Pose pour l'immortalité

Je rentrais dans ma chambre pret à virer toute persone s'y trouvant déjà.
Heureusement personne n'était dans Ma chambre.
Les bareaux qui me font voir toute la prison me genne. Il faudra que je vois avec un gardien si je ne peut pas avoir une cellule plus privée.
Enfin je m'installe sur un lit pour le moment assis et montre l'autre à Alec.

Sans sa permission ou n'importe quoi d'autre je commence à me déshabiller ... Une fois nu je m'allonge sur le lit sur le flanc.
Je suis fâce au dessinateur et attend qu'il s'installe pour ma postérité.

Qu'il ne s'avise surtout pas de me caresser ou de me regarder avec des yeux pervers , sans ça finis le dessin je le viole le tue et le bouffe!

Je suis Kirof à travers les couloirs de la prison. Nous n'échangeons pas un mot, mais je remarque qu'il est très attentif aux regards que les autres posent sur lui... Sa démarche est plutôt souple bien que particulièrement hautaine. Il se tient bien droit, déjà qu'il est grand. Je trouve cela assez comique... heureusement que je marche derrière lui - il n'aurait de toute façon pas voulu que je marche à sa hauteur - il ne peut pas voir mon amusement.

Nous entrons enfin dans sa chambre. Elle est absolument identique à la mienne. Il m'induique un lit et commence à se deshabiller. Bien, je n'aurais pas à jouer finement pour obtenir sa nudité, c'est déjà ça.

Je ne peux m'empecher de l'observer d'un regard pas très professionnel. Je ne m'étais pas trompé, il a vraiment un beau corps. On voit bien qu'il en prend grand soin. Il est dos à moi et je fixe ses muscles qui roulent sous sa peau alors qu'il enlève sa tunique. Il est relativement pâle, mais je suppose que c'est voulu... Je doute qu'il laisse quoi que ce soit de son aparence au hasard.
Alors qu'il se penche pour ôter pantalon et boxer, mon regard est immanquablement attiré par ses fesses. Je suis pris d'une irrésistible envie de les toucher... et bien plus encore... Calmes-toi Alec ! Reprends-toi et caches donc cette érection naissante !

Je déglutis difficilement et me détache du spéctacle à regrets. Je m'assoie sur le matelas et pose mes feuilles sur... ce que je dois cacher...

Il s'étend alors sur le lit, m'offrant d'un coup une vision de face de son anatomie. Mes yeux gourmands se posent aussitôt sur son membre. Alec ! Stop ! Ca suffit ! Je me ressaisis lentement et reprends peu à peu le contrôle de moi même. Mes yeux remontent le long de son torse. Ses abdominaux et pectoraux sont bien dessinés et l'ombre de la pièce me permettra de les mettre encore plus en valeur.

Ses cheveux tombent, desordonnés, sur ses épaules. Je voudrais bien les déplacer un peu pour leur donner une courbe harmonieuse par rapport au reste de son corps... mais son regard me convainc de ne pas le faire, ce n'est pas... autorisé...

Ok, essaies de pas bouger, s'il te plaît.

Je tourne ma feuille en "paysage" et commence à tracer les courbes de son corps. Mon excitation c'est un peu calmée et mon regard se fait percant, cherchant le moindre relief, la moindre ombre sensuel à mettre en valeur.

Mes yeux se posent à nouveau sur son sexe... Un idée me vient à l'esprit... C'est domage que ça soit... inherte...

Retiens-toi Alec ! Retiens-toi !

(C'est bizarre, hein, quand ça devient ~~erotique~~ sensuel, j'ai beaucoup plus d'inspiration...

)

Je regarde dans les yeux le dessinateur et y vois mon propre reflet.
J'aime sa. Si je n'étais pas perdu dans la contemplation de mon sublime corps nu je pourrais remarquer les efforts et les regards d'Alec. MAis qu'importe je me vois, je suis beau et m'admire.

On me dit de ne pas bouger. Je ne bougerais pas , cela pourrait troubler cette image si gracieuse de moi.
Mais très vite l'ennui me gagne. J'ouvre alors un de mes livres pris à la bibliothèque. Celui sur les tribues canibales. Je regarde spécialement les modes de cuissons qu'elles affectionent et regarde les gravure sur les pages d'à coter. J'essairais bien une soupe un jour. Mais il faudra broyer mon repas dans un mortier géant auparavent.
Quand je sorirais d'ici à cause de l'ennui je me mettrais à voler mes victimes. Une fois à amas d'argent acquis je me ferais fabriquer ce mortier et pilon géant.

Mes seules gestes consisent à tourner les pages de mon livre. Parfois ma langue vient passer sur mes lèvres sèches. Mes yeux de temps en temps se lève vers mon reflet pour m'admirer. Mon corps est décidement sublime.

Il se plie facilement au jeu et reste immobile un long moment, les yeux fixés sur moi. J'aime bien trop dessiner pour me laisser aller à mes pulsions et je prends le temps de tracer les courbes de son corps sur le papier avant de commencer à y ajouter les ombres.

Ses jambes, longues et fines bien que musclées; ses hanches aux reliefs sensuels, son torse imberbe... Et son visage... auquel je vais tenter d'oter l'aspect supérieur pour le rentre plus charmeur.

Alors que je m'attarde sur les jeux de lumières sur sa poitrine, il attrape un livre et commence à le feuilleter. Ses cheveux sont tombés comme un rideau devant son visage. Peut importe, je ferais son expression en dernier de toute façon. Les pages tournent, le crayon glisse, nous n'échangeaon pas un mot. De temps en temps il me regarde avant de retourner dans sa lecture.

Une heure passe ainsi et mon croquis prend forme, je suis fier de moi. J'ai représenté le tissu du drap mais pas le lit ni l'environnement qui pourrait rappeler la prison. Je n'ai pas terminé son entre-jambe... je voudrais vraiment la dessiner tendue, je suis sûr que le rendu lui plairait d'ailleur...

Doucement, je me lève, ma feuille toujours à la main, et glisse mes doigts dans ses cheveux pour les rejeter dans son dos:

"Excuses-moi, je ne vois pas ton visage, c'est domage."

Mes doigts s'attardent dans son dos un instant, je suis penché sur lui et mes yeux sont plongés dans les siens.

(Hj: Bon je fais avancer histoire de pas te bloquer mais j'absolument aucune idée , désolé.)

Il me parle et je n'écoute absolument pas.
Il repousse mes cheveux pourquoi pas.
Ses yeux plongés dans les miens sont admiratifs devant ma beauté. Comment ne pas l'être dailleurs. Je suis moi même admiratif par mon corps d'éphèbe.
Sa main s'arrette dans mon dos il doit avoir terminé son dessin sinon il n'iteromperait surment pas son oeuvre.

"Tu as finis?"

(pas grave, moi je sais à peu près vers où je vais... *auteur de fic qui a toujours un sénario sous le coude* j'ai juste besoin, au minimum, des réactions de Kirof aux avances d'Alec... m'en fou qu'Alec se fasse violer en fait... reste à voir ce qu'en pense Kirof... *oui, je suis tarée...*)

"Tu as finis?"

Il ne me repousse pas violemment, ne tente pas de m'émasculer pour avoir osé toucher son corps... c'est un bon début, non ? Je décide de forcer le destin et de tenter ma chance au culot... Avec lui, de toute façon, je doute que les sous-entendu fonctionnent...

"Mmmm... Pas tout à fait... J'ai un petit problème en fait..."

Ma voix se fait envouteuse, mystérieuse. Je laisse mes doigts descendre sur ses reins, en dessiner les courber puis passer sur ses hanches. Enfin, j'effleure son sexe, mon propre désir augmente à mesure que je m'enhardis :

"Ne penses-tu pas qu'il pourrait être... encore plus à son avantage... Comme ça par exemple..."

Ma voix est basse, un simple murmure sensuel. Sans en dire plus, j'enroule mes doigts autours de son membre et commence à le caresser doucement sur toute sa longueur. Mon regard n'a pas quitté la profondeur de ses yeux argent et j'attends anxieusement de savoir si il va me répondre par un coup ou un gémissement de plaisir. Ma langue passe sensuellement sur mes lèvres que je mordille doucement.

(Ça tombe bien j'y vais plus à l'impro. du moment ...alors quand sur le moment ya pas d'inspiration ...)

Aussitôt après mes paroles ses mains me caressent les hanches et m'effleurent mon sexe.
Je referme délicatement mon livre et serre doucement un poing.

"Ne penses-tu pas qu'il pourrait être... encore plus à son avantage... Comme ça par exemple..."

A ces mots je le sens qui se met nonchalamment à me caresser Mon membre. As ton vu Rodin se taper son colosse? Il me regarde, je le regarde. Je souris à ses vaines tentatives. Il continue. Mon sourire s'efface et mon poing vient s'écraser dans le plexus solaire d'Alec.
Je me relève assis sur le bord du lit. Si je fumais et aurait des cigarettes ce serait surement le moment d'en allumer une.
Mais je suis plus sportif. Aussi je me lève prend le carton à dessin le regarde et souris. Je suis vraiment beau dommage qu'il ne soit pas fini. Mais chaque chose en son temps. Pour le moment le jeune homme ne voulait plus dessiner. C'est pourquoi le nécessaire à dessin vola à travers la pièce sur le lit opposé.
Puis étrangement pour quelqu’un d'autre que moi je me rassis à ma place. Les caresses du jeune homme ne me dérangeaient pas au contraire. Mais il fallait qu'il apprenne qu'on ne se permet pas tant de familiarité avec un être aussi beau et pur que moi. Maintenant qu'il avait reçu sa correction il pouvait recommencer avec mon accord. Mais de toute manière ce n'était que les préliminaires. Ce frêle jeune homme finiras bien assez tôt allongé face contre le lit complètement nu.

Je ne vois pas son coup arriver et je me retrouve projeté contre le montant du lit, le souffle coupé. Une douleur me parcour la poitrine, mon coeur s'affole à cause du manque d'air. Ma main s'est automatiquement posée là où il m'a frappé et je tente de me calmer.

Il s'assoit et me prend le dessin des mains. A son sourire, je pense que ça lui plait, mais il envoie support et croquis valdinguer vers le lit où j'étais assis.

Ma respiration se calme, la douleur s'amenuise. Va-t-il a nouveau me frapper ? Cette fois-ci je serais prêt à parrer son coup. Je le fixe, mais il s'installe à nouveau sur le lit en me regardant. Que veut-il exactement ? Il me repousse violemment et voilà qu'il s'offre presque à mes caresses... Je ne comprends pas.

Je reste un instant figé, mes yeux plongés dans les siens. Ses longs cheveux coulent sur son torse musclé... C'est un vrai appel à la luxure ce mec... Il est d'accord pour que je continue, c'est certain... il est juste froissé que je l'ai... forcé ? Un sourire provocateur se dessine sur mon visage alors que mes yeux croisent son membre qui, visiblement, n'a pas été insensible à mes douceurs...

"Ca n'a pas l'air de te déplaire pourtant... Où est le problème ?"

J'ai envie de le provoquer... C'est étrange... Qu'il me dise donc de continuer... J'ai juste une inquietude : la violence donc il peut faire preuve...

"Ca n'a pas l'air de te déplaire pourtant... Où est le problème ?"

Je souris et me retourne vers lui.

Le problème est que Mon corps est sacré. Mon corps est sculpté par les dieux eux même. Mon corps n'est pas touchable comme celui de n'importe qui d'autre. Et surtout on ne touche pas Mon corps sans Ma permission. C'est une sorte de réflexe, quand Mon corps si sublime sent quelque chose d'inférieur le touchant sans en avoir été prévenu il le rejette. Maintenant tu peut continuer à loisir je suis prêt à recevoir te recevoir.

Sans attendre dailleurs je le plaque dos au lit et m'acroupis audessus.
Un grand sourire s'affiche sur mes lèvres et mes mains empoignent son uniforme et tirant d'un coups secs le fent en son milieu révèlant le torse d'alec.

"Le problème est que Mon corps est sacré. Mon corps est sculpté par les dieux eux même. Mon corps n'est pas touchable comme celui de n'importe qui d'autre. Et surtout on ne touche pas Mon corps sans Ma permission. C'est une sorte de réflexe, quand Mon corps si sublime sent quelque chose d'inférieur le touchant sans en avoir été prévenu il le rejette. Maintenant tu peut continuer à loisir je suis prêt à te recevoir."

Je l'écoute religieusement, mais intérieurement je suis explosé de rire. Il me bascule sur le lit et arrache ma chemise. J'espère que cela ne va pas m'attirer d'ennuis... Il m'observe... Que pensait-il voir ? Des seins ? Raté !

Je souris et me redresse comme je peux pour me coller à lui. Mes lèvres se posent doucement sur son cou et je lèche le lobe de son oreille alors que mes mains, dans son dos, descendent lentement vers ses reins. Je murmure provocateur:

"Puisque c'est ton corps qui décide... et qu'il est prèt à me... recevoir... Je vais faire mon possible pour qu'il ne soit pas deçu. Penses-tu qu'il m'autoriserait à laisser des marques sur Lui ?"

Je mordille doucement le lobe puis m'attaque à son cou. L'une de mes mains, délaisse son dos pour revenir s'occuper de son sexe. Ses cheveux effleurent mon torse nu et m'arrachent des frissons. Je suis prêt à jouer son jeu tant qu'il veut... mais ça a interet à valoir le coup...

Il me lèche le lobe de l'oreille c'est assez éceurant. Pourquoi ne veut il pas se contenter de ses caresses sur mon divin membre.
Enfin il m'adresse la parole, mais pourquoi faut il qu'il soit si bavare.

"Puisque c'est ton corps qui décide... et qu'il est prèt à me... recevoir... Je vais faire mon possible pour qu'il ne soit pas deçu. Penses-tu qu'il m'autoriserait à laisser des marques sur Lui ?"

Je réfléchis au sens de laisser des marques. Entre temps il delaisse enfin mon lobe d'oreille pour se contenter du cou.
Une de ses mains se remet à caresser mon sexe.
Il sait enfin où mettre ses mains , il ya du progrès.

Des marques ? Je ne pense pas.

Parcontre moi je ne m'en abstient pas. L'attrapant par les épaules je le replaque au lit .Mes doigts sont pressés
Je me baisse un peu et vient feintant un baiser mordre ses lèvres légèrement pour faire couler quelques gouttes de sang que je déguste volontier.
Puis je relève un peu la tête pour la baisser sur sa poitriner embrassant délicatement un téton.

Bon, pas de marques... pas de griffures, pas de sucons... comme veut monsieur... je souris alors qu'il me plaque à nouveau contre le matelat. Ma main se crispe un peu autours de son membre puis entame un lancinant mouvement de va-et-vient. Il se penche pour m'embrasse mais me mord la lèvre. Je sens un peu de sang perler de la blessure qu'il m'inflige. Il le lèche... Il mange vraiment les hommes ?

Ses mains me plaquent fortement, je ne tente même pas de me redresser. Il baisse la tête et commence à mordiller l'un de mes tétons. Mes doigts accélèrent un peu sur son sexe. Je ferme les yeux, me cambrant un peu pour qu'il continue. Ma mains libre se perd dans ses longs cheveux soyeux.

De quelle violence va-t-il faire preuve ? Cette question nait dans mon esprit pour mourir au coup de langue suivant alors que je gémis doucement. Je commence à me sentire intolérablement à l'étroit dans mon pantalon !

(désolée, c'est hyper court... je me rattraperai au prochain post...)

Il se soumet à ma volonté et à ma force. Dommage c'est un peu trop simple. Cela aurait été beaucoup plus drôle s'il se débattait et que je l'étranglais pour le calmer.
Quoi qu'il en soit je continue à suçoter son téton. Il continue de caresser mon sexe , nous continuons donc chacun notre activité.
Mes yeux se portent fatalement vers son entre jambe qui semble bien à l'étroit dans son pantalon. Il faut dire que la bosse formée est assez expressive.
Je m'accroupis alors mon divin fessier juste au-dessus de sa poitrine. Sa main continue son œuvre et c'en est bien ainsi.
Une de mes mains passe derrière mon dos et continue vers la bosse d'Alec. Elle se met à la caresser sur le pantalon jouant avec ce bout dressé. Puis elle finit par s'accrocher à l'élastique et d'un coup sec arrache le bout de pantalon qui gênait.
L'obstacle enfin enlevé je prend son sexe dans la main et entame les vas et vient.

(Hj désolé pour le retard j'avais pas trop d'idées.)

(pas inspiré par Alec ?)

Ma main droite est toujours en action sur son membre, l'autre est accrochée à ses hanches. Il s'avance un peu et je sens ses doigts descendre vers mon erection douloureuse. J'ouvre les yeux et le fixe un instant, presque suppliant.

Il me caresse par dessus le tissu et je me cambre encore plus, en gémissant. Je ne veux pas qu'il s'arrête... Au contraire, il arrache le tissu. Un soupire de plaisir m'échappe... enfin je suis libéré de cette pression. Il joue avec mon sexe, le caresse... m'excitant encore plus.

De mon côté, je laisse ma main libre glisser dans son dos, passer entre ses fesses et glisser l'entement vers son intimité. A quel moment va-t-il me repousser ? Je plonge dans ses yeux et redessine cet orifice de mes doigts avant d'en entrer un un peu plus profondément.

J'ai envie de le prendre, de le faire mien... Mais ce n'est en aucun cas pour le rabaisser ou quoi que ce soit... Non, je veux lui donner un plaisir qu'il n'oubliera jamais... et à moi aussi par la même occasion...

*a besoin de la réaction de Kirof pour continuer... tu peux me jouer un peu si tu veux... Alec se laisse aller au plaisir sans retenue...*

Je le sens son odieux doigt. Depuis ma tendre enfance jusqu'a maintenant persone ne m'avait rabaissé à ce point. Il m'avait pénétré. Il avait osé. La rage monte en moi je n'ai plus envie de caresse je dois dominer cet avorton avant qu'il ne prenne ses aises.
Dailleurs j'arrêtte aussitôt toute caresse sur son odieux membre. Je n'en veux plus, je ne veux plus le voire.
Tout d'abord je lui retire assez violement sa main. Le fait que je tord à la fois son poignet ne me gêne pas le moins du monde. Dailleurs je ne m'en soucie pas. Sa main en dhors de cette zone sensible je la lache pour attraper ses deux épaules je compresse avec toute ma force.
Ses épaules bien en main je met sur son côté le retournant sur le ventre la tête sur un coussin.

Maintenant il apprendra à ses dépend qu'on ne domine le grand Kirof. Le magnifique est toujours vainqueur il est audessus et surtout c'est son membre qui s'enfonce et non le contraire.

Je dois avouer que je ne m'attendais pas à une réaction si violante. (moi non plus) Il retire ma main comme si c'était la peste. Je sens une douleur dans mon poignet, mais je ne pense pas qu'il me l'ai cassé. Il enfonce ses doigts dans mes épaules et me retourne violement sur le lit. Par réflexe, je me suis un peu retenu avec les mains, mais mon poignet vraiment douloureux. Je grogne de colère, mais je ne suis même pas sûr qu'il s'en rende compte puisque mon visage est contre l'oreiller.

Ok, j'ai commis une erreur... Comment la rattraper ? Mon esprit tourne à une vitesse astronimique. Mais rien ne vient. Je me dégage néanmoins en roulant sur le coté opposé à lui. Je reprends lentement mon souffle.

"Y a d'autres moyen de dire que ça te plait pas, Kirof !"

Je me calme presque aussitôt, ça ne sert à rien d'essayer de le raisonner, ce mec est taré... Non, au contraire, il faut lui offrir ce qu'il veut... Je ne suis pas vraiment chiant tant que j'épprouve moi-même du plaisir... Il a juste pas intérêt à essayer de me forcer...

"J'ai envie de te sentir en moi, Kirof... rien ne me ferait autant plaisir... Permets juste que je me prépare à te recevoir..."

C'est surjoué, mais bon... Je suis persuadé qu'il n'y verra que du feu... Je m'appuie au mur, écarte les jambes et glisse mes doigts jusqu'à mon intimité en gémissant... Surjoué encore... Mais bon... Je ne suis plus à ça prêt, il ne me privera pas de ce corps juste parce qu'il est égocentrique ! Et je ne peux pas permettre qu'il me prenne de dos... Je veux le voir !

Tout d'abord il ose se défaire de mon emprise divine.
Il ose me regarder après ce qu'il a fait. Ne devrais je pas lui arracher les yeux pour les déguster pour lui faire comprendre qu'il ne doit pas élever son regard sur moi.

De plus il ose me parler. Lui un être inférieur, un jouet, un passe temps.
Je suis l'oeuvre, je suis immortel gravé sur cette feuille de papier. Lui tous le monde l'oubliera. Seul mon nom et mon corps resteront à jamais dans les mémoires.
Il a envie de moi? En plus il se permet de me donner des ordres. L'impudence dont il fait preuve envers son maître est innadmissible.
Je ne tolère ni la désobeïssance ni le manque de respect. Je ne tolère pas que l'on se croit mon égal ou pire mon supérieur. Je suis parfait, je suis la création à l'état pure des dieux. Mon corps est l'ame des divinités.
Et lui cet arrogant stupide ose me donner des ordres.
Il me veut il sera servit.

Je m'approche doucement de son corps si impure si indigne. Il doit comprendre la leçons alors il me servira docilement.
Près de lui sa méfiance non eveillée je passe mes mains sur ses épaules lentement. Puis d'un mouvement brusque je le relallonge.
Il n'a aucune force de résistence. C'est une poupée il a peur il doit avoir peur. Ils ont tous eu peur.
Une fois réallongé je met à cheval sur lui pour être sur qu'il roulera plus.

Hmm il penseait dominer mais rien n'est audessus de moi. Tout corps doit s'offrir à moi selon mes désirs de gré ou de force. Là mon désir est de le prendre et de l'entendre souffrir comme tous ont souffert. Après peut être je le tuerais et je profiterais enfin de son corps mignon. Je passerais des heures à jouer avec lui.
Mais trève de rêverie d'une main je prend mon membre et de l'autre écarte les deux fesses pour laisser apparaître ma cible.

Il a peut être un dernier souhait, je le laisse s'exprimer. Ma bonté est grande et magnifique. Il souhaitera surement de la pitié. Mais ma bonté est limitée. Et puis un dieu n'est ni bon ni cruel , seulment juste.

Je vois la folie briller dans ses yeux... Je suis pas dans la merde ! Il s'approche de moi... Trop doux, trop lentement... Puis il me plaque à nouveau sur le lit. Il se met sur moi me coupant tout mouvement...

Je me rends alors compte de ce qu'il va se passer. Il se fout que je souffre, il va même certainement tout faire pour que ce soit le cas... J'aurais du lui poser plus de questions sur ce qui l'a amené là... C'est un violeur ! Il me maîtrise complêtement, je ne peux pas me débattre et il est très calme... bien, que je suis certain que son délire est au paroxysme. Je ne peux rien faire pour le faire changer d'avis, rien faire pour l'arreter.

La terreur s'empare de moi. Non ! Non ! Je ne veux pas être violé, je ne veux pas pas... Je ne veux pas quoi ? J'étais consentant il y a quinze secondes ! Mais je ne peux pas prendre mon pied avec cette pensée, c'est aussi simple que ça.

"Kirof..."

Il ne m'écoute pas, je sens qu'il est déja en train d'écarter mes fesses. Je me crispe mais je sais que plus je serais angoissé, plus je souffrirai... Je le sais, je l'ai tellement expérimenté ! Je tente de me ressaisir, de me contrôler et surtout, surtout, de me détendre.

Je sens comme un battement, il ne me pénètre pas tout de suite... Va-t-il faire ça d'un coup de rein, brutalement, pour être certain de déchirer ma peau... Non, pitié, non ! Pitié ? Comment ça pitié ? Tu n'as jamais demandé la pitié de tes tortionnaires, Alec, c'est pas aujourd'hui que ça va commencer !

"Evite de faire couler trop de sang, les mâtons se foutent totalement que tu leur sois supérieur, c'est eux qui ont les matraques..."

Je place mes bras sous l'oreiller et plonge mon visage dedans. Je n'ai jamais donné le plaisir à mes violeurs de savoir à quel point j'avais mal, c'est pas aujourd'hui que ça va commencer. Je mors sauvagement le tissu. Il ne m'entendra pas crier. Je force mon corps à ce détendre, à se calmer par un exercice de respiration... Il n'aura pas le plaisir de voir ma peur, ni ma souffrance. Vas-y Kirof, vas-y, viole moi donc connard ! Tu le paieras !

J'ai gagné. Je lui ai prouvé ma supériorité. Il s'abandonne je le sens. Ses muscles se raidissent sous la peu mais peu à peu il se détend. Il a l'habitude il faut croire. Les artistes ont toujours été faible, inférieur.

De mes deux mains j'empoignent ses douces fesses fines et délicates.
Ai je dis que je les attrapais avec violence? Enfin attraper. J'abat mes mains dessus laissant sonner le contact rapide de peux nues l'une sur l'autre. Une fois bien en main je pose une main entre pour laisser l'écartement adéquat. J'observe ce trou se rétracter pour s'ouvrir un peu et se rétracter. La peu se sens et se voit. Mon membre se dresse encore plus. Ma domination est totale il s'abandonne à moi ainsi qu'a mon sexe divin. J'essairais de pas lui faire trop de mal. Je n'aime pas pénétrer trop en force. Le corps s'abime, les victimes se débattent et se brisent quelques chose. Leur cadavre après est abimé et repoussant.
Il m'adresse quelques mots encore. Comment ose t'il?

"Evite de faire couler trop de sang, les mâtons se foutent totalement que tu leur sois supérieur, c'est eux qui ont les matraques..."

Aha les mâtons? Mais les mâtons adorent les gens comme moi. Ils sont pareils en bien inférieur. Les matraques sont pour les jouets, pour forcer les autres à s'allonger. Mais moi je ne les interesse pas je les apprécies et en retour il me laisse en paix. En ce qui concerne le sang ne t'inquiète pas il ne coulera pas. Un cadavre sale est moins agréable.

Mon membre dans mon autre main je profite d'un moment de distractions après ces paroles . J'enfonce tout d'abord le gland je ne l'entend pas crier aucune importance les cris ne m'exitent pas.Je le vois la tête enfournée dans l'oreiller.Une fois le gland rentré en entier j'enfonce encore plus la colonne. Peut à peu je finis par rentrer la totalité de mon membre. Tous c'est passé doucement. Une fois cette première étape acompli je met mon bassin en mouvement donnant de petit coups. Puis j'augmente l'intensité peu à peu.
Une fois un rythme agréable obtenu j'enfonce violement un de mes ongles dans son dos. Rien de bien méchant mais une belle égratignure tout de même. J'approche ma bouche et me met à lécher cette plaie goutant au sang qui s'échappe. A chaque lampée un coup de rein plus fort.
Une seule goutte de son sang m'exite plus que n'importe lequel de ces vulgaires gemissements.

Il entre en moi, forcant le passage sans pour autant me blesser volontairement. La douleur n'est pas insupportable, mais le simple fait qu'il fasse ça... sans mon accord m'éccoeure.

Il commence de rapides va-et-vient et je sens que ça me brule. Je ne cherche pourtant pas à me débattre... il a parlé de... "cadavre"... Non, je ne lui laisserais pas la possibilité de me tuer, certainement pas !

Il me griffe le dos et je me cambre sans contrôler ce reflexe... puis il commence à mecher le sang qui perle de ma blessure. Il semble prendre son pied encore plus. Je force mon corps à se détendre... Je ne suis plus qu'une poupée de chiffon sous ses doigts et il me pilonne violemment. Je le hais. Je le hais. Il va payer ça très cher !

S'il m'a excité autant au début, ce n'est clairement plus le cas. Je n'ai plus qu'une envie, le tuer de mes mains... Je n'ai pas eu une telle envie depuis la mort de mon frère... Et ses assassins n'y ont pas survécus. Seule cette pensée m'habite. Je vais le tuer de mes mains !

Ma domination s'intensifie. Habituelment c'est à ce moment que je sors une corde de piano de ma poche et étrangle ma victime. Mais là je suis qu'en tenue de prisonieret deplus le moindre bout de tissus est à l'opposé dans la cellule.

Tant pis il restera vivant comme à mes débuts. Mais comme ça au moins je pourrais revenir lui rendre visite plus tard. Il s'offrira volontier à moi en guise de remerciement pour ce que je lui fait.

Mais que faire le laisser là et m'en aller? Non ça ne colle pas.
Je sais une fois que j'aurais finis je l'assomerais et l'bandonnerait dans un coin complètement à poil qu'il se fasse violer par un autre ce n'est plus du tout mon problème.

Je sens que mon plaisir peut encore monter mais je décide d'arretter maintenant question d'habitude j'ai toujours préféré me vider dans un cadavre que chez les vivants.
Je sors donc mon membre en errection qui se dresse. J'ai envie de le retourner et de gouter à d'autre plaisir mais règle n°1 jamais dans la bouche c'est trop dangereux.

Je cherche brièvement autour de moi ce qui peut l'assomer et étant à porté de main. Rien je ne l'assomerais pas donc je le porterais juste complètement attaché et bailloné.

Je récupère ses morceaux de vêtements déchirés et commence à lui lié les pieds assez serré mais pas d'un noeud parfait facile à enlever si l'on se débat un peut.

Il se retire... Enfin... Mon corps tremble... est-ce la rage ou l'humiliation ? Certainement un mélange des deux...

Pendant que je reprends vaguement mes esprits, il attrappe mes fringues et commence à attacher mes pieds. Aussitôt je me débat. Il n'est plus assis sur moi et je me retourne pour lui lancer l'oreiller au visage. Pas génial comme arme, mais j'ai juste besoin de répis.

Je m'élance hors du lit et m'étale lamentablement sur le sol entre les deux lits... Il avait fini son putain de noeud ! Je remarque alors que mon crayon est à quelques centimètres de ma main. Je l'empoigne et le cache dans l'allignement de mon poignet pour qu'il ne le voit pas. Dès qu'il me donne une ouverture, je le plante !

Je me retourne aussitôt pour lui faire face, pas question qu'il puisse recommencer. J'ai peut être les pieds attachés, je sais quand même me défendre !

Et c'est malin il se débat et s'enfuit. Bon il oublie rapidement qu'il a les pieds attachés et donc s'affale lamentablement par terre. Se relevant il se dresse devant moi apparament prêt à en découdre.
Il oublie apparament un peu vite la différence de vingts centimètre et les bon kilos en plus de masse musculaire.

Je déscend donc du lit assez loin de lui m'opposant entre lui et la sortie.
Je remarque que mon sexe est encore en erection ça me fait sourire.
Il immobilisé au niveau des pieds j'en profite donc pour lui insufler un coups de pieds au niveau de l'absomen pour le faire basculer en arrière.
S'il veut se battre j'ai toute mes chances de victoire.

Son coup me fait plier en deux et je perds l'équilibre vers l'arrière. Je me relève aussitôt et fait un petit saut pour m'éloigner un peu de lui. Je dois évaluer la situation. Je plie un peu les genoux pour me stamiliser. Même les pieds serrés, je devrais pouvoir faire contre poids à son prochain coup et basculer en AVANT ! Si je tombe vers lui, ça diminuera la distance... Si la distance est diminuer, je le plante ! Le dos, les côtes, le cou... Peu importe. Avec cette prise, mon coup aura assez de force pour pénétrer la peau... Et plutôt deux fois qu'une... Ton sang divin va innonder la pièce espèce d'enfoiré ! Mon regard, provocateur, déterminé, est plongé dans le sien... Approche donc !

Hmm c'est qu'il est agile. Mais l'agilité ne suffit pas contre la force des dieux. Les dieux me guide et m'inspire. Je suis beau grand et fort je ne peux être blessé. Il souffrira de tous son être. Je me demande si je le reviolerais pas une autre fois lorsqu'il sera inconscient.

Perdu dans ses pensées je vois la couverture repoussée en bout du lit.
Marchant d'un pas lent vers Alec j'attrape la couverture et lui balance du même mouvement qu'elle se déploie audessus et le recouvre rein qu'une fraction de seconde. N'attendant pas de voir le résultat de mon lancer je plonge sur lui juste après poings en avant prêt à lui écraser la tête avec mes mains.

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