Sybille Hawkins

Nom & Prénom : Hawkins, Sybille
Sexe : Franchement, je ressemble vraiment à un homme ?
Âge : 20 ans

Traits physiques : Des longs cheveux d'un roux flamboyant, tirant presque sur le brun, voir même le rouge foncé en fonction de la lumière, des yeux d'un vert émeraude aux reflets mordorés, un visage fins aux traits délicats et à la peau d'albâtre, un corps aux courbes et aux formes désirables, ni trop grand, ni trop petit, certains pourront se demande ce qu'une belle femme comme moi fait ici. A vrai dire, moi-même je ne pourrais le dire. Et pourtant, je ne me considère pas comme belle et je n'use pas de mon physique comme moyen de séduction, au contraire même... D'ailleurs, ce corps si svelte, si désirable à première vue, est, lorsqu'on y regarde de près, constellé de cicatrices et de plaies anciennes ou récentes. Mon dos est silloné de longues marques rouges, témointes de mon passé difficile, et, dans ces si beaux yeux qui brillaient autrefois de joie se lisent maintenant toute la douleur, la souffrance, et la haine que j'ai ressenties et que je ressens toujours...

Taille : 1m70
Poids : 57 kilos
Maladie ou handicap physique : Aucun
Autres : //

Dossier psychologique

Qualités : Volontaire et déterminée, lorsque je me suis fixé un but, je l'atteinds, quelque soit la difficulté et le prix à payer. Egalement rusée et intelligente, je ne me laisse pas avoir par le premier venu et je sais me débrouiller seule et par mes propres moyens. J'ai également les pieds sur terre et la tête sur mes épaules, et je réfléchis avant d'agir. Bien que solitaire et rebelle, il faut du temps pour gagner ma confiance, et encore plus mon mon amitié, mais une fois celle-ci obtenue, vous ne serez pas déçus, car, au fond de moi, je ne suis qu'une jeune femme sensible et déchirée par le passé...

Défauts : Hautaine, obstinée et fière, j'ai mon ego, et je ne supporte pas me voir donner des ordres ou des conseils, et encore moins des reproches. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles je me suis retrouvée ici, et j'ai l'impression que les ennuis ne font que commencer... Froide et solitaire, je n'aime pas vraiment la compagnie, et les flatteurs, les beaux parleurs, d'ailleurs tous les hommes ont interêt à passer leur chemin, je n'ai peut-être pas d'armes, mais je sais me battre. Méprisante et arrogante, lorsqu'on me cherche, on me trouve, et cela fait mal... Très mal...

Aime : Pas grand-chose en fait... Au départ, j'aspire surtout à ce qu'on me laisse en paix, seule, tranquille. Mais une fois avoir fait connaissance, et tissé quelques liens avec la personne, j'apprécie sa compagnie et de pouvoir compter sur elle en cas de coups durs... J'aime également la franchise, la douceur, bien que je ne le montre pas...

N'aime pas : Les hommes. Je les hais, profondément. Plus que tout. J'ai juré de les faire payer du mal qu'ils m'ont fait subir, et ce par tous les moyens. Ne me demandez pas pourquoi, je ne vous le dirais pas. C'est d'ailleurs une autre chose que je hais. Parler de mon passé, et qu'on me demande les raisons pour lesquelles je suis ici. Non mais, mêlez-vous de vos affaires ! Ah encore une chose. Les hommes, surtout les obsédés et les pervers. Quoi, je me répète ? Désolée.

Comportement avec les gens : Qu'ils soient gardiens ou détenus, hommes ou femmes, j'aurai le même comportement. Distance, froide, hautaine, acerbe, méprisante... Bonne chance pour tenter de tirer plus qu'un " bonjour ", ce qui sera déjà un miracle. Mais si, par je ne sais quel prodige, vous parvenez à gagner ma confiance, je me révèlerais être une toute autre personne, jeune femme sensible et fidèle, digne de confiance, et ayant simplement besoin d'aide et de reprendre confiance en la vie, cachant sa douleur derrière une carapace de dureté...

Maladie ou handicap mental : Si l'on peut appeler cela un handicap... Je ne supporte pas qu'on me touche sans ma permission, quel que soit le motif ou la personne. Je n'aime pas non plus qu'on s'approche de moi dans mon dos, et encore moins quand c'est pour me jouer un sale tour. Mais ce que je hais, je vous l'ai déjà dis, ce sont les hommes. Gardiens ou prisonniers, le premier qui m'approche, de près ou de loin, ou qui ose me toucher, attention à lui...

Valeurs : Pas de valeurs spécifiques... J'ai juste tendance à croire que si notre vie a été horrible au départ, et que tout va de pire en pire, la fin ne peut que être douce...

Tics : Je me mords souvent la lèvre lorsque je suis gênée ou je ne sais pas quoi répondre.

Passé : Mon histoire commence d'abord avec celle de ma mère, Cassandre. Aussi loin que remonte mon enfance, je n'ai jamais connu mon père, ce qui est d'ailleurs normal, vu qu'il nous a abandonnées, moi et ma mère, avant ma naissance. Fille issue d'une famille de bourgeois aisés, Cassandre tomba un jour amoureuse, pour son grand malheur, d'un jeune homme issu des quartiers modestes, voir même mal famés de New York. Ne supportant pas de voir leur enfant trainer avec un " bon à rien " comme ils le disaient, mes grands-parents lui interdire de revoir on aimé... ce que, bien sûr, elle ne fit pas. Mais, malheureusement, avec quelques mois d'une idylle romanesque, Cassandre se rendit compte qu'elle était enceinte. Lorsqu'elle l'annonça au jeune homme, celui-ci, effrayé par cette soudaine prise de responsabilités et cette future paternité, alors qu'il considérait cette relation comme superficielle, disparu du jour au lendemain, sans donner de nouvelles. La jeune femme tenta alors de cacher sa grosses à ses parents, sans succès bien sûr... Lorsque ceux-ci l'apprirent, et que leur fille leur dit qu'elle n'avorterait pas, ils entrèrent dans une colère folle, et la mirent à la porte. Contrainte d'errer seule dans les rues, Cassandre fut finalement sauvée de la misère par un homme étrange et mystérieux, dont elle tomba bientôt sous le charme. C'est cet homme qui allait devenir mon beau-père.

Ma naissance se déroula sans problèmes, et c'est avec bonheur que ma mère et celui que je considérais à l'époque comme mon père vécurent, pendant plusieurs années. Mais, le jour de mes 5 ans, je m'en souviens très bien, tout bascula. Je n'ai d'ailleurs - et c'était normal - pas compris pourquoi, sur le coup. Mais maintenant, je pense qu'il devait s'agir d'une histoire de drogue, de dettes, de jeux, etc... C'est avec stupéfaction que ma mère apprit que son mari avait dilapidé la moitié de leurs biens, mais qu'il comptait bien se refaire. Nous déménageâmes donc à San Fransisco, et c'est là que mon beau-père commenca à fréquenter prostituées, filles faciles rencontrées lors de soirées, ect... Venant même à tromper sa femme sous son propre toit. Ma mère acceptait cela sans broncher, que pouvait-elle faire d'autre ? Elle n'avait pas un sou, elle n'aurait pas pu partir, avec une enfant de plus... Je grandis donc dans le rejet de cet homme, qui, avec le temps, commença à battre ma mère, de plus en plus violement. Chaques soirs je l'entendais crier, hurler, pleurer, et j'entendais les cris de rage, puis de plaisir de mon beau-père, cris et hurlements qui me terrorisaient et me condamnaient à passer ma nuit cachée sous ma couette, en larmes. Les années passèrent, et c'était toujours le même refrain... Puis, peu après mes 14 ans, il rentra un soir, tard, bourré, comme d'habitude. Mais là, ce fut différent. Il s'enferma dans sa chambre avec ma mère, et ce fut pire, plus horrible, plus atroce que ce que j'avais jamais vécu. Ses cris et ses hurlements résonnèrent dans toute la maison pendant de heures, jusqu'à ce que le silence se fasse et qu'il ouvre la porte, m'entrainant à l'intérieur de sa chambre. La vue du corps sanglant de ma mère, gisant sur le sol, immobile, livide, me causa un traumatisme profond. Je n'osais y croire. Elle devait se relever, elle devait, elle se relevait toujours... Mais elle ne se releva pas. Elle ne se releva d'ailleurs plus jamais...

Ce qui suivit ensuite fut l'une des choses les plus horribles que j'ai subies durant ma vie... Je ne m'attarderais pas sur les détails, je pense que vous les devinerez amplement... Battue, fouettée puis cruellement violée... Je voulais mourir, pour qu'enfin tout cela cesse... Je n'étais plus rien, juste un corps sanglant et brisé, une âme mutilée, détruite... Il recommença, plusieurs fois, nullement gêné de profiter du corps d'une jeune fille telle que moi. Mais, brusquement, un déclic se fit en moi. Alors qu'il tentait de me violer à nouveau, et, jettant un regard sur le cadavre de la seule personne qui m'avait jamais aimée, je pris l'arme qui se trouvait sur sa table de chevet et je l'abattis sans scrupules.

Inutile de vous dire que cela ne passa pas inaperçu, et, quelques instants plus tard, la police débarqua, et, voyant les deux corps à terre et l'arme que je tenais encore dans mes mains, immobile, les yeux vague, en état de choc, m'emmenèrent immédiatement au commissariat. Comme je refusais d'avouer et de raconter quoique ce soit, de peur de me retrouver en prison, je fus interrogée, et d'une manière plutôt brutale par plusieurs flics, sans succès. Voyant que la parole ne servait à rien, deux d'entre eux eurent la " bonne idée " d'employer la violence et la force... A nouveau, je fus battue, puis violée, par des représentants de l'ordre, oui. Sur le coup, la violence de la scène, la peur et la terreur que j'avais ressenties me firent perdre la tête, et, arrachant le révolver de la ceinture de l'un d'entre eux, je tirais sur mon bourreau, ce qui me valu une arrestation immédiate, et l'envoi dans un camp de redressement de mineurs, malgrès mon témoignagne contre les policiers et mes avoeux sur ce qui s'était réellement passé chez moi.

Après cela, je sauterais 4 ans de ma vie, 4 ans que je dus passer dans cet enfer, qui, pourtant, n'est apparament rien à côté de cela. Je pense qu'il sera inutile de vous dire ce que j'ai enduré, subis, mais je peux vous garantir que ce qui précédais n'était rien à côté de cela. C'est, finalement, le jour de mes 18 ans que je fus relâchée. Ce fus pour moi le renouveau, le début d'une nouvelle vie. Je ne pourrais vous décrire la sensation de liberté, de joie, de bonheur intense, indescriptible que je ressentis lorsque je mis le pied dehors, éblouie par la lumière du soleil d'été, inspirant avec bonheur l'air pur. C'est la dernière chose dont je me rapelle. Après, ce ne sont que des souvenirs, des flashs, des émotions... Des paroles... Le son d'une voix... Une musique... Un visage... Des yeux, bleus... Un homme... Un enfant... Un sourire... De l'amour...? La joie... le bonheur... La panique... La terreur... La peur... Un hurlement... Un coup de feu... Non, des coups de feu... Combien...? Du sang... La police... Des pleurs...

Je me réveille dans un fourgon. Il fait noir, je suis attachée, je sens l'odeur du sang, de la peur... Où suis-je ? Je hurle, tente de me débattre, de m'échapper... Rien à faire... Je suis... condamnée...

Autres : Amnésie partielle qui couvre les 2 dernières années qui précèrent mon arrestation. ( En résumé, peu après ses 18 ans, Sybille s'est mariée et a eu un enfant. Pendant un an, ils vécurent heureux, mais, un jour, l'un de ses anciens bourreaux du centre de redressement débarque chez elle et tue son mari et son enfant. Folle de rage, la jeune femme lui tire à son tour dessus, mais l'homme parvint à s'échapper. La police débarque, et, la voyant couverte de sang, les deux cadavres à ses pieds, se jettent sur elle et la neutralisent d'un coup de matraque, responsable de son amnésie. Accusée à tort du meurtre de son mari et de son enfant, c'est dans le fourgon qu'elle se réveille, amnésique... )

Dossier criminel

Crime(s) commis : Meurtre de son beau-père, d'un policier, accusée à tort du meurtre de son enfant et de son mari
Matricule : 240293
Rang : Petite Plume
No. de cellule :
Gang désiré : Aucun
Personnage sur l'avatar : Rachel MacAdams, image tirée du film Red Eyes

*je le fais ? je le fais pas ? JE LE FAIS !* Et deux trois présenations où je vole la place de Maybeth...

Citation :

Sexe : A votre avis, j'ai vraiment une tête de mec ou quoi ? xD

Citation :

Personnage sur l'avatar : A vrai dire, je n'en ai strictement aucune idée, quoique, normal, c'est pas un perso de manga, jlai trouvé sur une galerie d'un dessinateur ^^

Pour le moment, on ne le voit pas, ton avatar...

Citation :

Traits physiques :

Là, normalement, tu dois décrire physiquement ton perso... allure, visage, vêtements... laisse aller ton imagination... et pas de "voir avatar" malgres le fait que c'est ton avatar que tu décris...

Citation :

Rang : Euw... Quelle question xD

Ca, c'est ce que tu veux voir écrit à coté de ton numéro au dessus de ta photo...

C'est la chef qui tranchera, mais il fait combien en hauteur ton avatar ? c'est limité à 300 pixels...

la hauteur ne me dérange pas, tant que tes posts soient longs. ^^ Donc ton avatar peut être haut comme tu le veux, sauf si tes posts sont plus courts que lui in rp

Sinon, tu me préviendras quand le reste sera fait ^^

Pas de flood sur les présentation en attente, Angel, tu dois attendre qu'elle soit validée !

okay ^^ alors j'attends l'histoire :P

l'a une erreur ^^ ton matricule doit avec six chiffres ^^

T'en fais pas ^^ Ça arrive aux meilleurs d'entre nous :P

Ta fiche est très bien. Je vais te mettre ton rang et ta couleur. Tu seras dans la cellule... N ^^

Bon jeu ^^

Awww ... je me sens nosthalgique XD C'est une fiche qui date de l'époque où Alec mettait son nez dans toutes les fiches