Et il arriva enfin, dans toute sa splendeur [ Pv Diamond ]

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Apeine avais-je mis les pieds dans l'enceinte du bâtiment qu'on m'avait presque arraché mes bagages, m'assurant qu'ils seraient transporter à ma chambre, que je partageais avec un collègue. Ma première pensée fut que cette idée, de mêler homme et femme, était bien étrange, surtout pour un milieu pénal où on tente toujours de limiter les dégats. Pourtant, cette annonce ne me faisait rien, je n'en avais que faire, même que l'idée me plaisait, peut-être est-ce qu'un peu de bon temps m'attendait avec cet homme. Si seulement j'avais su qu'il s'agissait d'un homme frustré coté professionnel, j'aurais probablement rouler des yeux. Mais voilà, je n'en su rien et rapidement, un grand homme se présenta devant moi, comme étant l'un de mes supérieurs. Si j'avais retenus quelque chose de mes expériences passé, c'est que je devais traiter cet homme avec respect et professionnalisme. Pas question de lui faire les yeux doux ou encore moins de tenter quoi que ce sois avec lui, boulot l'oblige. Il annonça qu'il me ferait faire un tour de la prison, puisque je devais commencer presque immédiatement, histoire de remplacer un mec qui était supposément malade. Ouais, les mecs et les maladies, vous savez...

Le suivant tout simplement, ne m'attendant pas à quelque chose de bien spectaculaire, puisqu'il ne s'agissait que d'une prison, c'est avec attention que je débutai la visite. L'endroit me semblait vieux, apeine remis en place, on n'y avait pas mis beaucoup d'effort selon moi. Pourtant, c'est ce côté vieux et sâle qui me donna un frisson de plaisir. Mon esprit pervers ce mit aussitôt à imaginer toute sorte de scénario plus lubrique les uns que les autres dans ses lieux immondes et pratiquement insalubres. Le tout me fit penser à le vieil orphelinat où on m'avait apprit à devenir ce que j'étais aujourd'hui, un monstre assoiffé de sang et de douleur. Puis, comme j'arrivais enfin dans la salle de musculation, qui se trouvait vide à cet heure puisque les prisonniers se trouvaient tous dans leur cellules, pour je ne sais quelle raison, leur absence me déçue. Moi qui m'attendait à voir tout un tas de torse viril, reluisant de sueur, je me trouvais bien déçue devant tant d'espace, tant de silence. Puis, comme s'il répondait à mes prières, il avança, je l'avais vue quelques minutes plus tôt. C'était lui qui m'avait soulagé de mon incertitude tant qu'a savoir quoi faire de ma prisonnière.

Il était grand, un masque au visage, ce qui me laissa un peu surprise et un tantinet excité et dôté d'un corps athlétique. Mais qui est ce beau spéciment, cette question se fit immédiatement omniprésente dans mon esprit de cinglé. Mon supérieur le salua d'un signe de tête puis leva un main en sa direction, pour me le pointer poliment quoi. Il le présenta brièvement comme un certain Diamond Backdoor, nom que je m'empresse de retenir, comme pour ne pas l'oublier, chose pourtant impossible après avoir eu droit à cette vision. Puis, tout d'un coup, mon patron semble presser de partir et ordonne sans attente de refus, mais d'un ton qui se veut plus polis qu'une obligation, à l'autre gardien de terminé ma visite. Il ajoute rapidement mon statut de nouveau membre de la prison, gardienne, tout comme lui visiblement et sur ce, se contente de nous saluer d'un signe de tête, que je m'empresse de lui rendre. Hors de vue en quelques secondes, très pressé finalement de me laisser, je ne peux que me tourner en direction du bel apolon qui transpire la virilité de tous les pores de sa peau.

À ce moment précis, je ne peux que me demander mentalement si j'ai fière allure dans l'uniforme de l'endroit. Je déteste toujours autant les pantalons et l'idée que j'en porte un à l'instant même, me fait presque rager. Moi qui ai de si jolie jambes, qui aime tant écarter les cuisses, ( eh oui je peux me faire vulgaire xD ) j'ai de quoi être déçue. J'espère aussitôt que mon uniforme pourra être composé d'une jupe. Ce sera à voir, ça oui! Je le fixe sans même avoir fait attention mais il est difficile de cesser ce geste, qui me vient si naturellement devant autant de déploiment de beauté naturelle et masculine. Beau, il doit l'être mais je m'en fiche pas mal, la présence de son masque me laissant toute frétillante. C'est ses cheveux qui me donne le plus chaud, une longue crinière couleur de blé, ses larges épaules me donnent aussi un léger sursaut de pure plaisir. Dieu que j'aimerais qu'il pose ses larges mains puissantes sur moi, peu importe la façon! Je le salue de la tête poliment et, comme toute recrue bien éduqué, je me nomme mais pas d'une voix forte ou monotone mais bien avec un soupçon de sensualité, démontrant bien là qu'il fait face à une femme et non pas à une lesbienne.

" Akina Naiko, matricule 0-2-1-0. Enchanté Monsieur Backdoor. "

Mes yeux trainent sur lui, le caresse sans vraiment craindre quoi que ce sois, osent même se poser sans remord sur sa fourche, tentant vainement de deviner ce qui s'y cache. Il a l'air bien bâtit, d'une force incomparable et aussitôt, je ne peux m'empêcher de fantasmer sur diverse scénario, que la pièce vide de toute présence ne fait que renforcer. Sans aucune pudeur en face de ce collègue de travaille qui ne peut rien contre moi, parce qu'en face d'un supérieur ce serait une toute autre histoire, je me passes la langue sur la lèvre inférieur.

" Vous allez donc me faire visiter l'endroit? "

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Je quittais mon colocataire de chambre, que j’avais rencontré il y à de cela quelques heures sans doute maintenant, tout de même pas trop. Une heure, peut-être deux, je n’en sais trop rien ; Mais il avait eu le don de me surprendre. Il m’avait vraiment amusé à se comporter d’une étrange manière vis-à-vis de moi. Ou bien peut-être était-ce moi qui l’était ? Je n’en sais trop rien, tout ce que je sais c’est qu’avec un tel personnage dans ma chambrée je vais pouvoir m’amuser. Mes outils de tortures ne seront pas vains, et je me ferais un plaisir de lui couper ses attributs masculins si cet homosexuel se mettait à me toucher. Il n’aime pas les fille...il préfère se sentir plein plutôt que remplir…C’est son choix et son avis que je respecte, tant qu’il ne m’approche pas de trop près. Je pense être quelqu’un de plutôt compréhensif et ouvert d’esprit lorsque je le souhaite vraiment, mais il y à a cela une certaine limite à ne pas dépasser comme je dois dire.

Je me souviendrais toujours ce moment la, ou, ce jeune homosexuel s’était approché de moi alors que j’étais le mouchard de mon ancien patron, la ou je fus élevé et éduqué à la manière forte comme ils disaient. Il m’avait bien fait quelques avances écrites au départ, puis, il s’est enhardit et avait commencer à me caresser alors que je dormais. Un sursaut m’avait éveillé et j’avais pu jouer avec lui alors. Non pas de la manière qu’il voulait. Je l’avais attaché à mon lit, étendu sur le ventre ; Les poignets et les chevilles liées aux extrémités du lit, et je lui avais arraché ces derniers vêtements par un geste violent. Je l’avais découvert alors. Pour seul observateur de ce « viol », la Lune. L’astre s’élevait haut dans le ciel et éclairait la pièce avec tant de clarté que l’on aurait pu se croire dans une ambiance romantique et tamisée. Sans préparation préliminaire j’avais saisit l’un de mes jouets sexuels que j’avais déjà, et l’enfonçait dans l’orifice de l’individu. Un rire m’avait animé, et je m’étais retiré en lui soufflant qu’il resterait ainsi durant toute la nuit, et qu’au lendemain, je lui en ajouterais un coûte que coûte, chaque heure. Je m’en étais allé m’endormir sur le lit de l’un de mes voisins absents, en isolement pour mauvaise conduite. L’autre geignant tantôt de douleur, tantôt de plaisir, je n’en sait trop rien et ne voulut le savoir. A l’aube, un soleil rouge s’élevait baignant la pièce d’une lueur vive. Je m’éveillais, et comme promis je me mis à exécution. Chaque heure passant, j’ajoutais un jouet dans son orifice. Je dus déjà bien évidemment forcer pour le second, et je n’ose l’expliquer pour le troisième, si bien qu’à un certain moment je sentis sa peau se déchiré…

Un sourire sadique orne mes lèvres alors que la voix d’un homme que je ne pense pas reconnaître m’interpelle et me présente à ce nouveau membre du personnel que j’ai déjà vu un peu plus tôt dans la journée. Oui, je me souviens, c’est avec elle que j’ai accueilli la nouvelle prisonnière. Elle venait d’arriver en même temps et je l’aidais donc. Non pas par sympathie ou autre de ces sentiments qui puissent m’animer, mais par intérêt personnels. J’avais déjà prévu tout un tas de plan dans ma tête lorsque j’avais aperçu cette jeune femme jetée hors du véhicule. Me saluant simplement d’un geste de son visage, il me laissait la avec cette femme que j’avas déjà eu le loisir d’observer. Oui. Et, oh, tiens, je la vois qui me détails, elle ne se gêne pas. Je pourrais la remettre en place. Oui. Mais je compte m’amuser un peu et la torturer avant de lui montrer ce que je suis vraiment. Je vais la mener en bateau, lui montrer comment il faut qu’elle me traite ! Ce n’est qu’une femme, elle doit assouvir mes fantasmes ! C’est ainsi son rôle si je le décide pour elle. Je l’écoute alors me raconter toute sa vie, son matricule et son nom. Je m’en moque royal, mais derrière mon masque elle n’en verra rien. Je laisse juste mes deux perles se balader librement sur son corps que je devine bien sculpté, et je remarque sa langue qui passe sur sa lèvre inférieure. Je m’en amuse, et je souris derrière ce masque qui me protège de toutes émotions visibles.

‘‘ Je m’en moque de ton nom. Tu ne seras pour moi qu’un matricule, qu’un simple numéro c’est compris ?! Et oui je vais te faire visiter les lieux. Je pense qu’il va falloir que nous commencions par…Euhm…Le sous-sol, ca te va N° 0210 ?!’’

J’engage déjà le pas qui menait au bout de ce couloir, et me présentait devant la cage d’escalier qui nous mènerait la ou j’avais décidé d’aller. C’est la que je jouerais avec elle comme il me semble sans que personne ne m’entende.

» Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ]
» Une toute petite dans un monde de grands... [pv]
» Diamond Backdoor [ Finite ]
» Muileata: Diamond Mine
» Enfin arriver.