June Weich

Nom & Prénom- June Weich
Sexe- Féminin
Âge- 20 ans

Traits physiques- Je suis belle et je le sais. Plutôt petite, mais ça ne me dérange pas, au moins je peux me faufiler plus facilement. Et puis je m’aime, mais vous l’aurez sans doute compris. J’adore mes cheveux, ils sont noirs, un peu ondulés et descendent jusqu’à ma poitrine, petites bosses fermes et rondes remplissant tout juste mon bonnet B. Je dois bien avouer que j’aurai rien contre un bonnet de plus, mais ils me conviennent à peu près, et ils conviennent bien à ma morphologie. Ma taille est fine, mon ventre plat, mes hanches pas trop larges et mes fesses sont bien comme il faut, petites, fermes et rondes. Quand à mes jambes, elles sont aussi longues que le permet ma petite taille, et comme vous l’avez peut-être deviné, fines. Voilà, je crois avoir fini… Quoi, j’ai oublié quelque chose ? Mon visage ? Ah oui, en effet… c’est bien dommage, parce qu’il vaut le coup d’œil. Comme tout mon être il est fin, autant dans sa forme que pour ses différentes parties telles mes sourcils joliment épilés, mon petit nez et mes lèvres délicatement colorées. Quand à mes yeux, ils sont bridés et clairs et reflètent joliment la lumière. Pour ce qui est de ma peau, je n’ai jamais eu à m’en plaindre, elle est douce et satinée et arbore une jolie teinte propre à ceux qui comme moi sont d’origine asiatique. La seule chose qui me déplait chez moi, c’est mes mains. Elles sont osseuses et mes doigts craquent souvent, sans oublier qu’elles ont parfois tendance à être douloureuses.

Taille- 1m62 1/2
Poids- 52 kg
Maladie ou handicap physique- /
Autres- /

Dossier psychologique

Qualités- Je ne reviendrai pas sur mon physique, mais il est à compter dans mes qualités, même si ce n’est pas le plus important. Il y a d’abord ce fait simple, celui que quand j’aime vraiment ce n’est jamais à moitié, et que malgré toutes mes erreurs je suis prête à tout pour ceux qui habitent mon cœur. En général, je ne suis pas très rancunière, sauf si bien sûr la faute commise est trop grave. Je cerne assez facilement la personnalité de ceux qui m’entoure, et il est assez rare que je me trompe à ce niveau là. Je me considère comme cultivée, même si bien sûr il y a beaucoup de choses que j’ignore. Quand rien ne me pousse à être violente je me montre assez sympathique et ouverte… ouverte à toutes les propositions.

Défauts- Certaines personnes disent que je suis orgueilleuse ou prétentieuse, vous y croyez vous ? Bref, il faut dire aussi que je suis assez susceptible, sans oublier que quand je m’énerve je peux me montrer violente. Et la seule fois où j’ai haïs quelqu’un au point de le tuer, j’ai pris plaisir à les torturer et à les voir agoniser sous mes yeux. Sans oublier que malgré ce que j’ai pu dire plus haut, j’ai du mal à me laisser aller à mes sentiments, surtout en entrant dans cette prison si peu de temps après avoir perdu celle que j’aimais profondément.

Aime- J’aime le sexe sous toutes ses formes. J’aime les femmes et les hommes, et j’aime être infidèle. J’aime encore celle qui m’a quitté peu avant le procès. J’aime la lecture, les bons films et les manucures. J’aime voir souffrir ceux qui selon moi méritent les pires souffrances, j’aime voir le sang couler par ma faute, et j’aime souffrir tant que ce n’est qu’un peu. J’aime le luxe et l’espace (malheureusement pour moi), et les gourmandises.

N'aime pas- Je n’aime pas être vulnérable au point d’être en danger, je n’aime pas qu’on m’abandonne et je n’aime pas du tout être ridiculisée ou qu’on se moque de moi. Je ne supporte pas qu’on fasse du mal à ceux que j’aime ou même qu’on les critique. Je n’aime pas la saleté et les petites bêtes sans que ce soit une phobie, et je ne suis pas vraiment fan des petites cellules surchargées (sur ce coup là, je manque de chance).

Comportement avec les gens- Tant qu’on ne me menace pas ou qu’on ne menace pas ceux à qui je tiens, je me montre assez ouverte et sympathique, je ne cherche pas trop d’ennuis en essayant de suivre au minimum les ordres qu’on me donne (s’il est nécessaire que je les suive). Mais si on commence à me chercher, je deviens facilement violente, et j’ai parfois du mal à me contrôler. Et quand je n’aime pas quelqu’un, pour quelque raison que ce soit, je me montre assez désagréable et il est difficile de me faire changer d’opinion.

Maladie ou handicap mental- Aucun
Valeurs- Je ne mens jamais, c’est ma seule valeur.
Tics- Je fais régulièrement craquer mes doigts, en particulier quand je me réveille et quand je suis frustrée.

Passé- Par quoi commencer… Par l’enfance ? Ce serait sans doute le plus logique, mais il n’y a pas de quoi s’étendre là-dessus. Je viens d’une famille de classe moyenne habitant Berlin, ou plutôt sa périphérie. Enfin, je me suis peut-être un peu trop avancée en disant famille. Je n’ai jamais eu de père, et le sentiment que bien que ma mère ne m’ait jamais maltraitée elle ne m’ait jamais aimée ne m’a jamais quitté. Un jour j’ai découvert son journal et y ai lu que mon père l’avait quittée alors qu’elle venait de lui apprendre qu’elle était enceinte, et qu’elle m’en veut à cause de ça. J’ai compris beaucoup de choses ce jour là, mais je n’ai pas pu comprendre son acte, parce que je n’avais encore jamais vraiment aimé.
A l’école j’étais une élève sans histoire, des notes bonnes mais pas exceptionnelles, idem pour ma popularité. En vérité je ne me suis jamais vraiment fait remarquer, et je ne pense pas avoir marqué la mémoire des autres enfants. A la fin du collège les autres ont commencé à parler de moi, et pour la première fois j’apparaissais dans les rumeurs.

La raison était simple, je me suis démarquée des autres sans vraiment le vouloir, en entamant une relation amoureuse peu orthodoxe. J’avais déjà eu des petits amis, mais rien de sérieux, rien comme ce que j’ai vécu avec cette fille qui vivait cette relation à mes côtés. Elle s’appelait Chloé, et je n’ai jamais cessé de l’aimer. Au début nous étions comme deux amoureuses normales, faisant des activités banales et agréables telles que sorties au cinéma, fêtes, invitations à dormir l’une chez l’autre en laissant nos parents croire que nous n’étions que des amies.
Cet état des choses a changé au bout d’un an, quand j’ai commencé à avoir des envies qui ne lui auraient pas plues si je lui en avais parlé, comme par exemple celle de tester le sexe avec d’autres. J’ai d’abord refoulé violemment cette pensée, puis, peu à peu, je l’ai acceptée, puis embrassée. Il suffit de deux mois à Chloé pour s’en rendre compte, et elle décida de couper court à notre relation. A ce moment là j’ai pleuré comme jamais je n’avais pleuré, et je me suis acharnée à la reconquérir.
J’ai réussit au bout de trois semaines. Il faut dire qu’elle m’aimait autant que je l’aimais, et que ça, ne n’est pas quelque chose de négligeable. Pendant quelques mois nous sommes redevenues comme avant, fidèles et agissant en couple banal, jusqu’à que les infidélités reprennent, de son côté cette fois. Je n’ai jamais su quand exactement elle a eu sa première maîtresse, mais je sais qu’elle n’a pas pu le cacher bien longtemps. Je crois même qu’elle voulait que je le sache, peut-être pour se venger. J’ai eu mal en le découvrant, mais je ne l’ai pas quittée, je m’étais jurée que jamais je ne la laisserai partir.
Je me suis remise à la tromper, avec des femmes, avec des hommes, avec ses amis même. J’ai eu des remords, mais pas bien longtemps, parce qu’elle faisait la même chose et que nous souffrions autant l’une que l’autre. Sans m’en rendre compte je prenais plaisir à ce jeu malsain, j’aimais souffrir ainsi et lui rendre la pareille, et avec le recul je crois qu’elle aimait ça aussi.
Personne ne comprenait pourquoi nous restions ensemble mais personne non plus n’osait nous poser la question depuis que j’avais failli envoyer le premier à me le demander à l’hôpital. J’étais susceptible, c’est vrai, mais surtout, je voyais rouge dès qu’on osait critiquer Chloé ou notre relation. Tout le monde savait que j’étais facilement violente, mais étrangement, je ne l’ai jamais été avec Chloé, que soit ce soit verbalement ou physiquement, sauf si elle me le demandait les quelques fois où nous avions des rapports sexuels sado-masochistes. C’était toutefois rare, et nous privilégions généralement les rapports sans douleur, que ce soit à deux ou avec plus de personnes.

Quatre ans et demi s’étaient écoulés depuis notre premier baiser, et j’avais alors presque vingt ans. Je me rendis soudain compte que pendant tout ce temps nous n’avions pas fait l’annonce de notre liaison à nos familles, et faisait part de cette révélation à ma moitiée. Je me fichais pas mal que ma mère soit au courant ou non, j’avais de toute façon coupé les ponts avec elle dès la première occasion, mais je me disais que peut-être ma compagne éprouvait le besoin de faire part de son bonheur à sa famille. A ma grande surprise elle refusa catégoriquement, m’affirmant que plus jamais elle ne retournerait chez elle, que même moi ne pourrais l’y forcer. Alors je l’ai rassurée, lui murmurant à l’oreille que je ne la forcerai jamais à faire quelque chose qu’elle ne voulait faire sous aucun prétexte.
Puis, quand elle fut calmée, je lui demanda pourquoi elle avait réagit comme ça. Au début, elle ne voulait pas me répondre, me disant que je ne pourrais plus l’aimer si je savais. J’ai finalement réussit à la convaincre de me raconter, et ce que j’entendis alors fit naître en moi une haine et une horreur telles que je n’en avais jamais ressenties. Ma belle Chloé, celle que je chérissais plus que tout au monde, avait été abusée par son père dans son enfance, et ce de ses dix ans à ses douze ans. Il ne s’était pas contenté de ça et avait aussi amené des amis à lui chez eux pour qu’ils profitent à leur tour de son enfant. Je voyais rouge à nouveau, mais réussis à contenir ma rage, me concentrant sur mon amour en train de pleurer à chaudes larmes dans mes bras.
Je la rassurais autant que possible, lui répétant combien je l’aimais et que rien ni personne ne pourrait changer ça, ne la lâchant pas, et murmurant tout bas à son oreille une phrase qui allait sceller mon destin.
“ Je les ferai payer ce qu’ils t’ont fait, je te jure qu’ils regretteront, je les tuerai ma chérie, je te jure que je les tuerai. ”
Elle ne réagissait pas quand je lui murmurais ces mots brûlants de haine, peut-être parce qu’elle n’avait pas entendu, peut-être parce qu’elle souhaitait que je le fasse. Et je l’ai fait.

Je suis allée chez son père et je l’ai torturé pendant deux jours, lui arrachant les noms de ceux qui avaient volé l’innocence de ma Chloé avec l’accord de son père. En vérité il ne mit que quelques heures à me donner les informations que je voulais, mais je le haïssais trop pour abréger si tôt ses souffrances. Lentement, j’ai augmenté sa douleur et son désespoir, lui faisant subir des choses que tous ont qualifiées d’horribles mais que je trouvais justes, le brûlant parfois, lui cassant plusieurs membres, le violant avec une bouteille en verre en lui criant combien il me dégoûtait, puis je suis partie, le laissant se vider de son sang.
J’ai ensuite rassemblé ceux dont j’avais eu les noms dans la pièce même où j’avais tué le père, laissant le cadavre en leur compagnie pour ajouter à leur peur en leur faisant bien comprendre que je comptais leur faire subir le même sort. Il y en avait cinq, et au bout d’une semaine j’en avais tué deux, les nourrissant juste assez pour qu’ils ne meurent pas avant que je m’en sois occupée.
Malheureusement pour moi, alors que j’étais sur le point d’en finir avec le troisième la police m’interrompit. On avait signalé la disparition de mes victimes, des voisins avaient signalé des cris, et il faut dire que je ne suis pas spécialement douée pour ne pas laisser de traces.
Sans oublier le pire, la chose qui m’a le plus affecté dans mon arrestation : Chloé m’avait découverte, et elle m’a dénoncée. Quand je lui ai demandé pourquoi, elle m’a dit que malgré toute la haine qu’elle portait à ses agresseurs, elle savait que ce que je faisais était mal et qu’il fallait que j’arrête, que la seule punition que mes victimes auraient du avoir était la prison à perpétuité. Je ne l’ai pas comprise et ne la comprends toujours pas, mais est-ce que ça a vraiment de l’importance ? Je ne sais pas. Je sais en revanche que ce qu’elle m’a dit après m’a fait plus de mal encore que sa dénonciation.
Elle m’a dit qu’entre nous ça ne pouvait plus continuer, que nous nous faisions trop de mal l’une à l’autre. J’ai voulu lui dire que ce n’était pas grave, que je pouvais tout supporter pour elle, changer même, mais elle m’a interrompue en me disant de regarder autour de moi, en me disant qu’à cause d’elle j’avais torturé et tué et qu’à cause d’elle j’allais aller en prison, et ce certainement jusqu’à la fin de mes jours. Alors je l’ai regardée en lui confiant mon dernier argument, ne cachant pas les sanglots dans ma voix :
“ Mais je t’aime Chloé, je t’aime comme j’ai jamais aimé personne d’autre, et je crois que jamais je pourrai aimer quelqu’un d’autre comme ça, tu m’entends ? Jamais ! ”
La phrase qu’elle m’a répondu alors résonne encore dans mon esprit quand je n’y prends pas garde :
“ J’éprouve la même chose ma chérie, tu es l’amour de ma vie et je le sais, et je crois que je ne cesserai jamais de t’aimer, mais je ne peux plus être avec toi. Je peux plus rester à tes côtés après ce que tu as fait pour moi. On s’est fait trop de mal, il est temps que ça s’arrête. ”
Après ça j’étais trop abattue pour pouvoir même manger, il a fallut qu’on me force jusqu’à ce que je puisse enfin le faire par moi-même. Au procès j’ai plaidé coupable, et je n’ai pas demandé d’avocat, trop pressée d’en finir, trop consciente que toutes les preuves étaient contre moi. Ce fut court et je fus vite jugée coupable et condamnée à finir mes jours à la prison de Sadismus.
Le simple nom de cet endroit me donnait des frissons, mais j’étais résignée à y aller. Qu’est-ce qui aurait pu m’en empêcher de toute façon ?

Autres- (facultatif)

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- Triple meurtres avec tortures et préméditation plus séquestration, triple tentative de meurtre et tortures.
Matricule- 657903
Rang- /
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Gang désiré – Aucun pour l’instant
Personnage sur l'avatar- Désolée, j’en ai aucune idée…:/

Très bien ^^ Tu seras dans la cellule ... EE.

Bon jeu ^^

Danke Schön! :D

Et beh, c'est une bien belle cellule que nous aurons-là u..u

Pas de bol June t'es dans la même cellule que ce cannibal !

Bon courage

J'ai vu ça, je suis allée lire les fiches de tous mes compagnons de cellelu^^ Bon bah j'espère que ma June va pas trop mal dormir^^

Tu ferais mieux de pas dormir du tout quand ils sont là, c'est dangereux XD

Ce serait peut-être préférable^^ Mais bon, besoin de sommeil moi!

T'a déjà Tobtob ! garde pas Seb pour toi toute seule ! ><

Fais gaffe ! Si tu les met ensemble ils vont s'entre tuer !

Vi, en te rappelant que ce sont à la fois ton ange gardien et ton méchant démon XP Et Any... y sert à rien T.T

Mais si il est meugnon ! ^^

Any te remercie u..u Il fera une belle photo d'Ed pour le remercier u..u

Mais heu! Bande de squatteurs de présentation! Y en a pas un qui pourrait me répondre à l'entrée plutôt? (Ok, je sors...)^^

nan

Méssante

je t'aime quand meme meme si t,es une inconnue qui entre dans ma bulle

Vraiment? Je te pardonne alors :)

*calin*

*bisous*

*orgie* bref