Retour

Je suis revenu d'un repas lamentable et de petit moment dans la salle commune. Je range mon livre et met m'allonge directement sur mon lit. Je crois que ma collocataire n'était pas là...À vrai dire je l'avais oublier deux secondes...Je ferme mes paupières et perd ma tête dans mes pensés...Je ne dors pas bien que d'autre le croirait...Je suis seulement allongé...les paupières clauses...Je réfléchis...De la prison? De mes crimes? Non pas vraiment...C'est pour cel qu'on est là...Mais pourquoi le faire si nous y sommes à vie...Je pense à Kô...Eh merde...Encore ce satané Kô...Chaque fois que je suis seule...Il est là...Il pourrait pas me laisser tranquille...Je l'entend...Il est là...

Invité

Je suis la....devant la porte de ma cellulle. Je venais d'arriver dans la prison apres un accueil qui avait été plutot suprenant, et une rencontre bien spéciale. J'observe ce qui devait etre ma chambre, il y avait plusieurs lits, et l'un était déjà occupé. J'étais venue ici pour etre seule, je voulais mediter un peu sur de nombreux plans, mais pas ici, pas en presence d'une personne.
Ma vue se brouillait un peu, je ne tenais debout que par un miracle, il y avait des jours que je n'avais dormis me semblait il, la force me quittait, et mon corps était épuissé. Je savais ce qui m'attendait si je restais la debout, si je ne me reposais pas, si je continuais à tourmenter mon esprit, à épuiser mon corps, la perte de connaissance allait etre mon futur.
Mon coeur battait dans ma poitrine, ma respiration s'accélerait, je fermais les yeux un instant et mon corps tituba, je me rattrapais à un barreau.
Je ne devais pas m'évanouir, j'entrais et m'installa sans aucun salut, sans aucun mot ni regard à la personne et je me laissa tomber sur un lit. Il ne me fallu pas plus d'une minute pour perdre connaissance.

Je suis contente. Il est parti...Il supporte très rarement d'être avec d'autre gens que moi. C'est pour ça qu'il par toujours quand quelqu'un d'autre ce pointe. Mais, ça lui était déjà arrivée d'être là plus longtemps, même en présence d'autre personne. Pour la simple et bonne raison qu'[i]iladore me faire passer pour une folle en publique. Une femme entre dans la cellule...Elle semble avoir de la difficulté à ce tenir debout. Un coup de fatigue surement puisqu'elle s'écrase aussi tôt sur son lit. Elle ne me parla pas. Elle ne doit pas être bavarde...Un peu comme l'autre ou peut-être était-elle trop fatigué.

Bonne nuit...Dis-je dans un soupire à ma nouvelle colloc'

Invité

Je suis fatiguée, je n'arrive meme pas à rester éveillée ne serait ce qu'un peu, j'ai la tete dans les nuages, je ne vois plus rien, mais yeux sont fermés, tout ce que je sais, c'est que je suis morte épuissée, ce ne fut pas une semaine facile, d'ailleurs ce n'était pas un mois facile. J'ai mal à la tete, je vogue entre plusieurs monde. Que dois je faire ? Lutter, oui, voila ce que je dois faire, mais je n'en ai plus la force, je n'arrive meme plus à bouger le moindre muscle, meme pas le petit doigt, je suis fatiguée. Quelle vie ai je mené depuis seize ans ? J'ai fait n'importe quoi, des cadavres, je ne vois que cela, sur le trone, la, qui est ce ? Ma soeur ? A ses pieds, mes parents, et tout autours toutes les vicitmes que j'ai pu faire. L'odeur du sang s'empare de mon esprit, elle est douce mais écoeurante tellement elle est puissante. Je me sens envahis par tous les crimes que j'ai plus faire. Mon corps entier tremble, je n'ai aucun regret, aucun remord. Mon corps tremble, il en demande encore plus ! Je suis existé par cette vision sanglante, mon ame en veut encore et encore, et je suis sure que mon sabre ou qu'il soit, tremble aussi, il en réclame plus, je suis sur que lui aussi m'appelle. Nous sommes liés ensemble, pour la vie et bien au dela, deux ames dans deux corps l'un humain, l'autre matériel, nous ne sommes pas fait pour etre séparés, ensemble, nous devons détruire ces faibles !
Mon coeur ralentit, ma respiration aussi, je retrouve enfin mon rythme normal, non, ma respiration est encore trop rapide, il faut encore un peu de temps our que ca aille mieux.
J'ai entendu la jeune fille dans la cellule me dire bonne nuit, je n'ai plus lui répondre, perdu dans un autre monde. Je me demande la réaction qu'elle doit avoir en voyant mon corps frissonné d'exitation, et je me demande la réaction qu'à la personne qui possède mon sabre en ce moment, elle doit le voir vibrer, il m'appelle, il appelle le sang.
Je te retrouverais, tres vite, mon ame.
Combien de temps c'est écoulé ? Je ne sais pas, je ne sais meme pas si je suis prete a me reveillée....

Je regarde ma nouvelle collocataire...Mais qu'est-ce qu'elle a? Elle tremble de tout son corps. Je sais qu'on peut être stressé mais ça ressemblait plus à de l'exitation. Je lève la tête de mon lit et la regarde. Je suis surprise mais j'ai plus l'aire indifferente qu'autre chose...Comme à mon habitude.

Hey oh...Ça va pas?

Je m'assis sur mon lit et l'observe, la dévisage. Elle fait une crise dépilepsie ou quoi? Il y a des gens de toute sorte dans cette prison. Je n'ai pas eu souvent l'occas' d'être tranquille. J'étais quand même contente de ne pas être seule dans ma cellule. Je n'aimais pas trop me retrouver toute seule

Quelque chose ne va pas?

Bon, je sens que ma colloc' sera une rencontre assez "spécial". Je la regarde encore, je ne la quitte plus des yeux et j'attend une réaction de sa par.

Invité

Au moment ou je me réveillai, ma main se posa directement sur le manche de mon sabre que je dégainai et logeai contre la gorge de ma locataire, mes yeux se plongèrent dans les siens, il y avait des petites lueurs dans mon regard, de la haine, de la rage, tout ce qui était noir et sombre. Je la regardai longuement avant de m'apercevoir de quelque chose. Mes sourcils se froncèrent, non, comment était ce possible, ou était je ? Ma main était à moitié refermée comme si je tenai quelque chose avec elle, elle était tendue vers la jeune fille, je suivis du regard la courbe, son cou était visé. Je ne comprenais pas, ou était le manche qui aurait du etre dans ma main, ou était la lame qui devait menacer la chair de la personne ? Ou etait mon sabre ! Je ne savais meme plus ou j'étais, jusqu'à ce que je vis les rangs de lits que je connaissai que trop bien, jusqu'à ce que je vis les barreaux qui m'entouraient, voila, un doute se logea dans mon esprit, ou étais je ? Prison ou asile ? Je ne savais plus, mais la mémoire me revint petit à petit. Tout se remit en place dans mon esprit, je laissai tomber lamentablement mon bras et me réallogeai sur le brancard peu confortable qui me servait de couche.
Je venais sans doute de passer pour une folle aux yeux de cette personne mais je m'en moquai royalement, les réflexes que j'avais ne me quitteraient sans doute jamais, j'étais née pour tuer, pour manier le sabre, je devais devenir la meilleure de tous les pays en arts martiaux, mais voici qu'un obstacle m'en empeche, cela aurait du me faire pleurer, de tristesse ou de rage qu'importe mais au lieu de cette réaction tout a fait normal, un sourire se marqua sur mes lèvres. Je voyais cette isolement comme une étape qu'il me fallait franchir, c'était une mise au défis pour prouver que je suis bien la meilleure dans mon genre. Je fermai les yeux un instant, plongée dans mon propre monde avant de me souvenir q'une personne était là. Je me levai d'un bond, et comme un félin je lui sautai dessus, ma main s'empara de sa gorge, je la plaquai au sol sans qu'elle ne me posa de résistance. Mon regard se plongea dans le sien, mais ma prise ne dura qu'un instant, je n'avais pas la force de l'interroger, ni de la garder sous mon emprise....

Elle se revaye de sa "trans" et me regarde avec rage. Elle pointe sa main vers ma gorge, sa main à moitier fermé mais ne tenant rien. Je regard sa main puis la regarde dans les yeux avec incompréhension. Un moment passe avant que l'une de nous deux réagisse puis elle me saute dessus en essayant de m'étrangler. Je n'opose aucune resistance étant assez surprise. Rapidemant elle devient faible et je lui donne un violant coup de pied dans le ventre. Elle s'éloigne de moi et s'écroule sur le sol. Je la regarde toujours avec cette même incompréhension. Ça va pas la tête? Je garde le silence. Un gardien se pointe...

Qu'est-ce qui ce passe ici?!

Je regarde un instant en silence le garde. Je jette un rapide coup d'oeil à ma colloc' puis je me décide à parler.

Rien, rien...Tout va bien...

Il regarde ma compagne de cellule avec suspicion mais par finalement sans rien dire. J'aurais pu tout dire et elle aurait surement aller au trou, mais je ne fis rien.

Invité

Le coup que la personne m'asséna me fit voler à travers la cellule, je m'écrasai contre le mur avant de m'écrouler au sol sans que je ne tentai d'amortir ma chute, je n'avais plus la force de toute facon. Un gardien poita son nez devant notre cellule, il n'avait donc rien d'autre à faire que de surveiller les gens ? J'oubliai à ce moment qu'il était payé pour cela, ce salle pervers, voyou, vendu ! Enfin à quoi me servait il de l'insulter ainsi, de toute facon il ne m'entendait pas puisque je ne parlai pas, et meme si j'avais dit la moindre chose il m'aurait sans doute battue, cela ne l'aurait guère atteinds, et moi, je n'étais plus à quelques coups pres. Je me relevais avec difficulté, une main sur la partie ou l'inconnue m'avait frappé. Elle n'avait pas vraiment de force, du moins, elle n'en avait pas vraiment mis, mais cela m'était douloureux à cause de ma cote cassée que personne n'avait daigné soigné pour la simple raison qu'aucun ne savait que j'étais blessée, de toute facon j'y était habituée, il me suffirait de ne pas bouger trop souvent et brusquement, voila. C'etait la seule chose qu'il me fallait faire.
Je regardais la personne qui devait etre ma collocataire, je ne lui adressais pas un mot et allait me réinstaller sur ma couche, non, il ne me fallait pas chercher la guerre, pas tant que je ne saurais pas rétablit, mais cela ne voulait pas dire que je devais adresser la parole à quiconque de cet établissement, je ne dirais plus un seul mot, sauf peut etre si je me décidais a le faire, mais il ne fallait pas trop espèrer non plus. Je m'installai en tailleur sur mon lit, et le dos droit, je fermai les yeux. Ma rage était pesante, mais je m'en moquai, je voulais sortir d'ici au plus vite.

Je regarde ma colloc'. Puis, je retourne sur mon lit et m'allonge. Je fais un léger soupire et je jette un coup d'oeil à l'autre. Elle venait d'essayer de m'étrangler, elle a fait une pseudo-crise d'épilepsie et elle ne disait toujours rien...Elle est muette ma parole? Au moins je ne me sentirais pas trop dépaysé...Avec une autre cinglé. Elle avait pas l'intention de parler et je ne vois pas pourquoi je chercherais la conversation. Je prend mon carnet de dessins sous mon lit et mon crayon de cire et je me met à dessiner en silence...Regardant parfois d'un oeil ma colloc' qui semblait essayer de se calmer. Je gribouille sans trop savoir ce que ça donnera...Arrêtant parfois mon coup de crayon pour reflechir à la suite de mon dessin.

Invité

Que suis je entrain de faire ? Je ne devrais pas me faire des ennemis, non, plutot le contraire, des alliés pour pouvoir m'echapper d'ici avec beaucoup plus de facilité, enfin je ne supporterais pas la compagnie des autres, je veux me libérer seule, je m'échapperais de moi meme, je suis une solitaire et il en sera toujours ainsi. Je m'ennuie, la.
J'ai besoin de faire quelque chose, un entrainement, mais le probleme c'est que je n'en ai pas la force, c'est vraiment pénible. Je ne peux donc rien faire, c'est embetant, je m'ennuie, je veux faire quelque chose ! Tiens ? Elle dessine, oui, le dessin c'est bien, mais je n'ai ni feuille ni crayon et je ne veux pas lui en demander. Je, bon, je continue ma sieste si je ne peux rien faire, c'est au moins la seule chose que je peux faire.

Ma tete heurta le mur, mon dos s'y colla, qu'est ce que je fais encore ici, mon sabre ou est il ? Ce n'est pas important pour le moment, le moment, l'important c'est moi, je dois prendre soin de moi, soigner mon corps pour pouvoir recuperer mon ame.
Je suis fatiguee, je vais peut etre dormir encore un peu, non, je ne veux pas, je ne sais plus, j'en ai marre.

Invité

Je me tenait devant la porte de ce qui devrait être ma celule. Ma main glissa doucement le long des barreaux. J'aimais sentir les choses, toutes les rayures qui avaient marqué la vie de ce bout de métal passait contre ma peau comme autant d'histoire. Je m'avancais, je regardais la petite pièce, décidement ils ne s'étaient pas foulés sur la déco....Je soupirais, je n'arrivais pas vraiment à me convaincre que le temps que j'allais passer ici allait être passionante, sauf peut être si je jouais...ma langue frola mes lèvres, et un grand sourire carnassier passa éphémèrement sur mon visage. Non! Il ne fallait pas, je m'étais promis de bien me comporter, je devais faire un effort...même si au fond je ne risquais rien en m'amusant un tout petit peu, je ne faisais rien de mal, le sang, c'était joli, la déco n'en serait que plus acceptable. J'inspirais profondément, je revenais lentement à la raison, je devais éviter de me faire remarquer dès le début, il fallait que j'attende, oui...attendre serais la meilleure solution. J'aurais certainement plus que du mal à sortir d'ici seule. Car il fallait que je sorte, dehors je pourrait jouer autant que je voudrais. J'avancais lentement à l'interieur da la piéce. Il y regnait une étrange tention.

"Bonjour tout le monde."

J'avais parlé comme toujours de mon ton jovial, mais il avait toujours était sincère, j'aimais réellement être avec des gens. Je souriais à la jeune fille qui dessinait, peut être pourais je recommencer ce que je faisait avant, la peinture et le sculpture. Je regardais l'autre qui semblait dormir, mon esprit ne fit qu'un tour. Que faisait elle ici? la question passa la barrière de mes lèvres sans plus attendre mes ordres.

"Ayuyu qu'est ce que tu fais la??"

Je ne m'attendais vraiment pas à la voir de si tôt.

Je continue à dessiner paisiblement jusqu'à ce qu'une autre femme arrive. Voilà, la cellule était remplis. La tranquille qui ne m'a pas adressé la parole, l'autre qui m'a sauté dessus et maintenant elle...Je la regarde. Elle s'anonce différente des autres. Déjà qu'elle me paraît plus sympathique, mais il ne faut peut-être pas si fier, si elle est ici ce n,est pas pour rien, en plus elle nous salua.

Bonjour à toi...

Celle-ci, qui semble connaître l'autre, parle d'un ton joyeux. Étrange comme bonne humeur alors qu'elle se retrouve a Sadismus.

Ayuyu? Alors c'est ça son nom? C'est bon à savoir parce que c'est bien le seule nom de toute mes collocataire que je connais jusqu'à maintenant...Faut dire qu'elles ont pas tous la parole facile...

Je me concentre denouveau sur mon dessin, reprenant mes coups de crayon.

Invité

Je souriais a Ayumi qui n'avait pas encore réagit. Etait elle amorphe ou simplement fatiquée? J'avais, à vrai dire, bien du mal à savoir. Le temps me révelerait ce qu'il en était. Je m'étirais et allais m'assoire sur un des lits qui grinca, décidement, déco pourrie, ressorts rouillés, troupeau d'associals chroniques....pas de doute possible, j'étais bien dans Sadismus, la prison tant renommée. Pourtant ce que j'avais fait n'était pas si grave...bref! J'enlevais mes chaussures et me mis en tailleur, les mains sur mes genoux. Eh bien puisqu'Ayuyu mettait le temps pour me répondre, peut être pourrais je discuter et faire un peu connaissance avec ma nouvelle colocataire...

"Moi c'est Yuko, et toi?"

J'avais dis ca en la regardant avec, comme toujours un sourire, j'étais contente de rencontrer des gens, et la pensée de ce qu'ils avaient pu faire pour se retrouver ici ne m'avait même pas éffleuré l'esprit. Et puis j'esperait qu'en engageant la conversation avec l'autre jeune fille Ayuyu se déciderait à sortir de son silence.

Invité

Yuko venait d'arriver, elle semblait toujours aussi de bonne humeur, sautillante pratiquement comme si cet univers dans lequel on venait de la plonger lui convenait a merveille, des lits à moitié défoncés, une lucarne qui servait de fenetre et ne permettait meme pas qu'un prisonnier observe la lune à ces aises, des gens d'une mentalité dangereuse, des gardiens tout aussi pervers, brutals les uns que les autres. Oui, comment pouvait elle apprécier, ou au moins etre de si bonne humeur dans ce monde la ? Je ne pouvais pas le savoir, moi, ce monde avait une tendance à éveiller mon mauvais coté, celui ou je voulais mettre fin à toutes les ames qui vivent, je n'aimais pas ce lieu, j'y avais laissé trop de souvenir pour apprécier d'etre enfermée. Un lieu, ou la vie n'avait plus de sens, nous, criminels, nous etions enfermés dans ces grandes cages mais pourquoi ? Je ne savais pas, peut etre que les gens esperaient que nous nous répentitions et sombrons dans la folie, coupable de nos crimes, assommés de remords, si c'était le cas, les gens risquaient d'attendre longtemps, j'étais déjà folle selon la loi, et je n'avais pas assez d'ame et de conscience pour regretter tout les meutres que j'avais fais, si je le regrettais c'était de ne pouvoir continuer à faire couler le sang.
J'entendais Yuko m'adresser la parole, je ne la regardai qu'un court instant, sans répondre, elle m'appelait Ayuyu, c'était un surnom horrible, mais je ne pouvais pas la tuer, pas parce qu'elle éait forte loin de la, mais parce que je n'avais plus de force, et je ne voulais pas me fatiguer plus que cela. De plus, je ne voulais pas parler, alors je ne laissai qu'un silence, sans doute le prendrait elle pour un consentement ce qui était totalement faux.
Yuko adressa la parole à la collocataire, elle se présentait et lui demandait son nom, parfait, je pourrais connaitre l'identité de la personne sans avoir à lui parler, et sans avoir à me présenter aussi. Cela me convenait bien.
Je les regardai sans attention, avant de fermer les yeux, inutile de les observer je pouvais sentir leur mouvement et les entendre, cela me suffisait emplement.

Je dépose sur mon lit mon carnet et mon crayon pour donner mon attention à mes collocataires.Je jette un rapide coup d'oeil à "Ayuyu" qui ne dit toujours rien, puis je me retourne vers la femme du nom de Yuko qui avait quant à elle, eu la politesse de me parler. Je m'acote sur le mur où mon lit et coller.

Jade...Jade Jacob...

Je garde le silence un moment. Je ne lui souris pas, mais ce n'est pas pour être désagréable, c'était seulement une habitude. Avec sa bonne humeur, elle s'annonce déjà à être un mystère pour moi. Je me croise les bras et continue à la regarder.

T'es ici pourquoi?

J'aurais bien voulut poser la même question à mon autre colloc' mais vu qu'elle ne semblait pas prete à nous parler et que son caractère me laisse quelque peu deviner...Je ne m'adresse qu'à Yuko. Je me demande bien qu'est-ce qu'elle a fait celle-là...Vole? Mmh...peut-être mais j'en doute...Piratage? Elle n'a pas le "type" d'une hackeuse mais bon...Il ne faut pas ce fier aux apparences...Meutre peut-être? Elle n'a pas le type agressive sanguinaire mais beaucoup savent cacher leur jeu...

Invité

Je sens le regard d'Ayumi se diriger vers nous. Vers Jade puisque c'était là son nom? Ou vers moi? Il m'est impossible de le savoir, mais au poids de son regard il s'emble qu'elle est exaspérée. Par quoi? Il me semble que la réponse restera pour moi un mystère jusqu'à ce qu'elle se décide à parler. Moi qui est toujours vécu ou fond, dans un monde calme et paisible j'ai du mal à la comprendre, même à comprendre leur froideur à tous. La curiosité de Jade me met un peu mal à l'aise, je supose que si je me met à raconter tous les détails de cette fameuse nuit je risque définitivement de passer pour une folle et probablement que cela m'emepechera de rencontrer d'autre gens...enfin tant pis, à vrai dire au point ou j'en suis je ne suis pas sure de m'être fondue dans la masse, à cause de ce fichu optimiste. Je me mets à mordiller le bord de ma manche, signe que je suis soumise à un stress.

"Eh bien....on dirait bien que je suis une meurtrière. Et toi?"

Avais je réussi à avouer l'innavouable? Peut être, du moins, il faudrait que j'arrive à ma passer de raconter les details de cette affaires le plus possible. Le but de ma question n'était pas de mettre mal à l'aise à son tour Jade, cependant, j'estimais qu'en ayant partiellement répondu à sa question, j'aurais paut être le droit à une réponse. Ayumi avait l'air completement endormie, je me demandais bien ce qui avait pu la mettre dans cet état, car il me semblait impossible que quelqu'un d'amorphe puisse réussir à rentrer dans cette prison. Une vague de curiosité me pris, je n'aurais certainement pas de réponse mais j'avais tout de même envie d'essayer.

"Et toi?"

Je l'avais dit en regardant celle que j'avais décidé d'appeller Ayuyu, surement n'ésitmerait elle pas nécessaire de me répondre,mais dans le doute je me devais d'essayer.

Invité

Je ne prétais plus vraiment attention aux gens, je ne faisais qu'écouter leur conversation. J'avais à présent le nom de la personne, et aussi le crime de Yuko, une meurtrière ? Interessant, je me demande comment fut se meutre, sans doute fait dans la joie et la bonne humeur, et combien de vie a-t-elle oté ? Je ne pouvais compter les cadavres que j'avais laissé derrière moi. Il y en avait trop, peut etre avais je exagéré sur tous ces morts, enfin je m'en moquais bien, trop, non, j'avais encore plein de vie à oter, je le savais, elles m'attendaient la bas dehors, et à mon retour, elles m'accueilleront les bras ouverts. Je vais bien m'amuser mais il va falloir que je sorte de la avant.

Yuko m'adressa la parole, elle me demandait ce que j'avais fait pour arriver dans cette prison, la question me permit un sourire, lèger mais sadique. Qu'avais je fais ? Tellement de sang versé, l'odeur est incrustée dans ma chair, meme des années jusqu'à la fin de ma vie en fait, si je ne tuais plus, l'odeur serait toujours la.

Je ne répondai rien, j'attendais que Jacob le fasse avant, si jamais je me décidai à prendre la parole, je lui dirai ce que j'avais fait.

Meurtrière...Elle reste vague tout de même...Je suppose qu'il est normal de ne pas trop vouloir en parler bien qu'en général, les gens semblent plus ou moins honteux de leurs crimes.

On m'a accusé d'une vingtaine de meurtres...

Je regarde "Ayuyu". Elle, je ne serais pas étonné que ce soit une espèce de meurtrière sanguinaire...D'ailleurs, à voir son sourire sadique (et le fait qu'elle m'a sauté dessus)...Ça ne m'étonnerait pas du tout...Je la regarde un moment...

Meurtres toi aussi j'imagine? Ça nous fait déjà de jolis points communs... Dis-je d'un ton vague...

Une optimiste meurtrière et une cinglé...Mon séjour sera des plus palpitants et surprenants...Je ne m'ennuirais peut-être pas t'en que ça... Mais si je pouvais sortir de cette prison se serait avec joie! Mais comme toujours je n'ai rien tenté encore comme recherche pour une éventuelle libération.

Invité

Et ben! Trois meurtières dans la même chambre, ils ne craignaient rien à la direction de Sadismus ou alors ils étaient bien inconscients. Je remarquais du coin de l'oeil le sourire d'Ayumi au moins elle n'était pas morte, mais je n'arrivais pas encore à dire si c'était ou non un point positif. En tout cas si j'avais jamais douté du passif d'Ayuyu j'en étais désormais convaincue. Ce sourir je le connaissais si bien, pas sur son visage sur le mien, tant de souvenirs, si doux, si cruels. Ayuyu n'avait pas l'air vraiment décidée a parler. Elle laissa son regard lentement glisser le long des murs, il faudrait qu'elle évite de le faire, la prison n'était pas faite pour la contemplation. Je me sentait déprimée par l'idée de devoir vivre dans un endroit aussi moche et ma claustrophobie se faisait de plus en plus insistante. Que ferrai je si elle vennait à prendre le dessus? Peut être serrait ce amusant, mais cela risquait fort de se reveller dangereux autant pour les autres que pour moi. Je soupirais et étirais mes jambes. Je reportais mon regard sur Jade et sur son carnet, une dessinatrice ici? J'étais contente de rencontrer quelqu'un qui partageait ma passion.

"tu ne crois pas si bien dire, je dessine moi aussi je peux voir?"

Je m'étais nevée pour voir ce que Jade avait fait sur son carnet. Je me tournais vers Ayumi son silence était un mystère pour moi, il m'étais tout aussi impossible de prévoir comment elle allait se comporter en prison. Je me demandais quelle heure il pouvait bien être j'avais perdue toute notion de temps, peut être d'ailleurs que je m'étais posé cette question à voix haute tant cela longtemps que je me la posais.

Invité

Deux criminelles, l'une qui semblait en avoir commit qu'un seul et l'autre en avait commis une vingtaine, je les battais toutes les deux, ce n'était peut etre pas un plus, mais en tout cas, j'étais meilleure qu'elles niveau crime. Enfin cela ne voulait rien dire. Je pouvais tuer des millions d'ames que ce pouvait etre un travail d'amateur contrairement a une seule ame otée qui pourrait etre un travail de professionnel.
Que faire, elles allaient se mettre au dessin, moi aussi j'aimais dessiner, mais sans feuille ni crayon je ne risquais pas de faire grand chose, finallement, je me levai, et m'avancai vers le mur. D'un geste je frappai ce dernier, entaillant la chair de mon poing et je commencai a dessinier avec mon sang, un magnifique sourire aux levres. Voici que la decoration serait plus plaisante !
Jugee pour folle, je ne l'etais pas mais je me comportais comme telle.
Je ne prononcais toujours aucun mot, mais la decoration que je faisais laissais traduire ce que j'avais fait, une multitudes de cadavre, voila ce que j'etais entrain de peindre sur le mur.

J'étais accusé d'une vingtaine de meutres il est vrai...Mais en réalité j'en avais fais bien plus...Mais puisqu'on m'a seulement demander qu'est-ce que j'ai fais pour être "là"...Je n'ai parlé que de mes accusations.

Je regarde mon dessin. Sans me rendre compte, je venais de dessiner un paysage abstrait où la seule chose qu'on pouvait voir clairement était un personnage étrange, à la fois humain et monstrueux, assis...Tout simplement assis au sol avec un sourire. Yuko voulait voir mon dessin... Je n'aimais pas trop qu'on regarde mes "oeuvres" mais je décide de lui montrer quand même...Je lui tend mon carnet...

Si tu veux...Mais ce n'est pas très professionnelle...Ça m'occupe...

Elle disait dessiner...Dessiner quelle genre de chose? Je regarde l'autre qui ce met à peindre les murs...avec son sang...

Belle déco...Mais d'autre matériaux aurait été plus pratique...

Elle sourit...On a une cinglé parmis nous...Mais quelle importance...

Avec une plume t'aurais pu faire quelque chose de plus concret...

Je détourne mon regard d'elle. Il semblait vraiment qu'elle allait pas tout à fait bien...À moins bien sûre qu'elle ne cherche qu'à attirer l'attention.

Invité

Javait envie de dessiner aussi, mais je ne me sentait pas prète a me détruire une main pour refaire la deco...quoi que c'était plutôt simpa par raport a avant.

"humm pas mal..enfin ta main aurait pu te servire...t'embete pas trop non plus pour la deco, je ne pense pas qu'on doive rester très longtemps non plus..."

Je m'étirais, le voyage n'avait pas été très agéable, j'avais le dos en compotte, mais je n'avait pas envie non plus de me transformer en comateuse comme ayuyu tout à l'heure. Je m'ennuyait assez, et je trouvait que pour une prison tantr réputé les gens avaient l'air plutot normaux selon mes critères. Ce n'était peut être pas les meilleurs...mais tout de même on aurait dis qu'ils étaient décidé a passer leur vie ici et même a la finir un peu prématurément.

"Bon quand est ce qu'on ce barre??"

Je la regarde, pas du tout surprise.

De la prison? Tu as un plan peut-être?

Elle se croit où? En camp de vacances? Non mais franchement. Mais, si elle sait comment, j'en serais ravie.

Si tu en as un et bien le plus tôt sera le mieux...Moi je ne me suis pas encore mis à y reflechir trop...J'étudie encore le milieu...Il serait peut-être le temps que je me demene un peu...

Je regarde l'autre. Elle s'est décidé à être desagréable...En ce qui me concerne, jouer les folles meurtrières n'était pas ma priorité. Des tas de gens cerchaient à s'évader, mais personne ne se parlait alors qu'en fait...bien que ce n'est pas mon genre ce genre de chose...dans ce cas si je crois bien que l'union fait la force...Alors je donnerais surement toute l,aide que je pouvais apporter à qui quonque sera mon alier.

Invité

Je n'adressai la personne à aucune ame qui m'entourait pour le moment, mon esprit n'était pas vraiment dans la pièce, j'avais l'impression d'etre redevenue la folle sanguinaire, deux ans auparavant, avant que je ne sois internée, celle que tout le monde avait jugé sans comprendre. J'observais mon dessin, ma main saignait abondemment, mais je ne sentais aucunement la douleur, trop habituée à souffrir pour ressentir une plaie si infime que celle ci.

J'entendis Yuko parler à mon autre camarade de cellule, elle voulait partir, Jade semblait assez rude sur ce sujet la seulement de la défensive.pensais je. Jade ne voulait pas sautiller de joie alors qu'elle savait combien il était difficile de s'échapper d'une prison.

Je continuais mon dessin avec attention, cela rendait pas trop mal, j'arrivais à reconstituer un univers que je connaissais à merveille. Ma voix glaciale s'évanouit dans l'atmosphère, laissant comprendre quelques mots :

- A vue d'oeil, l'établissement nous fait un deux cents mètres en longueurs et cent en largeur. Le batiment en lui meme nous encombre que les deux tiers du territoire, le reste est la cours. Les murs sont d'une hauteur d'un mètres cinquantes, et les portes de quatres mètres. Ces derniers ne peuvent etre détruites à mains nues, meme si tous les prisonniers se joignent. Il est sans doute possible de pirater la boite à code, mais pour se faire il faudrait désactiver toutes les caméras qui se trouvent aux alentours. En sachant que rien que sur la porte il y a quatre objectifs, deux vers l'intérieurs, les deux autres sur l'extérieur, leur point mort nous est totalement inutile. Sur la porte du batiment il y a une caméra circulaire, elle nous décris la courbe d'un mur à l'autre et balayent la cour sur, je dirais une distance de trois mètres, peut etre jusqu'à cinq. Il y a, tout au long des murs vers la cours, une caméra tous les dix mètres. Soit, en version courte, s'échapper d'ici signifie etre l'homme invisible qui traverse les murs. Hors, aucune de nous l'est, je pense. Ou sont conservés les armes ? Jacob, vous etes ici depuis bien plus longtemps que moi je pense, pouvez vous compléter mon analyse que je sache exactement le plan de ce batiment, par la suite, je pourrais sans nul doute trouvez le terrain de fuite.

Je fus complètement ahuris de toute les paroles qui j'aillirent de sa bouche. Elle est là depuis peu et elle sait déjà tout ça. Je souris, elle serait une excellente allié. Elle est préparée, elle a évalué, elle est parfaite, elle sait à quoi s'attendre. Si je me range de son côté, nous aurons peut-être une chance de s'en sortir mais il ne fallait pas encore crié victoire.

Depuis bien longtemps? Pas tant que ça voyons...Je supose qu'il y a un plan détaillé de la prison qui nous serait utile mais si c'est le cas il est dans le bureau de la directrice, Bose. Les armes, les gardiens les ont sur eux ou dans leur chambre tout dépendant ã ce que j'en sais...Leurs armes en reserve, je ne sais pas ils sont où...Il y aurait aussi la possibilité de trouver une arme ou du moins un objet bien pointu à la limite dans la salle de torture qui se trouve au sous-sol...d'ailleurs je crois bien finalement que leurs armes en réserve ce trouve au sous-sol puisque l'endroit nous est interdit...Pour les caméras et la porte...J'ai quelque talent en piratage mais même en étant surdoué un tel systeme prendrait plusieurs heures à comprendre et nous serions directement arrêté par les gardiens. Mais je sais un bon point, les prisonniers sont bien plus nombreux que les gardiens alors ma théorie serait que l'union fait la force...Mais ça mettera en périle notre discretion par contre et on peut facilement évaluer le risque d'un traitre qui nous dénnoncerais...Je crois aussi qu'avoir un employé de notre coter serait en notre faveur mais proceder dans cette direction serait bien dangereux. C'est la seule info que je peux te donner à ce que je me souvienne présentement mais si quoi d'autre me reviens je te metterais au courant.

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