Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
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| Samuel, est ce bien toi ? [Pv : Samuel <3] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Samuel, est ce bien toi ? [Pv : Samuel <3] Mer 26 Sep - 12:02 | |
| Tout s'est passé vite, très vite, trop vite ... De simple jeune femme, je suis passée à jeune femme harcélé, puis à jeune femme vangeresse, à meurtreière, à criminelle, et enfin détenue ... Sadismus Jail. Les mots résonnent encore dans mon esprit, comme un écho se répercutant à l'infini sur des parois. Sadismus Jail. Le seul lien que je fais avec ce lieu est Samuel, le seul mot différent du nom de la prison qui me vient à l'esprit. Samuel ... Ta m'avais dit que tu allais y travailler ... Que vas-tu penser de moi en me voyant arriver ?
Je n'ai pas le temps de réaliser ce qui se passe, trop préoccupée par mes pensées, totalement désintéressée par l'agitation qui m'entoure. Je ne fais même pas attention aux quelques personnes qui tentent de me parler, mon avocat, le juge, quelques personnes présentes à mon procès. Je les ignore tous, je ne pense plus qu'à Sadismus Jail et Samuel ...
Alors que mon esprit reste encore assez limpide - je ne fais pas une crise - j'oublie quelques instants mes pensées, pour me dire que le voyage qui m'attend sera assez long. Presque une journée. Je dois traverser tout un océan, pour arriver à Sadismum Jail. Cette prison me fait penser à une sorte d'Alcatraz Allemand. La prison dont on ne ressort jamais ? Que vais-je y faire ? J'ai peut être tué mon géniteur - je ne peux plus parler de père après tout ce qu'il m'a fait - mais au moins, le monde est débarasser d'un salaud ! Je ne regrette pas mon geste après tout ce qu'il m'a fait. Quoique ... Si, je le regrette un peu. J'aurai préféré qu'il souffre, autant qu'il m'a fait souffrir, mais je sais que, même en prison, il n'aurait jamais assez souffert. Même là où on m'envoie à sa place ...
Les heures passent ... Dans l'avion, je dors un peu, il faut bien, pour faire passer le temps. Et puis, il y a un sacré décalage horaire. 6h environ. Ce n'est pas rien. Le reste du temps où je ne dors pas, je pense. Mais tout d'un coup, un gardien se met à me parler.
" Bah alors ma petite, on est dans les nuages ?! Ahahah !! "
Son rire gras me dégoûte, presque autant que sa plaisanterie stupide. Ces derniers temps je me sens ... différente. Tout m'écoeure, comme si l'injustice de ma sentence me dégoûtait désormais de tout. C'était peut être une des causes, au fond. La justice ... Un bien beau mot, mais qui ne respecte en rien son sens. Un jugement juste ... Avez vous tenu compte des viols que j'ai subit et la pression psychologique qu'il m'a inffligé ? Non, vous n'aviez pas de preuves "matérielles". Ma souffrance n'en est pas une valable. Tous se moquent de ce que j'ai bien put ressentir ... Ce n'est qu'un prétexte pour eux, qu'une excuse que j'ai inventé. Alors que pourtant, je vois pas pourquoi je l'aurai tué s'il ne m'avait rien fait ...
Le temps s'écoule, plutôt lentement. J'arrive enfin à destination. Il me reste encore un peu de temps de route, pour arriver à Sadismus. A la prononciation de ce nom, je frémit. J'en suis si proche ... Une boule se forme au creux de mon ventre. Non pas maintenant ! Je sens la panique m'envahir tout doucement alors que je monte dans la fourgonette sans rien dire. Je dois être toute pâle, on me le fait signaler. La voiture démarre, ma respiration s'accélère. Tous les symptômes de mes crises d'angoisses ou de stress.
" On y sera dans 15 minutes. " me dit-on.
15 minutes ... Ma crise risque de durer bien plus longtemps. Mais il faut que je reste lucide, il ne faut pas que je "pète un plomb". Ma respiration se saccade. J'ai l'impression d'étouffer. Tout va alors très vite. Mon coeur me mt à cogner à un rythme rapide contre ma poitrine, j'ai l'impression d'ettoufer, et pourtant je respire, de manière très saccadée. J'ai chaud, très chaud. Je sens mes mains devenir un peu moites. Je me met à trembler. Je ne peux plus tenir en place, il faut que je bouge, que je parte d'ici. Je ne sais même plus ce que je pense.
" Hey, mais c'est qu'elle nous fait une crise d'angoisse la gamine ! " lance ironiquement un des gardes.
Je le fusille du regard, comme à demi folle. Je veux me lever, partir d'ici, me jeter sur lui, lui faire ravaler ses paroles, je ne veux pas aller là bas. On me retient par l'épaule. La peur m'envahit totalement. J'ai peur de tout, sans raison. De la fourgonette, de cet homme, du gris de la carosserie, du paysage qui défile, de ... de moi même. Je porte mes mains à la bouche pourme ronger les ongles nerveusement, mes dents claquent les unes contre les autres, très rapidement, à un rythme irrégulier. J'ai l'impression de mordre la chair à vif, je sens et je goûte le liquide rouge qui s'échappe par un ongle presque déchiqueté. Je ne ressens pas la douleur sur le coup, tout ce qui compte c'est de me calmer.
La voiture s'arrête, je redouble d'intensité, j'attaque un autre ongle. J'ai le doigt en sang, j'ai mordut vivement dans la chair, au point de presque en arracher un morceau. La douleur m'étreint quelques instants, mais je l'oublie bien vite, pour ronger mon deuxième ongle. Je descend, forcée, de la fourgonette, mais ce n'est pas autant que je cesse. J'entend devant moi une porte s'ouvrir, mais je n'y fais pas attention. Un gardien, parle, je n'y prête guère importance.
" Nous vous amenons Lily-Rose Branswood. Faites attention, c'est qu'elle est angoissée la gamine ! "
Une autre voix s'élève alors, je la reconnais.
" Samuel ... "
Un murmurre, aussi léger que le vent, inaudible. Je cesse tout mouvement. J'ai reconnut sa voix, et pourtant, je n'ose relever la tête. Samuel, est ce bien toi ? |
| | | Samuel Lucius V.D Hook 2333 Gardien à la face d’ange.
Nombre de messages : 197 Age : 34 Localisation : Dans tes cauchemars les plus rose! >=D nah...Québec Date d'inscription : 21/09/2007
| Sujet: Re: Samuel, est ce bien toi ? [Pv : Samuel <3] Mer 26 Sep - 14:12 | |
| Je me suis levé très tôt ce matin. D’habitude je dors tout mes heures de sommeille, mais je me suis réveiller avec une douleur à la poitrine. Ma douleur c’était approfondit quand j’ai essayer de bouger. Je sentit qu’il ralentissait et battait très fort en alternant. J’avais l’impression d’un pressentiment ou de quelque chose m’appelait dans mes rêves. Je me suis mis à penser à autre chose qui s’agissait de mon stress et de ma santé. Peut-être est-ce vraiment moi qui me fais ses maux imaginaires? Peut-être que j’ai trop mangé de viande pour le souper hier? J’espère que non…j’aime trop manger. Je sais que quand j’ai pris un verre d’eau, je voyais le visage d’une femme dans le reflet cristalliser. J’ai eu un peu peur au début, croyant que je m’imaginais ma mère adoptive qui essais de me hanter…mais…je me disais que peut-être ce n’est pas elle. Même si son frère pratique de la sorcellerie, elle était d’une simple prostituée qui a essayé de gagner sa vie avec les hommes.
Je n’ai pas été capable de me rendormir. Je pensais encore à cette femme que j’ai vue dans mes rêves et dans le reflet de mon verre d’eau. Quand je regardais à ma gauche, je voyais mon cadre qui avait disparu. Je me suis levé rapidement et j’ai fouillé par terre. Je l’ai trouvé, ensuite, de face au sol en dessus de mon lit. Je l’ai pris et je l’ai remis. Je regardais la photo et je voyais Lily et moi à Disney World. Lily….cette femme que j’aime tant et cette femme que je respecte grandement. Même si elle et moi nous savons un peu de nos passé, elle ne me jugeait jamais et moi non plus. On vivait avec nos différences et nos pensées opposées qui se ressemblait en même temps. Quand nos étions aller à Disney World, je me rappellerais toujours de son sourire si joyeux et si profond que je ne puis l’effacer de ma tête. Une femme avec un sourire…ce que j’ai toujours aimé. Pourquoi dis-je cela? Je ne sais pas. Ma vraie mère, dont je me rappel, ne me souriait jamais et les filles de mon école non plus. J’ai toujours cru que c’est à cause de moi et ma mal chance, mais quand j’ai vu ma mère adoptive me sourire…j’ai changé d’idée. Même si elle était très malheureuse, elle nous souriait à moi et Iwai avec une joie radieuse. Elle m’a avoué, avant que je parte, dans un lettre que les plus belles choses qu’elle à eu dans sa vie fut moi et Iwai…les deux petits cœurs remplit de joie et d’avenir.
J’avais posé doucement le cadre encore une fois et je me suis couché ensuite. Je regardais la photo avec un sourire. Je pensais à elle et je suis toujours inquiet. Je me demandais où est-elle? Qu’est-ce qu’elle fait en ce moment? Est-ce qu’elle vie toujours? Ma douleur fut un peu plus présente. Je ne compris rien de ce qui se passait. Depuis qu’elle m’avait dit qu’elle partait dans son pays pour aller dans son ancienne maison. Sauf que, je ne l’ai plus jamais revu ensuite. J’ai essayé de la recherche, mais rien à faire. Elle avait effacé toutes les traces que je pouvais entreprendre. Ma colère fut très évidente...du moins…elle n’a pas été grande. Je comprenais ce qu’elle pouvait ressentir dans un fond. Je me suis toujours dit que peut-être c’est à cause de moi qu’elle est partit….qu’elle ne voulais plus d’une homme comme moi….ou bien elle s’est trouvée meilleur que moi. Je suis toujours triste et je pense à cela à chaque fois que je vois cette image.
Quand mon cadran sonne, je me suis retourné et je le désactive. Je me suis levé, je me suis habillé et arrange mes cheveux. Ma douleur à la poitrine avait disparu soudainement quand j’ai fermé mes yeux et j’ai roupillé pendant trente minutes. Étrange…mais bon!. J’ai mis mon bandeau pour cacher mon œil. J’ai mis mes gangs et mes armes.
- Aujourd’hui est une autre journée!, dis-je en me voyant dans mon grand miroir, j’ai hâte de voir d’autres prisonniers arrivé!
Et oui…hier, un de mes collègues m’avoua que quelqu’un prisonnier arriva ce matin. Comme je suis content. Je pourrais les identifier et m’amusé en leur parlant. Je sortit de ma chambre et partit dans les portes de dehors. Mon collègue de hier me souriait.
- Tu vas avoir de la job Sami, une femme qui à tué son père arrive dans quelques minutes!
Oh une femme! Comme j’ai hâte de la voir. Mon sourire s’afficha très grandiose et je me suis retourner vers mon collègue.
- Laisse moi l’accueillir et aller la porter dans la prison, je veux m’en occuper personnellement!
Mon collègue accepte et les portes ouvrirent soudainement. Des gardiennent avancent vers moi en me disant.
-Nous vous amenons Lily-Rose Branswood. Faites attention, c'est qu'elle est angoissée la gamine !
Mon regard se putrifie d’étonnement. Lily? Ici? Mais qu’est-ce que…mais qu’est-ce que cela veut dire?? Je me suis retourné vers les deux gardes qui la tiennent et je répondis fermement en avançant vers eux.
- Je vais la prendre. Vous pouvez disposer…
Je fus seule avec Lily, enchaînée et tête baisé. Je me suis penché vers elle avec une douleur au cœur. Je ressens un chagrin profond et de l’étonnement. Je pris son menton, je le monte vers moi et je plonge mon regard doux dans celui de Lily. Je vois son visage si fragile et si triste que je fus intrigué de mystère profond.
- Lily? Mais…qu’est-ce que c’est passé? Où était-tu passé? Pourquoi est tu…ici?
Je regarde ses mains et je fis du sang à un doigt. Je compris qu’elle fus angoissée…la pauvre…je veux la prendre dans mes bras, amis devant mes collègues? Ils vont me soupçonner de façon très poussée. Je ne veux pas que Lily souffre à cause de moi.
Je pris sa main et je l’enveloppe de les miennes. Je veux essayer de la rassurer, même si moi-même si je perdu dans le néant de l’angoisse.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Samuel, est ce bien toi ? [Pv : Samuel <3] Mer 26 Sep - 15:55 | |
| J'attend ... Les gardiens partirent, me laissant seule avec Samuel, le coeur meurtrit de douleur et de tristesse profonde. Qu'allait-il penser de moi ? Jamais nous ne nous jugions, mais dans une telle circonstance, je ne lui en voudrait pas. Je sens subitement une main me lever délicatement la tête. Samuel ... Plongeant un regard doux dans le mien, je ne pus contenir mes larmes plus longtemps, et mes yeux bleus furent alors comme noyés. Comment le regarder en face après ce que j'avais fait ? Je me sens si honteuse et si coupable face à lui ...
Je ne désire d'une chose, me jeter dans ses bras, sentir sa chaleur m'envelopper comme un délicieux rêve dont on ne veut se séparer. Mais je ne peux pas ... Pas devant tous ces gens ... Pas avec ce que je lui fait subir. Je ressens sa tristesse, son incrédulité ... Et je m'en veux. Tout est de ma faute, sans ça, jamais il ne se serait autant inquiété qu'en ce moment. Coupant cours à mes réfléxions, je sens ses mains prendre la mienne, celle où j'ai rongé un ongle jusqu'au sang. A ce contact, j'aimerai lui afficher un sourire, mais mon expression est comme figé. Je n'arrive à rien ... Je perd totalement mes moyens. Mais je lui dois des explications.
" Je ... J'ai tué ... mon père ... "
Un nouvean sanglot me prend, et un flot de larme commence sa course sur mes joues déjà trempées.
" Je ... Lorsque nous nous sommes rencontrés aux Etats-Unis, j'étais avec ma meilleure amie. Seulement, après quelques années ... mon père m'a ... il m'a ... retrouvé. Je ... je ne te l'ai jamais avoué mais ... quand j'était petite il ... il ... il me ... "
Je ne peux rien plus rien dire. Les mots se serrent dans ma gorge, ils refusent de sortir. Comment lui avouer un passé fait uniquement d'humiliations ?
" Il m'a violé !! "
Les mots sont sortis tout seul, brusquement, comme s'ils étaient remontés trop vite, et qu'ils n'avaient eut d'autres alternatives que d'être prononcés. Je n'en peux plus ... C'est ... si difficile. Ne cherchant plus à me retenir je me jete dans ses bras. Je me moque de ceux qui pourraient observer la scène, qu'ils s'imaginent ce qu'ils veulent, après tout, Samuel a bien le droit d'avoir quelqu'un dans sa vie. Je ne réfléchis plus lucidement de toute façon, tout ce que j'entend, c'est ce besoin urgent d'être dans ses bras, de me sentir protégée de tout, de me sentir rassurée. Mes menottes m'empêchent de le serrer contre moi, alors je me serre contre lui, en n'attendant qu'une chose : que ses bras m'enveloppent, et que cette douce chaleur que je recherche tant m'envahisse.
Sans attendre une réaction, je reprend.
" Lorsqu'il m'a retrouvé il ... il a encore essayé de ... de me ... et j'ai ... j'ai prit le premier objet sous ma main ... c'était ... c'était un couteau ... je ... je l'ai ... je l'ai tué !! "
Un nouveau sanglot éclate, sans que je ne puisse le retenir. Je lui ai tout dit ... presque ... Les larmes ruissèlent mes joues, innombrables, dans un flot qui ne semblent pouvoir s'arrêter, comme une source qui jamais ne târit.
" C'est pour ça que ... que je t'ai dit que je partais ... je ... tu m'avais dit que tu allais être gardien de prison ... je n'ai pas voulut te faire subir ça ... Pardonne moi Samuel ... Je n'aurai pas du ... je ... Je suis désolée ! "
Je ne sais plus quoi dire, quoi faire ... Seul lui m'importe, je me moque du reste. Mais je ne peux plus continuer ... Mes larmes coulent, je me serre un peu plus en espérant un peu de chaleur, un peu de cette chaleur que je désire. Je suis perdue ... totalement perdue ... Que va-t-il penser de moi après tout ça ? ... |
| | | Samuel Lucius V.D Hook 2333 Gardien à la face d’ange.
Nombre de messages : 197 Age : 34 Localisation : Dans tes cauchemars les plus rose! >=D nah...Québec Date d'inscription : 21/09/2007
| Sujet: Re: Samuel, est ce bien toi ? [Pv : Samuel <3] Mer 26 Sep - 16:58 | |
| -Je ... J'ai tué ... mon père ...
Mes yeux s’ouvrirent grand. Un grand sentiment d’étonnement me parcoura la poitrine et la tête. Je viens de me souvenir d’un moment où, moi et elle, nous parlions de famille. Elle m’a rien dit à propos de son père et elle ne voulait rien dire non plus. J’avais pensé qu’il était mort ou bien qu’elle ne savait point de son existence, mais maintenant…je me pose des sérieuses questions…
Elle pleure soudainement.
-Je ... Lorsque nous nous sommes rencontrés aux Etats-Unis, j'étais avec ma meilleure amie. Seulement, après quelques années ... mon père m'a ... il m'a ... retrouvé. Je ... je ne te l'ai jamais avoué mais ... quand j'était petite il ... il ... il me ...
Mon cœur se serre subitement. Je la vois, ainsi et je fige sur place. Je ne sais pas vraiment quoi faire. Je veux la prendre dans mes bras, mais quelque chose m’en empêche.
-Il m'a violé !!
Je fut soudainement anéantit et colérique. Là je comprend tout. C’est pour cela qu’elle ne me disait rien. Ce salaud faisait du mal à sa propre fille et elle s’est vengée de lui.
Elle se jette dans mes bras attristé en continuant de défiler sa tristesse. Elle pleur et moi, je suis en colère après tout, mais surpris.
-Lorsqu'il m'a retrouvé il ... il a encore essayé de ... de me ... et j'ai ... j'ai prit le premier objet sous ma main ... c'était ... c'était un couteau ... je ... je l'ai ... je l'ai tué !! C'est pour ça que ... que je t'ai dit que je partais ... je ... tu m'avais dit que tu allais être gardien de prison ... je n'ai pas voulut te faire subir ça ... Pardonne moi Samuel ... Je n'aurai pas du ... je ... Je suis désolée !
Je me suis senti coupable. Elle est triste à cause de moi. Je ne suis qu’un pauvre idiot maintenant. J’aurais dû être en ce moment. Être là pour la protéger, être là pour tuer son père et être là pour lui rendre encore le sourire. Je me sens coupable de la rendre triste. J’aurais dû m’en rendre conte qu’elle était en danger. Là, je suis le pire des idiots…le pire homme qui a sur terre. En plus, elle pleure et je reste comme une statue. Elle se désole pour moi? Non, il ne faut pas….c’est moi qui devrait m’excuser…m’excuser de ne pas t’avoir protéger comme un vrai homme aurait fait. Est-ce que tu pourra pardonner un homme qui a pas su te protéger?....
Sans trop attendre, j’ai pris Lily dans mes bras. Je l’entoure de mes bras et je la serre contre moi. Je flatte ses cheveux en essayant d’ignorer les autres regards.
- Ssshhh c’est fini Lily…c’est fini, dis-je tout bas avec une voix douce et grave, je suis là…ne t’inquiète pas…
Mon regard se remplit de honte. Je devrais peut-être disparaître de sa vie. Elle sera un peu plus heureuse…non?
- Je suis là…et ne te désole pas pour moi…c’est pas grave…c’est plutôt moi qui….
Un de mes collègues m’interrompis et me pris par l’épaule.
- Sami, on devrait aller la portée dans sa cellule.
Je me suis retourné et je vois qu’il me dévisage un peu.
- D’accord, dis-je un peu perdu, je vais aller la porter dans sa cellule
Il me regarde avec un regard incertain en fronçant son sourcil. Je pris Lily et je décide d’aller la porter dans sa cellule. Elle dois se reposer à tout pris et moi, je dois en savoir plus…en privée.
- Je vais t’apporter dans ta cellule ou bien à l’infirmerie? Je crois que tu a besoin d’un pansement… | |
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