Rendez-vous nocturne [Ludwig]

Invité

Elle avait ouvert mon pantalon, et commencé a m'en défaire, et a le baisser, mais bien vite, elle abandonne cette tache, pour venire poser ses mains sur mon membre brulant et dur. Je pousse alors un gémissement de plaisire, a cette heure, et a cet endroit, plus la peine de faire attention au bruit, et de toute facon, même si on ne devait pas en faire, je pense que vu l'état dans le quel j'étais, je ne controlerais de toute facon rien du tout de ce coté la.

De mon coté, je finis de me bérasasser de mon patalon, me retrouvant a peu près dans la même tenue que sybille, sauf qu'elle portait un string, et moi un boxer (mister boxer JE SAIS !). Mais je remédie a cela, je n'aime pas etre a égualité, je lui arrache son string, qui en lambeau, va rejoindre es autres vetements sur le sol.

La respiration aletante, je positionne mon visage juste au dessus du siens, et je murmure son nom, avant de l'embrasser fougeusement. Puis, je pose une main sur sa poitrine, que je commence a masser énnergiquement, soupirant du plaisire que me procure en ce moment Sybille.

( j'ai même rien dit euh xD )

Poursuivant ma tâche de mes doigts, j'entoure son cou de mon autre bras et me relève lentement, me retrouvant assise sur la table, avant de poser mes lèvres brûlantes sur celles de Ludwig, tout en me faisant de plus en plus hardie dans mes mouvements. Le laissant se défaire de son jean, je poussais un gémissement quand il m'arracha mon sous-vêtement, effleurant mon intimité brûlante au passage, qui ne demandait plus que lui. Je le voulais, j'en avais tellement envie... Maintenant...

Mais non, calmons-nous... Inspirant profondément, je tentais de maîtriser les tremblements de mon corps, mais ma tentative s'évanouit dans le baiser fougueux que le jeune homme posa sur mes lèvres, frissonnant en l'entendant murmurer mon nom à son oreille. Comme je l'aimais... Tout à coup, sa main vint se poser sur ma poitrine avant de commencer à la pétrit avec fougue, m'arrachant un gémissement de plaisir. Me mordant la lèvre, je renversais la tête en arrière, les yeux clos, le visage crispé, essayant vainement de me reconcentrer sur ce que j'étais entrain de faire il y avait quelques instants. D'une main fébrile, je lui descends à son tour son boxer, ne lui arrachant cependant pas, ayant pité du pauvre sous-vêtement ( xD ) et de me serrer contre lui, tout en poursuivant mes vas et viens de ma main droite sur son membre dur et palpitant, les yeux luisants de désir, le souffle court.

Invité

[tu penses trop fort !]

Assez rapidement, je me débarasse complètement de mon boxer. Mais je n'utilise pas mes mains, cela serait une perte de temps, non, je l'utilise que mes pieds, et bientot, le sous vetement se retrouve a terre.

Sentant ses mouvements de vas et vient sur mon membre, je frémis de plaisire. De mon coté, je dirige la main qui était avant dans ses cheveux vers son intimité, que je carresse doucement, ce qui est étrange, par rapport au reste de mon corps qui est si brusque, cette main qui est presque tendre sur son intimité...

Mais je ne peux pas résister plus longtemps, les préliminaires ont assez duré a mon gout, retirant ma main de son intimité, je la pénètre doucement, pour que le plaisire soit intensifié.

Je murmure son nom, et je commence a faire des mouvements de va et vient. Je pousse quelques gémissements de plaisir.

[ Même pas vrai >< ]

Tout à coup, je sentis sa main descendre, lentement, lentement le long de mon corps pour se perdre dans les replis de mon intimité déjà brûlante, m'arrachant un soupir de plaisir. Me cambrant légèrement, j'arcquais mon corps pour me coller à lui et l'embrassais avec passion, tremblante de désir. Je n'en pouvais plus, la torture devenait insupportable... Rompant le baiser, je murmurais son nom d'une voix saccadée, plongeant mes yeux noyés de désir dans les siens, le suppliant de mettre enfin fin à cette délicieuse torture :

- Ludwig...

Ma phrase se noya dans le gémissement de plaisir que je laissais échapper lorsque je sentis le jeune homme s'introduire enfin en moi. Tout en me cambrant, je rejettais la tête en arrière, me mordant violement la lèvre, le visage crispé. Roh mon dieu... Haletante, j'enroulais mes jambes autour de ses hanches, me serrant contre lui autant que je le pouvais, mes bras passés autour de son cou, a peine assise sur la table de bois. Il allait me rendre folle, complètement... Si je ne l'étais pas déjà... Poussant un autre gémissement, je l'embrassais avec ardeur, avant de faire glisser avidement mes lèvres brûlantes le long de son cou, alternant le jeu de mes dents et de ma langue, puis je remontais lentement vers l'oreille de Ludwig, mes mains caressant son dos avec fougue et passion.

Invité

Cette fille est décidément capable de me faire complètement perdre la tête. Je suis complètement en train de trembler de désire, et j'ai comme l'impression que cet instant ne prendra jamais fin,c'est en tout cas ce que j'aimerais, nos corps qui s'entremèle, et chacun disparait sous les carresses de l'autre, et sous ses baisers.

Sentant les lèvres qu'elle avait au préalable dans mon cou venire sur mes oreilles, pour le moment, je ne pense pas que l'on puisse m'exiter encore plus, mais de toute facon, j'aimais tout de même cela. De mon coté, je m'attaque a son cou avec ma bouche, que je mord preque furieusement, puis, je m'attaque a nouveau a ses lèvres. Je les dévore, sans m'arreter, ne serait ce que quelques secondes...

Bien sur, je continue mes mouvements de bassins, que j'accélère de plus en plus, je sens que dans l'état dans le quel je suis, je vais avoir du mal a retenire la jouissance cette fois ci, mais qu'a cela ne tienne, ce n'est pas la difficulté qui va me faire peur.

Je pourrais dire pareil de son côté. D'ailleurs je le dis, il me rend folle. Complètement folle de désir, de plaisir, d'amour... Folle de ses mains, ses caresses, ses baisers, folle de lui tout simplement...

Poursuivant l'exploration de sa nuque et de son oreille de ma langue, je lui mordillais le lobe de son oreille, le suçant avec ardeur, mes mains explorant son torse et son corps avec ardeur, mon corps entier tremblant de plaisir, secoué de spasmes et de tremblements de plus en plus violents. J'ai envie que cela dure éternellement, le sentir en moi, contre moi, me sentir surbmergée de plaisir, d'amour, chavirer lentement sous ses coups de bassins, m'abandonner complètement à sa fougue et à sa passion dévorantes... C'est tellement plus sauvage, plus fougueux que la dernière fois, mais tout aussi bon, voir même plus...

Mes mains toujours nouées autour de son cou, je penchais la tête, me cambrant en arrière, tout en collant mon bassin contre le sien, pour lui offrir mon cou qu'il s'empresse de dévorer de baisers, m'arrachant un gémissement de désir en sentant ses dents contre ma peau. J'ai envie de lui, encore plus, c'est fou ce qu'il peux me rendre encore plus folle que je le suis déjà... Quittant la table, je m'accrochais à lui à la seule force de mes jambes, enroulées autour de sa taille, avant d'onduler du bassin, en parfait accord avec lui, complètement collée à son corps. Répondant avec ardeur à ses baisers, j'explorais avidement sa bouche de ma langue, enchaînant baisers sur baisers, jusqu'à en être à bout de souffle...

Invité

La sentant quitter la table, je passe une de mes mains sous ses fesses, pour l'aider, qu'elle ne se soulève pas seule juste avec la force de ses jambes, je passe alors l'autre mais dans son dos, pour lui éviter de bascluer en arrière.

Je ne peux plus explorer son corps a ma guise de mes main, mais ma bouche elle reste très active, parcourant toutes la parties du corps auxquelles j'ai un accès. Je donne des coups de rein de plus en plus puissant, et rapides, mais je dois déja retenire une éjaculation eventuelle, mais non, il n'en est pas question, cela ne s'arretera pas la ! Je ferme les yeux, et mon corps se contact; continuant ses mouvements.

Je sers les dents, déchiré entre ce plaisire et cette torture de devoir ainsi retenire mon corps. Mes baisers se font moins fréquents, je veux etre en quelques sorte concentré, afin de lui donner du plaisir encore plus longtemps.

Je me mets a murmurer son nom, puis ces murmures deviennent des paroles, puis des cris, je le répète, encore et encore, tout en la serrant contre moi.

Un gémissement s'échappa de mes lèvres en sentant le jeune homme poser sa main sur mes fesses, et je me cambrais légèrement en arrière, mon dos retenu par son autre main. Me crispant, je m'accrochais violement à ses épaules, le sentant accélérer de plus en plus la cadence, devenant de plus en plus puissant, presque violent. Secouée de spasmes, j'ondulais mes hanches de plus en plus vite, dans un mouvement sensuel et déchaîné, le visage complètement crispé par le plaisir qu'il me procurait et excité par le plaisir que lui-même ressentait.

Soudain, je sentis le plaisir monter en moi, à une vitesse vertigineuse, si rapidement que cela en devient affolant. Me mordant la lèvre jusqu'au sang, je fermais les yeux et embrassais fougueusement le jeune gardien, tout en plantant mes ongles dans sa peau, complètement tendue par le plaisir. Non, pas maintenant... Je voulais que ça dure, qu'il continue, encore et encore, qu'il ne s'arrête jamais... Mais malgré tous mes efforts, des frissons parcoururent mon corps trempé de sueur de plus en plus rapidement, tandis que je haletais, les pupilles dilatées, gémissant en l'entendant murmurer, crier mon nom, tandis qu'il me sert contre lui, lui-même semblant être dans le même état que moi, luttant pour retenir sa jouissance. Mais, tout à coup, un spasme plus violent que les autres me pris, et je sentis le plaisir exploser en moi tel un volcan furieux, une tornade déchaînée, balayant tout sur son passage. Plus que comblée, totalement abandonnée, je penchais ma tête en arrière et hurlais son nom, tremblante, ruissellante de sueur, complètement folle de plaisir.

Invité

Ses ongles, ses cris, ses gémissements, elle ne m'aide vraiment pas a etenire la jouissance qui en moi ne demande qu'a exploser, mais hors de question que je parte sans elle. Jesers encore plus les dents, n'accélérant plus, mais gardant le même rythme, de toute facon, je n'arriverais plus a accélérer maintenant...

Son hurlement vient enfin me délivrer, et moi aussi, je me laisse submergée par l'extase, laissant come elle échaper un cri de plaisire. Mes mains se contractent sur son corps fin, qui est lui même completement contracté sous l'effet du plasire. La c'est sure quelqu'un va nous entendre, il ne faut pas oublier que ici les couloirs raisonnent, mais qu'importe, a vrai dire, je n'y pense même pas, mon esprit tout entier est tourné vers le plaisire intnse que j'ai en ce moment.

Après un moment d'extase a l'état pur, essouflé, je la laisse retomber en doucceur assise sur la table, et debout, je tente de reprendre mon souffle, ce qui est tache assez dure pour le moment.

Haletante, je tentais vainement de calmer le grondement de mon corps, encore agité de tremblements, lorsque je sentis soudain Ludwig succomber à son tour, explosant en moi, me submergeant une nouvelle fois d'une vague de plaisir qui me fit me cambrer à sa rencontre, un gémissement de plaisir mourrant sur mes lèvres. Qu'importe que quelqu'un vienne, qu'on nous entende... Je m'en fichais totalement, seul comptaient nos corps enlacés, ses baisers, ses caresses, nos coeurs qui battaient à l'unisson, nos souffles qui se mêlaient, l'union de nos désirs et de nos plaisirs qui nous emmenaient tous deux vers un seuil de sensations inouies et dévorantes.

Hors d'haleine, je reposais finalement ma tête sur son épaule, fermant les yeux, décroisant mes bras de sa nuque pour m'appuyer sur la table, tremblante, plus que comblée. Tout en passant doucement ma main dans les cheveux de Ludwig, je lui murmurais doucement à l'oreille, la voix encore enrouée par le plaisir :
- Je t'aime...

Invité

Je lui rend ses paroles, puis, m'otant de son corps tremblant, je viens me mettre a coté d'elle sur la table en bois. Ce n'est pas du tout, mais alors pas du tout confortable, mais qu'importe, je n'y fais pas du tout attention, je la prend dans mes bras, et la sers contre moi, en souriant, et en reprenant toujours mon souffle.

Sur la table, on peut encore voir du sang séché, enfin, on le pourait si j'avais au moins pris la peine d'allumer la lampe qui pend au plafond, ce que je n'ai pas fais... Mais il y a quand même une petite luminosité, assez fort pour que je puisse voir le visage rayonnant de ma partenaire, et tendrement, je viens l'embrasser.

La, je reprend mes esprit, en pensant a ce qu'il faut faire maintenant, c'est a dire s'en aller, mais je ne peux pas lui demander de partire comme cela, alors que j'ai mis en lambeaux tout ses vetements... Encore un problème..

A vrai dire, je venais seulement de le remarquer, trop concentrée tour à tour par le plaisir que je voulais lui procurer, puis par mon désir et notre plaisir. Il était vrai que ce n'était pas du luxe, mais bon... C'était déjà mieux que rien, et puis, du moment qu'il était avec moi... Souriant à mon tour, je plongeais mes yeux dans les siens en le sentant me serrer contre lui, avant de venir m'assoir sur ses genoux, frissonnant légèrement en sentant sa virilité encore brûlante me caresser les cuisses. Répondant avec amour au baiser de Ludwig, je posais ensuite ma tête contre son torse musclé, en dessinant doucement le contour du bout des doigts. S'en aller ? Oh non, pas déjà... Je ne voulais pas, je voulais rester avec lui.. Et puis, vu l'état dans lequel il avait mis mes habits... Seul mon pauvre jean avait été épargné...

En voyant le tas de vêtements déchirés qui jonchaient le sol, un sourire amusé vint orner mon visage, tandis que je me remémorais de la fougue et de l'ardeur dont il, dont nous avions fait preuve. Le souvenir de nos baisers, de nos caresses me hantaient toujours l'esprit, et c'est avec un frisson que je sentis un feu s'allumer à nouveau entre mes jambes.

Un air malicieux sur le visage, je m'approchais de son oreille, dont je mordillais légèrement l'extrémité, avant de souffler d'une voix chaude dans le creux de celle-ci, ma main gauche descendant lentement le long du torse du jeune homme, s'approchant de son bas-ventre :

- Ai-je été assez punie à ton goût...?

Invité

Maintenant, elle en redemande encore... c'est flateur, mais il faut quand même qu'elle me laisse quelques minutes de répit, pour récupérer... Enfin, au moins, je suis sur qu'elle aime ce que je lui fais, sinon, elle n'en redemandrait pas comme cela juste après l'avoir fait une fois...

Enfin bref, je passe ma main derrière sa nuque, puis, d'un mouvement (que j'ai la flème de décrire u_u), je fais en sorte qu'elle se retrouve a nouveau allongée sur la planche de bois. La, je la cheveuche, et je la regarde avec un air plein de malice, d'envie, et un air un peu sadique je dois dire...

-Je devrais encore te punire pendant des années pour ce que tu as fais jeune fille...

Ce qu'elle avait fait ? Quoi d'ailleurs ? Ca, je n'en ai plus la moindre idée, et je m'en fiche d'ailleurs, c'est un bon prétexte pour recommencer, bien que je ne vois pas vraiment ce que je pourais lui faire ici, la salle est tout de même une ANCIENNE salle de torture, presque tout ce qu'il y avait dedans, a été évacué.

Pas grave, je me débrouillerais manuellement...

Oulah, je n'en demandais pas tant... Le fouet et tout ce qui allait avec, très peu pour moi... Folle peut-être, mais pas maso quand même ( xD ). La torture manuelle comme il le disait suffirait amplement...

Provocante, j'enroulais mes jambes autour de son dos, le faisant ainsi se pencher au-dessus de moi avant de l'attirer vers moi, capturant ses lèvres dans les miennes, avant de lui souffler à son oreille :

- Personnellement, je ne suis pas contre...

Bon après, ce que j'avais fait, j'en avais strictement aucune idée... Mais bon... Faisant glisser mes mains le long de son dos, je le caressais avec douceur et passion, tout en faisant descendre mes lèvres brûlantes en un chapelet de baisers le long de son cou. C'était très clair, j'avais encore envie de lui...

Invité

Me laissant embrasser, je metais mes mains le long de ses joues, les faisant remonter jusque dans ses cheveux, ou je fis glisser mes doigts tout le long de ceux ci.

Pour le moment, j'étais emprisonné entre ses jambes, et une idée me vint en tête, je voulais savoir comment elle réagirait a cela par rapport a moi. Je commencais a innonder sa joue de baisers, pour ensuite diriger mes lèvres vers l'oreille de Sybille.

La, je la mordillais, je la sucais doucement, et je l'embrassais. Je savais bien qu'elle n'allait surement pas réagir autant que moi, mais je voulais juste voir.

Je glissais mes mains sur la taille de Sybille, l'attirant vers moi, la canbrant un peu plus. Puis, mes lèvre vinrent dans le cou de sybille, la mordre sauvagement,déja, mon corps tremblait a nouveau de désire.

Un léger spasme me parcouru la peau lorsque je sentis les douces mains de Ludwig remonter jusqu'à mes cheveux, caressant avec délicatesse mon visage où l'on pouvait lire un léger sourire. Tout à coup, il commença à déposer moults baisers sur ma joue, me faisant frémir, et, sans prévenir, il se mit à me mordiller l'oreille, la titillant de sa langue, de ses dents, l'embrassant... Je compris enfin pourquoi il se mettait dans tous ses états lorsque je lui faisais subir cela. Quelle torture délicieuse... Me cambrant à la rencontre de son corps, je me laissais soulever par ses mains, tandis que je me tortillais doucement dans ses bras, le corps crispé, tendu, me mordillant les lèvres, savourant cette sensation de plaisir.

Quand, enfin, il délaissa mon oreille pour m'attirer contre lui et me serrer dans ses bras, je l'embrassais avec ardeur avant de laisser échapper un gémissement en sentant ses lèvres mordre mon cou avec fougue. Lentement, je sentais se rallumer en moi les feux du désir, tandis qu'une chaude moiteur venait envahir mon bas-ventre, me laissant haletante. Libérant son dos de l'étreinte de mes jambes, j'écartais légèrement les cuisses, laissant au jeune gardien la liberté de ses mouvements et de faire ce qu'il voulait. Je lui étais complètement offerte, et mon corps tremblait de plus en plus violement, son nom venant mourrir au bout de mes lèvres sèches de désir :

- Ludwig... Gémissais-je.

Invité

Cette fois ci, je n'avais pas l'intention d'attendre autant , nos corps était déja préparé pour le rapport, de plus voyant qu'elle écartait d'elle même les jambes, je vins m'initer entre celles ci.

Je caressais doucement les cuises de la jeune femme du bout des doigts d'une main, de l'autre, je parourais son corps, juste avec le bout des doigts, ce qui la fit frémire. Je raprochais ma tête de la sienne, tout doucement, puis j'effleurais ses lèvres avec les miennes. Je passe alors ma langue sur ses lèvres, puis, j'introduisait ma langue dans sa bouche, elle partait a la recherche de sa jumelle, qu'elle carressa tendrement.

La main qui était sur les cuisses de Sybille vint carresser son intimité moite, pendant quelques secondes, puis, j'approchais mon sexe du siens, l'embrassais encore une fois, puis enfin, je la pénétrais a nouveau. J'ammorcais encore une fois un mouvement de va et vient, prenant toujours autant de plaisire...

Je gémis, en prononcant son nom, a plusieurs reprises.

Un gémissement s'échappa de mes lèvres entrouvertes lorsque le jeune homme vint caresser doucement mes cuisses, effleurant à peine le grain de ma peau du bout des doigts, tout en parcourant mon corps tendu et tremblant de son autre main, me faisant se cambrer vers lui en frissonnant. Répondant avec tendresse et amour à son baiser, ma langue vint s'insinuer à son tour dans la bouche de Ludwig, taquinant sa jumelle avec malice, tandis que mes mains vinrent caresser son dos et ses fesses.

Le contact de sa main avec mon intimité me fit frémir et à nouveau, je gémis de désir, avant de me cambrer, sursautant légèrement en le sentant s'introduire une nouvelle fois en moi. me mordant violement les lèvres, je me collais contre lui, frémissant en entendant mon nom qu'il murmurait à mon oreille. Pendant plusieurs instants, je me laissais faire, allongée sur la table, tremblante de plaisir, le visage crispé, avant de me dérober brusquement, histoire de faire durer l'instant, ou ne serait-ce même que de le frustrer un peu. Me laissant glisser de la table, je vint me coller dos à lui avant de m'empaler lentement, tremblante, sur sa virilité brûlante et tendue, poussant un gémissement de désir, la tête penchée en arrière, mon visage tourné vers le sien pour pouvoir déposer un baiser au creux de son cou.

Invité

Elle se laisse comme d'habitude gentiement faire, et je ne m'attend pas du tout a ce qu'elle se dérobe de moi. Enfin bref, nous voila tout les deux debouts à coté de la tableelle était dos a moi.

Je passe sensuelement mes mains dans son cou, pour ensuite venire y poser mes lèvres, et ma langue, je la mordille aussi, puis, je remonte vers son oreille, pour lui souffler :

-On se rebèle ?

La sentant qui vient s'empaler sur mon membre, je pousse un gémissement de plaisire, avant de plaquer mes mains contre sa poitrine, que je malaxe frénétiquement. Tout en continuant d'explorer son cou avec ma bouche, je commence mes coups de bassins, qui en sont presque violents, ce n'est pas ma faute si elle me fait perdre la tete...

Penchant de plus belle ma tête en arrière, tout en l'inclinant légèrement su le côté, dégageant de ce fait mon cou et ma nuque de mes mèches rousses, je lui offrais la peau pâle et sensible de mon cou, qu'il s'empressa de caresser et de mordiller, m'arrachant un soupir de désir. Hôchant malicieusement la tête à sa question, je lui adressais un grand sourire, enfin, autant que je le pouvais, car le désir et le plaisir qui montaient en moi me tendaient le corps et me crispaient le visage, me rendant tremblante et haletante.

- Peut-être bien que oui... Soufflais-je, avant de fermer les yeux, laissant échapper un gémissement de plaisir en le sentant pétrir avec ardeur ma poitrine entre ses doigts brûlants, accélérant ma respiration. Il allait me rendre folle, complètement, et ses coups de bassins n'arrangeaient rien... Me mordant la lèvre, je me laissais tomber à quatre pattes sur le sol, prenant appuis de mes mains tremblantes sur le sol glacé, la respiration de plus saccadée, le corps secoué de spasmes. Un vas et vient plus poussé que les autres m'arracha un cri et je me cambrais en gémissant, ondulant du bassin, en rythme avec les mouvements de Ludwig, tandis que je gémissais, la voix saccadée :

- Ne t'arrêtes pas...

Invité

Oh non, ca je n'en avais pas du tout l'intention, loin de la... De plus, cette position donnait beaucoup de plaisire, aux deux personnes. Je déplacais mes main, pour en mettre une de chaque coté de sa taille.

Ma respiration était de plus en plus forte et sacadée, mon corps était tendu de plaisire. Je la sentais a peu près pareil a moi, elle aussi prenait du plaisire, et c'était d'ailleurs toujours cette pensée qui m'encourageait a aller au dela de mes limites, toujours un peu plus vite, toujours de facon plus intense...

Mes mains se resseraient de plus en plus sur sa taille, sans que je ne m'enrende compte, jusqu'a ce que mes ongles rentrent dans sa chaire, ca, je dois dire que je l'avais un peu commandé quand même... Cela m'exitait encore plus, je n'avais plus cette modération avec elle par rapport a mes autres partenaires, de toutes facons, je n'avais maintenant plus vraiment toute ma tete, dans le sens que mes pensées étaient bien dure a se mettre en place...

Mais bien vite, beaucoup trop vite, la jouissance commenca a me bruler le bas ventre, demandant a exploser, je me contractais alors, continuant toujours mes mouvements, je me mordais la lèvre, me crispais et fermais les yeux, pour encore faire durer ce rapport.

Complètement tendue vers mon plaisir et celui de mon amant, je fermais les yeux, inspirant profondément, me mordant les lèvres, qui étaient rendues sèches par le désir. Un gémissement s'échappa de ma bouche en sentant les mains de Ludwig se poser sur ma taille avant de sentir ses ongles s'enfoncer dans ma peau, me faisant tressaillir violement, ce qui me fit me cambrer contre lui. Je gémissais une fois de plus en sentant sa peau luisante de sueur se coller contre la mienne et j'accélerais mes mouvements de hanches, reculant mon bassin pour le sentir au plus profond de moi-même. Tout n'était que pur plaisir, cette sensation d'accord, d'osmose totale avec son partenaire, cette sensation de ne faire plus qu'un avant de monter en un seul mouvement au septième ciel.

Mais je voulais retarder ce moment, et le plus possible... Je voulais encore sentir ses caresses, ses baisers, sa peau, son corps contre le sien, sentir son odeur, ses mains sur mon corps, ses coups de bassins toujours plus fougueux qui me faisaient petit à petit grimper vers un niveau de plaisir que je n'avais encore jamais atteint. Je gémissais de plus en plus fort, de plus en plus souvent, murmurant, soufflant, criant, hurlant son nom, complètement folle de plaisir, luttant le plus possible pour retarder le moment fatidique.

Invité

Mon nom qu'elle criait a répétition, m'encourageait a aller au delas de mes limites, mais aussi, cela encourageait la jouissance a pointer le bout de son nez.. Pour ensuite exploser en moi.

De mon coté, moi aussi je criais son nom, je gémissait, mais de plus en plus fort, me mordant la lèvre inferieur, comme elle même le faisait si souvent... Sauf que ce n'était pas pour le même raison, sybille faisait cela quand elle était genée, alors que moi, c'était pour mieux me "concentrer".

Je me retenais, encore et toujours, mais au bout d'un moment, bien sur, cela finit enfin par éclater en moi. J'espèrais seulement qu'elle pourait me suivre, mais pour le moment, j'étais en pure extase, criant son nom, une longue fois, le corps complètement contacté, les veines de mes bras et de mon cou resortaient sur ma peau presque blanche.

Cette fois-ci, ce fut lui qui craqua avant moi. Tandis qu'il gémissait, criait mon nom, me faisant de plus en plus trembler de désir, me rendant complètement folle, il explosa soudain en moi, m'arrachant un cri de plaisir qui résonna en même temps que le sien quand je sentis sa semence m'inonderde l'intérieur. Quelques mouvements de hanches achevèrent de briser l'ultime résistance qui me barrait la route jusqu'à l'orgasme. Le plaisir grimpa en moi à une vitesse hallucinante, me coupant le souffle, avant d'exploser en un ouragan déchainé qui balaya toute pensée lucide de mon esprit, me faisant hurler de plaisir, plus que comblée, complètement haletante.

A bout de souffle et à bout de forces, j'essayais de ne pas tomber sur le sol et je me retenais du mieux que je le pouvais sur le sol glaçé, m'appuyant sur mes poignets tremblants, essayant de recupérer mon souffle et de calmer les battements de mon coeur.

Invité

Après cela, la respiration coupée, tentenant de la reprendre, je quitait son corps fin et ruisselant de sueur, le miens aussi d'ailleurs était dans ce cas la, brillant de sueur. Je me passais un revers de main sur le front, pour tenter de me débarasser un peu de cela, puis, pur ne pas tomber sur le sol, j'allais m'adosser a la table, appuyé sur mes bras, eux même appuyés sur ce bout de bois.

Je la regarde alors, prète a tomber sur le sol, alors je rassemble mes dernière forces, pour aller vers elle, et je l'aide a se redresser, puis, quand elle est face a moi, je la prend dans mes bras, et pour une fois, c'est moi qui viens mettre ma tête sur l'épaule de Sybille, ce qui approche ma bouche de son oreiile, et je lui murmure un "je t'aime" presque inaudible.

La respiration toujours aussi sacadée, je lui passe doucement et tendrement mes mains dans les cheveux, mon soufle contre son cou, mes geste montre que je suis maintenant complètement vidé d'energie, il faut dire qu'aujourd'hui, je n'ai pas chomé...

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