devant les portes de sa derniere demeure...[terminé]

Invité

Ce matin la aurait pu etre un jour comme un autre, mais ca n'est pas le cas.. car aujourdh'ui je me fait incarcerer a sadismus la terrible prison..La brume qui etait etrengement epaisse n'arrivait pas a cacher les hautes murailles et encore moins l'enorme porte de fer.
La police viens de me deposer puis s'en est aller rapidement. j'attends patiement que les portes s'ouvrent et que l'on vienne me chercher.
j'en profite pour m'allumer une cigarette sans doute la derniere car je ne pense pas que le tabac soit toléré a l'interieur de ces batiment grisatres et tristes.
Je viens de terminer ma cigarette, une legere bise se met a souffler , au meme moment la porte s'ouvre lentement et je vois une ombre qui s'avance vers moi...

Invité

(mdr je viens te sauver XD)

Dans un grincement à en réveiller un mort, une fine silhouette surplombée d'une chevelure blonde émerge de l'enceinte de la prison. Cette silhouette dans la brume, c'est moi.
De mes yeux roses perçants, je scrute l'horizon dissimulée par le brouillard, en quête de ce qui m'amène ici. J'entrevois enfin vaguement une voiture démarrer en trombe et s'enfoncer une fois de plus dans l'épaisse masse blanche et diforme. Je frissone; quel froid de canard... On a pas idée de faire sortir une frêle jeune femme par un temps pareil. Enfin... Retirez le "frêle"...
Tel un félin, je fend la brume avant de me retrouver aux côtés d'une jeune femme à l'allure svelte et aux cheveux sombres aux reflets bleutés.
Je m'étonne de l'apparence calme de la future prisonnière, mais n'en perd pas mon air neutre et impénétrable pour autant. Je ne peux m'empêcher de toussoter légèrement lorsque je remarque la cigarette qu'elle fume tranquillement. A-t-elle seulement remarqué ma présence? Bonne question...
Je retire brièvement une fiche de la pochette que je tenais à la main; Nico Robin... Je n'en lis pas plus, car je sais que le reste concerne soi de choses inutiles, soi d'un passé que me je garderais bien de regarder.

-Nico Robin... Bien, suivez-moi...
Ah, et retirez cette cigarette...

Je dis cela par réflex, mais finalement je ne lui laisse pas vraiment le choix. Je lui enfile les menottes - après tout on ne sait jamais - , et l'entraîne à l'intérieur du bâtiment...

Invité

[merci :-) ]

la silhouette de la personne se rapproche peu a peu vers moi, je distingues une chevelure blonde, c'est une femme, je n'en reviens pas tant elle est belle. Le contraste avec l'ambiance noire de ce matin est presque desagréable.Cette personne a un joli visage, mais ne parait pas pour autant sympathique. Mais je m'y attendais un peu..
A sa demande je jette donc ma cigarette et en un instant elle me passe les menottes.ais je l'ai si dangereuse ou est-ce ma fiche qui noircit le tableau..
Les mains liées, sans parler, je suis donc cette femme vers l'interieur des batiments.. je jette un dernier coup d'oeil derriere moi pour voir une derniere fois l'exterieur mais il est deja trop tard, me voici au beau milieu de la brume...
que vais-je découvrir de l'autre coté? je n'ose l'imaginer...

Invité

Je remarque pendant un bref instant que je n'ai même pas entendu sa voix depuis que nous sommes entrées. Elle n'a pas l'air d'avoir la parole facile, contrairement à la fille que j'avais accueillis quelques temps auparavant. Bah, tant mieux après tout, elle me laissera tranquille, et je ne pense pas qu'elle me causera d'ennuis à l'avenir. Au moins une bonne chose à savoir.
La jeune femme sur les talons, je m'engouffre dans les sombres et froids couloirs de Sadismus. D'une démarche rapide mais essayant tout de même d'épouser le rythme régulier de la détenue, je zigzague dans le labyrinthe qui s'offre à nous, passant près de l'aile commune, du personnel, et pour finir l'aile des prisonniers. Je rase les murs sans m'en rendre compte, peut-être par réflexe après tout. Parfois je suis prise de doute et jette un coup d'oeil furtif par dessus mon épaule pour vérifier si la jeune femme si trouve toujours. Elle a l'air d'être plus occupée à observer minutieusement les murs de pierres, froids comme la glace, datants de la seconde guerre mondiale. Un endroit loin d'être accueillant, doit-elle se dire en ce moment même...
En vue de la cellule de celle qui me suit au pas depuis le début, je presse le pas avant de finalement m'immobiliser. Nous y sommes.

-C'est ici..., dis-je d'un ton neutre.La cellule P, la vôtre. Vous avez une jeune colocataire... Tâchez de bien vous comporter.

Je dis cela même si je sais pertinament que les premiers jours, elle n'osera rien faire. Le temps qu'elle découvre les lieux et qu'elle s'y habitue... Quoique, on doit toujours s'attendre à des surprises avec les prisonniers...
D'un ton qui se veut tout de même un peu plus chaleureux, je plonge mes yeux roses dans ceux de l'individue et demande;

-De quelconques questions?

Invité

Je suis depuis plusieurs minutes la gardienne qui me conduit a ma cellule,nous passons par differents couloirs tous plus sombres les uns que les autres, a ce que j'ai lu la prison daterait de la seconde guerre mondiale..pas etonnant qu'il y flotte un esprit noir et glacial...
Ma gardienne s'arrete tout a coup et me designe ma cellule, j'ai un peu peur, que vas t'elle me faire, j'ai entendu dire que certains prisonniers etaient maltraités et torturés pas des gardiens..est-ce cela qu'il va m'arriver?
Alors que nous sommes devant la cellule toujours close, je voisla gardienne qui encre son regard dans le mien, elle parait plus chaleureuse d'un coup,serait -ce l'idé de me faire souffrir qui la rejouit ou est elle un peu sympathique au fond?
Elle me demande a present si j'ai des questions..j'en aurais des milliers bien sur..mais je ne veux pas trop me faire remarquer..

-Euh oui ...j'ai deux questions..

dis-je dans un murmure, la peur de sa réaction ou de ses réponses m'angoisse deja...

Invité

-Euh oui ...j'ai deux questions..

Je remarque sans peine que son timbre de voix laisser percevoir un soupçon d'angoisse. Quoique après tout, c'est fort compréhensible... Et je n'ai rien pour améliorer la situation... Mais c'est mon job après tout, de traiter les prisonniers comme il se doit. Néanmoins, elle m'inspire... Pitié? Peut-être, je n'en suis pas certaine à 100%.

-Allez-y, je suis toute ouïe.

J'ai l'air légèrement ailleurs, même si ce n'est guère voulu. Elle va certainement me poser une question banale, genre "le couvre feu, c'est quand". J'ai déjà eu ma dose de surprise ici... Je promène mes yeux sur mon entourage, qui à vrai dire ne comporte qu'un ensemble de murs de pierres et de barreaux. Quel endroit monotone...

Invité

Je regarde toujours ma gardienne, celle ci a l'air pensive, evasive,on dirait qu'elle ne fait pas ce metier la par plaisir, serait-je tombé sur une des rares personnes aimable et ayant encore un coeur dans cette prison?

-Allez-y, je suis toute ouïe.

-hum..et bien je me demandais qu'elles etaient les libertés qui nous sont accordées si toute fois nous en avons?

-et ensuite je voudrai savoir si nous avons un garde atitré a un groupe de detenu en particulier ?

je n'ait pas trainé pour poser mes question, a present je baisse la tete car je n'arrive a regarder ma gardienne plus de trois secondes sans prendre un peu peur

Invité

-hum..et bien je me demandais qu'elles etaient les libertés qui nous sont accordées si toute fois nous en avons?

Evasive, je met du temps à comprendre qu'elle vient de poser sa première question. Les libertés dont disposent les prisonniers? C'est une question ironique au premier abord...

-Primo, j'ai le malheur de vous annoncer que les gardiens ont tous les droits sur les détenus, et peuvent ainsi vous tourmenter à leur aise. Je dois avouer que je ne suis pas, ou du moins plus quelqu'un comme cela, quoique je ne peux pas le cacher, je l'ai été. Enfin, ça dépend si vous cherchez vraiment la merde...
Secondo, vous ne restez pas 24h/24 dans vos geôles; vous pouvez vous "balader" comme bon vous semble tant que cela reste dans l'aile des prisonniers et l'aile commune. Vous avez aussi la possibilité de sortir dehors. Une sonnerie annoncant le couvre feu sonnera en soirée je suppose pour vous ordonner de retourner à vos cellules respectives pour la nuit.

On m'avait clairement tout expliqué à mon arrivée à Sadismus, et par je ne sais quel miracle, je me souvenais de tout. Après tout, de quoi j'aurais l'air si je ne savais pas répondre à l'une des questions des détenus?

-et ensuite je voudrai savoir si nous avons un garde atitré a un groupe de detenu en particulier ?

-Pas spécialement... Il n'y a pas de gardien surveillant une cellule précise, ni de groupes d'ailleurs. Mais des gangs de prisonniers... J'ai bien peur qu'il y en ai..., ajoutais-je d'un ton sombre et froid.
Espérons que j'avais répondu correctement à ses interrogations...

Invité

les reponses que vient de me fournir la gardienne m'otent legerement l'angoisse que j'avais. je suis egalement rassuré que la gardienne ait un coeur,cela ce lis sur son beau visage.
je choisit de ne pas penser pour l'instant a cette histoire de gangs..

-merci pour tout, vos réponses correspondent parfaitement a mes interrogations.

Pour la premere fois depuis mon arrivé ici je me surprend a sourrire qui plus est a une gardienne..

Invité

Je soupira un court instant.

-Bien... Contente d'avoir pu vous aider à vous y repérer ici. Je ne suis pas d'un naturel très amical et vous ne me retrouverez probablement jamais aussi compatissante qu'aujourd'hui, néanmoins si vous avez une question... N'hésitez-pas, je serais disponible.

D'une raison que j'ignorais, je m'étais presque forcée pour dire cela. Pourquoi? Probablement parce que je n'y étais pas très habituée...

-Bien... Dans ce cas, je vous laisse. A la revoyure... En espérant que ce ne sera pas dans la salle d'isolement ni de torture...

Lentement, je commenca à m'éloigner de la jeune femme. Je lui avais tout expliqué, à présent elle pouvait se débrouiller seule...

[Topic terminé ^^]

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