. Je devine ce qu’il va faire…mon dieu...je panique… Il m’embrasse et je le regarde avec un air triste et doux. Il est si délicat, mais en même temps froid avec moi. Il n’est pas comme mon ancien boss…

-Je vais m’introduire, surtout détends toi. Sinon tu auras mal, j’en ai plus l’intention.

Il enlève ses doigts. Enfin…j’en étais mal à l’aise avec cela en moi. Sauf que, il entre son ‘’masculin’’. Il conte en entrant et sortant continuellement. Je retrousse les bras, je tremble de douleur, ferme mes yeux, me cherche dans ma tête, excitation monte en flèche encore, le cœur qui accélère, mon corps qui fléchit…. Je lâche des petits cris bas. J’ai mal…mais cela fait quand même du bien. Je sais que je suis sensible…mais je dois garder mon sang froid…Je le sens de plus en plus en moi. Comme si il faisait partit de moi petit à petit. Je rougis….et je frémis…et je…sens comme une pression sur la poitrine. Je regard cet homme au visage d’ange, âme du démon…je le vois…ses cheveux me frôlent…je me sens si…

Il arrête subitement. Il ferme ses yeux et moi je tourne ma tête en respirant fort. Je veux lui dire quelque chose…lui demander quelque chose…juste entendre sa voix.

- Pourquoi tu ne ….me détache pas…je…

Je mords ma lèvre très fort et je sens qu’il est encore en moi. J’ai presque oublié mes mains en sang et mes coupures sur mes pieds…tellement que j’ai été attirées.

- Je pourrais …t’offrir plus…

En fais, je veux juste être libre. Cela me rend mal à l’aide à reste attacher…je déteste cela. Ma voix devient un peu plus blessée et je pleur quelque larmes.

- S’il te plait…

Je tremble de tristesse et avec du plaisir. Plein de sentiment se mélange. J’aimerais juste être libre…libre…pour une fois…

- Je te jure que…si…j’essais de m’enfuir…tu pourrais faire ce que…tu veux…avec moi…

J’ouvre brusquement les yeux, il s’adresse à moi. Sa voix est entrecoupée par sa respiration saccadée. Tous ses sens sont en éveil et c’est mon œuvre. Il n’a pas besoin de dire quoi que se soit, son visage, son corps parlent pour lui.

« - Pourquoi tu ne ….me détache pas…je…- Je pourrais …t’offrir plus… »

Je suis dans une posture, délicate. Je me retire donc de lui. Même si ce n’est que pour un cours instant. Je comprends bien se désire de se sentir libre, mais j’hésite à le faire. Bien que je sois dans une position dominante, même détaché il ne pourra pas faire grand-chose. Je ne vais pas être abusé par ce qu’il a m’offrir, peut être que le piège viendra de là, qui sait. Puis le « s’il te plait « arrive dans des larmes, je fronce les sourcils, il n’achève. J’espère qu’il n’est pas en train de jouer la comédie, je ne supporterais pas. Je ne suis pas encore prêt à lui faire confiance. Mais il faut bien dire, que puisqu’il est à ma merci …

« - Je te jure que…si…j’essais de m’enfuir…tu pourrais faire ce que…tu veux…avec moi… »

Il vient de marquer un point, je ne serais certainement pas tendre avec lui s’il essaie. Se sera même pire que maintenant. Il y aura beaucoup de souffrance pour lui, bien plus que ses blessures qui saignent actuellement.
Sans lui répondre je me saisis de mes clés, j’enlève mes menottes. Ensuite, sans qu’il est le temps de faire un geste, je prends ses bras et les posent le long de son corps, avant de les quitter. Je place les miens de chaque coté de son torse, raides. Mes hanches sont sur les siennes, nos sexes s’effleurent. Nos corps ne se touchent pas, ainsi je le toise de haut. Mes longs cheveux frôlent ses seins,

-Non tu ne t’enfuiras pas, surtout ne tente rien. Ne fait rien qui pourrait me fâcher. Je te veux Ian … et tu ne pourras pas m’en empêcher.

Lentement je me penche vers lui, du bout de mes lèvres je capture les siennes sensuellement. Mes hanches bougent conte les siennes, nos virilités érigées se caressent plus intensément. Pas moyen, je veux le reprendre, me sentir encore en lui. La joie de le voir m’appartenir, encore et pour longtemps. Ma langue sillonne ses lèvres d’un bout à l’autre, pour finir à l’intérieur de sa bouche. Notre baiser est purement provocant, aguichant. Mon excitation est à son comble, je repars dans mon plaisir.

Ian

Un sourire profond à surgir en moi quand il m’a libéré. Le soulagement de sentir ses mains et ses jambes respirées et bouger me rend la joie facile. J’avais un peu mal à rester immobile à la même position…je déteste en plus d’être attaché et de ne pas être libre de mes mouvements. Les mots de sortit pas de ma bouche, en fait, j’en restait surpris. Il me fait…confiance? Mais bon….j’ai bien joué son jeu…maintenant je vais jouer à la manière du désir….

Ma liberté est une sorte de prison dans un fond….je viens de m’en apercevoir. Il m’encercle de son corps…à vrai dire…il garde mes bras près de moi, ils mettent les siennes de chaque côté de moi et ses cheveux me frôlent le torse. Je regarde de côté, ne voulant pas y faire face et je sens son ‘’masculin’’ contre le miens. Pourquoi? Par la gêne bien sûr. J’hais de dire cela, mais je suis un personne sensible et gêné….ce que je déteste…En plus, il est sur moi nue…et moi je suis sur la table avec lui dessus nue…mais mes désirs et mes tentations ne me fait plus penser à cela. Je veux aller plus loin…mais en même temps non. Je ne sais pas ce que je veux. Merde….

-Non tu ne t’enfuiras pas, surtout ne tente rien. Ne fait rien qui pourrait me fâcher. Je te veux Ian … et tu ne pourras pas m’en empêcher.

Il m’embrasse avec provocation. Je le suis, me laissant faire. J’essais de bouger mes bras pour le bras contre moi. Une de mes mains se dirige sur son dos et l’autre sur son épaule. Je remarque que je le tache de mon sang et mes mains me brûlent un peu. Je continue de l’embrasser langoureusement. Je me colle plus à lui, même si j’ai un peu de misère. Mes jambes serrent sa taille et frotte un peu sur lui. Je me retire un peu de son visage pour l’enfouir dans son cou.

- Je suis désolé…pour mon sang sur mes mains…je t’ai sali…

Je ne puis m’empêcher de lui donner des baisés sur sa peau si pâle. Je serre ma prise contre moi, ne voulant pas laisser partir.

- Désolé…

Ma voix est remplie de tonalité douce et basse. Je tremblais de moins en moins et je me sentais de plus en plus à l’aise. Je le voulais…je voulais le désir. Je sens sa chaleur me bercer…m’envoûter…m’enrober comme une ombre qui veut me posséder.

- Thorkel…?

Je rejoignis sa joue avec la mienne. Mes yeux se remplis de profonde passion imprégnée de tristesse.

- Je me demande…toujours…pourquoi moi ? Je ne comprends plus…

J’essais de me cacher contre lui. Mes yeux furent rouges par mes plusieurs sanglots du moment et imprégné de fatigue. Sauf que, je suis tellement excité que j’essais de contrôler mes hormones. Sinon….je….je lui sauterais dessus. Je suis l’esclave de la passion, l’envie et de la luxure…je suis fait ainsi …et en plus…je sens encore cette douleur dans ma poitrine. Je ne sais pas c’est quoi. En pensant qu’il fait tous cela pour lui et juste pour me désirer de la manière du gros sexe sale…cela me rend triste. Mais merde…j’agis en fille….

Je sens ses mains m’enlacer et aussi mon dos qui s’humidifie. Je ne sais pas encore ce que c’est. Mais je m’en fous complètement. Tout ce qui importe est que Ian réponds favorablement à mon baiser sauvage. Nos peaux se touchent, se collent, elles s’apprécient grandement. Je gémis de plaisir rien que de savoir ça. Un poids vient s’ajouter à notre corps à corps, ses jambes m’entourent mes hanches. Son torse se presse un peu plus contre moi. Mais d’un coup Ian stoppe le baiser qui commençait sérieusement à m’exciter comme un damné. Son visage est à présent dans mon cou.

Pourquoi s’excuse-t-il ? Avait-il vraiment besoin de faire ça ? Je n’ai que faire que son sang me salit, tout ce qui compte pour moi, c’est lui et nos ébats. Cependant je souris a cela, il s’inquiète de me souiller de son sang, à bien y réfléchir n’est-ce pas moi qui va le faire d’une manière tout à fait différente ? Ne vais-je pas prendre ce qui ne m’appartient pas et sans consentement préalable ? Car s’il est comme un petit être en chaleur maintenant, il ne l’était absolument pas au début.
Ses lèvres me picorent le cou … Dieu que c’est agréable. Elles sont si douce, si légère, un vrai régal.

-Ce n’est pas grave, ne te préoccupe pas de ça, s’il te plait.

Les mots me manquent, je ne sais pas quoi lui dire pour le rassurer. Je n’étais pas là pour ça au démarrage. je caresse lentement et en effleurant, son corps si sensuel, si blanc. Les tremblements de peur ou autres on cessés, il est beaucoup plus détendu dans mes bras. Tout n’est que bonnes auspices pour la suite. Le voudra-t-il encore ? Son corps en tout cas le réclame.

- Thorkel…?

Nous sommes à présent joue contre joue, j’ai l’impression que je suis avec mon amoureux. Que nous nous retrouvons enfin après des mois de séparation. Si cela pouvait être vrai, je n’aurais pas se sentiment qui me traverse l’esprit. J’en fais abstraction.

- Je me demande…toujours…pourquoi moi ? Je ne comprends plus…

Oui toujours cette même question, je me demande bien pourquoi. Faut-il avoir une explication. Pour lui forcément, et je le comprends très bien. Je n’ai tout simplement pas envie de ça mais bien d’autre chose. Je sais parfaitement pourquoi lui. Je lui ai dit d’une certaine manière. Faut-il encore que me répète ?

-Pourquoi toi ? Parce que je t’ai vu dans le couloir des prisonniers quand je faisais ma ronde. Tu étais tellement beau, , vulnérable, avec un corps tout aussi délicat que je n’ai plus eu que ton image en tête … Et UN jour tu seras à moi.

Je fis une pause, j’embrasse ses lèvres dans un baiser léger. C’est à mon tour de nicher mon nez dans son cou. De mordiller son lobe de l’oreille, de lécher sa peau. Je redresse la tête pour finir mon explication, comme il le désire.

-Sauf que ce jour là est venu plus vite que prévu. En te rencontrant encore sans vraiment te chercher, je n’ai pas pu me contrôler … Et voilà ou tu en es par ma seule faute de vouloir te posséder, d’être en toi et te prouver oh combien tu m’attires. Voilà Pourquoi…

Sans rien attendre d’autre je repars à l’exploration de sa chair. Mes bras le serrent plus fermement contre moi. Je veux tout sentir de lui, même ses battements de cœur. Car je sais que bientôt ils iront plus vite, plus fort. Mes hanches sèment le trouble, elles commencent une danse sensuelle, pour nos deux sexes fassent plus ample connaissance. Ils se frottent, s’apprivoisent,. Nos virilités humidifient de notre semence. Le désir est là, se sera sans retour d’aucune façon.

Ian

Pourquoi toi ? Parce que je t’ai vu dans le couloir des prisonniers quand je faisais ma ronde. Tu étais tellement beau, vulnérable, avec un corps tout aussi délicat que je n’ai plus eu que ton image en tête … Et UN jour tu seras à moi. Sauf que ce jour là est venu plus vite que prévu. En te rencontrant encore sans vraiment te chercher, je n’ai pas pu me contrôler … Et voilà ou tu en es par ma seule faute de vouloir te posséder, d’être en toi et te prouver oh combien tu m’attires. Voilà Pourquoi…

Vulnérable? Le suis-je vraiment? Corps délicat? J’ai un corps Délicat? On dirait que tous ce qu’il me dit me touche. Comme si il me faisait une déclaration bizarre, mais pas dans le même sens. J’ai vu qu’il est en obsession envers moi. Cela me fait peur. Il me veut ….trop? Je ne sais vraiment pas ce que j’ai fais…j’ai juste apparu et pouf! Le déroulement de cette histoire à commencer. Le gardien fou a eu une étincelle, le prisonnier est la proie...innocente…rebelle mais vulnérable. Ensuite, le gardien fou kidnappe le prisonnier innocent pour qu’il soit juste à lui et en faire un objet de plaisir. Je me sens comme un personnage dans les vieilles bandes dessinés où le personnage principal ce fais désirer et que le méchant veux l’avoir pour lui-même ou bien juste posséder ce qu’il a. Ce que j’ai moi? Depuis le début c’est mon corps et à la fin…moi et mon corps avec ma beauté? J’en suis pas sure…je suis un peu confus. Je suis fière et je ne suis pas fière. Cela fait 4 hommes qui me désire et fait une obsession. Parfois, j’ai très peur que cela vienne au pire.

Je sens que mes muscles de mon corps se détend, mais s’excitent. Juste Thorkel et son corps me donne des pulsions profondes. C’est comme si je me mettais à sa place ….du grand violeur devant sa victime…le prisonnier innocent…et ..le gardien fou. Ma douleur dans ma poitrine grandie, mais rétréci dans le lac de désir qui se crée dans l’atmosphère sexuelle entre moi et Thorkel. Il me prend très fort dans ses bras et ses mouvements dansent bien avec les miens. Nous sommes vraiment dans le désire et dans la sensualité de deux âme qui se mélangent pour former des pulsions sexuelles. Sauf que, ma douleur….veut rien me dire. Tout ce que je comprends c’est qu’elle contient un sentiment qui se partage à deux.….donc vous pouvez devinez…

- Personne…n’est parfait…peut-être …que ta faute a été bonne

Dis-je entre deux baisés, mielleusement. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me tentais. À vrai dire, cela me chatouillait la langue et mes pensés. Comme une sorte de phrase qui vous hante la tête. Comme un disque qui est cassé et qu’il est sur une chanson à répétition sur la même phrase.

Sans le vouloir, je rentre un peu mes ongles dans sa peau de son dos…tellement que je suis embarqué dans le rythme et que je me contrôle en même temps. Je ne veux pas lui faire mal ou bien lui faire autre chose qui ne lui plais pas. Nos langues et nos corps sont en symbiose et harmonie. Nous ressemblons à des serpents qui dansent sur une chanson très rythmée. Je trouve cela drôle et mangeable. Poétique et beau à voir.

Pour faire changement, une de mes mains se promènent près de sa virilité et son ventre. Sa peau est douce et très masculine…le mienne pâle et féminine. J’ai l’habitude de prendre soin de ma personne. Alors je déduis que je suis la femme et lui l’homme. Merde…nieuh! Je continue mon manège et j’arrête de l’embrasser pour me retrouver encore une fois près de son oreille. Je voulais lui dire pour voir sa réaction…juste pour voir….Mon dieu…guide moi dans la bonne voie.

- Je t’aime Thorkel…

Je sens ses ongles qui s’enfoncent dans ma peau. Ce n’est pas vraiment une douleur, c’est plutôt excitant. Je l’embrasse plus sensuellement, je bouge mon corps dans un rythme le plus fou. C’est un véritable délice. Une main rebelle vint me touche à un endroit très sensible de mon anatomie. Prendrait-il des initiatives pour me plaire? Ou juste que son envi pour moi s’agrandit?
J’espère avoir raisons sur les deux points. Mon corps frémit sous la caresse, pourtant ce n’est pas grand-chose, juste un effleurement. Mais je suis très sensible par endroit. D’ailleurs je ne peux m’empêcher de lui prendre le bras pour l’inciter à aller plus en avant. Qu’il aille plus loin dans sa décision e me toucher. Ce n’est pas désagréable, je tente un mouvement vers sa main pour qu’il comprenne ou je veux en venir. Ma bouche le contente de baiser sur ses belles lèvres qui ne demandent que cela. Mais au même moment il me parle, enfin je pense que c’est ça. Mes lèvres restent en suspend en entendant ces mots.

- Je t’aime Thorkel…

Mon cerveau vint de se déconnecter de la réalité. Il …M’aime ! Je n’arrive pas à le croire, ce n’est tout bonnement pas possible, il ne peut dire une chose pareil, pas à moi. Je suis l’homme qui la enlevé, toucher, mis à nu et près à le prendre là sur une table de torture et il me dit qu’il m’aime. Se foutrait-il de moi, jouerait-il avec mes nerfs ? S’amuse-t-il à me dépend ? Je dois savoir car ma réaction ne sera pas du tout la même avec sa réponse.
Cependant je sais que je ne pourrais pas lui faire de mal. Malgré moi je continuerais à lui prodiguer maintes et maintes douceurs. Je lui ferais quand même l’amour lentement mais avec des gestes tendre. Je ne crois pas qu’il est dit cela juste pour s’amuser, ce n’est vraiment pas le moment de faire des plaisanteries. Mes yeux le fixent, essaie de le sonder, pour en connaitre l’exactitude de sa déclaration. Mon espoir est quelle soit vrai, j’aimerais vraiment qu’il dise cela parce que c’est au fond de son cœur.

-Ne dit pas cela quand tu ne le pense pas. Ne dit pas cela pour me faire plaisir. Ne dit pas cela pour me faire enrager. Dis-le moi parce que c’est vrai … Et seulement parce que c’est là.

Je finis en posant un doigt sur son cœur et termine par un …

- Je ne supporte pas le mensonge.

Avais-je besoin de le signaler. Non mais je me devais de lui dire pour qu’il ne continue pas de le faire. Je lui ai ouvert mon cœur en lui avouant pourquoi il était là. C’est plus que du désir en faite, plus qu’une vision dans un couloir. Je ne me permettrais pas de lui mentir, pour rien au monde, je ne trahirais ma promesse j’ai faite à une autre personne. Le mensonge est à bannir, pas l’amour. Quelque chose vient de prendre une autre direction dans ma pensée, Saki …. Oui je l’aime profondément, oui je le désire et même bien au-delà de ça. Pour Ian c’est un peu la même chose, les deux personnes que j’aime à présent son dans cette prison ou j’en suis le gardien et eux les détenus.
Peut être est-ce que je les aime d’une façon différente mais l’amour est bien là. Je ne veux plus me voiler la face.
Coupant cours à mes réflexions, mon corps ondule de nouveau sur le sien. Mes coudes sont placés de chaque coté de ses épaules et mes mains lui tiennent le visage pour ne pas qu’il se détourne de moi.

-Je t’aime aussi jeune Ian ….

Ian

Je me sens gêner et très anéantis. Je pense que je viens tout gâcher, depuis que j’ai vu son regard remplit de surprise. Je reste en place, figer et bouche bée par moi même. Je me suis barré et je fonce tout droit vers le mur de la pire des ennuis…enfin...je pense? Dire que je dit’’ Je t’aime’’ dans une situation pareille. C’est un homme que je connais à peine, un homme qui m’a attaché, un homme qui est obséder par moi et qui est si …gentil avec moi. Je pense que j’ai peut-être sentis un sentiment trop vite. Je suis très sincère et je dis la vérité, mais je ne me comprends pas du pourquoi et du comment. Peut-être c’est la même chose que m’avais dit Eizan’’ Une âme peut tomber facilement amoureux d’une autre, mais si cela ce fait en une fraction seconde. Personne ne comprend cela tant qu’il a vu de ses propres yeux. Sauf que si tu comprends pourquoi…là …un chemin miraculeux s’ouvrira. Sois sincère et ne ment pas. Sinon, la lame coupera la viande en trois tranches’’. Oui, je vous l’accorde….il a une manière de penser différente et débile, mais lui aussi il a vécu d’innombrables choses. Je le déteste quand même…

-Ne dit pas cela quand tu ne le penses pas. Ne dit pas cela pour me faire plaisir. Ne dit pas cela pour me faire enrager. Dis-le moi parce que c’est vrai … Et seulement parce que c’est là.


Là… je craque. Mes yeux ouvrirent grands et je repense à ce que Eizan a dit. Il a raison sur un point. ‘’ Sois sincère…’’.Bordel…Il m’énerve! Je veux parler…mais rien ne sort de ma bouche. Je voudrais lui dire que je ne rigole pas et ce que je dis est vrai…et non le contraire. Lui dire’’ Je suis tomber amoureux de toi parce que tu est ….euh…hein ?’’ En fait…je pense que j’en sais rien. Bordel de merdique! Salarpipopette! Là…je veux aller courir loin et me caché derrière un mur de béton.

Il finit pas poser une léger doigt sur ma bouche.

-Je ne supporte pas le mensonge

Un couteau vient de me planter dans le cœur. Je pense qu’il me déteste. Bravo Ian….t’a encore raté! Et en plus, depuis tantôt…mon stresse et ma nervosité me lançaient des fléchettes à tour de rôle. Je suis tué de l’intérieur. À vrai dire…TUER! Là, je suis sure qu’il va me donner les 101 tortures pour’’ Tu a été stupide Ian, tu n’aurait pas dû dire cela’’ Comme dirais Mina’’ Cela n’est pas la bonne question’’ ou ‘’ Cela n’est pas la bonne phrase…tu va le regretter ’’ avec son grand sourire d’imbécile heureuse. BORDELIQUE! Est-ce que je peux aller me cacher?

Mes mais tremblent sur le corps de Thorkel sans que je le sache. Mais à mon plus grand étonnement…Il place ses coudes de chaque côté de mes épaules…je panique…là...il mets ses mains sur mon visage…je pense que va rire de ma gueule…je veux tourner ma tête…mais ses mains me tiennent trop fort. Je veux hurler et me débattre comme un énerver ou bien comme un petit garçon à la maternelle qui veut son dada. Je ferme mes yeux fort par peur de recevoir une claque psychologique.

-Je t’aime aussi jeune Ian ….

J’ouvre mes yeux rapides comme l’éclaire et je ne puis contrôler ma voix qui fut forte et surprise.

- EH!?..m…ma…mais….m..mai…mais…m…mai….mais…….eh…..m…mais…

Mes joues furent d’un rouge tomate. Je suis surpris. Je ne pensais pas qu’il me sortirait un suite des mots pareils. Ma vois continue de bégayer.

- Je…j..je….cro…croyais …que…qu..que…tu…..ttt…tu…me…m..me rejette….rejetterait….j…je…..suis….dé.. désolé….je…suis…l..ll…le par..parfais ..im..bécile..

Je tremble de gêne. Là…je craque. Je suis vraiment…mais vraiment ridicule. Je prends une grande respiration en essayant de me calmer, mais mon corps se rebelle. J’ai des papillons dans le ventre. Soudainement, je commence à rire joyeusement et en même temps…je lâche mon stresse accumuler. Mes yeux reviennent vers ceux de Thorkel, en essayant d’envoyer des petits messages comme’’ Je suis le plus pire des ringards ou…je suis tellement content que je ne sais pas comment me contrôler’’.

- Me….merci…

Sèchement et inconsciemment, je le pris dans mes bras en lui donnant une caresse. Mon sourire se fut, étrangement serein et calme. Là, je ne me comprends plus.

- Je ne suis pas un…men… menteur quand il s’agit de…. la vérité…