Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
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| Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] | |
| | Auteur | Message |
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Akina Na Invité
| Sujet: Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] Ven 1 Juin - 16:33 | |
| Il était bête, voir presque insupportable et j'eu presque envie de le gifler. Qu'un simple matricule? Non mais il rêve? Je suis plus qu'un matricule, je suis une jeune femme désirable du nom d'Akina et dès ce moment, je me promet de le lui faire comprendre. Qu'il le veuille ou non, il se rappellera mon nom à jamais et je le forcerais à me désirer de tout son être, jusqu'a ce qu'il me donne enfin ce que je désire. À cette idée, mon regard glisse de plus belle sur sa fourche, où j'aperçoit très subtilement un plis qui me prouve qu'il s'agit bel et bien d'un homme, quoi que je ne peux raconter en avoir douté. Agacé mais obéissante, je le suis sans rien ajouter, visiblement vexé, il va comprendre que je lui en veux mais c'est mon dernier soucis. Parce qu'en fait, cette façon qu'il a de me voir comme une chose inutile, quelque chose de ne pas important, m'excite un peu. L'adoration me tue mais l'ignorement me rend totalement folle, il va l'apprendre à ses dépends. Pour le moment, il me semble bien froid, comme l'un de ses hommes sans aucune pulsion sexuel, qui ne pense qu'a blesser les autres, qui n'ont soif que de violence pure et dure. Mais moi aussi j'aime la violence, j'espère donc qu'il saura le deviner et qu'il me dévoilera une quelquonc faiblesse à mon égard féminin.
" Bien! "
Mon ton est sec, voir désagréable et le regard que je lui retourne est loin d'être aussi invitant que quelques secondes plus tôt. Il m'a froisser et c'est visible, même pour un aveugle, mon sentiment est très claire. Je le suis tout simplement, ne retenant aucun numéro de corridor, ni comment rejoindre la sortie, me fichant éperduement d'où je vais et comment en ressortir. En fait, plus je m'enfonce dans l'obscurité du sous-sol, plus je me dis que cet endroit me plait davantage que l'extérieur. La fraicheur de l'endroit me laisse échapper un frisson mais mes yeux se font inflexible, caressant les murs de l'endroit avec une attention presque religieuse. J'adore cet endroit, maintenant j'en suis sur, c'est vieux, sâle et sortie d'une autre époque, d'un autre univers à mes yeux. Je m'imagine déjà bien chatié par quelques hommes fort, prises à la fois par plusieurs d'entres-eux. Maintenant, c'est un frisson de plaisir qui me parcours et laisse ma culotte s'humidifier. Moi et mon imagination, je devrais me calmer et ne plus y penser, surtout en pareille compagnie.
Il tourne alors vers la salle de torture, que je reconnais à ses instruments étranges et encore une fois, tristement vieux. Mais si l'apparence des lieux me plait, la vieillesse des objets me déçois. Moi qui suis une fervante admiratrice des nouveau joujou de torture, qui n'ai aucune peine à utiliser ses objets neuf, je me trouve ignorante devant ces vieux machins. En plus, l'impression que tout pourrait lâcher durant une session de torture se fait omniprésente pour moi et cette idée serait vraiment embêtante. Ce que je suis loin de savoir, c'est que ma venue dans cette pièce est loin de s'agir du hasard d'un esprit trop sérieux, trop bien organisé mais bien des envies lubrique d'un homme malade. Me tournant vers lui, attendant des explications, comme tout homme ennuyant le ferait, je vois une lueur de désir, ou bien serait-ce de la folie, passer dans ses yeux. Je vous rappelles qu'il s'agit là du seul aspect physique de son visage dont j'ai la permission et la capacité de voir. Plissant alors un peu mes jolis yeux vert, je recule de quelques pas, m'adossant à un mur. La pièce me semble alors très petite et alors qu'il avance, j'appréhende la douleur mais semble aussi l'attendre avec une joie que seule les toxicomanes savent vivre en replogeant une aiguille dans leur bras.
" Que... que faisons-nous ici? "
Je joue la victime, je sais qu'il a envie de quelque chose et peu m'importe ce que c'est, je sais d'avance que j'en ai envie tout autant. Il y a si longtemps qu'on ne m'a pas punis pour mes méfaits, je mérites une bonne correction. Je le détaille de plus belle, le trouvant fort séduisant dans son uniforme impeccable. Qu'a-t-il fait de la prisonnière? L'a-t-il punit, elle aussi? Je le souhaite de toute mon âme et déjà, des images passent dans mon esprit malade, imaginant la dite femme nue accompagné du corps puissant de mon collègue. L'a-t-il violer ou battue? Peut-être les deux et de ce fait, je souhaite que ce sois mon tour, qu'il me fasse subir les même douleurs et d'une voix sans intonation, parlant dans un souffle, les yeux curieux, je m'adresse à lui une dernière fois.
" La prisonnière, que lui avez-vous fait? " |
| | | Diamond Invité
| Sujet: Re: Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] Ven 1 Juin - 17:04 | |
| Elle me suit sans broncher un seul mot durant tout le chemin qui nous mèneront vers l’endroit que j’ai choisit pour abuser d’elle comme je le souhaite. Alors que le supérieur nous présentait hâtivement, et même plus tôt dans la journée, comme j’en ai déjà fait mention, j’ai pu admirer les courbes de son corps et les ai imaginer miennes déjà. Je marche d’un petit pas lent, et le peu de lumières de ces couloirs lugubres joue sur mon corps, lui donnant un air à peine plus imposant qu’il n’en à l’air. Il n’y à pas de doute, j’ai du passer un bon nombre d’heure à suivre des entraînement musculaire pour avoir un corps pareil, oui, ça ne fait aucun doute. Je lui montre d’un index peu invitant quelques geôles par-ci par-la, et je finis par arriver à la pièce de mes convoitise finalement. Je n’ai pas finit de lui montrer tous les sous-sols, mais je fais déjà ma pause déjeuner dans cette pièce circulaire. Je laisse mon regard glisser sur chacun de ces appareils que je trouve à la fois fantastique et orgasmique. Orgasmique ? Oui, je viens de l’inventer ce mot. Il me plaît. Je passe mes billes de verres sur chaque appareil, je ne peux me lasser de les observer et de les caresser de mon seul regard à défaut de mes mains pour l’instant.
La jeune femme se glisse devant moi, dans la pièce et pose à son tour son regard sur les outils. Je me délecte de son corps une nouvelle fois, l’imaginant déjà sur tel ou tel appareil, et ma langue qui parcourt son corps, qui mange son petit abricot pour son plus grand désarroi ou plaisir, je l’ignore mais compte bien le savoir. Le ton de voix qu’elle a utilisé avec moi alors que je lui avais signalé que pour moi elle ne sera qu’un simple numéro m’amusait. Oui. Elle entrait dans la gueule du loup à grand pas sans même s’y offusquer. Je me laissais croire qu’elle s’en rendait compte, et qu’elle s’y prêtait volontiers à mon jeu. Oui. Je trouvais cette jeune femme tout à fait passionnante. Elle savait comment réagir avec moi et c’est ce que j’aimais le plus chez elle pour le moment sans doute. Après il y aura son corps. J’observe ces vêtements que je trouve de trop et que je me vois déjà lui arracher, pour les rendre en lambeaux et l’étendre sur la table de torture ou elle sera mienne, qu’elle le veuille ou non. Soudain, alors que je sors de mes rêveries encore une fois, je la surprend à prendre un petit air de fille innocente, de fille qui à peur, d’une vierge pure et dure. Mes yeux pétillent de malice, dieu sait que j’aime cette situation de force.
Elle s’adosse contre le mur le plus proche qu’elle puisse trouver, et moi, je me campe bien droit devant elle, m’approchant au même rythme qu’elle reculait jusqu’a ce que la voila bloquée. J’aurais pu m’arrêter, j’aurais peut-être du, je n’en sais rien, mais il y à chez elle un petit quelques chose qui m’anime et qui me fait dire qu’elle n’attend que ça de ma part. Je vois son regard qui glisse sur ma fourche et qui lui montre bien ce qui l’attend sans doute. La moulure du tissu ne peut camoufler pareille chose. C’est un homme, un vrai. Je franchis les derniers pas qui nous séparent, je me plante devant elle, mes mains se soulèvent doucement, et viennent se loger à quelques centimètres de part et d’autres, à égale distance du visage d’Akina. Camouflé sous mon masque, elle n’aura pas le loisir de le voir, et ne le verra sans doute jamais, ça non, mais je lui souris. Pas d’un sourire tendre, pas d’un sourire calme ou serein, non, mais d’un sourire pervers et diabolique. Son petit jeu m’a drôlement amusé et je la désire au plus au point. Je la fixe droit dans ses yeux qu’elle abaisse pour approfondir le jeu de victime, et la voila qui reprend la parole, doucement ; Intimidée presque. Le ton est bas, elle joue la victime ; Si comédienne elle était, elle en serait merveilleuse dans ce rôle, et je m’en délecte, me passant la pointe de ma langue sur ma lèvre supérieure doucement. Sa question ne tourne pas autour du pot, elle va droit au but. La prisonnière… ?! Je lâche un rire clair et sonore alors que je me redresse pour lui faire de l’ombre.
‘‘ Ferme-la !’’
Je lève la main droite et la porte à son visage dans un premier temps pour la gifler. J’y mets de la force. Je ne suis pas un acteur. Je suis adorateur de violence. Son visage se tord sous la douleur instant, chose que j’apprécie somme toute au plus, et me voila entamant un « strip-tease ». Je lui arrache ses vêtements sans sommation ne la laissant qu’en simples sous-vêtements. Les haillons que je viens de faire, je es laisse joncher le sol sans ménagement, et je saisit les poignets de ma prisonnière du moment. Ma main droite suffit à cela, et ma main gauche, elle, après lui avoir tiré un moment les cheveux en arrière pour la voir me grimacer encore sous la douleur ou le plaisir, glisse ensuite vers son entrejambe que je découvre déjà tout humide. C’est qu’elle doit aimer ça en plus.
‘‘ T’es déjà toute mouillée ! Hum ! Je vois !’’
Je la dirige donc vers une large table de bois ou je l’allonge. A chaque extrémité se trouvent des menottes de fer dans lesquels j’emprisonne ses poignets et chevilles. La voila à ma merci. Je peux faire ce que bon me semble. J’admire mon œuvre un moment et me retire pour me diriger vers la porte. Je clos l’endroit dans un claquement métallique. L’obscurité règne à présent dans la pièce, et seuls quelques traits de lumière parviennent à percer entre les fins barreaux d’acier. Je suis une ombre parmi les ombres. Je me déplace avec lenteur vers elle, contre le mur, un grattement métallique se fait entendre, celui que je fais lorsque j’avance. J’ai du me procurer une arme alors que je venais de refermer la porte. Mais impossible pour elle de dire quand, comment, et surtout pourquoi. Je suis à nouveau à son chevet.
Je lui fais savoir mon retour par une main qui se glisse sans attendre entre ses cuisses, et qui caresses son intimité sans ménagement. Je ne suis pas la pour lui faire de la douceur. Je veux juste profiter d’elle. Mon autre main elle, pourvue d’un froid métal se glisse sur le ventre plat de la jeune femme offerte que je griffe. Rien de bien méchant, aucune plaie n’en ressortira, mais sur le coup, la douleur sera au rendez-vous. Et, que l’on aime ou non, elle devra s’y tordre alors. Elle est mon jouet, et je compte bien abuser d’elle à ma guise. |
| | | Akina Na Invité
| Sujet: Re: Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] Ven 1 Juin - 18:38 | |
| J'entrevois son érection toute fraiche, signe qu'il n'est finalement pas de ce type d'homme insensible et qu'il a bien l'intention de me malmener un peu. Je jubile presque alors qu'il se fait plus imposant, que son torse se bombe un peu plus, que son orgueil prend toute la place disponible de la petite cellule de torture. Je le laisse prendre autant de place qu'il le désire, j'accepte sa domination sans broncher, même que suite à sa gifle, je me contente de prendre un air innocent, après une légère grimace de douleur. Je repose mon regard sur lui, mais cette fois je ne joue plus et c'est un sourire lubrique qui prend le dessus, mes yeux luisant de pure plaisir, que l'excitation ne fait qu'augmenter. Je passe ma langue sur ma lèvre inférieur, comme pour lui montrer que tout ça ne me fait que du bien. Je redresse la tête d'un coup, d'une façon un peu provocante, comme si je lui en demandais davantage. Je le détaille avec désir et il est maintenant claire que je le veux et qu'il me veut visiblement aussi car d'une main adroite, il m'arrache tous mes vêtements. La violence de sa poigne me laisse échapper un gémissement, de douleur ou de pure plaisir, je ne saurais le dire, et lui non plus en fait.
Il se fait autoritaire, m'agrippe les poignets et me laisse en simple petite culotte, toute frissonnante dans l'air frais de la pièce. Mes mamelons se durcissent sous ce climat trop froid, me laissant échapper un frisson autre que de plaisir. La douleur de mes cheveux court tiré ver l'arrière, me laisse sourire de pure plaisir, moi qui n'attendait que ça. Finalement, je vais réellement m'amuser et je ne serais pas déçue, je le sens. Mon intimité se mouille davantage, me laissant échappé un léger gémissement alors que je sens sa main se glisser sur elle. Il ne semble qu'a moitié surpris mais cette découverte ne le laisse que plus satisfait, tellement que je peux sentir cette satisfaction dans la pièce et son égo se fait encore plus énorme, il empiète alors sur le peu de place qu'il me reste dans cette pièce mais encore, je lui laisse toute la place, me faisant compréhensible et bien trop heureuse de mon sort pour me dresser contre lui.
Il me traine jusqu'a une table, je ne crains rien, j'attend la douleur en fait, le plaisir qui deviendra douleur et la douleur qui devient plaisir. Je le connais ce sentiment et je le veux! Il m'attache sur la table, je me débat très légèrement, jouant le jeu, sachant pertinamment que ce genre de truc excite toujours les mauvais garçons et tout innocement, laisse ma voix couler dans la pièce qui nous donne une impression de puit, dans son échos.
" J'ai été vilaine? "
Je le provoque, je ne sais pas comment il réagira. Sois il sera de ceux aimant ce genre de chose, sois il détestera et alors, je sortirais bien amoché de cette pièce. Je ne crains rien, je n'ai pas peur de la douleur, même qu'elle tarde à venir selon moi. Il ne se fait pas délicat et je lui en suis gré, me tordant sur la table où je fais maintenant office de prisonnière. Puis, il se recule, m'admirant avec attention, fier de son oeuvre, ce qui me laisse satisfaite, il saura comment me traiter, je n'en doutes plus. Un tintement métallique me laisse sursauté et je cherche la cause de ce bruit sans la trouver, jusqu'a ce que je repose mes yeux sur lui, réalisant qu'il s'agit de lui. Il tient quelque chose, le laisse frapper les barraux mais je ne vois rien, sa silhouette me paraissant trop sombre pour même distinguer son corps depuis la noirceur dans laquelle il se terre. L'impression d'être une proie qu'un monstre, une immense bête dont je ne pourrais pas même effleurer d'un poing, se fait plus présente et je trésaille de crainte devant ses plans futur. Moi si brave, moi si aventureuse, je me laisse distraire par ce bruit, qui me rappelle la perte de mon oeil. Pourtant, je sais bien que ce n'était qu'un manque de chance, que je ne perdrais pas le deuxième.
Cherchant alors sa présence avec une frénésie oculaire, il se fait connaitre par une main brutale, élancé entre mes cuisses sans aucune délicatesse ou patience. J'en laisse un gémissement de plaisir alors que mes reins se mettent à frétiller sous sa brutalité sexuelle. Il sait visiblement comment traiter les prisonnières et dès ce moment, je regrette presque de ne pas en être une et de subir ce genre de traitement en permanence. Mon corps se crispe alors sous une douleur passagère, il me griffe le ventre et je me cambre sous la douleur, qui se fait vive mais rapidement évanouis. Le regard fièvreux, je tourna la tête vers lui, la bouche entrouverte. Je veux plus, j'ai besoin de plus...
" Ahh... encore... " |
| | | Diamond Invité
| Sujet: Re: Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] Sam 2 Juin - 10:04 | |
| Ma douce torture malsaine avait était entamée. Mon plan se mit à exécution aussitôt que j’avais pris la peine d’installer ce corps féminin sur la table et l’y emprisonner. La main sur son ventre s’active, remonte légèrement vers sa poitrine que je presse de ma main pleine, un bref instant. Je continue mon ascension vers son visage, je passe le revers de ma main sur sa joue. Le contact froid de mes ongles métalliques que je viens de m’ajouter et probablement ceux avec lesquels je l’ai griffé un peu plus tôt glisse sur son visage. Je m’amuse à deviner son expression que je ne peux voir dans le noir. Je sais bien que je l’ai voulu ce noir, mais finalement, il me manque un petit quelques chose. Elle geint encore, gémissant et parlant alors que ma torture commence à peine. Elle m’exaspère. Je lui ai dit de se la fermer, de ne plus rien me dire, mais elle persiste. A me pousser à bout je vais devoir user de quelques objets dont j’ai le secret encore. Oui. Je plaque ma main sur son visage que je caresse en permanence, alors que l’autre que j’avais disposé sur son intimité humide, quittait le corps de la jeune femme pour que je puisse retirer mon masque. Je sais que dans ce noir, et que celui dans lequel je vais la plonger je n’ai rien à craindre, non. Elle ne verra pas mon visage durant tout l’acte et ce sera là la torture sans doute.
Je quitte son corps un instant et je m’en vais près d’un petit sac de cuir que j’avais disposé dans un renfoncement de la pièce, et que j’utiliserais lors de mes envies quand je m’amènerais mes proies dans ce local. La fermeture éclair que j’ouvre résonne dans la pièce, et le bruit laisse un frisson me parcourir. Je me délecte de ces sons étranges et de la signification qu’ils ont pour moi. J’en sors quelques ustensiles. Un bâillon de tissus pour ne plus l’entendre. Je veux qu’elle se taise, qu’elle ne dise mot. Je sors un autre morceau de tissus épais, en bandeau, que je disposerais sur ses yeux pour ne pas qu’elle me voit. Et je finis par tirer de mes affaires deux ou trois bougies. Parfait. J’ai tout ce dont je pouvais avoir besoin pour m’amuser avec elle. Du moins, pour l’instant.
Je revenais à son chevet et grimpant au dessus de son corps que je chevauche, à califourchon. Je laisse dans un bruit de porcelaine brisée, mon masque tomber. Il n’est plus. Je l’ai fait volontairement, qu’elle se méfie un peu de quelque chose peut-être. Un sourire m’anime, mes mains prennent le tissus que j’ai prévu pour bâillon puis le tendent. Je m’approche tout doucement de son oreille, je lui murmure quelques petits mots sans contenance.
‘‘ Tu as un dernier mot à me dire avant que je ne te prive de l’usage de ta langue ?’’
J’attends avec patience les quelques mots de ma jeune offerte. Puis, lorsque ceux-ci seront soufflés ou que ma patience aura atteint sa limite je la bâillonnais. Plus un seul son ne sortira d’elle ; Quelques petites plaintes encore pourront l’être, mais elles sonneront à mon oreille comme une douce mélodie dont j’en apprécierais chaque note. Je dispose ensuite le tissu épais sur ses yeux et je le lui fixe fermement sur le côté. Je la prive de l’un de ses sens. C’est excitant. Ca m’excite. A un tel point que je sens en ma fourche l’objet de ses désirs se gorger de sang petit à petit. Je m’empare d’une bougie dans chaque main d’Akina. Lorsque je trouve le chemin, je lui ouvre bien grand ces mains, et dispose à l’intérieur les bougies. Je lui ordonne de les serrer et de ne pas lâcher coûte que coûte. Un coup de briquet sur chacune, et je peux enfin voir son corps ainsi offert. Quel délice pour mes perles qui glissent sur cette offrande délicieuse. Je n’aurais pu rêver mieux pour une première fois, et je m’en lèche les babines.
Je quitte la table de bois, je me tient debout entre ses cuisses offertes et suintant légèrement de sa mouille qui déjà quitte son sous-vêtement. Je lui arrache ce dernier rempart sans délicatesse, aucune, et je penche mon buste pour que ma langue trouve le chemin de l’un de ses seins. Je la torture gaiement, je m’en donne vraiment à cœur joue d’harceler ainsi son mamelon qui est déjà bien dur d’excitation. Mes mains ne sont pas en restent. L’une se glisse sur son sein libre, et la seconde, trouve le chemin de ce sexe brûlant de désir pour moi. Je n’ai encore rien fait, mais elle doit être aussi folle que moi pour apprécier autant la situation. Je fais durer le plaisir, mes doigts tournant autour de ses points de plaisirs pour ne pas qu’elle prenne cela comme une caresse, mais comme une réelle torture. Je me sers de mes dents pour mordre son mamelon avec assez de force pour l’entendre gémir. Et moi, je continue mon jeu. La pinçant, la triturant ou la mordant parfois, mais jamais jusqu’à sang. Juste assez pour qu’elle a des marques tout de même.
'' Je vais te faire languir de désir jusq'à ce que tu n'en puisses plus. Et une fois que j'en aurais terminé avec toi, tu me supplieras un peu plus chaque jour de te malmener ainsi. '' |
| | | Akina Na Invité
| Sujet: Re: Et elle le suivit, absorber par sa splendeur [ Pv Diamond ] Dim 3 Juin - 17:25 | |
| Le contact métallique sur ma peau, me fait à la fois l'impression d'une douche froide et celui d'un baiser dans le cou. À la fois excité et effrayé par ce qu'il compte en faire, mon corps se crispe malgré sa caresse un tantinet trop tendre à mon goût, sur ma joue. Il semble avoir du plaisir à me laisser sans indications, il aime me voir patauger dans le mystère et pourtant, je ne peux lui en vouloir. Mon âme d'aventurière se réveille et la peur me quitte, je sais qu'il sera bon avec moi, qu'il me fera assez mal pour que je ne le regrette pas. Puis, comme pour me punir d'avoir parler, chose que je regrette immédiatement, sa main, qui savait se faire si dure, si cruelle, quitte mon entre-jambe, me laissant échappé un soupir rauque, lourd de regret. Son ombre s'éloigne, je le sais car mes yeux fouilles sans arrêt le noir sans jamais y trouver ce qui devrait y être, une carrure d'homme. Non, il m'a quitté et l'idée qu'il m'ai abandonné à mon sort, me fais encore une fois paniqué légèrement. Il semble alors lire dans mes pensées car dès que la frénésie de mes yeux commencent, cherchant avec peur l'obscurité, cherchant à voir jusque dans ses tréfonds, il laisse échappé un bruit de fermeture éclaire.
Le bruit me fait sursauté, je ne m'attendais pas à ça, des bruits de pas, des paroles peut-être ou encore ses griffes contre le métal. Aux aguets, le coeur débattant follement et le sexe humide, je ne peux tout simplement pas m'empêcher d'être excité par l'étrange situation. Moi qui ne croyait qu'a une simple visite d'acceuil, j'ai droit à le forfait de luxe! L'esprit embrouillé, la tête qui tourne, je l'entend revenir vers moi avec un soulagement qui me libère la poitrine d'un poid énorme. Il me grimpe alors dessus et c'est dans un espoir fou que je le regarde, avec de grand yeux, se glisser sur moi à califourchons. Va-t-il me faire sienne, me prendre comme une vrai brute et me laisser crier de douleur et de plaisir à la fois? Je ne souhaite que ça et le petit coulis sur la table prouve que je ne mens pas. Un autre bruit me fait sursauter, je suis craintive, j'ai légèrement peur qu'il ne me fasse aussi mal que le prisonnier fou m'ayant retirer mon oeil droit. J'ai tord, il ne fera pas ça, il ne le peut pas. Dans tout les cas, je tente de m'en convaincre.
Il ne porte plus son masque, son visage ne reflète plus le moindre rayon de lumière et cette perspective qu'il soit réellement un homme, me rassure un peu, aussi idiot cela puisse être. Il approche son visage et je sens son haleine chaude me caresser le visage. Que va-t-il me faire? Il glisse alors son souffle tout le long de mon visage jusqu'a une de mes oreilles, me laissant frissonner dès la première bouffée d'air sur celle-ci. Sa voix est chaude, suave et tellement velouté, que j'en suis toute retourné. Il me donne un avertissement, il a l'intention de me faire taire, je supposes donc qu'il va sois me baillonner, sois m'arracher la langue. Bien que masochiste, je crain pour ma langue, pas question que je la lui laisse comme ça! Les yeux ouvert d'horreur, ayant réellement peur qu'il ne me coupe la langue, je recule immédiatement la tête, comme paniquée.
" Ne m'arrachez pas la langue, je vous en supplie! "
Et voilà, j'ai dis mes quelques mots, qui, j'en suis déjà certaine, le feront rire. Qu'il soit ou non un fou ayant envie de me prendre cet organe, il rira et c'est ce qui me laisse incertaine quant à la tournure des choses. Il décide alors de me bander les yeux et mon pouls s'accélère, j'ai peur et je suis terriblement excité à la fois. Pourvue qu'il ne touche pas ma langue, pourvue qu'il n'y touche pas! Je ferme les yeux avec force, attendant la douleur avec une crainte que je ne me connais pas, mais rien ne se passe et il se contente d'ouvrire mes mains. Aussi effrayé que je le suis, il réussit tout de même à détourner mon attention par le gonflement de sa fourche, que je sens alors frôler mon entre-jambe, dans un frissons de pure délectation. Deux tube long et froid sont alors placer dans mes mains par ses soins, de quoi s'agit-il? Je crains à nouveau qu'il ne veuille me prendre ma langue, et si ses tubes contenaient des outils dangereux? Mais il me semble que non puisque le bruit d'un briquet qu'on allume se fait entendre et que je le sens se diriger sur chacun des tubes. Des chandelles, il s'agit de chandelle! Il m'ordonne de ne pas les lâcher, quoi qu'il arrive, je ne dois pas les lâcher et je m'accroche dès lors sur cette directive.
J'acquiesce de la tête comme une petite fille docile, craignant bien trop pour ma langue pour refuser cet ordre. Effrayé par la possible perte de mon organe chérie, je me sens alors stupide, sentant sa main me retirer d'un coup sec ma culotte. Je me suis emballé pour rien, il ne veut que mon sexe visiblement, ce qui me laisse gémir de soulagement. Je me sens soulagé, rassurée, tant et aussi longtemps qu'il n'aura pas envie de me retirer quoi que ce sois au couteau, tout ira pour le mieux. Sa bouche, d'une cruelle attention, se glisse alors sur l'un de mes mamelons, qui se redresse davantage sous sa caresse diabolique. Ses mains semblent vouloir me rendre folle alors que l'une d'entre-elle m'empoigne avec une dureté qui à elle seule, me fait gémir de pure plaisir, et que l'autre, plus délicate mais tout autant tortionnaire, s'amuse à m'exciter sans jamais se glisser au bon endroit. Cambrer, gémissante, haletante, je tente de reprendre un peu de contenance sans y arrivée guère, il me semble avoir à faire avec un professionel. Il me mord le mamelon et je lache un petit cris de douleur, qui est très vite remplacer par un sentiment de pure bonheur. Oh oui, fais moi mal! Je ne peux m'empêcher de repasser cette ordre dans ma tête. Je gémis de pure désir, je le supplie par ma voix étouffé, je me cambre encore et encore, d'ici la fin de son chiffre, il m'aura rendue folle, je le sens... Mais il m'en faut plus, je dois le sentir en moi, il doit venir en moi. |
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