Dans une salle de torture.

Ayant réussi à échapper à la surveillance des gardiens qquelques secondes, j'ai pu m'éclipser rapidement et à grand renfort de discrétion j'ai pu me fondre dans le décor. J'arrive devant une porte un écriteau

Citation :

VERBOT

Je souris légèrement et pousse la porte. Un escalier descend, j'hésite, je voius un gardien au bout du couloir. Je ferme la porte rapidement et commence à descendre au sous sol.

Une fois arrivée en bas, je vois un long couloir sombre et lugubre avec une multitude de portes. J'adore cette ambiance. Je pousse une des portes au hasard. Une vaste salle s'ouvre devant moi, avec des instrument tous plus horribles les uns que les autres; des traces de sang séché sur le sol. Ceryains instruments sont rouillée d'autres sont encore brillants presque neuf prouvant que cette salle malgré les apparences est encore utilisée.

Un frisson parcours mon corps mais j'entre plus en avant. j'examine les instrument prenant délicatement un scalpel dans la main. Je passe le doigt sur la lame pour savoir si c'est aiguisé. Instantanément le sang coule.

Plus aucun doute ces salles de torture sont encore usitées.

Soudain j'entends un bruit. je me retourne.

Alors que je marchais tranquillement vers ma cellule, je vis une femme bifurqué très rapidement dans un couloir. À là voir si pressé, je me dit qu'elle devait échapper à quelqu'un...

Mais, mon esprit chaotique me dicta de la suivre. Je vis quelques gardes. Mais il me fallait, pour ateindre cette personne, les éviter. Le contournai donc quelques emplacements.

Au bout d'un moment, je vis, au loin, la personne que je suivais refermer la porte. Un garde arriva alors. Je me cachai comme j'ai pu. Or, j'étais persuadé qu'il me verrait. Mais non.

Je poussai alors un soupire, et poursuivit ma quête. J'ouvris la porte et descendit les escaliers pour enfin arriver au début d'un lugubre couloir. La première porte était ouverte... Je m'y avancai. Elle était là. Mais je ne m'en apperçu pas tout de suite. La pièce que je remarquai était... Époustoufflant...

- Une salle de torture!! M'écriai-je.

Je regarde cette brune qui vient d'entrer, une rapide analyse m'assure qu'elel est détenue. Je reste totu de même sur mes gardes même si je suis soulagée.

Qui sait ce qui me serait arrivé si c'était un gardien ou pire une gardienne !

Je pose le scalpel attrape un bout de chiffon qui traine et l'entoure autour de mon doigt pour absorber le sang, Je m'avance vers elle. continuant à observer les détails de cette salle. Une fois devant elle mais à bonne distance je lui dit

Tu as vu ça ! et elle est encore utilisée !

Je regarde la réaction de la brune qui semble remise de sa surprise première.

Je souris devant cette femme qui semblait incertaine de mon identité. Non mais, je trouve que je ressemble plus à une détenue qu'à un de ces sales gardiens! Mais quand même, sa crainte devant moi ne l'empêche cepandant pas de s'approcher et de me lancer un commentaire.

Quand elle eut terminé, j'eu un sourire mystérieux... qui recélait peut-être même un peu de démence. Une salle de torture, comme le nom signifiait, servait à torturer... le monde criait, et il y avait plein de bruits si délicieux, ainsi que du sang, bien évidement...

Je fis le tour de la pièce, touchant chaque inscrument avec une telle délicatesse. Cela, pour moi, était mon bébé. Peut-être pourrions-nous apporter des gardiens ici...

Je fini tout de même par me retourner vers la femme, elle aussi une bagnard. Et toujours de mon sourire si... dément, je répliquai à celle-ci.

- Effectivement... elle est encore utilisé. Je parierais que ce sont les gardiens qui l'utilise. Mais, une idée m'est venue à l'esprit, une idée audacieuse, délicat et aussi très malsaine. Et si nous ammenions un gardiens dans ces lieux. Or, nous serons nombreux à l'apporter. Mais j'ai tellement le désir en ce moment de faire payer cher au gardiens parce qu'il mon ménagé sans la moindre galantrie dans ce trou à rats...

J'attendis qu'elle réponde. À voir sa réaction, je présentis qu'elle est d'avis avec moi. Qu'elle aussi possède une rage enfermé dans une étroite cage, attendant le bon moment pour surgir comme un fauve. Elle me plait cette femme...

Je souris face à son sceptisisme. Quoi faire avec le gardien après? Et bien, ce n'est tellement pas compliqué; Il va mourir. Non, jamais je ne le laisserai vivant, pour qu'après il décide de nous le faire payer.

- C'est simple ma chère. On va le tuer après, et ça c'est s'il survit à sa torture. Or, on va lui préparer la pire des tortures! Pour ça, je suis une spécialiste. La violence est mon domaine.

Je sortit un rire dément, au point de faire frissonné toute personnes qui m'entendrait de proche ou de loin. J'aime la violence. J'adore le chaos...

J'au un rire découragé à la mention de sa question. Je la regardai avec une moue moqueuse, et c'est avec un ton moyennement drôle que je dis;

- Si ce n'était que de moi, tout les gardiens seraient mort. Alors je ne crois pas avoir de nom en particulier. Toi, si tu as quelqu'un de particulier. En passant, peut-être aurons-nous un autre personne qui aimera bien nous aider...

Je la regardai d'un regard amical, mais à la fois mystérieux. Un sourire malicieux flottait sur mes lèvres. Et des idées de torture se préparaient déjà dans son esprit. Puis, j'haussai le sourci. Je ne connaissais même pas le nom de cette fille...

- En passant, je me nomme Keira. Et toi? Dis-je finalement, d'une voix absente...

Un sourire dément s'afficha sur mes froides lèvres. Oui, puisque nous n'avons pas de gardien en particulier, nous allons en choisir un au hasard, mais pas trop. Ce sale gardien sera celui qui est le plus chien dans sa gang...

- Oui bonjour... Zita... Pour notre gardien, il faudra le choisir en fonction qu'il soit le plus chien possible. Puis, il faudra se ramasser des volontaires car à deux nous n'y arriverons pas. Alors commençons par trouver d'autre personne qui veulent bien nous aider.

Je me dirigai vers la sortie, je regardai une dernière fois la fabuleuse pièce, puis je fixai mon regard sur Zita, avant que je l'invite à me suivre.

Voilà, un nouveau plan enclenché, une nouvelle "rebellion" qui recommence. Jamais Je ne me ferai prendre sans me battre pour ma liberté. Le monde doit connaître le chaos, le désastre et la peur...

Je vois keira qui m'invite à sortir, de cette salle à sa suite. Je la suis j'aimerais rester mais seule et sans gardien à torturer ça devient moin attrayant...

Et puis je ne veux pas me faire prendre par un gardien ici. Je sors et ferme la porte derrière moi, elel fait un grand bruit sourd. J'avance me demandant si les filles de ma chambre serait partante pour une petite torture...