Faut-il vraiment entrer pour y mourrir ?

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Une ombre furtive s'avança devant les deux portes immenses, qui comme deux gardiens empêches toute personne d'entrée comme de sortie. L'ombre était muni d'une mallette fait de métal blanc, sûrement en aluminium. L'ombre quand à elle, était caché par un long manteau noir, et
un capuchon couvrait son visage. Seule le bas de son visage était visible, et un sourire illuminé le visage de l'ombre. Quand il retira son capuchon, son visage fut éclairé par la lumière douce du soleil.

Cet ombre, c'était moi: Tristan Leugen, rien laissé douter de mon identité. Mon visage fin et allongé, mes yeux bleutés couleurs océans comme mes cheveux mi-long, un nez en croissant de lune et petit. Une taille imposante même si je parais svelte.

Je regardais autour de moi, dans un soupire je remarqué qu'il n'y avait personne pour l'instant. Dans ma grande solitude devant cet immense portail qui protégé Sadismus Jail, je me suis appuyé contre un morceau un mur et je me suis dit que j'attendrai qu'une personne vienne pour m'ouvrir, espérant pouvoir enfin rentrer, même si il ne me tardait guère de rejoindre des tueurs en série, des gardiens apeurés par les prisonniers même, des fous tout simplement. Dans ma tête je me suis dit quand faite, j'avais bien fait de m'entraîner à l'arme à feu et au combat au corps à corps, même si je ne résisterai pas longtemps contre des prisonniers, je pourrai au moins me défendre.

*Espérons que tout se passe bien et que ma première nuit içi soit douce...Mais j'ai des doutes là-dessus.*

C'est vrai, j'avais quelques doutes, après tout la mort pouvait me surprendre dans mon sommeil... Comment faire pour que sa n'arrive pas ? Et puis, j'en est plus vraiment grand chose à faire. Je mourrai un jour où l'autre, telle est la destinée de chacun de nous. Après tout je suis un médecin et je sais par avance que tout nous arrivera et que la vie éternel n'est qu'un rêve pour l'être humain. Pour l'instant j'attends en regardant la prison, l'examinant de ma position imaginant comment est l'intérieur. Sûrement aussi médiocre que l'extérieur voir pire.

Mais j'entends un bruis de pas, je me lève doucement et met une de mes mains dans ma poche intérieur, là où se trouve l'un de mes scalpels, il suffirait que je coupe la trachée de l'homme pour qu'il meure sans faire un bruit, maintenant j'étais seul donc sans aide et je devais me méfier de tout le monde. Je ne distingué pas encore la forme de la personne qui venait mais ça devait être un gardien, du moins...J'espère...

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Qui aurait cru qu'un métier d'infirmière dans une prison serait si ... prenant ??? A part quelques moments de petits plaisir personnel par-ci par-là, je dois avoué que je ne m'amuse bien moins que je l'espérais. Des blessures de toutes sortes mais toujours un garde en présence ... Je n'ai rien pu tenter. Mince, on m'avait dit que cette mission serait amusante !! Et toute cette paperasse à remplir. Hey, je ne suis pas secrétaire !! Et ce médecin qui se fait attendre. La directrice m'a prévenu qu'il ne devrait pas tardé à arriver, enfin, le nouveau puisque l'ancien a apparement du quitter promptement les lieux. Bon, laissons tout ce tas de papier de côté, ce médecin s'en occupera quand il sera là. Arg, non, pensée d'horreur. Et s'il s'agissait d'une femme ??? Mon désespoir serait le plus total alors ... A quel heure devait-il arriver au juste ??? Ah, les aiguilles de l'horloge semble me dire que ce n'est dans pas longtemps. Allez, je suis trop curieuse pour rester assise à ce bureau et me lamenter sur mon sort. Direction, la fenêtre. Observons l'arrivée de ma futur proie, tout du moins, je l'espère.

Que ces minutes sont longues ... Autant s'occuper à penser à mes projets ici. Oui, ce prisonnier, Viktor ... Que vais-je faire de toi. Et toi alors, mon petit Hijo, comment vais-je corrompre ton petit coeur ??? Et toi ... bel inconnu encapuchonné qui s'approche furtivement de la grille d'entrée. Bien mystérieux, ce qui ne le rend que bien plus intriguant. Un homme ??? Une femme ??? Difficile à dire à cette distance. Et les gardes qui ne sont pas là. Tiens, et si j'allais l'accueillir ... Il semble attendre qu'on lui ouvre. Si c'est un homme, voila une bien belle manière que de lier conversation. Si c'est une femme, et bien, je connaitrais ainsi mes ennemies. Allez, finis les questions, passons à l'action.

Déjà, prendre mon temps, il ne faut pas qu'il me voit arriver le souffle court ou une légère teinte rosée apparente sur mes joues. Cela trahirait son observation. Alors, descendons doucement les escaliers, faisons notre célèbre déhanché pour attiser l'humeur des prisonniers ... Quoi, il faut bien se faire plaisir de temps en temps n'est-ce pas ??? Et d'entendre ces mâles idiots me confèrent une légère satisfaction. Alors, encore quelques mètres à faire et je serais devant la grande porte du batîment. Ah oui, les gardes. Tiens, autant les utiliser. Alors, petit regard mieleux, sourire gênée, petite voix fluette.

"Bonjour Messieurs ... Excusez-moi mais je crois que quelqu'un attend aux grilles dehors. Il se pourrait qu'il s'agisse du nouveau médecin. Vous devriez aller voir ..."

Oui, moi aussi je vous aime ... pas. Bon, c'est bon, après quelques minutes, l'information est passé au cerveau, ils commencent à se bouger le train. Bon, suivons le jusqu'au pas de la porte, je suis trop curieuse de savoir qui est cet inconnu. Et s'il s'agit d'un homme, peut-être que de voir une belle femme l'attendant et l'accueillant devant une grande batisse lui ferait plaisir. Enfin, voyons cela ...

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Lors de mon attente, je vis une forme penché a une fenêtre, une femme plutôt belle et fort séduisante. Hum, une "pensionnaire" de se lieu qui semblait pour une fois normal, elle devait travailler ici pour Sadismus. Sa me ferai de la compagnie lors de mes moments de détentes et puis peut-être que je ne serai pas si seul que ça dans une prison aussi froide que celle-là.

Je m'était levé et avait mit ma main sur un de mes scalpels lorsqu'une personne s'approchait de moi. C'était un garde de la porte, du moins il en avait l'air. Il fallait que je reste sur mes gardes, je remit mon capuchon pour cacher mon visage et attendit d'être face à l'homme. Il me regarda d'un air inquiet, apparemment il avait peur d'avoir a faire avec un autre prisonnier.

Je prit ma mallette et je m'avance vers lui. Je le regardais et je lui montré ma carte d'identité puis un document qui m'avait été envoyé un peu plus tôt dans la semaine. Je lui tendit gentiment, comme pour le mettre en confiance, et sa marcha. Le garde prit mes papiers et les regarda, il me dit sur un ton stricte, qui me déplu, plus que tout:

"Bienvenu Docteur Leugen, une personne nous a annoncé votre arrivé et vous attend derrière la porte. Veuillez me suivre s'il-vous-plaît."

Je me suis retenu de lui mettre un coup de poing dans le visage, cet homme était un froussard et il osé me parler de cette façon ? Le monde pourrissait de plus en plus, si je pouvais, je ferai en sorte de tout remettre en ordre. Mais pour l'instant, je suis là pour surveiller un sujet qui ma fort intéressé par le passé, et je devais le retrouver ici. Pour l'instant je suivit le garde qui m'ouvrit les grilles et je vis derrière c'est portes géantes une jeunes femme, qui était fort mignonne.

Mais attendez, c'était la femme qui m'observait ? Oh, cette endroit commence a me plaire.Mais maintenant j'allai devoir me présenter à cette dame. Le garde retourna au poste, je le salua de la tête et attendit qu'il partit pour pouvoir enfin parler. J'enlève ma main qui été dans ma poche intérieur et avait lâché le scalpel et je retire mon capuchon, découvrant ainsi mon visage pour la première fois à quelqu'un de se lieu. Un sourire aimable se dessina sur mon visage, et je dit sur un ton doux et calme:

"Bonjour très chère inconnue, je me présente: je suis le médecin néerlandais, Tristan Leugen. Et vous, pourrez-je savoir votre nom qui doit être au oreille humaine d'une douceur qui n'a d'égal à votre beauté."

Après tout, il y a bien une citation qui disait: ~Le meilleur médecin est celui qui, connaissant nos passions, sait les flatter quand il ne peut les guérir.~... Je la regarda dans les yeux, plongeant mon regard azuré. Je ne m'attendai pas a se qu'une femme vienne m'accceuillir, cela me fit plaisir, mais il fallait savoir si cette femme avait de bonnes intentions. J'allai le savoir très vite...

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Ces murs gris, ce silence pesant, ces longs cables parcourant les plafonds. Ces cris, ces réflections, ces sons stridents. Petit à petit, je m'y suis habituée. Peut-être trop ??? En tout cas, je n'y fais même plus attention alors que je suis en train d'attendre tranquillement dans ce hall d'entrée. Léger sourire, petit regard, posture soutenue. Tous doivent penser que je ne suis qu'une pauvre infirmière écervelée genre poupée barbie. Ben, en même temps, je fais tout pour. Dis donc, ils sont lent ces gardes. Eux, ya pas photo, ce sont vraiment des écervelés.

Ah, si les voilà. Et cet inconnu toujours capuchonné. Laissant plané le mystère jusqu'au bout. Ah, voilà enfin, il se découvre. Hum ... Plutot pas mal. Ces yeux sont très attirants, un tel bleu ... Ces minces mèches de cheveux qui encadrent délicatement ce visage. De tendres lèvres discrètes. Une peau clair mais qui paraissait assez douce. Très beau spécimen. Mais j'ai vu mieux.

Voilà qu'il se présente. Voix calme et agréable. Hum, par contre, pour la technique de drague, enfin, si il s'agit bien de cela, il pourra repasser. Phrase à la mord-moi-l'noeud, j'en ai plein mon sac. Bon, donc il s'agit bien du médecin. Bien, il va pouvoir faire la paperasse alors ! Que le spectacle continue. Alors, petit déhanché pour se rapprocher de lui afin de lui faire un serrage de main en règle. Grand sourire conquit et accueillant, le regard plissé par la joie. Ah oui, et subtile penché en avant en même temps que je tends ma main.

"Bienvenue Docteur ! Je suis Sorrana, l'infirmière de ce lieu. J'ai été prévenue de votre arrivée c'est pourquoi je suis là. Oh et je vous en prie, ne soyez pas si gentleman avec moi, nous allons travailler ensemble. Vous avez fait bon voyage ???"

Bon voilà, le contact était fait, plus qu'à établir les bases. Etrangement, aucune envie particulière ne me viens à l'esprit alors que je le détaille du regard. Pourquoi ??? Sûrement l'inaction de ces derniers jours ... Bon, prenons lui le bras et commençons à marcher. Vers où ??? Les chambres ou l'infirmerie ??? Bah, autant voir sa réaction, je m'adapterais.

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Oh l'infirmière de ce lieu, hein ? Pour moi sa technique faisait plutôt, une prostituer en manque que personne sérieuse, mais chacun ses goûts. Le coût de se pencher en avant pour montrer sa poitrine pour me faire craquer ? Je connais déjà, et puis se déhanché... Je ne put que soupirer quand elle le fit, mais elle me tendit la main et je le prit pour la serré, juste pour les salutations.

La question qu'on risque de me poser plus de deux-cent fois dans la même journée, est-ce que j'ai fais bon voyage ? J'hésite à lui répondre. Est-elle assez intelligente pour comprendre ? Mais il me semblait que c'était un jeu, pour elle, de faire ça... Et puis mince, lançons-nous dans la conversation, après tout, qu'ai-je à perdre ?

Elle me prend le bras, je suis un peu surprit, si c'était vraiment un jeu pour elle, je trouve qu'elle va un peu loin. Je prend ma mallette en aluminium et je commence à la suivre, on se dirigé sûrement vers le couloir, où allait-on ? Moi-même, je ne le sais pas... Je voulais d'abord voir mon futur lieu de travail. Je dis, à la femme qui me tenait compagnie, sur mon habituelle, c'est à dire calme et doux:

"Mon voyage c'est déroulé comme il le devait, donc normalement et avant de faire la visite de se "palace", pourrions-nous passer par mon futur lieu de travaille ?"

Le mot que j'ai utilisé pour nommé Sadismus, "palace", je l'avais dit avec amertume car j'avais déjà envie de vomir déjà à cause de la présence imposante de se bâtiment, et le malaise continué. Prendre mes jambes à mon cou me semblait une bonne idée mais...Je pense que les gardes m'en empêcherait et puis les STASI m'attendraient sûrement de l'autre côté de la porte...

On dit que le destin appartienne a se qui se lève tôt, mais pour mon destin ? Est-ce que je serrai encore vivant en me levant ? Je secoué vivement ma tête pour ne plus y pensé, mais j'aurai bien voulut vivre dans un petit coin paisible et fonder une famille tranquillement. Mais on m'a pas laissé le choix, il va falloir que je fasse avec. Je lâche un long soupir, il fallait que je prenne un peu de courage.

*Let's GO* me disais-je, même si sa ne m'arrange pas plus....

En tout cas, je vais pas m'embêter ici, entre les gardiens un peu fou depuis, je pense, et les détenus. Un moment de calme sera difficile a trouver.

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