Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
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| Un dieu en enfer [n'importe quel gardien est le bienvenu] | |
| | Auteur | Message |
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Kirof Bloodsun 607-67-1 Narcisse
Nombre de messages : 640 Age : 35 Date d'inscription : 09/03/2007
| Sujet: Un dieu en enfer [n'importe quel gardien est le bienvenu] Mar 5 Fév - 14:36 | |
| [->La cour]
On m'a traîné jusqu'ici. Je n'ai pas eu le temps de les voir ces fourbes. Je me souviens d'avoir encore le gout de son sang sur mes lèvres quand on m'a frappé à plusieurs reprises. Ces vermines ont osés me défigurer. J'arrive à peine à ouvrir mon oeil droit. Ils s'y sont mis à plusieurs naturelement les faibles ont toujours besoin de leur supériorité numérique pour agir. J'en ai bien abimé deux trois dans la mélée. Quand ils ont cru que j'avais mon compte, mais un être tel que moi sait résister à la douleur. Je me suis donc relevé et sauter sur le premier gardien à ma portée. J'ai abattu mes poings sur son crâne et j'ai vu son nez explosé, puis son arcade. Enfin j'ai senti un coup derrière ma tête et puis le noir.
Je me suis reveillé en chemin ces saletés me trainaient par terre comme si j'étais n'importe qui. Deux me trimbalaient à travers les couloirs jusqu'à je ne sais où. Il a fait de plus en plus noir, puis j'ai entendu la porte grincer et s'ouvrir. Il m'ont balancer ici, j'ai encore eu le droit à leurs coups et ils m'ont abandonés. Apparament ils ont parler d'envoyer quelqun de spécial.
Je suis enchaîné, et bailloné avec ce fichu masque. Je ne peut pas parler, crier ou bien mordre. Je les hais ces vermines, ces molusques sans classes ni prestance. Un dieu vivant ne doit pas s'en tacher d'être aussi bas qu'eux , ce ne seraient que leur faire honneur.
Mais j'entend des pas qui approchent, j'essayent alors de me relever en appuie contre le mur. Je suis parfaitement debout quand je vois sa silhouette en contre jour. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un dieu en enfer [n'importe quel gardien est le bienvenu] Mar 5 Fév - 19:22 | |
| La silhouette du type à qui il a brisé le nez et éclaté l'arcade. Un type quelque peu en colère. Le terme est faible. Bordel ! Ca fait à peine deux jours que je suis ici et je me suis déjà fait éclater la gueule. Sympa la réputation - et l'autorité. Sans compter l'incident d'hier. Je commence à comprendre pourquoi on est au milieu de nulle part et aussi bien payé pour y rester. Bin tiens. C'est pire qu'un asile ici. Rien que ce type est un cas.
Je reste sur le seuil debout face à lui. Je le regarde sans un mot et le toise avec colère. J'ai eu le temps de lire son dossier avant de venir, le temps que l'anesthésie disparaisse, les gardiens ont droit au confort de ne pas souffrir plus que nécessaire. On est pas venu ici pour expier, mais pour faire expier. Enfin, quoique ce ne soit pas dans mes moeurs de faire souffrir autrui juste pour le faire souffrir mais là, avec ce type, c'est différent. Non seulement, il m'a humilié en public -comment est-ce que j'ai réussi à me faire avoir aussi facilement ?- mais il m'a brisé le nez.
Heureusement que l'infirmière est douée -normal, les prisonniers font des cobayes parfaits- a priori il ne devrait y avoir aucune séquelle mais là le pansement qui me barre l'arête du nez cache un peu ses talents. Et l'anesthésie disparue, ca recommence à me lancer. Et ma colère de grimper. Je le regarde encore. J'ai déjà récolté quelques informations de la part des gardiens, des informations sur son caractère qui ne sont pas dans le dossier officiel. Je le regarde, mon nez me lance de plus en plus fort et ma colère augmente.
Les infos des collègues. Je me dis soudain que plus je vais le regarder, plus il va se sentir flatté. Pas question. Je me déplace soudain vers lui, détachant mon tonfa en même temps que je marche ou que je cours, je ne m'en rends plus compte. La colère m'aveugle un peu mais lui, il est entravé les mains dans le dos. Entravé mais debout. Plus pour longtemps. Mon tonfa s'abat violemment derrière les genoux. Avec l'élan, la vitesse et la colère, il va sentir ce que font 90 kilos qui tombent sur quelques tout petits os. Surtout quand les genoux tombent eux-mêmes sur le sol dur des salles d'isolement.
Le petit bruit de ses os sur le ciment, me rendit bizzarement mon calme tout d'un seul coup ou plutôt non. Ma colère s'était transformée en une rage froide. Le bruit de ses os résonnait encore à mes oreilles. Il avait mal ? Etrangement, je m'en foutais complètement. Moi, c'est mon nez qui me faisait mal. Je l'attrape par les cheveux et tire en arrière, mon genoux dans son dos, de manière à ce qu'il ne bouge pas. Sa gorge est maintenant nue, présente et offerte à tous. Je ne bouge plus, sauf mes lèvres. D'une voix douce, trop douce pour l'être réellement, je parle pour la première fois depuis que je suis entré :
"C'est moi que t'as frappé tout à l'heure, connard. Et tu sais quoi ? Je suis loin d'être con. Je peux m'adapter très rapidement. Vous êtes de la merde. TU es une merde. Et pour les merdes, même le Talion ne s'applique plus. Alors tu sais ce qu'on va faire à la place ? Et bien on va passer à la vitesse supérieure."
Plus je parle, plus je me sens envahi par une colère froide. Je saisis de nouveau mon tonfa et assène un coup sec et rapide contre sa trachée sans lâcher les cheveux, petite introduction à ce qu'il va se passer. J'annonce avec une certaine joie, sur un ton presque chantant, le programme :
"Pour un oeil, les deux yeux. Pour une dent toute la gueule !"
Je passe la main derrière sa tête, je recherche la boucle du baillon. Je saisi le petit morceau de cuir et je tire doucement. Très doucement. Toujours avec ses cheveux dans la main. Je tire encore, au maximum. Je ne sais pas trop ce qu'il ressent, s'il s'étouffe, s'il a l'impression que sa machoire va éclater et je m'en fiche : mon nez me fait mal. Puis soudain j'ouvre les doigts, le cuir s'en va, le baillon tombe sur le sol dans un bruit mat et résonnant sur la pierre froide et humide.
Je recule d'un pas avant de me placer devant lui. Le sourire que j'avais eu en annonçant mon 'programme' a totalement disparu et cela se sent dans ma voix :
"Sa Seigneurerie aurait-elle une quelconque chose à annoncer avant de retrouver son statut habituel et normal de petite merde ambulante ?" |
| | | Kirof Bloodsun 607-67-1 Narcisse
Nombre de messages : 640 Age : 35 Date d'inscription : 09/03/2007
| Sujet: Re: Un dieu en enfer [n'importe quel gardien est le bienvenu] Ven 25 Avr - 18:30 | |
| Je vois sa silhouette en contre jour si l'on peut dire. Disons que l'obscurité hors de cette pièce est moins sombre que celle de l'intérieur. Je l'observe un moment il est nettement plus petit que moi. Je le dépasse, je le surclasse, je le domine. Ma supériorité est telle que lui même semble s'en rendre compte. Il a honte, il se repend en silence de sa bêtise. Il a osé me regarder et maintenant il en paye le prix. Il finit par se rapprocher à son bandage et à son air je devine que c'est lui que j'ai dû amoché sous mes poings. De toute manière il ne pourrait être aussi beau que moi. Avec ou sans il reste répugnant, il devrait m'honorer pour lui avoir fait dons d'un nouveau visage.
Il cesse soudain de me regarder, il a raison ses yeux d'insectes ne sont pas dignes de se poser sur mon corps. Il détache quelque chose et se dirige vers moi de plus en vite. Je vois son coup partir. Il est tellement prévisible, il agit comme n'importe quelle vermine agirait à sa place. Son bout de bois finit par arriver. Il me force à tomber à genoux. La douleur est bien réelle. Cette vermine n'est qu'envie et jalousie, la douleur est le signe de sa honte. Mais je ne crierais pas pour lui faire plaisir, je ne m'abaisserais pas à son niveaux. Un dieu, un être supérieur reste neutre en tout circonstance.
La violence continue, sa haine emplie de jalousie est énorme. Il m'attrape donc par les cheveux. Il sait se débrouille je reconnais ça à cette vermine. Mais il n'en reste pas moins qu'un vulgaire détritus que je m'empresserais de balayer dès que l'occasion se présentera. Puis il finit par parler de son ignoble voix de cloporte. - Citation :
- "C'est moi que t'as frappé tout à l'heure, connard. Et tu sais quoi ? Je suis loin d'être con. Je peux m'adapter très rapidement. Vous êtes de la merde. TU es une merde. Et pour les merdes, même le Talion ne s'applique plus. Alors tu sais ce qu'on va faire à la place ? Et bien on va passer à la vitesse supérieure."
Je souris sous mon masque et bien sur il ne peut le voir. Il avoue lui même sa bêtise qui d'autre qu'on cafard de son espèce aurait besoin de se justifier envers moi. Il est perdu dans son délire il pense que la fange d'où il est pourrait m'atteindre, seul la vermine se roule dans la fange d'où il vient. Jamais elle ne m'atteindra. Le fou que de penser une telle chose. En effet le Talion ne s'applique plus, je suis supérieur à ce genre de "vengeance mesquines". Mais s'il le veut vraiment je pourrais l'appliquer sur lui pour chaque oeil qu'il posera sur moi je le lui crèverais, pour chaque doigt qu'il posera sur moi, je lui couperais. Le coup qui vient je ne l'avait pas vu venir, le lâche, la vermine le cloporte. Je sens ma trachée s'enfoncer et ma respiration se couper lentement. Je commence à manquer d'air. J'halète pour essayer d'aspirer le moindre souffle d'air possible. En me tirant la tête en arrière il ne doit pas se rendre compte qu'il me facilite la vie. Je commence à re-respirer normalement quand il me reparle. Son accord me convient, pour chaque oeil qu'il posera sur moi je lui arracherais donc les deux, pour chaque dent qu'il m'empêche de planter ce sera au temps de coups divers qu'il se prendra, comme ça je le réarrangerais.
Il tire sur mon baillon. Je sens le cuir se rapprocher doucement de ma peau, à se presser contre mes joues, mon front. Il fait pression sur mon nez et ma bouche, l'air passe de plus en plus mal. Maintenant il est complètement collé, je le sens qui compresse lentement les os de mon sublime visage pour les faire rentrer dans un espace trop restreint pour eux. Le maximum est donc atteint. Je souffre certes, mais la douleur devient vite supportable quand l'air vient à manquer. J'étouffe lentement sous le masque qui me compresse. Mais j sais que cette vermine ne pourrait me tuer, il aurait trop honte de ces actes. De plus un dieu ne se fait pas tuer par un simple cloporte. J'avais raison. Le baillon tombe sur le sol. Je passe ma langue se mes lèvres pour les humidifier un peu. Ma peau respire de nouveau, l'air entre dans mes poumons. J'ai plutôt mal aux genoux et à la trachée mais c'est supportable. Il recule de quelques pas et je revois sa silhouette et bon de bout de bois qui pend à la suite de son bras. Je l'écoute et souris à ces paroles.
Tu n'es que la fange, un cloporte rien de plus. Je pourrais me lancer dans une longue diatribe pour te l'expliquer mais je sais que ça ne sert à rien, tu n'es rien, de la vulgaire vermine tout au plus, aussi tu ne pourrais comprendre. Quand à ton nez ... ça peut pas être pire que ce à quoi tu ressemblais avant. | |
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