Un ange en enfer...tu rigole!

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Il faisait froid ce matin la, on m’avais réveillée tr ès tôt… Grave erreur car j’avais une fois de plus démontée un gardien, je n’aimais aps me réveiller tôt c’était pas nouveau… On m’avait foutue dans une camionnette, je devais être transférée dans une autre prison. Super j’allais me faire de nouveaux amis, enfin plutôt de nouveaux ennemis, cela serait le terme plus juste ! Plusieurs hures plus tard, j’arrive enfin. La voiture se gare et laisse sortir quelques évadés, moi je sors en dernière, j’étais aps très enthousiaste pour sortir ! Mais on m’obligea à bouger, je descend donc et me retrouve devant de grandes portes ! Je grimace et regarde devant moi, j’en avais déjà marre de ce spectacle, en plus j’étais jeune 19ans et déjà en prison franchement ! Je ne sais pas se que je devais faire, j’attendais une personne apparemment mais qui ??

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Il faisait à peine clair et déjà des prisonniers arrivaient. Ce n’était pas de tout repos les rondes de nuit. Mais qu’est-ce qui m’avais prise de choisir d’être gardienne de nuit. Evidemment, j’avais dû croire qu’il serait plus facile de tuer mais dans cette prison n’importe quel coin sombre s’avérer idéal pour faire un meurtre. J’avançais rapidement, mes bottes de gardienne s’enfonçant dans la boue de la cours. Jetant un regard aux nouveaux arrivant un soupire sortis malgré moi. Que des hommes et des femmes à l’allure peu attrayante. J’avais horreur de la laideur et des hommes. C’est alors que mon regard fut attirer vers une des détenus qui à voir la réaction des gardiens semblait particulièrement agitée. Parfait, j’aimais le risque. Le sourire aux lèvres, j’avançais à grands pas vers la jeune femme qui se trouvait dos à moi. Entendant le son de mes pas dans les flaques d’eau et la boue parsemant la cours, elle détourna le regard vers moi. Aussitôt ce fût comme si j’avais été foudroyée par un éclair. Je mordis ma lèvre inférieure au sang, me retenant de ne pas toucher à la jeune fille qui me donnait envie de lui sauter au cou et de la déshabiller sur le champ. Changeant rapidement d’air avant que la détenue ne le remarque, je mis ma main sur l’épaule du plus beau des deux gardiens et dit d’un air désintéressée :

-Je m’occupe d’elle.

-Faites attention elle est sauge la grande, elle attend juste qu’on la dresse.

Je saisis vivement la jeune femme, me retenant de lancer un regard dégoûté au jeune gardien. Comment osait-il avoir de telles pensées envers cette femme ? Il n’en était pas digne, ceci était clair. Je fis avancer la prisonnière, tout en lui passant les menottes. Cependant je ne pus m’empêcher de jeter un regard sur ses femmes encore fermes de jeune femme qui se balançaient au rythme de ses pas. Incapable de résister plus longtemps, je mis ma main sur la fesse droite de la nouvelle arrivant, me retenant de lui arracher son pantalon. Je devais me ressaisir. Je n’étais pas ici pour tripotter les jeunes femmes, ni pour les violer. J’étais ici pour travailler je ferais mon possible pour mener à bien mon travail.

-Veuillez décliner votre nom et votre numéro de matricule.

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