De retour dans la salle ...

J'avais bien veillé à ce que personne ne me voit et j'étais retourné dans la salle de torture. Je voulais foutre le camp d'ici, et je ne compterais pas seulement sur le petit plan batard de Ocelot. Disons que même si je lui faisait tout de même confiance, je trouvais que son plan sonnait un peu faux.

J'haussais les épaules. Je sortirais de toute façon, et je préférais que ce soit avant que Bose trouve le coupable de la mort de Steve.

J'entrais dans la salle de torture. Je regardais un peu autour de moi, personne parfait. Je voulais avoir une arme, n'importe laquelle, il me fallais quelque chose. J'étais déja blessé. J'aurais voulu attendre d'être guéri avant de partir, mais bon, je prendrais mon mal en patience car je ne supportais plus cette prison. Mon humeur n'avait jamais été aussi massacrante.

Je passais à travers les différents instruments de tortures, je n'aimais pas particulièrement cette salle à cause de ma claustrophobie, mais la porte était ouvert alors c'était correct.

Je grimaçais en regardant les instruments, si je ne faisais rien pour partir je sentais que la directrice me ferait faire un tour ici dans pas longtemps ... J'haussais les sourcils, et je me doutais bien qu'elle ne me laisserais pas m'en sortir aussi facilement que la dernière fois. J,avais tué un gardien et je s'entais que sa ne lui plairais pas vraiment. Déja la rumeur devait se répendre dans la prison. L'ont savait que je n'aimais pas Steve, si elle ne l'apprenait pas d'elle même, elle finirait par l'entendre ...

Je sursaute lorsque quelqu’un me prend par derrière, bon sang! Je croyais vraiment qu’il n’y avait personne. Sinon je serais resté sur mes gardes. J’entends ce qu’il me dit mais je ne reconnais pas la voix. Un gardien? Un prisonnier? Pour l’instant j’avais surtout des problèmes avec les gardiens, j’espérais qu’il n’avait pas trop entendu parler de mes anciennes histoires. Je crois que j’étais le prisonnier qui avait passé le plus de temps à la salle d’isolement. Je laisse échapper un grognement qui est en partie étouffé puisqu’il me tient le cou assez fermement. Je tente de dégager mon bras, sans grand succès.

Par réflexe je lui donne un coup dans les cotes avec ma main gauche. J’étouffe un gémissement, elle était toujours cassée cette main là, ce n’était pas avec elle que je lui ferais bien mal. Mais j’avais tout de même frappé un bon coup et la pression sur ma trachée se relâcha un peu. Je réussis à dire d’une voix cinglante :

-Je cherchais un moyen de t’arracher la tête précisément!!

Évidement, ce n’était pas pour lui en particulier que je cherchais quelque chose, mais bon, disons que maintenant qu’il était dans mon chemin ... Mais pour l’instant j’étais mal placé pour jouer les dures. Il avait l’avantage et moi je n’étais pas en bon état.

Je ne bougeais plus. Attendant qu’il bouge, qu’est-ce que je pouvais faire de toute façon. Il semblait assez fort, et malgré que je le sois également, ma jambe ne me supportais pratiquement pas, et mon poignet était bien brisé.

Il me plaqua contre la table et me releva le bras dans le dos. Je serrais les dents mais je n’émis aucun son. Je sentis qu’il me mettait les menottes mais je vis aussi qu’il me relâchait. Aussitôt j’amorçais un geste pour l’attraper. Rapidement je fus au bout de mes chaînes sans pouvoir le toucher.

Je lâchais un juron. J’étais encore tombé sur un malade qui aimait un peu trop s’amuser. Le dernier je l’avais tué, sa m’avais pris du temps mais je l’avais fais. Et la ce mec il me foutais vraiment en colère.
Mon regard le suivit lorsqu’il referma la porte. Je fermais les yeux quelques instants, bon en plus de me faire torturer je devrais ressentir ma claustrophobie et je détestais ça.

J’ouvris les yeux pour dévisager l’homme. Évidement, encore un gardien. Je me demandais qui étaient les plus perturbés? Les prisonniers ou les gardiens? Pour l’instant je n’avais que des problèmes avec eux. Je grognais et je dis d’une vois agressive en tirant sur ma chaîne :

-Qu’est-ce que tu veux?? Je ne faisais qu’une balade bon sang! Relâche moi et je partirais!

Évidement à ce stade là. Si il me relâchait je lui sauterait dessus, je pourrais sûrement en profiter pour prendre son arme, enfin si je parvenais à le battre évidemment.

Je le regardai s’approcher. J’ai l’habitude de ne pas beaucoup penser avant d’agir. Mais la seule façon que j’ai de le frapper c’est avec ma main gauche. Et je ne le retoucherais pas de cette main là. De 1 si je voulais qu’elle guérisse je devais la laisser tranquille. Et de 2 c’était beaucoup trop douloureux, au moindre petit coup que je donnais avec elle, j’avais l’impression qu’une masse s’abattait sur ma main. Une sensation totalement désagréable.

Je fronce les sourcils lorsqu’il enlève mon bandage. Il verrait qu’elle était dans un sale état. Elle était brisée depuis mon arrivée en prison. Elle avait souvent guérie partiellement, mais je finissais toujours par la briser à nouveau. Le problème était que j’étais gaucher et lorsque je me mettais en colère c’était mon premier réflexe que de frapper un bon coup avec cette main, alors elle ne finissait plus par guérir. D’autant plus que Steve l’avait transpercé avec ton couteau ... Ça n’avait pas fait de bien ça n’ont plus, la blessure avec cicatrisée, mais c’était toujours douloureux et j’avais une bonne marque.

Je baissais les yeux vers mes jambes, cherchant un moyen de l’atteindre. Il était trop loin. Je devais attendre. Voir ce qu’il allait faire. Qu’il ne me laisse qu’une seule occasion et je n’hésiterais pas à le tuer. Malheureusement pour lui ou pour moi? Car je serais certainement celui qui souffrirais le plus si j’osais tuer un autre gardien.

-Vous êtes amusants vous les gardiens ... Tu n’avais pas trouvé d’endroit où abuser de ton pouvoir? Utiliser tes armes contre les prisonniers, c’est bien drôle, mais j’aimerais bien vous voir désarmé.

Je parlais de la mutinerie qui se préparait, mais évidement il ne pouvait pas savoir. Je fis un mince sourire, moi je n’aurais pas le plaisir de tuer des gardiens, je comptais seulement ficher le camp et ne jamais revenir, mais beaucoup d’autres prisonniers prendrait cette occasion pour ce défouler ...

Ce que j’entends me laisse sans voix. Alors je suis vraiment tombé sur un perturbé mental. Je me crispe lorsqu’il presse ma main. Je crois que je commençais à mal supporter la douleur à cet endroit là. Sans avertir je lâche un hurlement, non de douleur mais plutôt de rage et je tire violement sur ma chaîne, enlevant rapidement ma main de sa poigne et je dis :

-Je t’assure espèce de salopard que si cette chaîne se brise, tu auras tellement d’os de brisé que tu ne pourras même plus parler

Je le fixais dans les yeux, furieux, tout en donnant des coups sec sur la chaîne, J’avais déjà réussi à en briser une, alors pourquoi pas elle. Mais elle semblait en meilleur état que l’autre, alors je doutais d’y parvenir. Je dis d’une voix toujours cinglante :

-Va te faire foutre, connard!!

Je commençais à en avoir assez de me faire attraper de la sorte, d’avoir mal. Je supportais bien la douleur, mais sa devenait trop, je n’avais rien fait, qu’est-ce que ce serait si je faisais quelque chose?

Qu'est-ce que je disais ? Il m'excite !

Je le vois s'acharner sur les menottes... Je ne connais pas la qualité de ce matériel... Je préfère largement les fers... D'ailleurs, il m'a semblé en voir tout à l'heure. Je me détourne de lui comme s'il n'était plus là et reprends mon exploration jusqu'à de que je trouve ce que je cherchais. Je reviens alors vers lui et pose mes jouets hors de sa portée. Je suis de l'autre coté de la table par rapport à lui. Je sors ma matraque et l'abat violemment sur sa main atachés puis, profitant de cet "dispertion", je me penche un peu par dessus la table - dois-je rappeler que je suis très grand ? - et j'empoigne sa tignasse pour le plaquer à nouveau le visage contre la table.

"Bouge pas..."

Je grogne ces paroles. Puis je passe une menotte en fer autour de son poignet deja attaché et fait passer la chaine sous la table tout en tenant fermement son crâne. De mon côté, je glisse la chaine dans un anneau et la laisse pendre près de moi. Je me saisis de son poignet blessé et le tire vers moi en lachant la tête de mon jouet. Il tourne sur lui meme et se retrouve le dos contre la table en fer.

"Ne resiste pas, sinon ta main sera bonne à amputer."

Je fixe son poingnet à l'autre extrémité de la chaine. Je n'ai plus qu'à attacher ses pieds...

(je suis pas sur d'avoir bien décrit ce que j'ai fait...)

(hem ... m'enfin disons que je comprend que je suis attaché lol)

"Ne resiste pas, sinon ta main sera bonne à amputer."


Je grogne. De toute façon je n'avais même pas eu le temps de résister, il était rapide et moi beaucoup trop lent. Je ferme les yeux, je commençais à mal suporter la salle. La trouvant petite, close ... C'était souvent cette sensation dans les pieces sans fenetre, je me sentais compressé. J'avais de la difficultée à respirer.

J'ouvris les yeux, le fixant d'un air inquiet. Je commençais à respirer mal, et en plus que j'étais attaché ce n'étais rien pour arranger les choses.

Par contre, je ne peux m'empecher de faire une chose, une erreur vous direz puisque je ne peux pas me détacher, mais je suis impulsif, je regrette souvent apres.

Lorsqu'il s'installe pour m'attacher les jambes, je lui donne un bon coup de pied à la figure. Mais je ne l'avais pas raté, il recula. Je devais certainement lui avoir brisé le nez. Je le fixe avec satisfaction, mais je perd rapidement mon sourire, je savais qu'il me ferait bien pire, mais simplement le fait d'avoir réussit à lui faire un peu mal me soulageais un peu de ma claustrophobie.

Je ne dis pas un mot. Que pouvais-je dire? Je craignais un peu ce qu'il allait me faire, mois que lorsque j'étais avec Steve. Ha lui, si quelqu'un m'avais bien fait peur dans ma vie c'était bien Steve. Mais bon, je préférais la douleur que tout ce que cet homme avait pu me faire, et heureusement il était mort ...

Je me recule et plaque ma main sur mon visage. Merde ! Je n'ai pas été assez prudent. Quand je la retire elle est pleine de sang. Je fronce les sourcils. Il va payer cher... Cette simple pensée me rend le sourire.

"Tu ne veux pas que je t'attache les jambes, peut être... Ok..."

Je lui tourne délibérement le dos et ouvre une armoire dans laquelle je sais que je vais trouver des couteaux, épées et dagues en tous genres... Heureusement que cette armoire ferme à clé... Je me saisi de deux dagues et retourne vers mon cobaye...

"Je ne t'attache pas... Mais tu bouges pas."

Sur ces mots, je plante une dague dans chacune de ses cuisses... Très violemment. Elles s'enfoncent dans les chairs et je sens le plaisir s'emparer de moi.

Je m'approche de son visage et plaque ma main sous son menton pour l'empecher de le bouger - pas question qu'il me crache dessus - et je lui dis avec un rire sadique:

"Tu sais que tu me fais bander ?"

Ce n'est pas tout à fait vrai... Mais je sais que bientôt ses cris de douleurs m'exciteront plus que n'importe quelle fellation...

(je vais pas tarder à aller dormir, je suis en France, moi...)

Je fronce les sourcils en le voyant ce diriger vers une armoire. Qu’est-ce qu’il allait trouver encore? J’ouvre un peu la bouche en le voyant sortir des dagues, hmm ... Je n’aime pas ça et j’ai bien raison.

Je réprime avec difficulté un hurlement de couleur lorsqu’il me les enfonce dans les cuisses. Non effectivement, maintenant je n’avais plus envi de bouger, du tout.

"Tu sais que tu me fais bander ?"

Je laisse échapper un gémissement qui se transforme en grognement, je dis d’une voix sourde :

-Pourquoi est-ce que je tombe toujours sur des PD moi?

Je n’étais pas homophobe, mais bon sang, Steve n’était pas clair n’ont plus à toujours vouloir me violer ...

-Et bien moi tu ne me fais pas bander salopard! Dis-je d’une voix seche.

Non il était loin de me faire bander, moi sérieusement les hommes et la douleur sa ne m’exitais pas du tout. Mais que pouvais-je faire si lui sa l’exitait. En vrai je m’en ficherait, mais là c’était à moi qu’il s’en prennait.

Je le regarde sans rien dire, bordel qu’est-ce que je peux faire. Je déteste cette salle, je comprends mieux comment ce sentait les prisonniers avant. Ce n’était pas la première fois que je me faisais prendre ici, je crois que dorénavant je trouverais un autre moyen de me trouver une arme, ou bien je ferais confiance à Ocelot.
Je ne sais pas si c’est une bonne chose, mais avec lui qui me stress un peu, je ne pense pas trop à ma claustrophobie. Enfin, c’est au moins ça.
Mais je ne suis pas moins en colère, sa me rend fou d’être attaché et de ne rien pouvoir faire! Et lui qui commence à me déshabiller, sa me rappelle quelque chose!

Je laisse échapper un grognement. Lorsqu’il me demanda si j’avais des idées. Il pouvait bien aller ce faire foutre, comme si j’allais dire quoi que ce soit! Comme seule réponse je donne un coup sur mes chaînes, et je le fixe toujours très agressivement, bon sang que j’avais envi de le tuer ...

Je le fixais d’un ai perplexe malgré toute la rage que je ressentais en ce moment, je ne pouvais m’empêcher d’être curieux, qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir inventer pour me faire souffrir? Je tournais la tête, le voyant revenir avec un sceau, j’hausse les sourcils, ne comprenant visiblement pas. Il entreprend de me couper le long de mes cicatrices, rien de bien douloureux alors je ne vois pas pourquoi il faisait ça. Non je ressens plutôt une certaine douleur dans les cuisses, je n’avais qu’une seule envie. Bouger mes jambes qui commençaient à être engourdies.

-Qu’est-ce que tu fiches? Demandais-je d’un air impatient.

Je compris lorsque je le vis sortir une bonne poignée d’un gros sel de son sceau. J’ouvre un peu la bouche, surprit. Ce ne serait pas la pire douleur de ma vie, mais cet homme semblait savoir comment rendre les choses vraiment désagréables et insoutenables. Je regardais le sel tomber de sa main vers mes blessures, je me crispais, je savais que dans quelques instants je n’aurais qu’une seule envie et ce serait de bouger. Et c’était précisément la chose que je devais le moins faire avec les dagues de fichues dans mes cuisses.

-Tu fais chier! Dis-je entre les dents.

Voila sa commençait à piquer, à chauffer, je jetais un coup d’œil vers mes jambes. Je devais me retenir, sinon ce serait beaucoup plus douloureux. Je tins quelques instant, mais ensuite c’était bien trop atroce, je donnais quelques coups sur le coté, gémissant en sentant les dagues bouger dans mes cuisses, une sensation totalement désagréable. J’arrête de bouger mais pas pour longtemps, Je donne un coup plus sec et je ferme les yeux tout en serrant les dents. La douleur que je ressens aux jambes m’est pratiquement insoutenable, j’arrête de bouger. Cette fois ci, je devais songer à autre chose qu’à ces affreux picotements parce que je finirais avec les deux jambes mutilées. Je dis d’une voix sèche :

-D’où est-ce que tu sors ça! Bon sang!

Je m’en fichais un peu d’où il sortait ses méthodes de torture, mais je ne voulais plus bouger et visiblement c’était ce qu’il voulait et je ne voulais pas lui donner cette satisfaction. Je serrais les dents attendant sa réponse ... Ou une autre action de sa part ...

Je pris une grande inspiration et des mots sortirent tout seul de ma bouche, je dois vous préciser que je suis impulsif? Je ne controle pas tout à fait ce que je ne veux pas dire ...

-Je vais te dire pourquoi espece de sale pourriture!!

Je lachais un grognement et je poursuivis rapidement en disant:

-Plus tu t'amuseras avec moi ... Plus je ferais une expeption pour te tuer lentement!!!

Je roulais les yeux, évidement c'était stupide, oui j,avais une petite tendance à l'être, je me maudissais moi-même. Je n'avais absolument pas envi de rester ici, mais une raison, bon sang je n'en n'avais pas, il faisait ce qu'il voulait et moi j'étais completement à sa merci. C'était une sensation que je détestais ... En étant un tueur, avec une arme, je n'avais jamais eu à me sentir comme ça. Mais depuis que j'étais en prison, je vivais les pires instants de ma vie.

Je me tortillais encore un peu, relevant la tête en sentant toujours les maudites dagues dans mes cuisses, qu'il enleve ce sel bon sang! J'allais devenir fou!

"Mauvaise réponse !"

J'éclate de rire et pose ma bassine d'eau à terre. Je le laisse se débattre pendant que je vais à la recherche d'une autre idée. Quand je vois quelque chose d'extraordinaire... Ils ont ça ici ? Mais qui s'en occupe ? Je sens l'éxcitation s'emparer de moi et je ne peux retenir un petit cri de plaisir.

Je contourne les meubles qui cachaient la cage et me penche par dessus. J'ouvre la porte et d'un geste vif me saisi de l'animal. Je me relève et fixe le serpent dans les yeux. Mon cobaye le voit surement, mais je ne pense même plus à lui... Je maintient la bête par la base de sa tête et d'un geste expret, je le force à ouvrir la bouche, il semble en colère... Oui, il doit s'ennuyer... Mon but est de vérifier qu'il n'a plus de poison. Mon inspection étant faite, je m'avance lentement vers la table où est attaché le prisonnier.

"Au fait, tu t'appelles comment ?"

[c'est difficile d'avoir des idées...]

Je le regarda reposer l'eau par terre d'un air dépité. Je tente de me contenir, je commence à m'habituer un peu à la reaction du sel sur mon corps, Je ferme un peu les yeux et lorsque je les ouvres et voit le gardien avec un serpent. Je fronce les sourcils. Je n'aimais pas particulièrement ces créatures, enfin, je ne peux que suposer car je n'y avait jamais eu affaire. Mais bon, en le voyant en ce moment je me disais que je n'aimais pas ça. Mais pas du tout.

J'avalais difficilement, qu'est-ce qu'il voulait bien me faire avec ce serpent?? Il était venimeux? Il ne voulait tout de même pas me tuer!
Je relevais les yeux vers lui, lachant difficilement le serpent des yeux lorsqu'il me demanda mon nom.

Je n'ai qu'une seule envie, de lui envoyer une réponse cinglante ... Et malheureusement c'est ce que je fis:

-J'ai un numero non! Alors tu n,as pas besoin de mon nom. Dis-je d'une voix sarcastique.

Je me fichais un peu qu'il connaisse mon nom, mais bon il m'enmerdait bon sang, et je n'avais aucune envie qu'il ne me touche avec cette foutue créature!

(si tu manque d'inspiration tu n'as qu'à terminé le Rp ... Jvais être triste mais je vais m'en remettre lol)

Je respire plus rapidement. Non, effectivement, je n'aime pas cette créature. Et je devais m'avouer qu'elle m'effrayait assez en ce moment. Je ne bougeais pas mais je tentais d'étirer mon cou le plus possible pour ne pas qu'il m'atteigne le visage. Sale bête, j'espérais simplement que l'envi ne lui prendrait pas de me mordre.

Je le vis déposer des souris sur moi. Je fronçais les sourcils. Il s'attendait à ce qu'il se produise quoi? Le serpent repéra rapidement l'une des souris et s'approcha lentement. Je le regardait faire, ne sachant plus si j,avais peur, je n'aimais pas sentir ce serpent sur moi, mais il ne s'interessait plus vraiment à moi maintenant.

Malheureusement, lorsque la souris sentit le serpent s'approcher elle entra dans mon pantalon. J'ouvris la bouche, surprit, le serpent partit à sa suite, Jouvris grand les yeux. Et qu'est-ce que je pouvais faire maintenant?? Je m'agitais encore, ignorant la douleur à mes jambes

-M... Mais fait le sortir !! Dis-je d'une voix forte et appeurée.

Je n'aimais pas du tout sentir le serpent et la souris grouiller dans mon pantalon! Je tentais de bouger le bassin, je ne connaissais pas le comportement des serpents, alors je ne savais pas quoi faire.

Je continuais de regarder mon pantalon, ne remarquant pas la nouvelle chose qu'il avait sortit, décidement il ne se lasserait jamais ...

Je commençais à m'énerver, je dis d'une voix forte et toujours stressée:

-Une raison?? Qu'est-ce que tu veux comme raison???

Bon sang! Je ne savais pas quoi lui dire ... quel genre de raison voulait t'il? Je n'avais pas l'imagination assez fertile pour lui trouver quelque chose et puis j'avais un peu de difficulté à me concentrer maintenant.
Soudainement je sens un geste vif dans mon pantalon. Je sursaute. Le serpent avec attrapé la souris, j'en était certain. Il ensuite il ferait quoi? Si il ne trouvait pas la sortie ? Qu'il se sentirait compressé.

Je grimace lorsqu'il appuit sur mes blessures pour faire entrer le sel. Mais c'est quoi son probleme. Il est l'une des rares personne à qui je n'avais rien fait, alors pourquoi s'en prenait t'il à moi de la sorte?

Je releve la tête vers lui, découragé en voyant ce qu'il met sur ma main, je ne savais pas qu'est-ce que c'était, mais je me doutais que ce ne serait pas vraiment plaisant.

-Je ... Non ... Ne la brise pas elle aussi ... Dis-je dans un un souffle, d'une voix très basse.

Est-ce que j'en venais à le suplier? Je fronçais les sourcils à cette pensée. Mais en ayant les deux poings brisés je ne pourrais même plus me défendre, et disons que ce n'était pas pratique dans une prison. En particulier pour moi qui semblait m'attirer tout les problemes du monde ...