Dans les douches...seuls(Attention au sensible, pas regarde)

Je regarde avec envie l’image, puis je suis ravie d’avoir fait un peu effet sur eux. S’en ai presque hilarant. Je vois mon petit Ian aux cent coups. Ses yeux reflètent la peur et la colère à la fois. Une semaine déjà, et nos chemins ne se sont pas recroisés depuis. Quel dommage, mais apparemment c’est vite réparé. Moi qui pensais à l’instant que cette journée serait maussade, je me suis bien trompé. Et en plus deux pour le prix d’un, et qui plus est vraiment charmant.
Ian m’a reconnus il ne pouvait pas faire autrement, nous avons passé un moment inoubliable dans la salle de torture. Je ne sais pas qui est l’autre mais je ne vais pas tarder à le savoir. Tout arrive à se savoir. Mon pauvre petit brun essaie de se cacher sous une serviette, ce qui était, si me souvient bien, tout à faire flatteur. Peine perdue elle ne restera pas là bien longtemps.


- Qu’est-ce que tu me veux encore? Je ne veux pas de ton coup de main salopard!

Son insulte est si pathétique que je ne l’a relève même pas. Il cache son visage dans ses mains, c’est si triste que j’ai envie de le prendre dans mes bras. Oui j’aimerais bien encore le serrer contre moi. Mais j’ai un petit problème l’autre homme qui se rapproche d’Ian. Qui est-il son amant ? Ainsi donc il n’est pas seul, il aime quelqu’un ici. Ce n’est pas ce qu’il m’a montré, bien sûr à part son ancien Boss. Peu importe plus on est de fous, plus c’est chaud.
Le blond nous regarde tour à tour, il essaie de comprendre.

*bien qu’il continue*

Je ne pense pas que l’autre pourra faire quoi que soit contre moi. Je ne le sens pas assez costaud pour se battre contre moi. Je m’avance un peu vers eux mais avec une certaine méfiance tout de même.

-C’était un moment délicieux, n’est-ce pas Ian … je me rappelle très bien que tu as aussi trouvé ton compte. Mes oreilles en sifflent encore au son de ta voix.

Je croise les bras, j’écarte un peu les jambes pour bien me poster. Mes rangers font un bruit sourd sur le sol un peu humide des douches. Je regarde le blond en le toisant de ma hauteur, un sourire sadique aux lèvres. Je passe ma langue sur mes lèvres. Je repense au gout qu’il avait, le sang de ses plaies, un excellent moment en vérité, pour quelqu’un qui c’est fait torturer.

-Pour répondre à ta question Ian, je m’ennuis, c’est une journée sans aujourd’hui … Mais maintenant vous allez l’égayer.

C’était aussi simple que cela. Ian était peu être en colère contre moi mais ça ne me dérange pas, je vois l’autre qui est dans le même état que lui. Mais mais je ne l’ai pas encore tenu dans mes bras. Cette chose allait bientôt être réparée.

Ian

Quel moment ?

J’essais pas de le regarder. Je ne veux pas qu’il me voie dans cet état si laid. Si je me retourne…je lui dirais de partir pour ne pas avoir d’ennui. Je ne veux pas qu’il se mêle d’un problème à cause de moi. Désolé Van si j’ai la malchance qui me ronge l’esprit. Je ne veux pas que tu ailles ce que j’ai sur les épaules.

Thorkel s’approche de moi. C’est ce que je ne voulais pas. Je veux qu’il parte et qu’il me laisse tranquille. Il a détruit …ce que….laissez tomber. J’aimerais me relever et le pousser pour qu’il parte ou bien j’aimerais juste lui donner un bon coup de poing. Sauf que, j’ai peur de lui et j’ai honte à le dire. Depuis qu’il m’a violé en entier, depuis qu’il m’a montré son vrai visage, je m’effondre à chaque fois que j’y pense. Je baisse la tête avec mes yeux pleins d’eau pour ne pas le voir s’approcher...le salaud…

-C’était un moment délicieux, n’est-ce pas Ian … je me rappelle très bien que tu as aussi trouvé ton compte. Mes oreilles en sifflent encore au son de ta voix. Pour répondre à ta question Ian, je m’ennuis, c’est une journée sans aujourd’hui … Mais maintenant vous allez l’égayer.


Je me relève vite la tête avec un regard noir. Là, je suis très en colère. J’ai peur que Van apprend ce qui s’est passé avec Thorkel. Je ne veux pas qu’il me rejette et dit que je suis une pute ou une putain. Je frappe le sol très férocement et me voix s’élève imprégné de colère.

- Je m’en fou de ta journée! Et puis ferme la!

Je me suis mis à rire soudainement en penchant ma tête par en arrière. Je ris et je ris….trouvant pas de mots pour le faire disparaître. Je ramène ma tête vers l’avant et je continue de rire.

- Crois-tu que j’ai aimé ce que tu m’as fait? Peut-être que j’ai crié, mais est-ce que tu crois que j’ai adoré ?….tu est nulle…Van est meilleur que toi…meilleur chance la prochaine fois!

J’éclate de rire, mais un grand rire provocateur. Je pense que je perds la boule.

- À lala! Je ne pensais pas que les anges sont après moi!

Je tapote le sol, toujours en riant. Quelques secondes plus tard, j’arrête sèchement et des larmes coulent sur mes joues. Je me laisse tomber par en arrière pour me coucher en regardant le plafond.

- J’aurais du mourir quand j’en avais le temps…

Mon rire recommence à me tourmenter. Je ne sais pas ce qui me prend, mais tout ce que je sais c’est que je perds la boule...encore une fois. Je veux prend le sabre de Thorkel et m’égorger vivant…comme cela…sans raison. Ma petite voix suicidaire me le dit, mais ma petite voix de conscience n’est pas d’accord. Elyan…c’est lui ma conscience …..merde…ferme la Elyan …Je te déteste….

- Crois-tu que j’ai aimé ce que tu m’as fait? Peut-être que j’ai crié, mais est-ce que tu crois que j’ai adoré ?….tu est nulle…Van est meilleur que toi…meilleur chance la prochaine fois!

Le faite de violer une personne ne peux donner de plaisir à l’autre, c’est sûr. Mais c’est dommage. J’ai eu le mien et cela me suffit. Son rire est des plus nerveux, voir à la limite de l’hystérie. Je crois que ma présence l’a dérangé. Pas grave, c’est juste que je vais en profiter encore une fois. Je vois le regard du dénommé Van se poser sur moi, il ne me quitte pas des yeux. Les paroles de Ian l’on surprit, il ne savait pas pour nous deux, notre petite rencontre dans les sous sols. L’amoureux transit en a pris un coup dans le cœur, pauvre chou. Je regarde Ian s’allonger par terre ; et dire d’une voix morte.

- J’aurais du mourir quand j’en avais le temps…

Non Ian tu vas vivre et longtemps encore. Sinon tu serais mort depuis un certain temps. La tête de Van continue de passer entre nous deux. Dans son crane, les mots que son amant prononcent doit lui faire mal. Les questions doivent en faire le tour. Qu’est ce que cela peu me foutre, lui avec ses yeux noirs fixés sur moi. Il veut me tuer. Grand bien lui fasse. Il aura bien du mal.

Si tu lui a toucher, je te jure que tu aura à faire à moi !

*Houuuu !! Mon dieu j’ai peur ! Non mais il se prend pour qui le justicier des violés ?*

C’est à mon tour de rire, et je ne me prive pas. Il se répercute même sur les murs des douches en échos. Ma position n’est peu être pas favorable mais j’ai du répondant. Merci à vous Maître Zuang. En plus je suis armé et personne n’a encore essayé même réussi à me retirer mon arme des mains. Et ce n’est pas le petit blondinet de Van qui va y parvenir.
Pendant qu’Ian regarde amoureusement le plafond je m’approche doucement de Van. Il me défit du regard, il n’a pas froid aux yeux. Il est bien différent d’Ian. Ce ne sera que meilleur, s’il a envie que l’on se batte je suis son homme. Un peu d’exercice n’a jamais fait de mal à un gardien. Peu importe l’exercice. Moi je suis pris entre deux feux, deux violences. Je vais avoir le choix, au moment venu. Je me penche vers lui, le visage fermé. D’une voix suave je lui réponds.

-Je l’ai touché … caressé … pris ! Il a crié, comme il le dit lui-même, sans désir … Mais il a tout de même gémit ! Un vrai plaisir pour mes oreilles peu chastes. Tu vas faire quoi maintenant ? Me frapper … Me tuer ?

Je décroise les bras et les met en croix comme pour l’attendre. Je n’ai certainement pas l’intention de me laisser faire. Ce petit merdeux va s’en prendre. Et même si Ian s’en mêle je ne crois pas qu’il y puisse grand-chose. Il le sait, il a déjà testé. Bien campé sur mes jambes, je suis en position contre toutes attaques.

Ian

Si tu lui as touché, je te jure que tu auras à faire à moi

Je me lève subitement. Mon regard si dirige vite en l’a direction de Van, dos à moi. C’est vrai…même si je le connais à peine…je sais qu’il est un peu animal. Je sens que mon cœur se serre. Comme si un file de fer viens me le trancher pour le briser en deux. Je sens un mauvais pressentiment. Je me sens mal. Non Van, cours vite…cours et laisse moi. Je te protégerais tes arrières et je ne veux pas que le méchant loup t’attrape. Je vais faire un sacrifice de moi pour toi…et c’est rare.

Je vois Thorkel s’avancer de lui avec un air que je n’aime pas. Je tremble et je respire vite. J’ai peur d’une bagarre et pire encore…la mort de Van. À chaque fois que je suis dans le sujet…cela fini toujours en bagarre ou avec beaucoup de sang. Bordel, pourquoi moi? J’aurais mourir que j’en avais le temps…oui…quand j’avais l’opportunité de me laisser tirer dessus par ma mère. Celle qui ne m’a jamais aimé.

-Je l’ai touché … caressé … pris

Je pris ma tête entre mes deux mains. Je ne veux plus entendre et ne rien voir. Je me blottis dans mon coin comme un enfant qui a fait un cauchemar.

- Il a crié, comme il le dit lui-même, sans désir …

Je me balance en gémissant de douleur.

-Mais il a tout de même gémit !

Non…je ne veux pas entendre…non…non…

-Un vrai plaisir pour mes oreilles peu chastes. Tu vas faire quoi maintenant ? Me frapper … Me tuer ?

- NON!

Cris-je affolé…perdu. Je me lève subitement, pris Van par l’épaule et le tire par en arrière. Je le pousse un peu loin et je me retourne. Maintenant, je suis devant le grand méchant loup. Mon visage exprime de la peur et de l’inquiétude. Mes yeux brille, mais brille de désespoir.

- Va falloir que….. tu me passe sur le… corps pour lui faire ….quoi que ce soit, dis-je à Thorkel en essayant de parler avec courage.

Des larmes coulent encore sur mes joues. Je pris le collet du veston de Thorkel avec mes deux mains, tremblantes et pleines de cicatrice. Je le regard droit dans le yeux.

- Pourquoi moi?....

Je regarde Thorkel lorsqu'il rit. Qu'est-ce qui lui prend encore. Il ne doit pas me prendre au sérieux. Pourtant, je le suis. Je déteste, ou plutôt, Yuuki déteste lorsque quelqu'un se moque de moi. Je sens que Yuuki ne va pas tarder à se montré si ça continue comme ça. De plus, Thorkel continue toujours de rire et s'avance. Je ne bronche pas. Je n'aurai jamais peur de personne, enfin, Yuuki m'y aide beaucoup en se moment. J'aurais eu peur sinon, mais je sais que je peux compté sur ma double personnalité. Thorkel se penche vers moi. Je le déteste au plus au point lorsqu'il prononce sa phrase.

-Je l’ai touché …

Je le regarde. J'avais raison. Il a coucher avec Ian. Alors pourquoi est-ce que Ian ne m'a pas repousser tout à l'heure ? Pourquoi est-ce que Yuuki et lui ont coucher ensemble ? Ah ! Et puis, je me poserai les questions plus tard. Pour l'instant, j'ai un problème de taille devant moi et je veux protégé Ian.

caressé …

Je déteste lorsque Thorkel parle. Je ne sais pas vraiment si j'ai envie d'entendre la suite. Ah ! Après tout, j'aurai une raison de plus d'en vouloir à se gardien.

pris ! Il a crié, comme il le dit lui-même, sans désir …

Au moins, je suis rassuré. Ian n'a pas l'air de mentir. Il a l'air contrarier depuis que Thorkel est là. Enfin bon, je m'occuperai de lui après.

Mais il a tout de même gémit ! Un vrai plaisir pour mes oreilles peu chastes. Tu vas faire quoi maintenant ? Me frapper … Me tuer ?

Je le regarde lorsqu'il fini de parler. J'avais baisser la tête. Je ne savais pas vraiment si je voulais absolument écouté la suite, mais maintenant, je savais ce qui s'est passé et j'ai une rage envers Thorkel.Je ne sais pas vraiment quoi faire. Devrais-je me risquer et le frapper. Je sais que je n'aurais peut-être pas se qu'il faut contre lui, mais j'aurais au moins essayer. Je le regarde se positionner. Je ne bouge cependant pas. J'attends un peu avant d'enfin lever le poing. Avant de pouvoir vraiment avoir le poing levé près de ma poitrine, j'entends un cri derrière moi. Ian. Qu'est-ce qu'il a ?

- NON!

Je me retourne vers lui. Je n'ai pas le temps de faire quoi que se soit d'autre qu'il me tire vers l'arrière. Qu'est-ce qu'il a tout d'un coup ? Je me suis retrouvé sur le mur d'où il est venu. Il n'était pas tellement loin, mais assez pour être écarter de Thorkel.

- Va falloir que….. tu me passe sur le… corps pour lui faire ….quoi que ce soit

Ian. Qu'est-ce que tu fais maintenant ? Je ne le comprendrai peut-être jamais. J'essaye de le regarder. J'avais avoir du mal. J'ai la vu un peu embrouiller. C'est vrai quoi. Je viens de me faire pousser sur un mur. Je suis un peu assommé en se moment. Je suis totalement dans les vapes. Je dois me reprendre vite. Je regarde dans la direction de Ian et de Thorkel et tout ce que j'arrive à entendre c'est un :

- Pourquoi moi?....

Ian. Pourquoi m'avoir poussé. J'étais près à te protégé. Maintenant, je ne peux plus vraiment faire grand chose. J'essaye de me relevé, mais j'ai vraiment du mal. Je suis même retomber en m'adossant au mur pour m'assoir. Je dois faire quelque chose. Je ne sais pas ce que Thorkel va faire et ça me fait un peu peur.

- Va falloir que….. Tu me passe sur le… corps pour lui faire ….quoi que ce soit. Pourquoi moi?....

Ses mains sont crispées sur ma veste, comme il l’avait déjà fait dans la salle de torture. C’était avant, avant qu’il ne soit totalement à moi, dans mes bras. Il me pose encore cette question, je lui ai maintes fois dit pourquoi, pourquoi je le voulais. Ne me croit-il pas pour me poser encore la question ? Que dois-je faire pour qu’il comprenne enfin le sens de mes paroles ?

Mais son idée n’est pas mauvaise, puisqu’il veut que je lui passe sur le corps, je peux accéder à son désir, au moins il n’y aura plus de doute dans son esprit. Je pose une main sur sa joue humide, que j’essuie lentement. C’est si bion de retoucher à sa peau si douce, si blanche comme du nacre. Le désir monte ne moi comme une flèche. Je n’ai que faire de l’autre type, qui est un peu sonné grâce à Ian. Si ce n’est pas une ironie ça, je ne sais pas ce que c’est. Peu m’importe pour le moment, seul Ian à mon coté capture toute mon intention. Revoir ce corps près du mien me donne la chair de poule. Les frissons me passent dessus comme une déferlante, je ne pourrais pas me retenir cette fois-ci. Ce n’est pas l’endroit propice à ce genre de « rendez-vous » mais l’exception est de taille. Taille moyenne, les cheveux bruns mi-long et des yeux à faire tomber n’importe quel humain digne de son nom.

Il jette un œil au détenu assis contre le mur, ce n’est pas un problème en soit mais je me tiens toujours à être sur mes gardes. Puis je me penche lentement vers le tendre visage d’Ian. Je peux ainsi le contempler à loisir, et remarquer ses yeux brillant de larmes. Cette image est parfaite, je suis encore plus passionné et affamé de se jeune homme sensible.

-Tu me demande encore pourquoi toi ? Mais tu le sais déjà, je t’en parlé dans la salle de torture. Tu devrais avoir un peu plus de mémoire. Je te veux Ian, tu m’as appartenu une fois et tu le seras une seconde. Aines-tu, à ce point, entendre te dire que tu m’as plu dès le premier regard et te posséder dès l’instant même. S’il n’y a que ça pour te faire plaisir.

Sur ce, je lui prendre le visage dans mes mains, il ne peut se soustraire à mon regard. Il ne peut plus bouger d’un pouce sans se faire du mal. C’est avec la plus grande joie que je continue dans ma lancée. Il veut savoir, et je veux encore lui donner tout un peu de bienveillance, celle que nous avons partagé il y a peu.

-Tu es prêt à te donner pour lui. C’est mieux que rien et cela me convient très bien. Alors à toi l’honneur Ian, je suis tout disposé pour toi. Puisque que tu es propice à donner ton corps pour lui. C’est très généreux de ta part. Ton ami et moi-même nous te remercions.

Je m’approche plus pour que nos lèvres se joignent dans un baiser peu chaste. Plus rien ne pourra m’empêcher de la posséder, pas même celui qui est toujours à terre. Même par la force j’arriverais à mes fins, coute que coute.

Ian

Je continue de regarder Thorkel en essayant d'attirer son attention pour pas qu'il puisse faire du mal à Van. Je me sens arraché de tout bord tout côté....et surtout démoli. Je sais que Van vas vouloir m'arraché la tête et bien plus, mais je fait cela pour lui. En même temps, j'essaie de protéger Thorkel de Van. On peut dire que je suis séparer dans tout les sens. j'essaie de regarder Van du coin de l'oeil, mais je ne le vois pas. Où il est? Je ne le vois pas ...je vois juste une ombre noir et Thorkel avec son air supérieur. Je veux voir s'il est encore là....comme si je pensais qu'il ne serait qu'un rêve fugace....que bientôt je me réveillerai de ce cauchemar que je n'ai jamais voulu....je pense que depuis que je suis par terre entrain de crier...je délire...je dois juste voir cela comme une illusion....je ne veux pas voir...peut-être que je dors dans les bras d'un ange....de Van....ou bien autre ....

Des larmes coulent sur mon visage terni et en colère. Thorkel ne puis s'empêcher de me toucher au visage et d'enlever mes larmes. Je continue bien fort de prendre tout son attention vers moi....encore. Si je ne rêve pas...et bien cela serait une chance à Van de s'échapper pour me laisser ici....pour sa sécurité. C'est si dure que quand tu aime deux personnes en même temps et que ta tête ne sais pas ce qu'elle veut...je me déteste au plus au point de me suicider si c'est le pire...c'est comme si je joue dans une émission de télé réalité et que je suis la pute qui aime deux hommes et qu'elle veut se tuer à cause d'un surplus de conscience et d'émotion. Je m'attend à un tout et à un rien. Je suis prêt à faire n'importe quoi juste pour que Van s'en aille et que Thorkel ne pense plus à se battre...ou le contraire.

Soudainement. j'essais de jeter un oeil...encore...pour voir si Van est encore là. Malheureusement, Thorkel penche sa tête à quelque centimètre de mon visage.

-Tu me demande encore pourquoi toi ? Mais tu le sais déjà, je t’en parlé dans la salle de torture. Tu devrais avoir un peu plus de mémoire. Je te veux Ian, tu m’as appartenu une fois et tu le seras une seconde. Aimes-tu, à ce point, entendre te dire que tu m’as plu dès le premier regard et te posséder dès l’instant même. S’il n’y a que ça pour te faire plaisir.

Je me retourne aussi vite que la lumière avec de grands yeux écarquillés. Je reste bouche bée et sans mot. Je veux exploser de rage et me fondre dans le plancher. Je veux aller me cacher...pour m'enfuir de la honte soudaine qui me traverse l'esprit comme une lame à trois tranchant. Je sens que ma vie vas être un désastre totale et que Van vas me détester de toute sa vie avec son âme. Merde....Et en plus, je voudrais parler et lui dire ce qui me chatouille la tête, mais sa ne sort pas. Ma tête me dit de me la fermer depuis qu'il ma vraiment pris ma tête entre ses mains. Je me sens très proche de lui et je sens son sabre m'accoter sur le côté.

-Tu es prêt à te donner pour lui. C’est mieux que rien et cela me convient très bien. Alors à toi l’honneur Ian, je suis tout disposé pour toi. Puisque que tu es propice à donner ton corps pour lui. C’est très généreux de ta part. Ton ami et moi-même nous te remercions.

Il m'embrasse aussitôt. Je reste figé...et je veux vraiment exploser ma rage...la craché comme du venin...mais après qui? Je ne sais pas...pour moi même? Me refouler encore une fois en disant que les fautes sont tous de mon essence?...Je m'enlève de son emprise du visage en bougeant ma tête de côté. Maintenant je vois Van...avec un regard un peu perdu...qui nous contemple...Je viens d'avoir quelque chose qui me traverse l'esprit...depuis que j'ai touché le sabre de Thorkel...Mes lèvres se mirent à dire désolé, mais silencieusement. Pour dire un message à Van. Mes yeux lui envoyaient un regard tendre et désolé. Thorkel n'a pas vu.

Je me retourne en prenant un souffle intérieurement. Mon visage change d'attitude et se transforme en une expression de sensualité envers Thorkel.

- Me remercier? Bah....de rien...je fais cela juste pour moi....et pas pour vous...mais...dis moi Thorkel...qu'est-ce que tu ferais si...

Je l'embrasse vraiment très profondément et je profite de l'instant pour prendre le sabre doucement pour pas qu'il ne se rend conte. J'attendis l'instant propice pour l'enlever de son fourreau et de me pousser très sèchement de lui en reculant brusquement. Je le mis près de mon coup...environ quelques centimètres de distance...et mon regard se change en une expression de colère et de désolation profonde. Je recule tout en disant avec une voix étouffé et rauque.

- Je me suiciderai devant tes yeux? Je veux juste que tu pars pour ne pas...créé d'ennui....

Une boule se forme dans ma poitrine et ma tête ne puis s'empêcher de crier une colère et une haine froide imprégné de larmes. Je ne puis me retenir...

- Je veux qu'on me laisse tranquille! Sinon je me tue! J'en ai assez!!!!

« - Me remercier? Bah....de rien...je fais cela juste pour moi....et pas pour vous...mais...dis moi Thorkel...qu'est-ce que tu ferais si... »

La bouche fermée en un trait fin, le regard sévère, Thorkel enrageait en voyant le jeune Ian, sa lame près du cou. Le gardien ne bougea pas d’un pouce, tous ses muscles en attentes. Il resta là à le fixer, le sonder. Par contre son cerveau était en ébullition, cependant il n’en montra rien. Les sens en alertes, ses pensées n’étaient pas moindres.
Il était furieux à un point qu’il ne saurait le dire. Le pire étant qu’Ian avait osé prendre son sabre à son insu. Il s’était joué de lui et avait piétiné ses sentiments qu’i avait pour lui. Il allait payé cet affront et de la façon dont il n’avait même pas idée. Sa perversité augmenta d’un bond sur l’heure. Avec un sourire des plus mauvais, il lui fit cette preuve d’animosité.

-Vas-y fais-le et tu seras a moi pour l’éternité, tu n’auras même pas eu le temps de profiter de ton ami, contrairement à moi. Mais crois-tu que je vais en rester là, certainement pas. Mon sabre est une partie de moi, comme mes sentiments. Tu m’as bien leurré avec ton faux baiser. Tu es mal Ian, très mal.

Avant que le jeune détenu, faible physiquement, est eu le temps de faire un geste, le poing de Thorkel s’abattit sur le coude de Ian, son autre main prenant possession de son épaule pour bloquer tout son bras. Le coup était violent, ne laissant pas grand choix que de la lâcher. L’arme tomba sur le carrelage faisant un bruit assourdissant. Thorkel n’avait pas l’intention de le blesser pour le moment, enfin pas réellement.. Il s’apprêtait à le faire plutôt moralement et dans le domaine Thorkel était un bon.
Celui-ci ne lâchant pas du regard le jeune écervelé, s’empara de son épée et la replaça dans son fourreau. Puis il se mit face à lui, l’air plus menaçant que jamais.

-Tu ne vas pas mourir aujourd’hui … Pas toi !

Il attrapa Ian par les poignets sans ménagement, ne prenant plus aucune précaution. Pas comme avant dans la salle de torture, ce temps était révolu. Avec force, il l’envoya contre le mur des douches. Sans perdre un instant, ne lui laissant pas une réaction d’attaque, il prit ses menottes et attacha le jeune homme au tuyau d’arrivée d’eau. Puis il se recula pour voir l’effet produit.
Sa mine mauvaise se transforma, un laps de temps, en un visage d’adolescent farceur, un sourire joyeux plaqué sur ses lèvres< ;

-Maintenant, nous pouvons passer au chose sérieuse. Puisque tu à eu l’audace de me tenir tête, mais surtout d’avoir "emprunté" mon sabre, je vais devoir sévir.

La fureur de Thorkel reprit le contrôle de ses sens d’un coup. Il partit en direction de l’autre homme allongé encore sur le sol humide. S’accroupissant à coté de lui, le gardien releva sa tête en l’empoignant par les cheveux. A présent il pouvait voir son joli minois à loisir. Pas mal comme garçon, cela allait être un véritable plaisir de jouer avec lui.
Thorkel rapporta son regard vers Ian, son expression encore plus diabolique.

-Tu croyais vraiment que je m’en prendrais à toi. Non, mon petit Ange, trop facile. Mais comme je vais m’amuser avec ton ami, tu ne risque plus de le faire. Si tu intente à ta vie il paiera aussi de la sienne. Cependant je ne passerais jamais sur le faite que tu as entrepris me prendre mon cher sabre. Je vais donc te laisser tranquille comme tu le désirais si ardemment, pas lui.

Thorkel se releva prestement, s’assit sur les fesses de l’autre. Dans un déchirement de tissus, faisant sauter les boutons, il retira la chemise du prisonnier, mais les manches. Il se servit des pans du vêtement pour l’attacher, les bras dans le dos. Puis il serra fortement, se foutant royalement si par malchance il pouvait lui arrêter la circulation du sang à ce niveau.
Thorkel avait pleinement profité que le détenu était encore dans les vaps. Il se redressa, se campant sur ses jambes, toisant les deux hommes. La vue était imprenable, le visage du gardien encore plus, comme si un démon était entré dans les douches.

Ian

Je vis le sourire de Thorkel : un sourire mécontent et très fâcher. Je le savais depuis le début…maintenant…je me sens le plus pire des chiens sales. Le plus pire des pires. Je sens que mon cœur fond en dans une flaque de sang et de dégoût de moi même. J’ai joué avec ses sentiments et j’ai joué avec les sentiments de Van. En fait…je ne jouais pas…mais je suis juste perdu dans ma tête…dans ma vie. Je voulais juste chercher quelque chose….mais quoi? Je les aimes….mais je ne sais pas ce que je veux réellement.

-Vas-y fais-le et tu seras a moi pour l’éternité, tu n’auras même pas eu le temps de profiter de ton ami, contrairement à moi. Mais crois-tu que je vais en rester là, certainement pas. Mon sabre est une partie de moi, comme mes sentiments. Tu m’as bien leurré avec ton faux baiser. Tu es mal Ian, très mal.

Je baisse la tête avec un air anéantis. Je continue de pleurer et je reste sans mots. Je sais que je suis mal…je suis un mal…je suis le plus pire des pires de cette prison. Je suis un cancer…un parasite…une tumeur. Est-ce que je suis vraiment prêt à mourir? Cela sonne vraiment lâche. Je ne suis pas un lâche! Je n’ai jamais laissé tomber quelque chose…même pas ma fierté. Mais là, je laisse tomber mon être de sang froid. Je trouve que j’ai trop changé à cause de ces deux êtres que j’aime.

Je n’ai pas eu le temps de faire un seul geste ...je reçois un coup sur mon coude et il empoigne mon épaule. J’échappe l’arme et il le ramasse. Maintenant…je suis dans la merde. Je suis sur qu’il va me tuer ou bien m’étriper…ou bien pire. Il se mit devant moi, avec un air très mécontent…en colère même.

-Tu ne vas pas mourir aujourd’hui … Pas toi !

Il m’attrape soudainement et me fait revolé sur le mur. Je suis tellement inerte d’après ce qu’il vient me dire que je me laisse faire. Je ne me comprend plus…je dois agir. Maintenant, il m’attache et me sourire avec un air joyeux. J’ai fait de Thorkel un cœur cassé en ce moment. Je suis désolé Thorkel…désolé…

-Maintenant, nous pouvons passer au chose sérieuse. Puisque tu à eu l’audace de me tenir tête, mais surtout d’avoir "emprunté" mon sabre, je vais devoir sévir.

Mes yeux ouvrirent grand. Là, je ne sais plus quoi faire. Je suis menotter, perdu et sans force. Un vrai idiot dans son coin. J’y pense…aux choses sérieuses? ….Sévir?...mais…EH!? Non…attend…je…

Il s’attaque à Van en empoignant ses cheveux. Je m’agite, j’essais de me détacher. Je cris son nom plusieurs fois, mais aucun son sort de ma gorge. Je panique. Je me sens vraiment mal. Je veux protéger Van…mais je me sens impuissant. Je regarde aller Thorkel…Il me regarde avec un air diabolique.

-Tu croyais vraiment que je m’en prendrais à toi. Non, mon petit Ange, trop facile. Mais comme je vais m’amuser avec ton ami, tu ne risques plus de le faire. Si tu intente à ta vie il paiera aussi de la sienne. Cependant je ne passerais jamais sur le faite que tu as entrepris me prendre mon cher sabre. Je vais donc te laisser tranquille comme tu le désirais si ardemment, pas lui.

Il l’attache. J’arrête d’agiter et une colère en moi monte. Mon cœur débat…et j’ai vraiment envie de crier. Je me perds dans ma tête, essayant de trouver Eizan ou Mina ou Elyan, mais aucun ne me répond. Là je me fâche…Je ne suis pas un ange….je suis un démon sale…un démon laid et répugnant avec plusieurs démon dans ma tête. Je m’en fou de son sabre….mais je ne veux pas qu’il s’en prends a Van et je ne voulais pas qu’il se fâche.

- Je ne suis pas un ange, dis-je en colère avec sanglot. Je suis un démon laid…je suis un chiens sale…je suis une merde

Je ne puis m’empêcher de crier.

- Prend toi à moi! Je ne suis pas un être délicat comme tu le pense! Tu peux me faire mal autant que tu veux, mais tu ne t’en prends pas à lui. Fais moi ce que tu veux sur moi…prend toi à moi…fais moi la correction que tu veux mais lâche le!

Je fis un geste brusque avec mes mains attacher en essayant d’approcher mon corps. Ma voix se fit un peu plus rauque et couper.

- Si tu serais à ma place. Est-ce que t’aurait fait n’importe quoi pour protéger les deux personnes qui te sont cher à tes yeux? Ne voit tu pas à quel point je ne veux pas de problème! Maintenant…c’est moi le monstre...je ne fais qu’empirer les choses! Si tu me comprends….alors prend moi!

Je me reviens sur le mur, tranquillement. Mes bras et mon corps deviennent mous. Mon regard montrait une très grande tristesse profonde…avec supliation. Je le supplie…comme je ne l’ai jamais fait auparavant.

- Arrête…s’il te plait...laisse le et prend moi à la place…je t’en supplie…

Van…désolé d’être le plus pire et être incapable de te sauver…je pense que tu ne mérites pas un monstre comme moi, faible et laid. Je pense que Van me déteste. Je le vois…et je me sens mal. Une douleur me traverse les cœurs. Quand je regard Thorkel en colère, une autre douleur me traverse le cœur. Peut-être qu’il devrait tous le deux se venger sur moi.

- Je ne mérite même pas d’être aimer par ….vous deux…

Je ferme les yeux et je recommence à pleurer. J’ai mal…au cœur. Je ne puis m’empêcher de crier ma colère aussi forte que mes poumons n’en peuvent plus. J’avais mal à la tête et je commence à bouger bizarrement. Je tremble et mes nerfs me firent bouger drôlement. Je pense que c’est trop de stress…je fais un crise d’hyperventilation. Merde…Je siffle avec ma respiration. Je gémis de douleur et mes yeux bougent nerveusement. Je tousse de plus en plus…je manque de respiration. Là…je suis dans la merde. Désolé…

- Si tu serais à ma place. Est-ce que t’aurait fait n’importe quoi pour protéger les deux personnes qui te sont cher à tes yeux? Ne voit tu pas à quel point je ne veux pas de problème! Maintenant…c’est moi le monstre...je ne fais qu’empirer les choses! Si tu me comprends….alors prend moi!

Certes, je ferais n’importe quoi pour ceux qui me sont chers, mais même là je n’ai pas su les protéger. Ils sont morts et moi je vis dans l’ombre, ici, avec ceux qui en sont la cause. Je comprenais parfaitement son point de vu, cependant, ils restent des détenus, lui et Van, sauf que lui est celui qui m’attire au plus profond de mon être. De cela je ne puis rien, je ne désire pas que ça s’arrête. Pour moi C’EST un être délicat, quand je le vois cet état, en pleure, respirant difficilement, avec un esprit torturé, il peut être rien d’autre. Un ange déchu dans un antre de démons.
Ma colère ne s’est pas résorbé pour autant, elle est même toujours apparente sur mon visage, sur chaque muscle de mon corps. Mes points se serrent, j(‘ai envi d’aller vers lui et de le secouer comme un prunier pour qu’il se reprenne. Je le préfère en colère, vengeur, que cette petite chose fragile en larmes, complètement abattu.
J’en suis la cause, je le conçois, c’est aussi plus fort que moi pourtant. Ian m’a attiré comme un aimant sur le fer, depuis le premier regard.

- Je ne mérite même pas d’être aimer par ….vous deux…

Désolé de te décevoir, mais je ne suis absolument pas d’accord. Chaque personne a le droit d’être aimé. C’est juste que la manière soit différente et avec ça on a le droit de ne pas partager le même concept. Quoique je me demande s’il sait ce qu’est l’amour ? A-t-il vécu le vrai amour ou il n’a eu que des expériences similaires ? je penche pour la deuxième question, qui fait aussi office de réponse. Bien sûr il tient beaucoup a Van pour se donner avec autant de vigueur. J’aime Ian, pas comme avec Saki, mais ça se rejoins quelque peu.
Je laisse Van ou il est, non sans être sûr qu’il est hors service. Puis je m’avance vers Ian, je suis encore furax, contre lui mais aussi contre moi. Peu importe, je m’agenouille devant lui et lui relève le menton. Mes doigts sont durs, c’est ce que je veux pour lui … Etre dur pour qu’il arrive à reprendre un semblant de contrôle, pour qu’il sorte de sa torpeur. J’en ai ras le bol de ses pleurnicheries, Ian dé »sire-t-il qu’on le prenne pour un fragile martyr. Le pauvre, tout le monde en veux à ses fesses et des personnes en subissent les conséquences … Comme Van.
Et lui est en train de pleurer au lieu de se battre pour lui, il devrait prendre des leçons avec Carl Hyde. Lui n’aurait jamais cédé, jusqu’au bout il aurait montré les crocs et sa haine. Suer quelle personne est-il en train de se lamenter … Lui ou Van … Ou bien sur sa condition ?

-Tu te donnerais pour le sauver ? Tu me dis que tu ne mérite pas d’être aimé de nous ? Mais dis moi aussi, si je prends ton corps, aurais-je aussi ton cœur et ton âme ?

J’avance mon visage près de son cou, de ma langue, je lèche cette peau qui m’avait tant fait frissonné il y a quelque temps … Trop longtemps. Je capture son lobe de l’oreille, que je mordille légèrement. Je ne lui ferais pas de mal, pas encore, tout va se jouer dans quelque instant.

-Ferais-tu l’amour avec moi, par plaisir et désir ? Tout dépends de toi et de ta réponse … Mon comportement, avec vous deux, sera différent selon ce que tu vas me dire … Mais je doute que tu aimes …

Mes doigts quitte son visage, ma main descend lentement sur son corps fin et blanc. J’ai peur que la folie me guette. Dans des moments comme celui-ci je peux perdre mon contrôle par la fureur et l’amertume. Je fronce les sourcils et le regarde droit dans les yeux. J’attends une réponse sauf que je sais déjà que je ne serais pas tendre après … Il ne m’aime pas. Je ne serais pas aussi tendre que dans la salle de torture.
Je veux qu’il ressente à quel point il m’appartient, qu’il sente dans son corps, ses tripes. Van ne pourra rien faire, Van n’est plus qu’un souvenir. Pas moi, moi, je suis présent, je suis l’homme qui va faire d’Ian un être heureux.

-Oui Ian, tu seras heureux … A moi … et personne d’autre.

Un éclair de folie passe dans mes yeux … il se mêle à celui du désir profond et de l’amour que je lui porte …Le mélange commence à être explosif … mon sang est en fusion … mon cœur bat la chamade.