Diamond Backdoor [ Finite ]

Dossier médical

Nom & prénom- Diamond Backdoor

Sexe- Masculin

Âge- 27 ans

Traits physiques:
Je suis d'une taille assez grande, je mesure près d'un mètre quatre-vingt-cinq. Ce n'est pas une gêne, mais un réel avantage. Je pèse près de quatre-vingt kilos, ce qui me donne quelques bonnes formes, et me permet de m'imposer facilement partout ou je me présente. J'ai une longue chevelure couleur de blé dont les femmes ont tout à envier. Je porte principalement un masque sur mon visage, mais si l'on parvient à me l'ôter, alors l'on pourra constaté avec effarement que je possède quelques traits féminins, et que la douceur de mon visage contraste avec la dureté de mon corps d'homme. J'ai un visage plutôt de forme ovale sans éxagération, des yeux, en amandes couleur de jais qui percent le moindre de vos détails physiques, et qui donne tout de même a ce petit visage juvénile, féminin, un air machiavélique. J'ai un teint qui sans être laiteux se trouve relativement pâle, ce qui en ajoute encore à mon charisme.

Taille- 1m85

Poids- 80 kilos

Handicap ou maladie physique-
Je suis sujet à des crises de violences aigues envers les personnes qui ne respecte pas mes accords et engagements, ce qui m'a valu d'être renvoyé de mon ancien établissement pénitentiaire.

Autres-
Je possède, partant de ma hanche gauche, et remontant en "S", jusqu'à mon pectoraux gauche, un tatouage de serpent.

Dossier psychologique

Qualités-
Toujours prêt à rendre service, efficace dans le domaine de son travail, toujours présent, moralisateur

Défauts-
Je suis un tantinet ( ouais ouais c'est ca ) trop violent, j'aime abuser de mes pouvoirs, j'aime ridiculiser les gens, les donner en patûre aux gens, je suis moqueur et méprisant, je suis ssadique et SadoMasochiste

Aime-
J'aime, tout un tas de chose dont l'essentiel est d'abuser des belles filles, tourner au ridicule les hommes qui se montrent trop faible, j'aime me battre et battre à sang mes victimes ( Je ne les tue jamais )

N'aime pas-
Je porte à horreur les romantiques, ceux qui pensent que c'est avec de la douceur et de la délicatesse que l'on parvient à obtenir tout ce que l'on souhaite, je hais la gentillesse, la douceur...

Comportement avec les gens-
Salaud avec les hommes, profiteurs avec les femmes ! Manipulateurs !

Valeurs-
La seule citation qui me fasse office de valeurs : " Il faut souffrir pour être beau/belle "

Tics- /

Handicap mental-
Ma violence gratuite

Passé-
Je me nomme, ou plutôt je me suis nommé, Diamond Backdoor. J’ai toujours été un Backdoor, mais la ou je suis-je n’ai été qu’un simple et foutu numéro que nous appelions lors des rassemblements, ou simplement lors des convocations dans le bureau de ce directeur de maison de redressement. Je me souviens encore de lui comme si c’était hier. C’était un homme vil et fourbe et qui ne se lassait pas de me faire porter le chapeau sur tous les coups fourrés qu’il pouvait bien se passer dans son fichu établissement. La première fois qu’il m’avait violenté, je devais avoir douze ans tout au plus, et étant l’un des plus jeunes de l’établissement, il était normal que je traîne avec ce qu’aujourd’hui vous nommeriez des loubards, des délinquants. Oui ; Ils avaient pour la plupart quinze ans, et, pour pouvoir m’affirmer dans leur groupe je devais faire mes preuves au billet de diverses épreuves initiatiques qu’ils disaient. Ma première épreuve consistait à dérober dans l’infirmerie quelques médicaments dont ils usaient pour se droguer, un peu de morphine sans doute. Aujourd’hui ça me fait marrer, oui. Ca m’aura permis de passer le temps de la monotonie. Il n’était pas difficile de trouver des doses de Morphine dans l’établissement, pour la simple et bonne raison que les infirmières s’en servaient pour apaiser la douleur des jeunes lorsqu’ils se violentaient entre eux, ou qu’ils tentaient l’impossible, la fuite.

Oui, ça aussi, les fuites, si nous étions pris en train de fuir nos cellules, ou l’établissement, les mâtons nous faisaient passer à tabac dans une salle d’isolement, la, aucun son n’y parvenait, et impossible de se faire entendre. Souvent l’on en ressortait couverts de bleus et d’un tas d’autres marques significatives de coups. Moi, j’y suis passé aussi, mais bien plus tard. Ainsi donc, alors que je m’étais infiltré dans l’infirmerie et que je m’apprêtais à en sortir, un infirmier me trouvait en possession dudit flacon, et me présentait devant l’homme que je pensais le plus cruel du monde, le directeur. C’était un homme d’une quarantaine d’années, et qui vivaient encore selon les bonnes méthodes ancestrales pour corriger les jeunes. Coups de ceintures, isolements, privation de repas, séquestration, passage à tabac et ainsi de suite jusqu’à ce que le personnel soit sure que le jeune homme ou jeune femme ne deviendra pas récidiviste. Pourtant, pour y être passé un bon nombre de fois, j’ai pu prouver à cet homme que ces méthodes ne sont pas les bonnes, et laissant faire preuve de mon immense créativité de tortionnaire, j’ai pu obtenir une place de choix dans les rangs du personnel. Je décidais de toutes les peines à encourir, anonymement bien évidemment pour ne pas y passer par mes camarades ; sans quoi ceux-la m’auraient haït s’ils savaient que j’étais le maître de leurs souffrances.

Ce petit emploi m’aura permis de me découvrir sous un jour nouveau, sous un jour de passionner de la violence, mais aussi d’un maniaque de la main facile. Pour un oui ou pour un non je donnais des coups à mes partenaires de « chambrées », je ne leur laissais pas le répit de me donner le moindre coup, non, j’aimais trop voir leurs visages se tordre de douleur, se crisper, et à ces demoiselles, car je ne m’attaquais pas qu’aux garçons, non, elle, je me plaisait à les faire souffrir d’une toute autre manière, une souffrance physique et morale, je les violais avec quelques objets trouvés.

Plus tard, cette violence gratuite agaça ce directeur, et il me renvoyait dans la vie de tous les jours, avec une lettre que je devais remettre à Sadismus pour vanter mes « mérites », ce que je fis sans tarder. Aujourd’hui, m’y voila.


Autres-
J'adore la torture sexuelle, quand c'est moi qui la pratique

Dossier d'emploi

Matricule -
2-1-6-7

Rôle dans la prison -
Gardien de Prison

Chambre no . (décidée par l'admin)

Rang -
Diamant Machiavélique

Armes -
Tous les appareils de tortures, mes poings, ma langue, ...

Personnage sur l'avatar-
J'ignore d'ou il vient, je l'ai trouvé au bon hasard de mes recherches fortuites sur le net