Arrive

J'avais attrappé mes affaires pour retourner chez moi, quelques jours de congé ne pourrait que me faire du bien. J'étais d'une humeur massacrante, et la dernière chose que l'ont devait me faire faire c'était d'acceuillir un prisonnier. Mais evidement, à Sadismus, ce que l'ont souhaite le moins finit toujours par arriver.

Je laisse echapper un juron lorsque j'entendis mon nom, et que je devais acceuillir un autre maudit prisonniers, qu'ils ailles se faire foutre, je voulais partir moi! Je regardais l'heure, il me restais encore quelques temps avant de terminer ma journée, je ne voyais pas comment je pourrais eviter ce sale boulot.

Je me dirigeais vers les portes, je fis un signe au gardien de les ouvrirs, ce qu'il fit. Je me disais que ce prisonnier ferait mieux d'etre calme et concilliant. Car j'étais d'une humeur massacrante.

Lorsque je le vis finalement, je fis un petit sourire en voyant qu'il semblait bien effrayé.

"Parfait mon gars, tu ne sais pas ce qu'il t'attend, tu vas crever de peur ici ..."

J'avançais vers lui et fit un signe de la mains en directions des gardes pour qu'ils fichent le camp, je ne perdis pas une seconde et je fis avancer le prisonnier en direction de la prison. Je dis d'une voix seche et lasse:

-Je ne t'énumère pas tes droits, tu n'en n'as pas! Ici tu n'es rien. Tu ne sortiras jamais d'ici vivant, alors ne perds pas ton temps à foutre la merde.

Je n'avais même pas envi de lui nommer les reglements de la prison. Je lui donnais une petite poussée pour le faire avancer. Je baissais les yeux vers ses pieds, me demandant pourquoi ils lui avaient attaché les jambes.Je gardais ma mains sur ma matraque, au cas où ...

Je regarde le sol, nerveux et attendant mon entré.

"Parfait mon gars, tu ne sais pas ce qu'il t'attend, tu vas crever de peur ici ..."

Ah!...Je sursaute, ne m'attendant pas à l'arrivée du gardien. Je réfléchis ces paroles.Je me sens ridicule.

J'en suis bien concient et je sais ce qui m'attend...Dis-je d'une voix quasi-tremblante. Je ne savais pas exactement qu'est-ce qui m'attend à vrai dire...Mais peu importe ce que c'est...Ça sera horrible.

Je ne t'énumère pas tes droits, tu n'en n'as pas! Ici tu n'es rien. Tu ne sortiras jamais d'ici vivant, alors ne perds pas ton temps à foutre la merde.

Je ne réponds même pas à cela. Je n'avais même pas envisagé d'en avoir, des droits. Je regarde le gardien. je voyais bien son sourire moqueur. Je vois qu'il regarde mes pieds. Je sais quoi il pense.

Vous vous demandez pourquoi ils m'ont enchaîné n'est-ce pas? Ma voix était toujours tremblante mais beaucoup moins que tout à l'heure. J'essayais tant bien que mal d'avancer.

(Entre " " c'était mes pensées en fait XD)

Parfait, si il était conscient de ce qui l'attendait entre les murs de Sadismus, ce n'étais que moins de boulot pour moi. Et du travail j'en avais par dessus la tête ces derniers temps. Tout ce que je voulais c'était un fichu congé.

Je le poussais pour qu'il avance un peu plus rapidement

Vous vous demandez pourquoi ils m'ont enchaîné n'est-ce pas? Me demanda t-il.

J'eus un petit rire, et je dis:

-Et tu vas me le dire?

Je me demandais pourquoi il était attaché de la sorte, d'autant plus qu'il ne semblait pas si dangereux ...

(eh bah.......Gleb lit dans les pensée ==...EN fait non désolé je n,avais fait le lien -_______-...faut comme si t'avais rien vu dans mon post *siffle*)

Ile se mit à rire. Il trouves la situation bien amusante je trouve...Et avec raison. Je dois être ridicule...Complètement.

-Et tu vas me le dire?

J'aimerais bien...Mais je n'ai pas de réponses valables...Ils...Je soupire...Ils me croyent fou...Ils disent que j'ai des réactions innattendu...Je ne vois pas pourquoi.

Et alors qu'ils me croyent fou...J'ai l'air dangereux? Je n'ai jamais fais de mal à personne...Seulement à deux êtres monstrueux...Ma dernière famille. Je tremble toujours. Je me concentre pour essayer d'éliminer ce tremblement, mais en vain. J'avance puisque le garde me pousse...Mais je ne peux aller bien vite. Je le regarde du coin de l'oeil et je jette un regard à mes pieds parfois...Pour ne pas m'entremêler les jambes et me petter la gueule au sol.

J'aimerais bien...Mais je n'ai pas de réponses valables...Ils...Je soupire...Ils me croyent fou...Ils disent que j'ai des réactions innattendu...Je ne vois pas pourquoi.

J'eus un autre rire, un fou? Mais ils étaient tous fou!! Je l'étais aussi mais à un autre degré.

Je décidais de me laisser prendre au jeu. Je demandais d'une voix pratiquement gentille:

-Et tu es fou?

La question qui tue! J'avais presque hâte d'entendre sa réponse. Nous n'avions plus très long à marcher avant d'arriver près de sa cellule. Au moins la conversation ne s'éterniserait pas et je pourrais enfin être tranquille

Et tu es fou?

Il semble demander ça avec une certaine gentillesse. Je ne sais quoi répondre. Après un moment de silence, je finis par réagir. J'hausse les épaules. J,en ai aucune idée moi!

Il parait...

Je le regarde un moment, mais je baisse les yeux. Et je continue à regarder mes pieds, puis devant moi. J'aurais voulut ajouter quelque chose...Mais en fait...Je n'avais nis plus nis moins rien â dire. Rien à ajouter. Je suis ici et c'est pour toujours, à jamais. Ma vie était fini...Elle était fini avant même d'avoir commencer. J'avais hate de mes debarasser de mes chaines, de ma camisole de force. J'en pouvais plus

-Pff ... Vous l'etes tous fou, un de plus ou un de moins, qu'est-ce que ça change dis-moi?

Je le bousculais une derniere fois. J'en avais assez maintenant. Je fis accelerer le pas pour finalement me rendre jusqu'à sa cellule. Lorsque nous fument devantj e dis d'un ton las:

-Alors voila! Des questions?

J'esperais qu'il n'en ai pas, je voulais partir au plus vite.

N...Non...Je n'ai pas de question.

Je baisse les yeux et rentre dans ma cellule sans lui jetter un regard de plus. Comme il est méchant. Qu'est-ce que je lui avais fait moi? On est en prison. Il faut s'y attendre. J'avais quitter un enfer par mes crimes mais j'en rejoignais un autre.

Vous pourriez pas me retirer ces chaines et cette camisole de force?

Il me l'enlève et j'entre finalement. Cette fois je ne me retourne plus.