Isolement solitaire [pv]

L’après midi est déjà bien avancé, et je marche lentement dans le couloir principal des salles d’isolement. Je suis par là, à tout hasard, juste pas curiosité. J’aime me promener par ici de temps en temps. Ni voyez rien de mal, je ne vais pas prendre un prisonnier et lui taper dessus, comme ça, par vice. C’est une extrémité qui ne m’atteindra pas. Je suis toujours empreint de justice, mais avec la dépravation et l’indécence en plus.
Donc je vais bientôt savoir si des détenus se sont mal comporté ou non. Je graverais leur visage dans ma mémoire au cas ou. Après avoir ouvert chaque lucarne de quelques salles, je suis désappointé de les voir toutes vides d’âmes … Dommage.
Je continue inlassablement mon inspection, qu’y sait. C’est à ce moment là que j’entends des voix, des bruits dans l’une d’elle, enfin. Ma curiosité me pousse vers elle, sans attendre, mon regard passe l’interstice de la porte. Ce que j’aperçois me fige dans de la glace invisible. Je n’arrive vraiment pas à comprendre ce qu’il peut se passer tellement que ça me parait surnaturel, enfin presque. Ou alors c’est le coté vicieux qui m’interpelle sur cette scène, là, devant mes yeux.

Une femme aux cheveux rose, étrange, mignonne et bien faite de son corps est entourée par une équipe médicale. Le plus surprenant est la présence de gardiens armés de matraques électriques. Quelque chose cloche, vont-ils la tabasser, puis la soigner ? Peu probable, ça ne se passe pas ainsi ici. Et puis je remarque qu’elle porte l’habit du parfait petit gardien. Mais pourquoi ne sont-ils pas l’infirmerie, tout bonnement ? Cette femme doit avoir un sacré problème, et je veux en avoir le cœur net.
J’entre, sans m’annoncer dans la salle, mon regard est dur, je n’en démordrais pas, et hors de question que l’on me contredise, pour que l’on m’empêche d’en savoir d’avantage. Je reste prête de la porte, la tenant d’une main, d’un signe de tête j’invite l’équipe médicale à sortir de là. Ce qu’elle accepte de bonne grâce. Pour les autres ce n’est pas pareil, ils hésitent, regarde la jeune femme puis moi. Mon geste est brusque, net, mon bras pointe un doigt en direction de la sortie, ils s’exécutent, non sans me prévenir de faire attention à moi. Je sourie sarcastiquement, mais je leur fais un signe de tête pour un assentiment. Une fois refermer, je me tourne vers elle et m’en approche, elle me paraît fragile, mais ce qui me frappe le plus, c’est son anatomie, ainsi que son physique.
Je dois dire qu’elle est attirante, même si sa couleur de cheveux n’est pas ce que je préfère, je suis capable de passer outre, si c’est pour passer un bon moment avec elle. Elle a la bougeotte, n’est pas tranquille, ici on le serait à moins, de plus pour un gardien c’est le monde à l’envers. Mes doigts touchent son visage sans attendre, ni prendre son autorisation. Je suis délicat, ma caresse légère. Quand je lui parle, ma vois est rauque de désir, mais douce dans le ton.

-Que fais-tu ici belle enfant ? Je ne savais pas que l’on pouvait aussi punir les gardiens ? Je suis agréablement surpris. Quel est ton nom, jeune demoiselle ?

Je remarque son visage, ses yeux sont voilés. Elle délire, sûrement, je crois qu’elle n’est pas bien. C’est peut être la raison de sa venue dans cet endroit. Mais cette explication n’est pas suffisante, comme toujours ma curiosité est placée en avant.
Je m’aperçois qu’il manque de la lumière pour me rendre compte si elle est si mal que ça. Je me relève donc et je me dirige vers l’interrupteur, que j’actionne d’un doigt léger. Maintenant je peux regarder cette petite personne. Elle est charmante, je ne me suis pas trompé de ce coté là. Jaina, c’est c nom qu’elle m’a donné, est en position de chien de fusil. Est-elle si mal que cela, c’est d’une tristesse pour un gardien. Je la plains, mais pas très longtemps … Eh non, déjà mes yeux baladent sur son jeune corps. J’ai le plaisir de contempler ces courbes. Mais ne devrais-je pas m’inquiéter un peu plus de son état et d’ailleurs je devrais aussi lui remonter le moral. Plusieurs propositions s’offrent à moi, certaines son mal placées mais il n’y a pas de mal à se faire du bien.
Je reviens vers elle, puis je m’accroupis à coté de Jaina, en posant un genou au sol. D’une main, j’essaie de la tourner dans ma direction. Avec lenteur mais fermeté, je pousse sur son épaule.

-Dites ça n’a pas l’air d’aller, que fait un gardien dans une salle d’isolement, accompagné de médecin et de confrères ? Auriez-vous fait des bêtises ?

Le ton de ma voix est un peu ironique, mais j’aimerais détendre l’atmosphère. Si elle n’avait pas un corps si parfait et doux. Ma traitresse de main, toujours posée sur son épaule, commence à vaguer sur ses courbes. Un sourire malicieux étire mes lèvres, pour quoi ne pas profiter de ce qui nous est offert. Le seul hic est que je prends jamais sous la force à moins d’en être obligé, ou demandé.

Je l'entendis partir sans mot. Je réfléchissais. Je savais pas quoi faire et l'ennui me prenais de plus en plus. Des envies de suicides me passais par la tête, beaucoup trop peur de mourir dans la souffrance, si sa ce trouve mon esprit va hanté cette prison ! Je vais errer telle un spectre en traversant les murs et en me repassant ma mort dans mon lit, je contemplerai ma salle mis a l'abandon pour raison de Zone a haut risque : HANTER. Je hanterai cette zone en tentant de tourmenté mes amant, mes envie continueront surement mais jamais je pourrai les arrêtées, une souffrance comme je le mérite, dans la douleur et ceci jusqu'à la fin des temps. Je me plains pas mais je plains les autres que je ferai souffrir une fois morte.
Il ouvrit soudainement la lumière quand j'étais dans mes penser, instinctivement je ferma les yeux assez fort pour ne pas devenir aveugle, une rupture de la rétine peux faire horriblement mal. Puis je l'entendais s'approcher de moi. j'avais honte de regarder une personne qui avait fière allure, il est vrai que moi je ne suis qu'une salope, une pute... je mérite pas d'être encore en vie. Je me suis fais une réputation déplorable dans cette établissement, partout des gens ce vante de leur exploit envers moi. Juste pour une fellation même ! Je suis devenus exigent, mais à cause de ceci je me suis fais une réputation encore plus "pourri". Il ce mit à mes côté et tenta de me retourné. Sans résisté je me laissais faire telle une merde qu'on manie comme on le veut. Mon moral réduit à chaque seconde et je perd de mes ardeur.

-On prépare surement mon futur enterrement... j'espère ne pas mourir ici mais de peur on ma mit en quarantaine et je peux sortir qu'à certaine heure.

Sur le sol un chiffre graver avec une de mes lame : 26 plus que 26 jours à tenir avant de mourir. Adieux monde cruel ! Je vais bientôt pourrir cette prisons le fermant et ouvrant les cellules, en tuant de peur certaine personne et en me faisais passer pour la sœur du christ pour demander a des religieux de tuer des prostituer. Je faisais même pas attention à lui et quand il arrêta de me serez assez fort l'épaule j'en profita pour me mettre encore dans la même position d'inférieuriter face a lui. Tuer moi par pitier !

-On prépare surement mon futur enterrement... j'espère ne pas mourir ici mais de peur on ma mit en quarantaine et je peux sortir qu'à certaine heure.

Je suis très surpris, sous le choc de cette réponse. C’est ce délire, elle va mourir. Je ne comprends pas, elle doit surement ne pas aller bien pour dire de telles âneries. Jaina se recroqueville sous mes doigts, elle tente de se soustraire à moi. Je ne vais pas la laisser faire, je dois voir par moi-même si elle est proche du trépas. Quelque chose ne va pas, j’ai la sensation que qu’il me manque une pièce du puzzle.

D’ailleurs si elle était aux portes de la mort pourquoi ne pas l’avoir installée dans l’infirmerie, pourquoi cette quarantaine. C’est beaucoup plus confortable qu’une salle d’isolement, mourir dans de bonne condition. C’est pour cela que je ne la crois pas un seul instant. Elle est en train de se moquer de moi et je déteste ça. C’est insupportable au point que je sens une sourde colère monter de mes tripes. D’un geste brusque je la retourne complètement vers moi. Je la maintiens par ses épaules fermement, contre le sol. Je me place, ensuite au dessus d’elle.

-Tu te moques de moi, pourquoi on t’aurait amené ici si c’est pour mourir. Tu n’es pas un détenu, les gardiens ont le droit à une mort plus douce que cette salle d’isolement. Eux peur, Ils ont peur de toi ? Ne te fous pas de ma gueule !

Mes derniers mots se répercutent dans la salle presque vide. Je suis haletant, tant la colère m’inonde. Mes jambes viennent encerclées son corps au niveau des hanches, elle ne peut plus bouger, pas même essayer. Mes yeux délaissent son visage, pour descendre sur son corps mince et à ma merci. Oui il l’est, une petite voix me dit que je ne dois pas passer une telle chance de le posséder. Cette conscience n’est pas la bonne, mais plutôt un petit diable qui me murmure à l’oreille des perversités que j’hésiterais à entreprendre. Pourtant quand je la déshabille du regard je me dis « pourquoi pas ? ». Mais j’ai besoin qu’elle me parle, dois-je m’inquiéter d’une quelconque maladie ? La quarantaine se n’est pas rien.

-Alors jeune fille, c’est quoi ton problème ? Parce que si ce n’est rien de grave je crois que l’on va passer un sacré bon moment ensemble. Tu pourras mourir après, mais au moins tu partiras en ayant connu les joies du plaisir et de l’extase.

Ma main quitte une de ses épaules, je m’empare de son visage, mes doigts n’ont rien d’une caresse. Je la force à me regarder dans les yeux. J’ai besoin de savoir, même si elle me parait pas dans une forme olympique, elle aura assez d’énergie pour accepter mes assauts répétés … Oui j’ai bien dit répété …

-Regarde moi quand je te parle Jaina !

Elle résiste que légèrement, pas de quoi en faire un drame. Cette fille est plutôt bizarre, malade sans doute. Mais je suis là au dessus d'elle, et je mate son corps sans vergogne. Elle est pas mal foutue, il faut bien l'avouer. Mon corps, d'ailleurs, est tout à faut d'accord avec mes pensées et répond en se changeant d'un coup. Je suis très réceptif à ce genre d'invitation.

Sans plus attendre, je lâche ses épaules, mes mains glissent très lentement sur son jeune corps. Je distingue les formes généreuses sous ses vêtements. Mais ce n'est pas encore suffisant, j'ai une envi folle de voir, aussi bien que de toucher. Va-t-elle riposter? Se laisser faire? Et pourquoi pas non de dieu, je ne crois pas qu'elle est attendue ailleurs et moi je n'ai pas d'autres services à visiter.

Je commence par déboutonner sa veste, puis sa chemise que j'entrouvre largement. Là un magnifique soutien-gorge fait son apparition, en dentelle blanche en plus. Je me saisis de mon couteau et d'un coup sec je libère ses seins de ce carcan. Pas le temps d'aller chercher à le dégrafer. Ma lame vient rejoindre son fourreau, mes doigts sont libres maintenant d'ôter le tissu gênant. Je caresse ses mamelons légèrement, puis ses bouts de seins jusqu'à ce qu'ils se durcissent. Il faut admettre que cela ne demande pas longtemps, comme quoi elle est encore assez réceptive à mes intentions. Finis de jouer, je n'ai plus le temps, je sens mon entre-jambes se serrer fortement dans mon pantalon. Je malaxe ses seins avec fermeté, durement, sans attention aucune. Après quelque instant, je descends plus bas, mes ongles griffent la peau de son ventre, je connais cette sensation, elle est douloureuse mais jouissive.

Mes doigts buttent sur la ceinture de son pantalon, je le détache sans ménagement. Peut être que je lui fais mal, cela m'importe peu malgré tout. Mon esprit est lointain, bien au-delà de ses demandes. Je le retire d'un coup sec, emportant ses chaussures par la même, il ne lui reste plus qu'un fin dessous de la même apparence que son haut. Je le touche, tout en faufilant ma main sur son sexe. Je sens déjà qu'elle est humide, serait-elle déjà prête à me recevoir. Je ne me pose pas vraiment cette question puisqu'à aucun moment je ne lui ai demandé son avis. Je lui retire, un déchirement se faire entendre, la douceur est exclus, mon désir doit s'assouvir sur le champ.

Tout en me redressant, je dégrafe mon pantalon à mon tour; puis me positionne devant son entrée intime, en relevant ses jambes. J'attrape son bassin, en crispant mes doigts sur celui-ci et le monte vers le mien. D'un coup rein, j'entre en elle, me retire pour revenir plus durement, jusqu'à la garde. Me penchant vers Jaina, je lui murmure d'une voix fermement décidée.

-Tu ne vas pas partir sans un dernier souvenir de cet endroit. Se serait dommage d'oublier ton petit cadeau d'adieu.

Un rire sadique vient terminer mes paroles, avant de reprendre mes mouvements dans son intérieur chaud et humide.