Pour manger

Au non!!!! Y'a deja trop de monde! Moi qui déteste attendre! Geniale... J'ai bien envie de passé devant les autre mais je vais encore me faire avoir par les gardiens qui surveille comme toujours...
J'ai l'impression à la maternelle meme si je n'y suis jamais aller. J'ai souvent vu les enfants se tenir comme cela à la cantine lorsque je passais tres vite devant les ecoles...
Bien sur je passais vite, une prostitué devant les école d'enfant, ca ne se fait pas meme lorsqu'on vient chercher de l'aide.

Enfin bref j'ai fais comme tout ces zombies, j'ai avançé avec lenteur afin d'aller chercher cette bouffe infamme qu'ils nous donnent...
Petit à petit en avançant, deux mecs se sont trouvé derrière moi, l'un deux m'a passé un main... Je n'ai rien dit, je n'avais pas envie de m'enerver tout de suite, alors que je venais de sortir de cellule d'isolement... L'autre c'est collé à moi, bien trop près de moi... Oh oui, trop près...
J'ai forcé le passage pour pouvoir passé devant l'autre garsqui était devant moi...
Entre mes dents j'ai laché:

-"y vont me lacher ces conna***..."

Je mit ma main de façon plutot brutale sur l'épaule de la femme qui tentait de me dépasser, personne ne me dépasserait, c'était peut-être enfantin mais je ne laisserais pas ma place dans cette prison. Et surtout que c'était une femme. Je lachai un grognement et je dis:

-Tu peux peut-être dépasser les autre connards derriere, mais tu ne me dépassera pas.

Je la fixais dans les yeux, voila que je commençais déja à chercher la bataille, mais quelqu'un qui aurait un peu de bon sens aurait fait comme moi ... Ont ne se laisse pas dépasser dans dans une prison.

Je lui lachai l'épaule et me retourna ensuite vers l'avant, je lui tournai le dos mais je n'avais pas peur d'elle, qu'elle m'attaque si elle en avait envie, elle se rendrait rapidement compte que je ne la ménagerait pas parce qu'elle est une femme ...

A c'est bien un homme celui là! Put** j'en reviens pas, tous les meme, si ce n'est pas l'un qui vous agresse, les autres ne fond rien pour vou saider! Mais ila vraiment rien compris!
J'en les deux autres qui rigolent comme deux debiles.. Je supporte pas qu'on me touche ainsi, du moins je ne suis plus obligé de la faire alors... J'ai sérrer les mains, et mes points n'avaient qu'une envie c'était d'attrérir dans la figure d'un de ces crétins...
Je me suis retourné vers eux et j'ai dit:

"-tu va me lacher conna** je suis pas ta pu** ok?! Alors ne me touche pas! Si non tu le regretera! "

J'avais qu'une envie s'était de méloigner d'eux j'allais encore finir en cellule d'isolement si ca continuait, et de toute façon, il n'y avait que des gardeisn masculin dans le self, ca n'allaient pas etre eux quiallaient prendre ma défence!!

Je roulai les yeux, et dit rapidement:

-...J'espere bien que tu n'es pas ma pute.

Si elle m'énervait, les autres hommes derrieres m'énervaient encore plus. Je me tournai rapidement vers eux et j'enfonça mon poing dans le visage d'un des hommes qui riait de joséphine. Jen e le faisait pas pour elle. Je ne ferais jamais rien pour elle. Mais j'en avais simplement assez d'entendre ces deux là et je n'étais pas d'humeur.

Je me retournai vers Joséphine et je dit d'un ton sec:

-Ferme ta gueule ... Et je n'aurais pas à te toucher.

De l'action, j'en venais presque à apprecier. Les duex autres hommes étaient partit un peu plus loin en arriere, l'un d'eux le nez totalement en sang. Je ne crois pas qu'un gardien m'ait vu lui casser le nez, ... Mais ils finiraient bien par me voir car je répéterait surement l'action.

Pour une fois, un homme faisait quelques chose de bien de ses mains, et en plus de ça, c'est lui qui aurai surment les ennuis et non pas moi. Ca c'est le point positif, de la façon dont il m'a parlé par contre ça s'est une autre histoire. Je n'appréie pas trop qu'on me dise de la fermer.
De la façon dont il m'avait répondu, ce mec à quelques chose contre les femmes qui vendent leurs corps, je suis prete à parier...

Sans un mot, j'avance derrière lui et prend le plateau que l'on me tend... J'ai une envie monstre de lui repliquer quelques chose mais j'ai bien trop peur de la cellule d'isolement...
J'ai envie de sortir dehors... J'ai l'impression de plus pouvoir respirer c'est affreux... Je desteste lorsque mon corps ne me repond plus...
Oh non mes mains commence à trembler de nouveau...
En plus de ça s'est dégueux ce qu'on bouffe... Géniale!!
Je prend mon plateau, et vais massoire là ou le gardien qui m'a ammener me guide. Ce salop était non loin de là tout ce temps et n'a rien dit...

Obliger de manger avec ce mec à coté de moi, je déteste qu'on me regard. Je déteste etre sous surveillance, c'est bon c'est pas par ce que j'ai défiguré la meuf de ma cellule quej e vais tous les tuer tout de suite! Je pense qu'ils ont toujours pas compris que j'étais claustro dans leur putin de cellule...
De la ou je suis je jet un regard sur le mec qui ma parler si violament, je ne le manquerai pas, son tour viendra... Je pense que si on était tous au courant de ce qu'on a fait pour etre ici, y'a plus d'un mec qui m'approcherai pas...

Je regarde la scène sans agir et sans dire le moindre mot. Ce type est de nature violente ça c'est clair. Pendant que l'homme se bat contre tous ce qui passait sur son chemin, moi je mange cettw nourriture infâme les regardant d'un oeil distret. Pendant que n'importe qui aurait été bouche bé...Moi je suis comme à mon éternel habitude...Je suis heureuse d'observer un peu d'action et de sang, mais je suis très difficilement impressionnable. Il ya des gardiens qui finissent par se pointer. Je les regarde arrivé puis je jette un oeil à mon compagnon de table...

t'es dans la merde.Dis-je à voix mi-basse. Je regarde denouveau les gardiens avec leur matraque...
-bonne chance...Dis-je dans un dernier souffle...Je repris une boucher de ma nourriture encore une fois...Je le regarde toujours du coin de l'oeil...Attendant la suite

(bon ma parti est terminé...)

J'avance parmis les autres gardes...Tenant ma matraque. Je n'accorde peu d'importance aux gardiens qui on été attaqué. Je regarde le prisonnier. Il a l'air un peu étourdi. Mais, on sait jamais...Peut-être pas assez...Alors qu'il me regarde avancer, il me lance un regard qui ne me plait pas beaucoup. Je lui donne un violent coup de matraque dans le dos. Il en tombe à terre. Deux autres gardes le relèvent en lui tenant les bras. Je le regarde d'un oeil amusé et quelque peu méprisant. À par pour la matraque je n'avais pas l'allure d'un gardien, on aurait pu me prendre pour le directeur ou autre...

-Je vous pris de coopérer et de retourner à votre cellule imédiatement sans discuter sinon vous aurez pire qu'un petit coup de matraque. Dis-je selon le protocole (fallait bien la jouer reglo de temps en temps) qu'on m'avait donner dans ce genre de cas. Je fis signes aus deux gardes de l'accompagner à sa cellule. Il y avait plusieurs autres gardes autour pour le maitriser s'il ne coopérait pas.

Je ne coopérais pas, malheureusement pour moi, et même si je le savais, je ne coopérais jamais. Je ne donnerais pas la satisfaction à ses gardes d'avoir pu me maitriser aussi facilement. Je donnai un sauvage coup de coude dans le front d'un des garde qui me maintenait et j'avançais rapidement vers celui qui m'avais parlé.

-Quoi donc? Dis-je d'une voix agressive.

Je ne restai pas devant lui bien longtemps. L,autre gardien me donna un bon coup de poing à la figure qui me brisa aussitot le nez. Je sentis le sang se répendre dans ma figure, je gémit un peu et essuya sommairement le sang qui me bouchais la vue. Le salopard, j'allais le tuer!

Je sautais sur le garde qui m'avait frappé et je me mis à le ruer de coup. Sans relache. Il eut rapidement le nez également brisé, mais il devait aussi avoir mal à la machoir et diverses parties du visages ...

Je souris...Non mais où il se croit? Comme s'il pourrait faire comme bon lui semble...Je lui arsena un autre coup de matraque encore plus violent...Puis un autre...et un dernier...Il est à terre. Avant qu'il ne se relève, je sors mon revolver et le pointe sur lui...Les quelques autres gardiens encore indemne me regardent. Chacuns d'eux sorte leur revolver à leur tour...

Inutile de jouer avec ma patience...


Je le regarde d'un oeil persant. Son nez saigne.

Je crois qu'il vous faudra peut-être passer à l'infirmerie avant de rentrer dans votre cellule...Je vous conseil sérieusement de coopérer...

Je pointe toujours mon arme sur lui...Je continu de sourire avec satisfaction. Où il se croyait? Il n'a pas la situation sous contrôle...JE suis seul maître de la situation. Esperons pour lui qu'il se tiendra tranquille cette fois. Les autres prisonniers dans la sale observe la scène...

Ne te ridiculise pas plus que tu ne l'a fait...

Je fais signe encore aux autres gardes de le raccompagner à sa cellule...

Je lachai un grognement puis je me laissai entraîner par les gardes. C'était bien la premiere fois que je ne pouvais pas terminer la situation à ma guise, je dis avant que les gardiens ne me guident vers ma cellule:

-Je n'ai pas peur du ridicule ... crois moi, Connard.

Je lui jetai un regard violent, je respirai rapidement, comment je pouvais m'empecher de lui sauter dessus, je n'en savais rien, ce n'était pas la douleur, alors ce devait être les gardiens qui me retenaient mieux cette fois-çi. Clairval devait s'amuser de cette altercation, et moi je n'avais aucune envie de retourner dans ma maudite cellule.

Je stope un peu l'avancée des gardiens et je les sens se raidir, je reprend la marche, je trouvais que les gardes avaient la main plutot légere sur leurs arme et je n'étais pas suicidaire, les matraques passaient encore mais les fusils je ne pouvait pas grand chose contre ça. Je maudissait interrieurement de ne pas avoir mon arme, j'étais un tireur extraordinaire ... Il n'y aurait plus aucun de ses fichus gardes en vie si j'avais eu une arme,

Je me laissais guider jusqu'à ma cellule sans rien dire.

Je suivis Carl de près dana la file d'attente pour le repas. Mais lorsque je vis qu'il commençait à s'emporter et qu'il s'emporta, je ne réagit pas. Je savais que ce ne serait pas bon pour mon dossier si je réagissais.

Je pris mon repas et vint m'asseoir à la même table qu'une jeune femme.

-Ce type a toujours tendance à s'énerver pour rien. dis-je en prenant une bouchée de mon repas, ma foi très mauvais.

Je regarde la jeune fille devant moi. Elle semble bien connaître le type. Il est facile à comprendre qu'il n'est pas de bonne humeur...Je ne pense pas qu'il aura de la difficulté à prendre sa place...Mais, malgré tout, il avait trouver des gardes qui sauront l'affronté.

C'est ce que j'ai cru comprendre...Tu le connais celui-là?

Je prends une autre bouché de ce repas décidément répugnant. Son goût comme son apparence était infecte. Je me demande qu'est-ce qu'ils mettent bien là-dedans...Probablement la première bestiole qui grouille dans la prison...Je pousse mon repas plus loin. Je n'en reprenderais plus...C'était répugnant et je n'étais pas encore assez affamé pour vouloir continuer à me nourrire de ce truc

Je souris à la jeune femme. Si je connaissais Carl? Quel question idiote!

-Je le connais plutôt bien! Aussi bien psychologiquement que physiquement, si tu comprends ce que je veux dire!

Je me rappela le souvenir de Carl et moi, dans un lit, profitant du moment présent. Ce genre de souvenir nous avait coûté cher!

Je pris une bouchée de la nourriture qui se trouvait dans mon assiette et grimaça. C'était encore plus dégoûtant que j'aurais pu me l'imaginer.

Alors ce specimen s'appelle Carl...Je la regarde un moment puis détourne les yeux. Je garde le silence pour finalement le briser denouveau.

Je me présente...Jade Jacob alias le Monster-Killer comme m'on surnommé les journalistes, mais peu importe...Et toi tu es?

Je lui parle sans trop d'interet mais il était quand même bien de se présenter. Je ne suis pas des plus polis mais je peux quand même me donner la peine de donner mon nom et de demander le sien...Il était peut-être temps d'avoir un peu de savoir vivre...Je regarde le mur au fond de la salle...Sans fixer rien de précis...On peut penser parfois que j'ai souvent la tête dans les nuages...Parfois c'est vrai et d'autre fois, une impression...Je regarde les autres prisonniers et aussi les gardiens... crutant leur visage un par un rapidement.

Au bout de cette table, je n'avais pas bougé d'un centimetre durant la bagard. Je me baladais deja avec des menottes partout à j'allais je n'allas pas risquer en plus de cela de retourner en isolement.
La démonstration de barbarie que venait de faire les gardres prouvait qu'ils étaient incapable d'agir seul face à l'un d'entre nous...
J'aurai aimer en réalité pouvoir moi aussi casser quelques nez, mais le regard noir du gardien qui était posté à coté e moi pour ma surveillance rapproché m'avait pésuadé qu'il ne fallait pas que je participe.
Le mec qui avait tout déclancher était un violent, un truc de fou! J'ai jamais vu ça...
C'est étrange mais j'ai eut comme l'impression de voir dans ses yeux la mme peur que la mienne...

L'oreille distraite et l'appétit coupé, j'écoutais distraitement ce que disait deux autres prisonnières au bout de la table... L'une d'elle paraissait connaitre le mec...

Je souris lorsque la femme se présenta.

-Monster Killer hein? Les journalistes t'ont choyé! Moi, je n'ai eu le droit qu'à Montre tout court!

Je pris une autre bouchée de mon horrible repas avant de me présenter.

-Je m'appelle Clairval. Juste Clairval, c'est bien assez.

Je détailla Jade un moment. Elle ne semblait pas avoir envie de parler, mais elle m'en avait donné le goût maintenant.

Je la regarde un instant. Je la cruste du regard. Elle semble jeune. Elle n'a pas l'apparence type du criminelle comme on en voit souvent. Mais, bien sûre, je suis déjà au courant des conneries qu'on véhicule dans les clichés.

Faut admettre qu'ils manque d'inspiration ces journalistes...Tu es ici pour quoi exactement?

Par reflexe, je continue la conversation. Mais, je me doute bien que ce ne sera pas trop ennuyeux. Après tout, parler avec d'autre criminelle qui ce sont mériter un aller simple vers la prison la plus prestigieuse qui soit ne pouve que suciter un minimum d'interet de ma par. Quelle chose horrible avait-elle pu faire? Ce sera la première fois que je discuterais avec une VRAI criminelle...Pas qu'une débutante pseudo-anarchiste qui a gaffé ou autre du genre. Parler avec des professionnelles ne peuent que m'en faire apprendre d'avantage sur ce monde, parler avec des gens qui on commit de VRAIS délis...

Je pris une autre bouchée de mon repas, l'avalant aussitôt, évitant ainsi d'avoir le goût horrible dans la bouche.

-Bavure militaire! Enfin... Eux ont appelé ça une bavure! Moi, je ne suivais que les ordres!

Je pris une gorgée d'eau. Elle était bonne, cela ferait changement.

-Et après, j'ai travaillé comme tueuse. À mon compte un moment, ensuite pour Benny Sacramento à New York, je ne sais pas si tu en as entendu parler. Disons simplement que cela c'est mal terminé!

Je souris. La femme devant moi était sympa. Un peu morne et terne peut-être, mais au moins, elle me parlait.

-Et toi? Qu'as-tu fait pour mériter le grand honneur d'être dans cette prison?

Une tueuse...Ça s'annonce bien...On devrait avoir quelques points communs. Je commence presque à la trouver sympa...Enfin "sympa"...

Sacramento?

Je réflechis à ce nom un moment. Ça me dit quelque chose en effet mais rien de très précis.

Entendu parler entre deux branches s'il on peut dire...Mais je n'en sais pas grand chose...

Je pense un instant à mes méfaits. À mes victimes et au sang qui coulait lors de leur meurtre. Un flash de la télévision ou encore des gens dans la rue qui parlait de moi. Tout mon passé à partir de mon premiers délis refire surface. C,était autant agréable que désagréable.

En ce qui me concerne disont que l'on ne m'a pas appelé le monster killer pour rien. On m'a accusé de 20 meurtres prémédités...Enfin tout ceux qu'ils ont réussis à prouver en tout cas...

Je réfléchis encore...Au type de tout a l'heure...C'était quoi son nom? Charles...Euh non, Carl, oui c'est ça.

Et ce Carl...Le connais-tu par tes crimes par hasard?

Je détourne mon regard de Clairval une seconde. Mon regard était sur l'autre fille, je la scrute du regard mais pas plus que quelques secondes. Puis, je porte denouveau mon attention sur Clairval.

Je hocha la tête en écoutant parler la jeune femme.

-Meurtres prémédités? Génial! Je suis trop impulsive pour en avoir fait! Je préfère être payé!

Je souris et engloutit une grosse bouchées de nourriture. Je commençais à ne plus trouver ça si mauvais. Je me souvenais d'avoir mangé pire lorsque j'étais dans l'armée.

-Et ce Carl...Le connais-tu par tes crimes par hasard?

Je fis un grand sourire espiègle.

-Il t'intéresse? C'est un connard! Le pire! Je travaillais avec lui... et d'autres gens. C'est avant tout, un tueur et un détesteur de femmes! De prostituées surtout! Je n'ai jamais compris toute l'histoire, et je ne vais pas te conter ce que je sais mais bon... Ça doit être terrible de se faire trahir par quelqu'un qu'on aime!

Je ne précisa pas que j'avais fait la même chose. J'avais trahie beaucoup de gens dans ma vie. Je devais en avoir blessé plusieurs.

Je termina mon assiette et mon verre d'eau et m'étira.

-Y'a moyen d'avoir des cigarettes dans cet endroit? Si je ne peux pas baiser pendant le reste de ma vie, j'aimerais au moins pouvoir fumer!