Ralph et Vlana (Suite de Douche)

Nous avons quitté les douches des employés. Elle était en larme il n'y a pas plus tard qu'une minute, maintenant j'en ai aucune idée. Je suis mal à l'aise et je reste en avant, le regard fixe devant moi. J'entre avec Vlana dans notre chambre. Elle me suit la tête basse. Je n'ai toujours pas la moindre idée de ce qui ce passe. Je ne me retourne pas. Est-ce qu'elle pleurait encore? J'espère bien que non. Je m'asseois sans un mot sur mon lit. Je soupire. Je lève finalement ma tête vers elle. Je garde un moment de silence.

Qu'est-ce qui c'est passé Vlan? Demandais-je.

Cette question hantant mon esprit depuis tout à l'heure, j'ose maintenant lui demander.

J'ai suivit Ralph en silence durant tout le trajet jusqu'à la chambre que nous partageons. J'ai ravalé mes larmes et je me suis consentrée sur ce que j'allais lui dire...
Arrivé dans la chambre, je me suis assise sur mon propre lit et j'ai attendu qu'il parle lui, je savais bien que la question lui brulait les levres.
Lorsqu'il lu posé, j'ai relevé la tete et je lui ai dis:

"-tu ne t'es jamais demandé pouquoi les pupilles de mes yeux sont rouges et non pas comme toutes les autres femmes, vertes marrons ou bleus? "

Je n'avais pas trouvé d'autre moyen que de lui parler de ca avant de lui expliquer comme je le pouvais ce que j'avais depuis mon plus jeune age... Cette foutue maladie qui me privait du moindre plaisir...

"-tu ne t'es jamais demandé pouquoi les pupilles de mes yeux sont rouges et non pas comme toutes les autres femmes, vertes marrons ou bleus? "

Je pense un moment à la question. J'ai souvent remarqué ses yeux...Je les ai même trouvé un certain charme...Mais, je m'étonne à penser que non...Non, je me l'étais jamais demander vraiment à ce que je souvienne...Étonnant, c'est le seul mot qui me viens en tête.

Non...Non, je ne m'étais jamais vraiment posé la question...Mais où veux-tu en venir?

Je regarde Vlana d'un regard maintenant vide et lui parle d'une voix calme. J'attends seulement des explications, rien de plus rien de moins. J'attends, j'attends qu'elle me dise ce que je veux savoir. Un silence se forme dans la pièce avant que Vlana continue de parler.

Comme à chaue fois que je pose cette question à un homme, il me reponds que non il n'avait pas vraiment fait attention, et qu'il ne sait jamais posé la question. Et oui, mon physique aléchant détourne vite la regard des hommes...
J'ai replié mes jambes contre ma poitrine, et toujours assise sur mon lit j'ai dit d'un voix posé:

"-la couleur de mes yeux est dut à une maladie génétique que j'ai depuis ma naissance. Au debut, personne n'y a fait attention, enfin il faut dire aussi que je n'ai pas vraiment recu beaucoup d'attention non plus à mon jeune age... "

J'ai marqué une pose et puis j'ai soupiré avant de poursuivre comme si lui dire cela était une corvée:

"-a l'ophelina ou j'étais on m'a vite classée dans la catégorie "enfant dure" en ralité j'étais vide de sentiments et de sensations... "

J'ai levé mes yeux sur Ralph et j'ai dis avec un peu plus de colère dans la voix:

"-tu voix Ralph, toi ou les autres vous pouvez savoir ce qu'est le plaisir, tu peux jouir de plaisir aussi... Moi, j'ne suis incapable, c'est pour ca que je n'ai pas poussé un seul gemissement tout à l'heure... Je ne sais pas ce que c'est et je ne le saurai jamais... "

J'ai baissé les yeux et j'ai dis à voix basse comme honteuse:

"-excuses moi, je n'aurai pas du venir si pres de toi tout à l'heure. Je n'aurai pas du repondre à ton baiser et te laisser me toucher... J'imagine que cela refroidit beaucoup d'avoir entre ses mains une femme aussi frigide qu'un bout de bois..."

J'écoute tout ce qu'elle me dit et tout cela me semble impossible...Mais au fond, ça expliquait des tas de choses. Vlana a toujours été différente des autres filles...En réalité...Elle a toujours été différente de tout le monde. Je l'a croyais seulement bizzard ou bien qu'elle se donnait un genre. Bien sûre cette dernière théorie à disparu à force de la connaître. Non, elle est vraiment faite comme ça et elle vient de me le dire en avouant cette bien étrange maladie. Je ne savais pas quoi répondre pour l'aider.

Vlan...Je...

Je soupire.

Je sais pas quoi dire...Pourquoi tu ne me l'as pas dit avant?

Bon d'accord. Je vois déjà sa réponse. Je m'aurais moqué. C'est assez prévisible! Mais là, je n,ai aucune envie de rire.

La tete toujours calla sur mes bras croisé autour de mes genoux remonté, je souris à la reflexion de Ralph... Lui dire, mais comment aurai je put? Lui qui est si sur de lui, qui n'aime que lui et qui se moque bien des autres...
Je réponds:

"-comment aurai tu voulu que je te le dise avant? J'ai deja eut beaucoup de mal à m'habitué à ta presence dans cette chambre et à ta personnalité... Je ne te connaissais pas... Et puis tu croix vraimen t que c'est facil à dire à un mec"

Je prends une voix pour mimer la scene:

"-a excuses moi au faite, on couche ensemblem ais je ne jouis pas, o non c'est pas que t'es nul mais je ne sais pas faire... "

Je repends ma voix naturelle et dit de nouveau:

"-tu voix un peu le ridicule, et tu comprends pourquoi je reste si souvent seul ainsi que mon celilba prolongé malgré mon physique... Imagine un peu combien de fois j'ai du décevoir un homme en le laissant me toucher et me prendre, sans meme que je sois capable de pousser un seul cris... Je suis sur que meme si tu ne le dis pas, je viens de te descevoir en quelques secondes..."

"-a excuses moi au faite, on couche ensemblem ais je ne jouis pas, o non c'est pas que t'es nul mais je ne sais pas faire... "

J'avoue que dit comme ça...

"-tu voix un peu le ridicule, et tu comprends pourquoi je reste si souvent seul ainsi que mon celilba prolongé malgré mon physique... Imagine un peu combien de fois j'ai du décevoir un homme en le laissant me toucher et me prendre, sans meme que je sois capable de pousser un seul cris... Je suis sur que meme si tu ne le dis pas, je viens de te descevoir en quelques secondes..."

Decevoir? Surpris serait le mot juste...T'imagines quel effet ça fait de voir une fille comme toi pleurer?

Bon, d'accord...J'avais peut-être été déçu...Et alors? C'était quand même pas sa faute si elle était...Comme ça. Et ça ne serre à rien de tourner le couteau dans la plaie...Non? J'admets que c'est le genre de chose que je fais très souvent autant avec les prisonniers qu'avec mes collègues... Mais est-ce que j'ai l'aire d'avoir envie de rire? Non seulement cette situation ne me fait pas rire du tout et que je ne supportes pas de voir Vlana boulversée ainsi...Mais je sais très bien quel genre de réaction elle a quand une de mes remarques la rend en colère. Je passe ma main sur mon front. Cette situation me rend plus que mal à l'aise...Qu'est-ce que je devrais dire ou faire? Qu'est-ce qu'elle a envie d'entendre? Putain, fallait que je me retrouve dans cette situation moi...

A ce qu'il disait, je l'avais plus choqué par mes pleures que par le fait queje ne pousse pas un seul gemissement...

Je ne savais meme pas pourquoi je pleurais en faite. Je me trouvais si nul si miserable là devant lui...

Je me suis recreuquvillié sur moi meme et je me suis rouler contrel e mur qui était coller à mon lit...
Je ne voulais plus qu'il me voix plus qu'il me touche, il devait oublié que j'existais...

En meme tmeps, j'avais envie d'etre dans ses bras et qu'il me desire de nouveau...

Je m'asseois près de Vlana. Je soupire...Mais qu'est-ce que je devais faire? Je caresse un instant ses cheveux en mettant mon bras autour de ses épaules.

Je ne me serais pas moqué de toi Vlana...

Je pose un baiser sur sa joue pour la consoler.

Je suis désolé...Je n'aurais pas dû faire ce que j'ai fait...

C'est vrai que je n'aurais pas dû...Mais, j'avais tellement eu envie d'elle à ce moment là. Et où ça t'a amené? À une situation impossible. Que faire pour qu'elle se sente mieux? Il faut toujours que tout soit compliqué avec elle. Mais pourtant, je l'aime bien. Je garde le silence. Je n'ai rien à lui dire...Et peu importe ce que je dirais je doute qu'elle se sente mieux. J'ignore même si je devrais rester ou lui laisser la paix.

La phrase était assez ironique à entendre, Ralph qui ne se moque pas de quelqu'un cela était assez marrant... Lui qui ne perdaitpas une ocation de ridiculiser quelqu'un.

Lorsqu'il passa ses bras sur mes épaules etqu'il déposa un baiser sur ma joue je ne sais pas exactement ce que j'ai ressentis...
J'étais bien, là avec lui à mes cotés, j'avais l'impression d'avoir un autre homme en face de moi, quelqu'un que je ne conaissais pas, comme si avec ce qui s'était passé cela avait révélé une face caché de ce mec si étrange.

Je suis resté immobile un instant sans bougé puis je me suis tounré vers lui et je lui ai fais signe d'approché son oreille. Je lui ai chuchotté alors:

"-si tu as toujours envi de moi, prend moi maintenant... "

Je suis immobile, j'attend qu'elle parle. Elle ne dit rien et ne bouge pas plus que moi. Je la regarde dans les yeux et attends. Elle semble réflechir. Elle se retourne, enfin. Qu'est-ce qu'elle allait faire ou dire maintenant? Je n'en peux plus d'attendre. Qu'est-ce qu'elle me veut à la fin!? Elle me fait signe d'approcher, ce que je fais. Elle murmure à mon oreille...
"-si tu as toujours envi de moi, prend moi maintenant... "

Je la regarde avec de grands yeux. Elle est toujours obligé de me perdre tout le temps elle? Je ne comprendrais jamais rien a rien chez elle.

Tu...Tu es...sûre?

Je n'attends pas vraiment une réponse. Je la veux plus que jamais...Alors pourquoi attendre? C'est quand même elle qui le dit...J'approche doucement mon visage et pose un baiser sur ses lèvres. Je prend sa tête dans l'une de mes mains pendant que l'autre caresse ses cheveux.

Je ne peux plus m'empecher de l'embrasser, meme si je sais qu'il ne parviendra jamais à me faire jouir, je suis bien dans ses bras, et j'aime le sentir s'exiter au contact de ma peau...
Je l'embrasse avec tendresse au debut, puis la passion m'envahit, je devient plus fougueuse...

Mes mains parcourt son corps, et tout en l'embrassant, je lui enlève son haut, découvrant son torse musclé que j'ai un jour rever de toucher... Mes lèvres se pose sur ce torse si convoité, et y dépose de tendre baiser...
Puis je colle mon bassin au sien, je sens son membre grossir et je ne peux m'empecher de sourire...

Je continue mes caresses sur son corps mais l'une de mes mains vient dégrafé mon pantalon libérant enfin mon sexe. Je fais descendre doucement mon pantalon.

Je cesse un moment de l'embrasser et la regarde dans les yeux. Elle sourit. Elle ne ressent absolument rien et elle sourit. Moi, je la desire tellement, j'ai envie d'elle...Mais, pourquoi elle me laisse faire si ça ne l'excite pas? Je ne la comprends pas et ça me frustre...

Pour ne pas avoir l'aire trop bizarre, je l'embrasse à nouveau sur les lèvres et caresse son visage avec l'une de mes mains tandis que l'autre se balade sur le reste de son corps. J'ai repris un rythme normal mais ça me préoccupe encore...Mes questions me préoccupent...Cette situation me préoccupe...Je l'embrasse dans le cou puis sur les lèvres.

Je ne comprends pas Vlan...Dis-je sans pouvoir m'en empêcher...

Je l'embrasse une nouvelle fois dans le cou puis la regarde dans les yeux.

Cela fait deja plusieurs fois qu'il me regard dans les yeux, il a l'air de penser à quelque chose... Qu'est ce qui le préocuppe...
Je le fais tourné de façon à me retrouver sur lui, et je le regard en l'embrassant à plusieurs reprise, et ses quelques mots qu'il vient de prononcer j'essaye de ne pas y penser...

Je l'embrasse encore et encore, je soulève son Tshirt et je couvre son torse de baiser chaud et humide.
Je me resdresse et me met à califourchon sur lui, je le regard, puis j'enlève mon haut avec sensualité... Ce n'est pas par ce que je ne ressens rien que je ne trouve pas trop bien un acte sexuel... Je fais allé et venir mon bassin contre le sien, l'exitant encore un peu plus... Je me penche sur son visage et je l'embrasse de nouveau, dans le cou en lui susurant:

"-s'il te plais, ne pense plus à rien, savourons cet instant... "

Je sens que Ralph prends du plaisir à faire l'amour ave cmoi et cela me comble. Au fond je me dis que meme si moi je ne ressens rien, je sais que je suis bien dans ses bras, et que lui il prends du plaisir, il m'a désiré et il aime ce que nous sommes en train de faire...

Le gemissement qu'il laisse échapper me confirme qu'il aime cet acte qui se passe entre nous, meme si je sais, enfin du moins je pense qu'il n'y a derrière tous cela aucun sentiments profonds.

Mes mains caresse son dos et je n'arret pas de l'embrasser, je ne veux pas le décevoir malgré le fait que je ne ressens rien. Je veux qu'il se souvienne de ce qui est en train de se passer et qu'il y prenne le plus de plaisir possible.

Le souffle de Ralph était court après sa jouissance, il avait pris plaisir à me faire l'amour... J'étais comblée... Il me souria, mais pas de ce petit sourire narquois auquel j'étais tant habituée, son sourire était presque etrange...

Je le fixais dans les yeux, ne sachant quoi dire, si il fallait que je reprenne mon attitude détacher ou si je devais me laisser aller encore à un peu de tendresse... Qu'allait il faire lui? Il était si imprevisible...

Je me blottis contre son corps en sueur, ma peau blanche collant à la sienne, nos corps encore si proche l'un de l'autre. J'ai papproché l'une de mes mains vcers son visage et j'ai caressé du bout du doigt le contour de son visage... J'ai replacé un meche rebelle derrière son oreille... Je ne voulais pas parler, du moins je ne voulais pas le faire en premier... Mon regard était brillant de reconnaissance et de tendresse. Ce qu'il venait de m'offrir était pour moi assez magnifique et inabituel... Il m'avait procuré de la tendresse et un certain "plaisir" par ses caresses avident de ma peau, par sa bouche affamé de la mienne...
Je lui souris aussi avec tendresse, mes yeux plongé au fond des siens... et je lui murmurais:

"-merci..."

Merci? Pourquoi? Elle n'a rien senti...Et elle me remercie? Pourquoi? Elle va arrêter de me dérouter quand à la fin! Jamais mon pauvre Ralph, jamais...C'est une femme...Les femmes sont étranges...Non, Vlana, c'est Vlana qui est étrange ici. Ça, y'a aucun doute. Et pourtant, c'est une des rares personnes que je supporte...Et puis...Je n'en reviens toujours pas de ce qu'on a fait...J'en reviens pas...Je m'égars, je crois...Je la regarde.

Merci? Mais pourquoi? C'est moi qui devrais te remercier...Murmurais-je...

Petite pensé passagère: Moi qui revenait de prendre une douche, me voilà tout en sueur...M'enfin.

Je passe mon bras autour d'elle...Je me sens bien.

Petite pensé passagère 2: Heureusement qu'on est que deux par chambre, sinon je me sentirais déjà obligé de faire quelque chose...Comme me vêtir...

Je me sens bien...Je n'ai pas trop envie de bouger. Mais, il faudra bien que je me lève...Pas maintenant. Je n'ai pas non plus beaucoup envie de parler...Je ne trouve rien à dire à cette situation. Si ça aurait été avec une autre, ça n'aurait peut-être pas été pareil...Mais elle, c'est Vlana et je ne me fais pas du tout à cette idée.

Je lui sourit en silence, lorsqu'il me répondit que c'était plutot à lui de me remercier... Que voulait il dire par là? Au fond je me plais à l'odée que ce qui vient de ce passer serait le début de quelques choses... Meme sie je sais que rien ne pourrait etre définitif avec Ralph, il est bien trop imprevisible...

Ses bras autour de moi, je me sens vraiment bien... Je laisse échapper un soupire et posant mon visage sur son torse musclé je lui dit dans un nouveau murmure:

"-tes paroles me semble étrange... Ce n'est peut etre pas le moment d'en parler car je suppose que tes pensées sont aussi embrouillé que les miennes mais... Qu'as tu vraiment rescentit? C'était comme avec toutes les autres? Car pour moi, j'ai eut l'impression que c'était bien different... "

Je me suis serrée contre lui, et j'ai pris l'une de ses mains dans la miennes, tout en regardant le plafond j'ai commançé à jouer avec ses doigts... A caresser sa mains, à entrelaçé nos doigts... Jen'avais plus aucune notion du temps, j'avais completement oublié mon accident avec le prisonnier de la nuit précédante, et Ralph aussi... et tant mieux, je ne tenais pas vraiment à en parler... Pas après ce qui s'était passé...

"-tes paroles me semble étrange... Ce n'est peut etre pas le moment d'en parler car je suppose que tes pensées sont aussi embrouillé que les miennes mais... Qu'as tu vraiment rescentit? C'était comme avec toutes les autres? Car pour moi, j'ai eut l'impression que c'était bien different... "

C'est à ce genre de question que, inévitablement, un "diding" sonne dans ma tête...Vous savez...Ce petit bruit imaginaire qui signifie "Danger", "t'as gaffé connard" ou encore "Réponds idiot". Des tas de signification pour une simple cloche mentale. La signification de celle-ci? Je doute...Je ne sais pas...Je m'interroge.

Un silence tendu s'installe...Tendu à mes yeux puisque je cherche réponse...Quoi qu'elle cherche réponse aussi si elle me questionne...Elle qu'a-t-elle ressenti exactement? Je me retrouve dans une drôle de situation hors de mon contrôle et je déteste ça...
Je...J'sais pas...Dis-je après un moment de silence...

Qu'avais-je ressentis de plus ou de moins avec elle plutôt qu'une autre? Ressentais-je quoi que ce soit pour Vlan? Et elle? À quoi elle pense réellement?

Je sais pas...Répetais-je...

Toi?

Je pose mes yeux sur elle.