Sadismus Jail
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Sadismus Jail

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 Regarde l'animal en cage.

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Moxie Flanagan
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Moxie Flanagan


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MessageSujet: Regarde l'animal en cage.   Regarde l'animal en cage. Icon_minitimeLun 3 Déc - 13:33

[Hors rp = Bon désolé pas respecter la chronologie, je vous autorise à me lapider, mais très doucement...]

Bon ok, je vais en taule. On vas pas en faire tout un plat, une vie de foutue c'est tout. M'en fout je crois en la réincarnation ! ... Enfin j'espere me réincarner.... Et puis je vais sortir un jour, forcément, la perpet' c'est trop cruel. Je garde espoir, ou pas. Oh non merde j'vais crever dans une cage pleine de pervers ! J'veux rentrer chez moi, j'veux retrouver ma chambre avec mes posters tout naze tout ça. Je veux un bière. je veux un chaton pour lui mettre un coup de pied. Au procès il avait sortit ça comme argument sur ma santé mental défaiante, sociopathe ou j'sais pas quoi. Parce que UNE fois j'ai foutu un chaton dans un mixer allumé en me marrant comme une baleine, juste une fois ! J'était bourré, et j'était pas tout seul d'abord ! Bon enfin bref, je vais par refaire mon procès, ça a été assez chiant comme ça putain ! J'était saucissoné comme une momie dans mon box d'accusé, et il ont dit un tas de saloperies sur moi. Il ont sortie mes bulletins scolaire, ce genre de conneries. Que je la violait, que je la torturait ou je sais pas quoi, depuis plusieurs mois, pression moral, chantage. Mais elle était consentante ! S'pas ma faute si frapper des enseignant c'est à la mode en ce moment ! Pourquoi elle a acheter des portes jaretelles si c'est pas pour me faire plaisir hein ? olalala j'suis pas dans la merde. Et son maris qui m'a cracher dessus, j'ai été condamné pour l'exemple. Oui je l'ai tuer mais pas exprès, pas exprès...
Vu la tête des poulets, je crois qu'on aproche. Debuit quelques mois je suis continuellement sous surveillance, ça commence à me les casser doucement là. Style avec mon mètre soixante et mes quarante-cinq kilos je vais défoncer la porte du putain de fourgon et je vais leur sauter dessus de toute ma force collossale d'anorexique alcolique. Ahahahahaha....
Putain de merde on est arrivés ! Mais c'est quoi ça ? On dirait un mélange charmant entre un sapin de noël depressif, un manoir gothique et un camp de concentration ! Aucun sens de l'esthétisme ! Enfin je peux parler de ce coté là, je me suis pas lavé depuis une semaine et demi (j'sais pas pourquoi mais se laver sous surveillance, à force on préfère être sale...) et je porte un collier pour chien. (entre autre...) Nan mais franchement je vais passer ma vie là dedans ? Je m'en réjouie d'avance... Hey quoi on vas me passer à tabac après ? Parce que vu la gueule du batiment, les gens dedans doivent être fou, défoncés, et sadique. Surement en pénurie de médecin je vais crever de j'sais pas quoi parce qu'il y aura plus de péniciline !
Bon ok j'arrète de me plaindre parce que c'est chiant, je m'en garde pour plus tard. Mais mon esprit est enfermé lui aussi dans une cage, s'pas de ma faute. Vas y connard, regarde l'animal en cage.
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Pythagoras de la Flaam
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MessageSujet: Re: Regarde l'animal en cage.   Regarde l'animal en cage. Icon_minitimeLun 3 Déc - 15:02

[J'adore ton post ^^ Court mais efficace. Bon... ca fait un moment que j'ai pas joué Pyth donc ca peut être moyen, surtout que je te réponds directement sans passer par word... au fait... Pyth fait 2m XD]


Et voilà, c'est encore mon tour d'aller chercher les prisonniers. On a eu une grande série de démission récemment, j'ai pas de bol... Enfin bon, c'est un mec apparemment, une demi portion en plus et vu que Dan s'est fait tuer j'ai plus de jouet, il m'en faut un autre... Celui là fera peut etre l'affaire, reste à savoir comme il est... S'il m'excite. Un sourire joyeux illumine mon visage alors que, traversant la cours, je glisse une clope entre mes lèvres et l'allume machinalement. Mais je ne range pas mon briquet et m'amuse à passer mes doigts sur la flamme... Vieille habitude qui ne me quittera jamais je pense... Même si j'arrête de fumer un jour. J'arrive sur place et je vois plusieurs gardes autours d'un mec miniature avec un colier de chien. Depuis combien de temps attendent-ils comme ça ? Je soupire et souffle ma fumée dans la gueule du premier garde qui me fait face.

"Détachez-le et filez moi ces papiers que je signe le bon de réception du colis."

Devant leur tête peu sûre à mon premier ordre, je m'emporte un peu:

"Putain, de quoi vous avez peur ? Vous avez tous la même manie de les maintenir immobiles jusqu'à ce qu'on vienne les chercher. Vous voyez les deux tourrelles, là et là ? Et le poste d'observation, là-bas ? Bah dès la seconde où ce gamin à posé les pieds par terre il a au moins trois canons pointés sur sa petite gueule... Et puis, où voulez vous qu'il aille, y a rien à plusieurs centaines de kilometre à la ronde, ici. C'est pas pour rien qu'on dort sur place, nous. Détachez le ou je le fais moi-même."

A croire que ça m'emmerde vraiment de faire ce boulot... Je vais peut-être me prendre un peu de vacances, je retourner au Luxembourg dans ma petite vie de chateau. J'ai besoin de torture et de sexe, le petit Edward ne s'y prète pas vraiment... J'arrache presque les papiers des mains de l'homme qui me les tend et je signe d'un geste rapide et presque rageur alors que je surveille du coin de l'oeil le détenu qui est en train d'être libéré. Une fois l'administratif règlé, je les enjoints à se casser et j'indique l'intérieur de l'enceinte de Sadismus au petit Moxie (d'après les papiers).

"Bienvenue à Sadismus, gamin. T'as déjà l'air d'un moribon avant même d'entrer, 'va falloir t'endurcir. Ici on ne te mettra pas une balle dans la tête si tu tentes de fuire. On te la mettra dans le genou ou dans le ventre et on te regardera crever à petit feu, c'est clair ? Ici, tu n'as aucun droit et les gardiens peuvent faire ce qu'ils veulent de toi. Allez, entre dans ta nouvelle maison."

Avant de continuer, je l'étudie attentivement en tirant sur ma clope. Il est un peu rachitique mais il n'est pas trop moche... Il me plait bien en fait... Peut être pourrait-il devenir mon jouet sexuel... S'il en crève pas tout de suite. Allez... Je vais faire comme avec Dan, c'était tellement drôle. Un sourire mauvais illumine mon visage alors que je ferme les grilles derrière lui.

"De toutes façons, sans protection, tu ne tiendras pas un mois... Même pas sûr que tu tiennes la semaine en fait..."
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Moxie Flanagan
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MessageSujet: Re: Regarde l'animal en cage.   Regarde l'animal en cage. Icon_minitimeMar 4 Déc - 12:15

Putain je crois que j'aurai pas dut mettre le collier, vu le regard du gars. C'est quoi, un psycopathe qui fait semblant d'être gardien ? En tout cas il fait crédible, si on met à part le regard à trouer un magasine porno. Et il est grand, oh putain il est grand ! Bon aller quoi, deux mètres ? Je l'envie ce con, j'adorerai ne pas avoir besoin d'un tabouret pour prendre les assiettes dans la commode.
Et il a des cigarettes c't'enculé ! ( Pardon le manque me rend grossier... Enfin plus que d'habitude quoi.) Je tache de faire semblant de n'en avoir rien à foutre. Ouuuuuh la nicotine ! ça me manque, j'avais pas le droit de fumer dans ma cellule, et à la fouille il m'avait enlevé mon paquet de blondes. Entre autres.
Le gars géant parlent au gardes de j'sais pas quoi, pour les engueler que c'tait pas la peine de me saucissoner. "Colis" genre j'suis un colis. Mais j'suis pas un objet ! Je suis un être humain, avec des droits et ce genre de truc !
L'autre fou s'adresse à moi finalement, après avoir signé des papiers déclarant certainement que je suis un foutu connard pendant que les autres guignols (C'est sur qu'à coté de l'autre neuneu fumeur, les gardes on l'air de petites tafioles sans charisme) me détache avec précaution. Je me masse les poignets en écoutant ce que le géant a à me dire :


-Bienvenue à Sadismus, gamin. T'as déjà l'air d'un moribon avant même d'entrer, 'va falloir t'endurcir. Ici on ne te mettra pas une balle dans la tête si tu tentes de fuire. On te la mettra dans le genou ou dans le ventre et on te regardera crever à petit feu, c'est clair ? Ici, tu n'as aucun droit et les gardiens peuvent faire ce qu'ils veulent de toi. Allez, entre dans ta nouvelle maison.

Et il m'apelle "gamin"... Je sais que je suis petit, mais faut être délicat et pas me le faire trop remarquer quand même. J'ai assez de complexe comme ça bondieu ! Elle, elle est était toujours très délicate là dessus, elle arrètait pas de me dire que ma croissance allait continuer tout ça, mais je suis lucide, je ne grandirait plus. Plus maintenant.
Je suis chez les fou, genre j'ai aucun droit et on peu me buter allègrement, le sourire au lèvres, et me regarder me débattre dans une mare de sang en hurlant, pris dans les affres de la souffrance physique. Chouette !


Et je sais même pas ce que ça veux dire "moribon" en plus.

Putain ce con à force de marcher derrière moi en souriant bêtement, y me fout les boule, je sais pas à quoi il pense, mais j'espere vaguement que les apriorie sur la vie en prsion ne sont pas fondés. Non on ne me violera pas, non on ne me tortura pas avec un pique à brochette et du fil de pèche. Ou si en fait.
Y a l'angoisse qui monte là putain, et la grilles qui se raproche, je savoure mes derniers moment d'homme hors de la prison, même si j'en suis à cinq mètres sous le regard attentif de l'autre golio. C'est symbolique merde !
... Quatres mètres, tois, deux, un... ça y est je suis dedans. C'est fini je n'en sortirai plus de ce trou, le trouc ou je vais crever. Mon visage à pris un peu près toute les couleurs de l'arc en ciel, bleue, vert, rouge, et là un blanc du plus belle effet. Blanc angoisse, nouvelle couleur signée Moxie.


-De toutes façons, sans protection, tu ne tiendras pas un mois... Même pas sûr que tu tiennes la semaine en fait...

Je me sens pas bien, mal à l'aise, une impression de danger. Je suis trop petit, trop faible, je ne vais pas survivre. Mais survivre à quoi ? Je ne sortirai jamais de toute manière ... Je ne sortirai jamais... Mon esprit tourne en rond dans sa cage, j'en suis arrivée à la même conclusion que tout à l'heure, sauf que là, je suis dans la place. Je jette des regards paniqué partout depuis tout à l'heure. Point de vision rassurante, de truc familier. Impression de vide interieur, de danger, surtout quand le gars regarde sur moi. J'ai envie de le provoquer, de prouvé que j'existe, quel mal vas-t-il me faire de toute manière ? je ne suis qu'une envellope vide, je n'ai plus de vie là. Plus d'espoir. Je lui lance un regard de pur terreur (Han, genre je vais lui faire un regard méchant alors que j'suis sur le point d'me pisser dessus tellement j'ai la trouille.) et je lui lance l'insulte la plus neuneu que j'ai dans mon repertoire, dans un élan de pur masochisme.

-Qu'est s't'as connard à me matter comme ça ?

Bon vu comment il me regarde là encore, j'ai l'impression de redorer à l'or fin les lettres du mot "abruti".
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MessageSujet: Re: Regarde l'animal en cage.   Regarde l'animal en cage. Icon_minitimeSam 8 Déc - 12:03

Ce garçon sera mon nouveau jouet, qu'il le veuille ou non… J'ai tellement de manière de jouer que j'ai le choix en fait… A peine est-il entré que je lâche un message qui, je l'espère, fera mouche. Deviens à moi, petit Moxie, et il ne t'arrivera rien de mal, ceux qui s'en prendront à toi seront puni jusqu'à ce qu'ils n'osent plus te toucher… A moins que tu ne préfères que je me défoule sur toi… Il parle… Apparemment il a choisi la deuxième option. D'un geste souple et presque naturel je lui met une claque monumental (ça donne de l'a force un tel bras de levier ^^). Le bruit de la gifle raisonne dans le silence de la cours. Je l'attrape par le col et le soulève de quelques centimètre pour le plaquer contre le grille. Mon visage se fait mauvais, menaçant… Je souris avec un sadisme et un plaisir non dissimulés.

"J'hésitais entre t'offrir ma protection en échange de ton corps ou te torturer jusqu'à ce que tu demandes grâce… Mais c'est bon, j'ai trouvé."

Je le relâche sans prévenir et empoigne ses cheveux sans plus de cérémonie. Je le traîne d'un pas rapide vers l'entrée. Non seulement j'ai des grandes jambes mais en plus je marche vite… S'il ne cours pas je vais le traîner dans la boue et, soyons clairs, ce n'est pas ça qui me fera ralentir. Ce gosse va apprendre l'obéissance.

C'est en trombe que j'entre dans le hall et mes collègues m'interpellent. Je m'approche du post d'accueil et jette sur la table les papiers d'entrée. L'un des gardiens observe ma victime et sourit, amusé. Je lui confirme que ce nouveau détenu va visiter la salle de torture et le trou avant de découvrir sa "chambre". Un fou rire général emplie la salle de garde alors que je fais demi tour. J'ai lâché le môme et je le détaille longuement. Je prends mon temps. Il faut qu'il prenne conscience de ce qui va se passer et puis… je dois finir ma clope. C'est au moment où j'écrase le mégot sur le mur que je l'attrape par le bras pour le forcer à s'élever jusqu'à mon visage. Je crois bien que ses pieds ne touchent plus le sol, mais je ne suis pas certain. Et c'est d'une voix mauvaise que je reprends.

"Tu vas apprendre le respect, petit, découvrir le sens du mot ramper… A moins que tu n'aies une autre idée en tête…"

Va-t-il me supplier de passer un marché avec moi ? J'en doute… Peut être quand il sera dégoulinant de sang… et encore… les plus petits sont les plus teigneux en général. Je le relâche en partie et l'attire à ma suite à travers le hall vers la porte menant aux sous-sols…


[HJ: soit tu postes ici, soit dans les salles de torture… comme tu veux… Je suis désolée… j'aurais du te prévenir du caractère de Pyth… j'espère que ça te va ^^]
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