De retour a la maison...

Je me suis faite escortée par deux balourds de gardiens qui mangeait sans cesse.J'ai été balotée d'une prison e France a celle-ci.Tout le voyage je n'ai cessé de Fusiller du regard ces deux lourdaux.L'un deux m'a adresser a parole:

"Vous en voulez un Madame...?"

J'ai aussitôt repliquer.Je ne suis pas "Madame".Je deteste qu'on m'appelle "Madame".De tute manière je vois pas pourquoi on dois appeler ls Femmes "Madame" sans savoir si c'est "Mademoiselle" ou non.

"Mademoiselle."

Ma voix est sèche et froide en même temps.Celui qui m'en a proposez de son truc gras la,me regarde avec un haussement d sourcil e retourne a son repas,très peu sain.Le deuxième Homme me fixait de sn petit regard incomprehensible.J'aurais tellement vouu lui sauter au cou et l'etrangler pour qu'il arrete de me scruter.Il me regarde toute entière et n'oublie aucun detail.Son regard petille tellemet que je ne peut m'empecher de lui decochr une gifle des deux mains.De plus avec les menottes,il a du avoir bien mal.Satisfaite je detourne le regad avec un sourire.
Le Premier Homme,intervient immédiatement et me plaqueau fond.Il me regarde et e sens son souffle sur moi.Il m'a attrapper...Je le repousse avec mes mains et lui donne un coup de pied.Les gardiens restent donc asez eloignés de moi.Tant mieux.

Je suis donc devant les gigantesques portes de la prison allemande:Sadismus.Rien que son nomme plait.Un sourire en coin s'imprime sur mon visage pâle.Menottée,j'attends aux devant,pendant que les gardiens discutent de leurs dernières rencontres avec les detenus.J'espère ne pas tomber sur des vicieux et incontrolable mecs.

Invité

Il faisait chaud en cette après-midi qui, pour certains, était géniale, moi je m’en fichais. J'étais dans une petite cellule d'un poste de police en attendant qu'un véhicule vienne pour m'emmener à cette fameuse prison de Sadismus. Cette prison, dans mon monde, tous la connaissait et la redoutait. Moi, je n'avais aucune peur, aucune tristesse, aucun sentiment face à elle qui m'attendait si impatiemment, ce que j'éprouvais était indescriptible. Oui, je ne savais pas si j’étais plus contente qu’indifférente. Je n'étais peut-être pas assez réaliste pour vois que cette prison rimait avait danger dangereux, un danger que je ne pourrais peut-être pas éviter. Quand je pense qu’il y a encore un an je courrais les rues à la recherche de pigeons... Je soupire. C’était ennuyant ici. J'espérais et priais le destin pour ne pas avoir à subir ses chaînes trop longtemps, en fait, moi aussi j’étais impatiente d’arriver dans cette prison.

J'attendais donc, assise cette cellule avec un autre homme, déprimé, assassiné par la vie, dégoûté de ses actes qui, il me semble, ne sont peut-être pas sa fierté. Moi j'étais plutôt contente de ce que j'avais fait et ne regrettais rien du tout, j'étais née pour le crime, l'arnaque, le trafic et tout ce qui suit. Ma vie, je voulais la consacrer à ça et faire mes loi pour moi, mes commandements sans que des p*tins d’flics ne me pogne la tête avec leur justice, les dominer et gagner enfin la liberté de faire ce que je veux. Mais bon, la vie est faite de misère et on ne réalise pas forcément nos rêves, surtout quand ceux-ci ressembles à des contes de fées. Et puis tout le monde sait que ce qui arrive dans les contes de fées n’arrivent jamais dans la réalité !

Les mains attachées par des anneaux de fer et de chaînes, assise sur un banc de bois froid, entourée par des murs gris, craquelés par la vieillesse et les pieds sur un sol de pierres poussiéreuses, ma tête appuyait contre le mur et mes yeux fermés, noyée dans mes pensées, j'attendais patiemment que quelqu'un vienne me chercher pour m'emmener à Sadismus, la prison la plus terrible dont je ne comptais pas du tout essayer de m’évader, non je laisserais passer mon temps comme il passerait sans ces murs des pierres.

J'entendis un bruit de pas s'approcher, suivit d'un bruit de clefs, j'ouvris mes yeux doucement et me levai délicatement, un gendarme venait ouvrir la porte en barreaux de fer froid, presque congelé, pour me prendre. Il me fit signe de venir, il me regardait avec des yeux vicieux et intéressés, je ne fis que soutenir son regard en arquant un sourcil, j'avançai sans dire un mot, seule avec moi-même. Il me prit par le bras puis me poussa vers la sortie. Dehors, cinq policiers armés avec un gilet par-balles m'accueillaient. J'étais ravie et fis un sourire satisfait avant que deux hommes viennent me prendre à leur tour. Ils me poussèrent dans un fourgon noir blindé en me disant de monter. Après, ils montèrent à leur tour puis s'essayèrent. Je fis de même. Dans le fourgon se trouvait déjà un autre homme, prisonnier lui aussi, il avait les mains et les pieds menottés. Il devait vraiment être dangereux pour qu'il ait les pieds menottés. Il était lui aussi assit entre deux gardes. Allait-il à Sadismus ? Je n'en avais vraiment aucune idée, tout ce que je sais c'est qu'il était loin d'être un homme très fréquentable. Il me fixait avec des yeux rouges et avec un sourire malicieux, une expression assez cruelle. Je le regardais moi aussi, je me demandais ce qu'il avait bien pu faire pour atterrir dans ce fourgon avec moi…

Le fourgon démarra et soudain, après quelques minutes, je ne sais pas pourquoi, il se leva brusquement en essayant de m'étrangler. Les gardes le retenaient avec difficulté, je m'étais reculée mais il arriva quand même à saisir mes cheveux qu'il tira. Le fourgon bougeait dans tous les sens, d'un coup je fus projeté sur la porte qui s'ouvrit, je tombai par terre, sur le bas côté et faisaient des roulades. Sur le coup je m'étais évanouie, ce n'était étonnant, je venais de tomber d'un véhicule qui roulait à 90Km/h.

Peu de temps après, environ une bonne demi-heure, une personne me secoua et je me réveillai doucement. J'ouvrais mes yeux à moitié, j'étais complètement sonnée, je voyais complètement flou et ma tête ainsi que tout mon corps et mes habits étaient écorchés. Que m'était-il arrivé ? Sur le coup je n'en avais aucune idée. La personne me porta et m'allongea dans un fourgon. Celui-ci démarra. Je repris mes esprits peu à peu. Mes mains étaient toujours menottés, la personne qui m'accompagnée étais un gendarme. Evidemment cela étais trop beaux de croire que c'était une charitable personne qui allait me libérer de mes chaînes ! Je soupira très fort, laissai ma tête tomber sur la banquette où j'étais allongée puis amenai mes mains sur mon front. J'avais mal à la tête !

Une ou deux heures passèrent quand le fourgon noir entra dans une sorte de grande forêt à peine dégagée. On roulait sur un sentier avec plein de trous, c'était assez désagréable, je me relevai pour m'asseoir puis m'accrochai à une poignée qui était en haut pour éviter de trop sauter, c'était désagréable. Je regardais par la fenêtre noircie ce qui se passait à l'extérieur, apparemment rien. Mais où est-ce qu'ils m'emmenaient ? Dans cette forêt on ne voyait pas un oiseau, un animal sauvage ou même un petit insecte, ça foutait vraiment les boules ! Le fourgon s'arrêta. Le chauffeur vint ouvrir la porte. Je descendis, une grande porte d'au moins quatre mètres de hauteur surplombait un grand mur de trois mètres de hauteur. Cette prison, je ne l'avais jamais vue, cela ne ressemblait pas du tout à ce que l'on pouvait trouver sur les photos d’autres prisons, c'était bien pire que tout ce que j’aurais pu voir ou imaginer, soudain j’avais la chair de poule... Le gendarme qui conduisait le fourgon rentra et le fourgon parti. Ils me laissaient là toute seule. Ils étaient idiots ou quoi ? Je n'étais pas idiote moi, enfin presque, je regardai la porte puis me retourna et commençai à partir quand soudain une balle traversa mon regard pour atterrir sur le tronc de l'arbre qui se trouvait juste à deux centimètres de moi. D'accord, sur ce coup là, c'était moi l'idiote. Disons qu'au moins j'aurais tenté ma chance. Je me retournai comme un robot et accourai devant la grande et majestueuse porte de fer et de vieux bois. Là je remarquai des gardiens avec une femme menottée, cerrtainement une détenue. Je lui souri puis me présente :

- Salut ! J’m’appelle Raven.

Quoi ? j’ai pas le droit d’sympathiser ?? Je me demande quand est-ce qu’ils se décideraient à venir ouvrir cette porte, rester planté là sachant que des snipers étaient près à nous flinguer c’était pas rassurant du tout ! Je regarde autour de moi en me tournant doucement. Ici, on dirait qu'il n'y a aucune vie, je n'entends aucun bruit ce qui assez frustrant j’dois avouer. Je commence à m’impatienter. Avant je n'avais jamais pensé que je voudrais autant rentrer à l'intérieur de ces murs, surtout ceux-là !

Je pense et reste la debout,a regarder ces grandes portes de fer.Quand est-ce qu'il va me laisser entrer...?Le vent derange mes cheveux coiffés.J'ai horriblement envie de rentrer et decouvrir cette prison mais j'ai également envie de savoir qui peuple cette prison.Il n'y'a absolument rien autour de Sadismus.Rien qui puisse developper une source d'inspiration pour mes récits.Je pense a ma fille.a fait plus d'une semaine que je n'ai recu de lettre.Je m'inquiète pas trop,je sais qu'elle s'en sors.Sinon je ressentirais une boule au ventre et j'aurais des bouffées de chaleurs.Je sens les regards des Gardiens derrière moi et ca m'enerve alors je me retourne et leur imposeun choix:

"Soit t'arretes de me regarder,soit j'te casse la gueule."

Un des gardes me regarde bizarrement.Il me detail de tous les cotés.C'est deja le deuxième homme qui me scrute aujourd'hui!Qu'est ce qu'ils ont tous!Mon regard devient persant et rageux.Je lui alors quelques mots sur un ton froid et distant:

"Qu'est-ce-que tu m'veux toi?!"

Il detourne son regard et je fais de même.C'est alors qu'arrive un fourgon blindé noir et en sors une jeune femme et plusieurs Gardiens.Ils la laisse seule devant les portes et le fourgon repart.Elle m'adresse alors la parole et se presente sous le nom de Raven.Joli prénom.Mais mon comportement insociale se mélange a ma politesse pour lui repondre:

"Abygaël.Tu m'a l'air bien jeune pour la prison."

Ses vetements étaient déchirés de partout et sa figure,barbouillée d'égratignures.Que lui etai-il arriver?Mais je ne suis pas une grande curieuse lors je laisse ma question en suspension e fixe les portes,mes cheveuxtraversant mon regard.

Invité

La femme se présenta. Abigaël. Ca n'avait pas l'air d'être un prénom du coin, je n'savais même pas qu'il existait celui-là ! Remarque il y en avait tellement. C'était surtout ces Asiatique qui peuplaient le monde des prénoms, genre si on nait là-bas on peut se retrouver avec un nom genre Sukoyu ou Nikashi enfin pleins de trucs à moitié inventés. Il suffisait que ça n'ait pas de sens puis ça faisait un prénom ! Au moins ils avaient l'embarra du choix !

Elle me fit remarquer que j'étais un peu jeune pour la prison, j'étais tout à fait d'accord avec elle. Je mis mes cheveux en arrière pour éviter de les avoir dans les yeux puis lui réponds :

- Les dit 'gardiens' de la justices ne pensent pas comme toi ! Mais au moins je sais que j'aurais toujours quelque part où dormir et de quoi manger.

Je me tournai vers les gardes qui nous observaient du coin de l'oeil. L'un se caressa la lèvres supérieur en me regardant droit dans les yeux. Même pas séduisant le type ! J'arquai un sourcil puis lui fis un sourire. Ensuite je me tournai vers Aby pus lui demande disrcétement :

- C'est normal que des pérverts nous mates au lieu de nous surveiller ?

Ca ne m'aurait pas gêné s'ils étaient beaux mais là... C'était vraiment pas la peine ! Ils faisaient plus que pitié et me dégoûtaient ! C'était genre les gas qui bavent devant des images de seins dans les magasines, des vrai lopètes qui s'la raconte parce qu'il ont croisé Britney Spears dans un magasine porno. Enfin sans dessein quoi. Je m'attendais pas à mieux de toutes façons, je sais que les prisons isolées sont surveillées par des gardes corromput à 95%, mais de là à ce qu'il n'y ait que des raisins qui passent tout leur temps dans les trous à crouser des pétards, il ne fallait quand même pas abuser !

Je sens bien les regards lourdaux des gardiens sur nous.Cette petite me fait penser a ma fille.Ma fille est caractérielle,determinée et Optimiste.Elle sait se contenter de ce qu'elle a et a toujours le même point de vue que le mien.C'est pratique losqu'on doit aller nous venger.Si j'avais pu lui viter de vivre une tlle chose,je me serais même sacrifiée pour elle.
Millyana.Drôle de prénom n'est-ce pas?Mais je l'adore.En plus elle est magnifique.Non je ne me vante pas.Je ne suis absolument vantarde,je suis seulement fière de ma fille.

"C'est clair...Mais j'te previens,c'est pas la belle vie."

De plus cette prison est reputée pour son haut taux de violence et de perversté.Il y'a surement des sadiques et des Maniaques en tous genre.J'ai entendu beaucoup de chose sur Sadismus.Mais j'ai envie d'y aller.En rompant le silence,Raven me demande si c'est normal que les gariens nous scrute soustoutes les coutures au lieu de nous surveiller.Je suis sûre que si nous nous en allions,ils nous regarderaient patir sans rien dire.Juste parce qu'ils ne s'en seraient pas rendus compte.Alors je me retourne et m'approche des Gardes en disant a Raven:

"Na,c'est pas normal du tout."

Je suis a deux centimètres des gardiens qui me regardent bizarrement.L'un deux m'adresse la parole.Je ne l'ai pas vu dans le fourgon,il a du descende de celui de Raven.

"Vous voulez quelques chose ma P'tite Dame...?"

Grosse erreur.

"Mademoiselle."

Il me regarde bizarrement et hausse les épaules.Je lance alors a celui qui nous reardait.

"J'aimerais que vous arretiez de nous regarder sans cesse."

L'Homme me regarde et igole.Je hausse les sourcils.J me trouven état de calme total comme a mon habitude.Alors je m'approche doucement et lui replique sur un ton glacial.

"C'est une exigence."

Il s'en va.Un peu plus et je l'aurai gifler.Le autres me egarde l'air de dire "Ow la la,rebelle hin.".N'importe quoi.Je suis quasi-sûre que l'autre homme mijote quelques chose pour m'humilier ou humilier Raven.Si un jour il ose nous toucher,c'est moi qui l'humiliera.

Enfin,je retourne près de Raven et lui dit:

"Y'en a beaucoup de ce genre."

Invité

Je savais bien que la vie n'y serait pas aussi facile qu'à l'extérieur ou que dans n'importe quelle prison, c'était Sadismus, un tout autre monde que la plupart des gens craignaient, du moins ceux qui avaient quelque chose à se repprocher. Aby avait l'air de bien s'y connaitre, avait-elle déjà fait un séjour dans cet enfer ? Je me retenais de toute question qui pourrait paraître personnelles.

Je lui demandais juste la raison pour laquelle les gardiens nous regardaient. Elle se dirigea vers eux en disant que non, ce n'était pas normal et elle n'eut pas de mal à en renvoyer un, un que j'avais déjà vu, il devait certainement être arrivé par le fourgon qui m'avait amener jusqu'ici, je ne l'avais même pas remarquer ! En fait ils avaient tous à peu près la même tête camouflés dans leurs uniformes. Je regardais Aby agir, elle était convainquante, une très bonne qualité. Certainement pas la seule qu'elle devait avoir. Elle finti par revenir vers moi puis me déclara qu'il y en avait beaucoup de ce genre. Je dirais plus qu'il y en a beaucoup des comme ça.

- Ca à l'air d'être plus une généralité qu'un genre.

Un garde rapliqua puis mit sa main sur mon épaule pour me retourner, ensuite il me lança :

- T'as un problème beauté ?

Le pauvre, à peine qu'il a finit sa question je ne pus me retenir de lui mettre mon coude dans sa figure, et oui étant menottée j'pouvais pas faire grand chose ! Et puis depuis le temps que j'en rêvais ! On pouvait tout faire sauf me toucher en m'appelant 'beauté' quand on est un gardien de prison ! Mais dommage, je n'avais pas frappé assez fort pour l'assomer, il prit mes mains et sorti d'autres menottes pour m'attacher à un barreau de la porte. Puis il me dit à l'oreille :

- J'adore les filles attachées...

Il me lècha l'oreille, non mais je rêve là ? Vive la perversité ! Je sais pas pourquoi mais soudain je regrettais la petite taule d'alclochards où j'étais avant... Le garde s'écarta pour enfin lancer un regard provocateur à Aby, puis il rejoingnit son collègue un peu en arrière.

J'commençais à en avoir marre d'attendre, de plus qu'on m'avait doublement attaché, c'était pas cool. Sur ce coup j'aurais bien voulut une petite aide d'Aby, mais vallait mieux qu'elle se tienne tanquille si elle ne voulait pas se retrouvée attachée elle aussi.

- Bon ils pourraient pas se dépêcher à l'intérieur ?!

Je pense a ma fille en même temps que je discute avec Raven.Elle me fait quand même beacoup penser ma fille.J'aurais voulu lui offrir une autre opportunité de devenir quelqu'un.Pas quelqu'un de reputer pour ses meurtres mais pour ses études et ses charmes.J'aurai voulu lui doner une autre vie que celle de savoir sa mère en prison.

Mais ma rage a tout vainc et elle a pris le même chemin que moi.Je ne dit aps que jeregrette mescrimes.Alors la mes tits gars vous pouvez allez vous faire cuir un oeuf!Je ne regrette absolument pas tous ce que j'ai fais.Si je pouvais le refaire je ne me generais pas.

Mais je regrette 2 choses:Ne plus sentir le gout du bonheur de la tendre enfance et de voir ma vie brisée a cause d'un viol.Ma memoire se compose de centaines de morceaux de ma vie.Mais je me souviens très bien de la soiré du viol.Et je ne peut effacer cette scène de a mémoire.J'ai deja voul me tuer.mais j'ai resiste pour ma fille.Oui je sais,c'est attendrissant n'est-ce ps?Et bah allez vous faire cuir un deuxième oeuf!

C'est alors qu'un des gardes s'approche de Raven et lui parle très impoliment.Quel pervers!Mais je n'ai pas le temps de faire un pas quand Raven lui donne un coup de code fulgurant dans la tete.Un sourire s'imprime sur mon visage.Mais le coup n'est pas assez fort pour assomer le garde et il l'attache,lui parle et ...lui lèche l'oreille!Puis il s'en va me lancant un regard remplit de provocations.

Raven me parle,mais je n'entends pas.Je fixe intensément le garde d'un regard glacial.J'ai envie de le tuer.Mais je n peut absoluùment rien faire.Alors je m'approche et lui lance une phrase sr un ton plus froid que je ne croyais.

"Tu recommences a la toucher,a me provoquer,a nous regarder.Et ca va mal aller pour ton petit derrière de connard."

Il s'approche de moi.Je bascule ma tête sur la droite et attends mais un autre garde le retient de ma toucher.Un des 6 hommes regardent nos dossiers.Il semble horrifié devant ses lectures.Je retourne auprès de Raven.Il nous regardent avec son air vicieux.Si je pouvis l'achever,si je pouvais le fraper et le faire souffrir;je f'rais en srte qu'il soit près de Raven et moi.Pour avoir sa vengeance.

Invité

Aby n'avait pas l'air de m'écouter et je m'en moquais, c'était juste une remarque sans utilité. Je la regarde s'approcher des gardes, elle avait l'air sur les nerfs ! Nan franchement ils ne vallaient pas la peine qu'on s'occupe d'eux, même si à y réfléchir... leur régler leur compte est tentant, très tentant... J'eue un sourire lorsqu'elle sorti sa remarque, elle avait de mener les gens à la dure. Le garde s'approcha d'elle mais son coéquipier le retenait, je sourie et lui dis :

- Comme c'est mignon, il a peur que son collègue se fasse tuer par une femme, c'est beau la fraternité !

Je m'attendais à ce qu'il débarque pour me frapper mais il devait certainement voir que même attaché je pouvais faire mal, et puis sous la menace d'Abygaël... C'était déconseillé de bouger le petit doigt !

J'étais étonnée qu'elle prenne ma défense comme ça, on ne savait que nos prénoms, qu'on était destinée à l'enfer et c'est tout, pourtant elle me protègeait comme si j'étais quelqu'un, je n'avais jamais vu un détenu prendre ma défense, dans mon ancienne prison, déjà il n'y avait que des filles, et elles faisaient toujours des plans pour m'humilier ou me défier, bien évidemment j'ai dut en tabasser une vingtaine en un an mais ce n'était qu'un détail parmit tant d'autres.

J'en avais marre d'être doublement attachée, c'était chiant, j'voulais bouger, ça commençait à vraiment m'énerver. Je savais que ça ne servait à rien mais j'ai tiré un bon coup sans pour autant espérer un miracle, là-haut ça faisait bien des lustre qu'il m'avait abandonné, du moins ça en avait tout l'air. En fait ça avait été comme un réflexe. Alors je demandai au garde :

- Bon maintenant tu m'détache ou tu compte me laisser moisir ici ?

*P'tit con.*

Heureusement pour moi que je tenais à peu près ma langue, si j'avais pronnoncé le dernier mot il ne m'aurait sans doute pas détaché avant qu'Aby ne lui reface le portrait. A ma grande surprise, il s'avança vers moi en regardant Aby du coin de l'oeil. Puis il me dit :

- Bien sûr chérie !

Non mais là c'était presque trop, je lui lançai un regard plus noir que jamais mais il avait de la chance qu'on soit entourés et que je voualis vraiment être détachée, mais la prochaine fois j'le raterais pas. Il passa ses bras autour de moi puis posa son menton sur mon épaule, il détacha les menottes. Je lui chuchotai :

- Te la joue pas trop, Aby n'a pas l'air de bonne humeur et moi non plus.

Le garde souria puis retourna avec le garde qui lisait les dossiers, il savait lire lui ? Je frottai mes poignets qui me faisaient mal, j'avais de grosses traces rouges, j'finirais par pisser l'sang si personne ne vient nous chercher ! Je rejoignais Aby puis sans faire attention aux regards persistants, je lui déclare :

- T'as bien raison, c'est vraiment l'enfer ici.

Je soupirai, franchement je me demandai bien de quoi j'allais mourir dans cette prison. Viol, violence, maladie, vieillesse, suicide, il y avait beaucoup de possibilité et la liste ne faisait visiblement que s'allonger...

J'adore la petit reflexion qui tue de Raven.Mais c'est vrai que j'avais enormément envie de lui refaire la tronche.Mais je me stoppe net en realisant un truc: Je prends la défense de Raven comme si c'était... ma fille.Je ne fais même plus attention a rien.Je fixe mon regard au loin.Je n'arrete pas de parler de Millyana je sais,mais je ne peut m'en empecher.Je ne sais pas pourquoi je réagis comme ca quand un garde touche Raven ou lui parle comme si elle tait une Prostituée des bas Quartiers de San Fransisco.Puis Raven me sortit de mes pensées en s'adressant au garde en lui donnant l'ordre de la detache.

Trop c'est Trop demander d'avoir un PETIT PEU DE RESPECT!
Mon visage est bouillonant de rage et de haine.Mais je ne suis qu'enerver,pas en colère-colère.En colère-colère,il serais deja mort et torturés.

"Connard!"

Que je suis vulgaire...Raven se frottait le poignet.L'homme s'eloigna et nous regardant d'un air pervers.J'ai un mal de crane pas possible et me crispe.Personne ne doit m'approcher,personne!! Mon visage se crispe d douleur et je porte mes mains a mon visage.

Le garde s'approche...Vous savezc e connard la?Il s'approcha de Raven et commenca et lui caresser les poignets.Mon mal de crane s'intensifie.Puis il lui pince les fesses...

"TU VAS VOIR!!"

Je lui sautait deja au cou et il etait par terre.Avec mes deux mains attachées je lui fracassait la tête.Mais je faiblis car j'ai mal au crane et me releve,soulevée par les autres garde...

[a twa la suite xD]

Invité

Aby était vulgère mais je n'étais vraiment pas mieux ! Lorsqu'elle porta ses mains à son visage, je compris qu'elle avait quelque chose et je ne fis pas attention au garde qui s'approchait de moi. Je sursauta lorsqu'il me toucha les mains et voultu le gifler lorqu'il me pinça les fesses, mais Aby avait sauté sur lui comme une yène (j'sais pas comment ça s'écrit). Je m'étais reculé de trois mètres ! Les autres la relevèrent puis ils la tenaient, ils la tenaient fort. Le gas à terre se releva non sans mal, la tête en sang. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que ça allait être pour ma pomme...

Il se leva puis gifla Aby qui était tenue par les autres. Ensuite il s'avança vers moi. A chaque fois qu'il s'avançait, je reculais. Avais-je peur ? Non, j'étais sereine. C'était peut-être ça le pire. A un moment, je rencontrai le mur. Mauvaise rencontre. Il s'approcha un peu plus puis prit mon visage dans ses mains. Il m'embrassa, enfin si on pouvait appeler ça comme ça... Et je portai violemment mon genoux à ses bijoux de famille. Il se plia en deux en me traitant de tout les noms du monde.

Je souriai, mais deux hommes lachèrent Aby, on va dire qu'ils étaient tous sur elle et la pauvre ne pourrait plus respirer à force ! Les gardes me tenaient aussi fort qu'ils avaient peur.

Abygaël et Raven, le duo choc !^^ J'étais comme contente de voir ce pervert au sol, et j'espérais toujours qu'on vienne nous ouvrir... Je regarde Aby, je voulais qu'ils la lâchent plus que moi, qu'il la laissent tranquille, elle ne faisait rien de plus mal que les intentions de ce gas. Pfff... C'était vriament l'enfer ! J'entendais les gardes me parler, mais je ne les écoutais pas, je ne déchiffrais même pas ce qu'ils me disaient, je fixais Aby.

Je me debattais comme une tarée.Vraiment.Mes cheveux volaient en tout sens.Le mec etit bien ammoché.Et moi qui avait toujours un mal de crane horrible.Mon cerveau tambourine dans ma tête comme si il etaitla proie d'une araignée.Les gardes me detruisaien les bras.
Le garde que j'avais presque terminé,se releve et me gifle.Je me stppe net.

Comment a-t-il osé...COMMENT A-T-IL OSE ME GIFLER!Mon regard devient le plus meurtrier qui soit.En plus.IlS me touchent.ILS posent leurs mains perverses sur moi.Mais je ne reagis pus a rien.Les gardes peuvnt me secouer je nereagis plus a rien.Lepire c'est que je vois l'autre homme embrasser Raven.La rage bouillonne en moi.Mais je ne bouge pas.Je suis comme paralysée.Mais je vous jure que je ne sens ABSOLUMENT rien.

Les gardiens me parlent,me secoue,me donne des gifles.Mais rien du tout.Rien.Puis on regard se plante dans celui deRaven.Je lis ses emotions comme elle lit les miennes.Mais je ne bouge pas.Pourtant je hais ses mains sur mes bras!J'ai peur de ce qui m'arrive...Une goutte de sang s'echppe de ma narine gauche mais je ne fais rien.De plus,l'homme pervers s'approche de moi...

Il me regarde.Et moi je ne fais rien.Je sais qu'il va en profiter.Je le sais pertinnement.Mais je ne peut même pas parler.C'est dingue ce qu'une gifle fait de moi!Mais,sans l'ombre d'une hesitation,le gardien s'approche et me ramene a lui d'une manière peu gentleman...En plus je ne peut même pas le gifler,je suis tenue par ces deux abrutis.

"Alors ma belle...On se rebelle?"

Le "ma belle" effectue un déclic en moi et je lui reponds immediatement:

"Ote tes sales pates de moi,salopard."

Son regard en dit long.Ses mains parcours mon dos.

*EEEEEUUUUUUUUUURKKK*

Je n'ai qu'un seul moyen de defense,m'attaquer a son enre-jambe.J'ai vu Raven faire...Alors je lui pique un p'tit plus héhé. (xD).Il se plie en deux.Il a le visage rouge de douleur tandis que moi exprime une satisfaction complète.Mais j'en ai pas fini avec lui.Je m'approche tandis q'il est par terre et...Lui ecrase la main avec mon talon.J'ai tellement envie de le faire souffrir,qu'il ne me retouche jamais de ses mains crasseuses.

Les gardes essaient de me tenir mais j'arrive sans peine a me détacher de leur etreinte.Je me frotte les bras et rejoint Raven.L'homme est par terre et se crispe de douleur.Mon regard lui lance des éclairs.

"Merci de m'avoir rappeler le coup de genou,Raven."

Invité

J'essayais de me délivrer de leur etreinte, je ne voualis pas qu'il touche à Aby, il n'avait pas le droit m*rde ! Mais plus je me débattais, plus c'est c*nnards serraient. J'abandonnai cette idée lorsque Aby lui mit un coup là où je lui avais mit. Si personne ne me retenait, j'aurais applaudis ! Elle lui écrasa la main avec son talon et lui criait de douleur, j'arquai un sourcil en affichant aussi un regard de satisfaction. Il n'avait qu'à pas jouer le mâlin celui-là !

Aby revint vers moi tant dis que les gardes qui me tenaient rejoignaient leur collègue pour le relever. Je crois qu'ils avaient comprit maintenant qu'il ne fallait pas s'attaquer à nous ! Aby me remercia de lui avoir rappeler le coup de genoux, je lui souris en disant :

- De rien. Se sont des bases !

Enfin, je croise mes bras en défiant du regard le garde complètement détruit. J'espère pour lui qu'il n'avait pas pour projet d'avoir un enfant, avec ce qu'on lui a mit... Il avait peu de chances dans avoir !^^ Et puis il vaut mieux que les pérverts ne se multiplis pas.

Je me demandais si ils allaient faire remarquer ces icindents à leur supérieurs, c'est vrai, ça pourrait être tout bénéf' pour eux, c'était leur parole contre la notre, et dans ce monde, je ne crois pas que la notre soit très persistante, ce qui est énervant c'est qu'ils auront toujours le dernier mot. Je suis persuadée que ce qui se trouve derrière ces murs sont tels qu'on n'aura pas le temps de mourir de vieillesse...

Je souris a Raven..Quoi,je souris?Je souris quand e tue.Je souris a ma fille.Je souris a la mort..Mas je ne souris a ersonne d'autre que Millyana!Au fonc de moi,je panique.Mais qu'est-ce qui a changer chez moi??!! Est-ce que ce stupide sentimentalisme féminin ce serait emparé de moi?Mon visage se change en marbre.N'exprimant aucunes émotions.Bon,il faut bien que je parle a Raven non?Que je lui dise pourquoi une meurtrière,fière de l'être et sans remords se demande pourquoi elle sourit a une jeune fille rencontrée aux devants d'une prison?

"Raven.Je crois comprendre pourquoi je prends ta défense comme je ne l'ai jamais fait auparavantTu me rappelles ma...Une personne très chère por moi de ce qui reste de ma famille."

Même a Raven je ne dirais pas a qui ele me fait penser.Sauf si un jour je suis vraiment decidée a le faire.Mon visage laisse a dire qu'il ne faut pas poser de question.Enfin,maintnant que je lui ai dit,jesuis un tout petit peu soulagée.

Pendant que je me reconforte,le garde que nous avions tabassé se releve difficilement en se tenant l'entre-jambe.Je le fixe avec un regard qui veut dire en gros ; "T'approche pas,a moins que t'en reveut."Je suis si satisfaite de l'avoir fait souffrir!Enfin,nos dossiers refermés,j'attends patiemment qu'ils nous ouvrela porte.

[j'ai lu en diagonal... J'ai la flemme de chercher, c'est quoi vos numeros de cellule ?]

Deux détenus en même temps ! Deux nanas en plus ! Pourquoi c'est à moi de faire ça ? Franchement ! On dirait que j'ai été embauché pour faire portier ici ! Que je squatte la salle des tortures et que je me tappe les prisonniers ne semble pas plaire à tout le monde. Bah, qu'ils aillent se faire voir, ils sont juste frustrés. Moi, je prends mon pied... De toutes les manières possibles ! Mais des nanas... quand même ! Un beau même, j'aurais rien dit... Je soupire en allumant ma clope alors que je traverse la cours. D'un geste brusque, j'ouvre la grille et me retrouve face à mes deux colis... Et ce que je vois derrière elles me ferait rire dans d'autres conditions...

"Putain ! Vous êtes pas capables d'escorter deux donzelles sans vous faire tapper dessus !"

Je passe entre les prisonniers sans leur accorder un regard et m'avance vers celui qui semble avoir la paperasse. Je signe les décharge puis fait demi tour. Je m'arrête à la hauteur de celui qui semble le plus blessé. Je lui propose de passer à l'infirmerie de la prison, mais il refuse... Certainement trop effrayé pour mettre les pieds dans l'enceinte de Sadismus. C'est ça, barrez vous, bandes de poulles mouillées. Je soupire de nouveau et me tourne vers les nanas menottée.

"Entrez donc, mesdemoiselles, ils ne partiront pas tant que je n'aurais pas refermé la grilles, ne rêvez pas trop..."

J'attends qu'elles passent les portes et les referme derrière nous. On entend presque aussitôt les moteurs se mettre en route. Je secoue ma tête d'un air désespéré en tirant sur ma cigarette puis je leur fait un signe muet pour qu'elles avancent jusqu'au hall.

[006826...Merci d'avoir Rapondu...Maman EtrangleuZ xD]

Enfin...Je vois un homme qui regarde en notre direction.Prends une clope.Soupire en l'allumant.Puis il s'approche de nous en ouvre la porte d'un geste brutal.Il a l'air très enchanter de nous acceuillir...Mais a quoi s'attendre d'autre?A un acceuil chaleureux avec des petites fours et tout cet horrible blabla inutile?Nan,c't'une prison voyons.Je le vois regarder derrière Raven et moi.Un sourire satisfait s'imprime sur mon visage tandis qu'il adresse la parole aux gardiens derrière nous.

Il passe entre nous sans même nous adresser un regard...Tant mieux,j'en ai deja eu assez de regards aujourd'hui.Il signe,propose,revient et nous lance une phrase qui n'a même pas besoin d'être dite...On s'en doute,ces trouillards font les grands méchants mais ne savent ques les vrais meurtriers legendaires se trouvent presque tous derrière cette porte.Et aussi que Raven et moi allons y entrer et devenirent enfin des detenues a grande renommée dans le crime.Enfin on nous dira que nos crimes sont loyaux.

Je suis contente qu'il ait dit "Mesdemoiselles".D'ailleurs,j'en souris.Je ne veux pas,m'attraper avec cet homme.Il nous fait entrer,je reste en silence,et nous indique toujours dans un silence total,la direction du Hall.Comme si y'en avait trente-six xD.

J'entre donc dans le hall,reste aux cotés de Raven.Comem si je m'attendais a ce que suelsu'un d'autre s'attaque a elle.J'attends les instrucions pour entrer,que j'ai si souent entendues d'ailleurs...

Invité

[515869]

Le sourire d'Abi me fit des frissons dans le dos, non ça m'effrayait pas le moins du monde mais c'ets que je ne m'attendais pas du tout à la voir sourire ! Je lui rendis moi-même un léger sourire. Mais je fut encore plus étonnée de ce qu'elle me declara. La personne à qui je lui faisait pensée était une fille, elle avait changé sa phrase en dernière seconde. Mais je compris très bien qu'il ne fallair pas que je pose de questions. Je lui dis simplement :

- Désolé...

J'avais bien comprit ce qu'elle m'avait dit, mas de mon sens, si j'étais à sa place, je ne supporterais pas de cotoyer quelqu'un qui me fait penser à ma seule famille. Mais bon, comment pouvais-je savoir le bon sens ? J'avais jamais eu de famille.

Enfin après cette longue et ennuyante attente, les portes s'ouvrirent. Je faillis à exploser de rire lorsque j'aperçus l'entousiasme de notre hôte, il avait une belle voix et un beau sourire celui-là !^^ Il se contenta de blâmer les gardes. Ouais c'était des inccapables qui avaient certainement plus de raisons d'être en prison que moi, qu'Abi je sais pas... Enfin, le gas alla signer des papiers puis revint vers nous en nous indiquant où était le hall. Une fois entrée aux côtés d'Abi, je constatai la belle déco qu'on dirait presue toute neuve ! C'était tellement... poussièreux... abîmé... A croire qu'à tout moment les murs pouvaient s'effondrer !

Je me tourne vers le garde puis arque un sourcil en lui lançant :

- Quel bel accueil !

Je me retourne vers Abi puis ajoute :

- On va passer un beau séjour si ils sont tous aussi bavards !

Quitte à ce qu'il me lance une insulte, je préférerai ça plutôt que de passer encore plus de temps à écouter les mouches voler, c'était assez ennuyant comme ça.

Invité

up up !!!

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