Dans les douches...seuls(Attention au sensible, pas regarde)

Ian

Il s’approcha très vite de moi et j’ai eu le temps d’être accoté sur le mur. Il me fixa les yeux très fortement et il me répondit.

Tu veux savoir ce que je te veux ?

Ensuite, il m’attrapa les épaules avec brutalité et il m’embrassa très rapidement. Il recula sa tête et il recommença à effleurer mes lèvres très doucement avec douceur. Je ne comprends plus rien. Je suis trop confus….BORDEL! Je n’aime pas ce genre de situation…pourquoi…pourquoi ce baiser? Qu’est-ce qu’il veut en venir avec cela? Tout ce que j’ai fait est de rester planté là…à le laisser faire. Je me déteste…et pourquoi je ressens de la gêne tout à coup!? C’est comme si je ne détestais pas cela, mais en même temps j’ai une peur qui me parcourt le cœur.

Mes joues devinrent rouge écarlates et j’ai pris panique. J’ai pris des épaules et je l’ai éloigné de moi. Je tremblait de gêne et de peur…je ne sais pas pourquoi. C’est comme si j’avais peur d’un amour...où je ne sais pas trop quoi. Depuis mon passé, j’ai peur de l’amour d’un homme. Bordel, mais il me fou les chocottes là!!! J’essais de caché mon visage en regardant vers le bas, nerveux et déboussolé…..pourquoi je suis nerveux…et je tremble comme un vibrateur...bordel…que je me déteste dans ce genre de situation.

- Mais qu’est-ce que cela …veut ...dire!, dis-je d’une voix tremblante et nerveuse, c’est quoi tu veux de moi et arrête de jouer avec ma gueule!

Je le lâche et je me retourne vers le mur en fermant mes yeux. Je mis ma main sur ma poitrine et je commence à avoir de la rage. Je ne me sens pas bien et puis…bordel…je ne sais pas quoi dire ne plus. J’ai les larmes aux yeux….ce que je déteste le plus.

- Aller, arrête ton jeu et dis moi la vérité bordel!!

Ian


Je ne joue pas

Me dit-il. Mais pourquoi il joue l'imbécile devant mes yeux. Mais pourquoi ? Je crois qu'il joue encore avec moi. Le menteur. Il est juste un connard qui veux des emmerdes. Je ne veut pas qu'une personne me rejoue encore dans le dos et me fasse ce qu'il veut comme bon lui chante. J'ai les larmes aux yeux et cela me fait chier. En plus, je vais peut-être pleurer devant un homme que je connais à peine.

Quelques secondes plus tard, monsieur décide de me prendre par en arrière et de m'enlacer. Je ne le comprend pas. Qu'est-ce qu'il veut au juste ? Me faire charrier ? Ou juste me faire crier pour jouer avec mes nerfs ? Sauf que, je ressens de la tendresse et du réconfort. Je me sens comme un enfant dans les bras de son grand frère. Je m'accote la tête sur la sienne. Je sais qu'elle est sur mon épaule et j'en suis conscient. Je me sens attendrit soudainement.

Pendant quelques secondes je reste immobile et je ferme les yeux. La chaleur de son corps m'enveloppe comme si du feu me brule en entier. Sans plus attendre, je me suis retourné et je me cache le visage dans son cou en essayant de rechercher le plus de peau possible contre moi.

- Menteur....

Je me colle un peu plus sur lui. Je ne sais pas pourquoi je fais cela, mais c'est trop fort pour ma petite personne. Même si c'est un homme, je le fais pareil.

- Je sais que tu mens, dis-je vraiment bas avec une voix étouffée,...tu joue avec moi....ne me dit pas n'importe quoi...

Ian

Je ne joue vraiment pas

Sa voix fut basse et très tendre. Je me sens bercer dans ses bras. J'ouvre mes yeux et je le vois s'approcher de moi. Ses lèvres se pose sur les miennes avec tant de....douceur...que je me laisse faire facilement. On dirait qu'un ange venait juste pour moi pour juste me réconforter, mais il n'est rien qu'un humain. Dans ma jeunesse, je lisais des livres dans la bibliothèque de ma mère. Ils parlaient d'un ange aux cheveux blonds qui venait du ciel pour guérir toutes blessures dans les coeurs des gens malades ou bien, en peine. Est-ce que c'est cela qui m'arrive ?

Sans m'en rendre compte, une larme s'échappe de mon emprise à ne pas pleurer. Je me serre plus contre lui, mais j'avais une certaine honte en moi. Je me suis toujours dit que deux hommes ne pouvait pas s'aimer, mais tout peut arriver. Sans trop savoir pourquoi, je me suis écarté très rapidement de lui et j'ai tombé par terre à cause d'un faux pas.

Je gis sur le sol, anéantit. Je ne comprend plus rien. Je me retourne vers lui comme un chien battu.

- Pourquoi....moi ?

Je regarde le sol et j'essais de cacher mon visage en peine. Ma voix sortit rauque et forte.

- Qu'est-ce que j'ai de si important à tes yeux ? Je ne suis qu'une personne qui te traite comme un rien et là, tu viens avec tes airs d'insensible en m'embrassant avec tendresse !!!! C'est quoi ce merdique!?

Ian

Il se mis à ma hauteur en disant ceci.

Ce que tu as d'important à mes yeux ? L'amour que J'ai pour toi. Je dois t'avouer qu'avant t'avoir effleuré les lèvres, je ne voulais que m'amusé...Mais dès que j'ai toucher tes lèvres, j'ai tout de suite voulu recommencer.

Après qu'il ai fini, je le giffle. Mes yeux se remplirent de colère mélangé avec de la peur. Je ne sais pas pourquoi j'ai peur de lui en ce moment. Peut-être que j'ai juste peur de l'amour en tant que tel...comme si c'est un monstre de mes plus pire cauchemars.

Quelques secondes plus tard, je lui pris le visage avec un air perdu et je rie. Mes yeux se remplient d'eau encore une fois et je lui saute dessus. Je pris rapidement ses bras et je les écartent de bord en bord et je m'assois sur son bassin pour l'immobiliser. Mon regard a une certaine colère que je ne puis d'écrire, mais il se transforme en tendresse. Je tremble encore une fois, ne voulant pas pleurer de tout mon être. Il faut que je me contrôle. Je sais que j'ai juste une peur, mais jusqu'à en pleurer...il faut pas exagèrer.

- Tu crois que je vais avalé tes....salades?

Je me couche sur lui et mon front est sur son torse. Quelque larmes s'échappent.

- L'amour n'est qu'une chose inventé par les chimères! Je ne vois pas pourquoi t'aimerai un moins...que rien....qui se déteste au plus profond de son être. Arrête de dire n'importe quoi.....s'il te plait...je ne suis pas un jouet....

-Voilà pourquoi tu ne vois pas que quelqu'un puisse t'aimer. Tu te détestes toi même. Je te jure que je ne dis pas n'importe quoi. Je ne te vois pas comme un jouet.

Il me pris et m’embrasse sans que je puisse répondre ou que je fasse un geste. Je sens sa main derrière ma nuque comme une chaîne qui me retient de ma peur. Je me comporte bizarrement et je déteste cela. Comme si ma personnalité change pour jouer un rôle. Comme un autre Ian embarque et fait son moment. Peut-être que c’est mon vrai moi...l’innocente chose dans son coin sombre qui a peur des choses de son passé. Oui, j’ai peur de mon passé…cela peut se comprendre. C’est comme une cicatrice qui reste à vie. Être un enfant violer s’est quelque chose, mais être battu à chaque ‘’faux pas’’ est une autre.

Je me laisse faire et j’embarque dans son baisé. Sauf que, je ne puis retenir mes larmes. C’est trop douloureux de garder tout pour moi. Je ne puis retenir mes larmes à cause de lui….cet homme….à la face d’ange…

- Dis ?, dis-je en enlevant sa prise de ses lèvres et en accotant ma tête sur sa joue. C’est quoi ton nom?

Mon regard change avec un ton plus…perdu. Je m’installe en petite boule sur lui et je tiens ses côtes avec mes bras. Ma voix se fit plus petite et incertaine.

- Si tu dit que tu ne me traite pas comme un objet….alors…dit moi ton nom…

Je veux crier et l’étrangler en même temps, mais j’en étais incapable…pour le moment. La seule chose que je veux faire, c’est de rester comme cela auprès de quelqu’un. Je n’ai pas l’habitude d’être ainsi. Mais bon…je me suis perdu en chemin…

Van....Van Murasaki...C'est mon nom. Puis-je savoir le tien ? J'aimerais bien connaitre le nom de celui qui a volé mon coeur.

Je lui ai volé son cœur? Je me sens un peu bizarre après qu’il ai dis cela. Comme si le côté femme en moi surgissais de tout bord tout côté. Non….Bordel….Mina….sort de ma tête…..Sérieusement….là…je lui ai vraiment…non…mais…je suis bouche bée.

Je me sens gêné de lui dire ce nom pourri que j’ai, mais il fallait. Il m’a donné le sien…alors c’est à mon tour. Je n’ai pas l’habitude d’être aussi gentil. Je lui ai répondit en me serrant plus contre lui.

- Ian…Darklion….Veinslayn….

Je m’enfoui le visage dans son coup et je bouge un peu mon bassin de côté. C’est vrai…nous somme nu, part terre, dans les douches d’une prison. Moi sur lui, lui avec un sourire tendre et moi je commence à rougir de plus belle. Aucune colère n’était présente. Là, je comprend Eizan.

Je me lève et reste toujours couché sur Van. Je me tiens à quatre pattes. Je ne sais pas pourquoi, mais ma main touche le visage de Van comme si je touchais une poupée. Avec le bout de mes doigts, je frôle ses lèvres doucement et je le regarde avec un regard de chien battu. Mon visage a un air perdu et pas là.

- Est-tu sure que tu n’es pas un ange…?

Mes doigts vont vers les cheveux blonds dorés de cet homme et je reviens en frôlant son visage.

Non, je ne suis pas un ange. Serais-je en prison si je serais un ange ?

Ah oui. J’avais complètement oublié. Nous sommes en prison depuis un long moment et je ne m’étais pas rendu compte. Un rire d’échappe de moi et de la honte. Je m’enlève de lui et je m’assis en indien à sa gauche. Je cache mon visage avec une seule main pour cacher mon sourire. Je la passe dans mes cheveux doucement avec un air incertain.

- Peut-être que pour moi c’est différent, dis-je en fermant mes yeux, peut-être que mes vieux livres disaient un message pour moi.

J'ouvre mes yeux et je remarque sa main gisant par terre. Je pris la pris doucement avec une main. Je la regarde attentivement.

- Est-ce que ses mains on vraiment touché mon corps en entier comme je le vois dans ma tête?

Un autre rire un peu plus grand sortit de moi. Je me suis souvenu d’une scène du souvenir d’Eizan. Il fait exprès ou quoi? Il veut vraiment me faire fâcher.

- Je crois que oui….

Je me suis couché par terre et je me suis décider à bouger comme un serpent en dansant.

- Je ne sais pas si je deviens fou ou si je commence à changer pour un homme qui viens chercher mes émotions les plus profonds?...Comme si un ange volait toutes mes douleurs une par une en me donnant de l’amour…je ne comprend plus rien…

Je mis mes mains dans mon visage en essayant de cacher ma rougeur et mon rire. Je ne sais pas, mais je rie et je re-rie. Je n’arrête plus en essayant de cacher ma gêne. Je suis devenu un gros calinours sans défense. Comme une chiffe mole.

Ian

Je ne comprends pas plus que toi...Mais je t'aime et c'est tout ce qui m'importe maintenant.


Je me lève brusquement et je rougis. Ses mots m’ont encore cherché. Mes yeux ouvrent grand et je me retourne aussi vite.

- Tsk! Dis pas n’importe quoi, dis-je d’une voix basse, tu me connais à peine et tu m’aime…je ne comprends pas encore comment tu peux aimer quelqu’un comme moi…

Je ne sais pas. Je me sens comme une femme. Je veux être près de lui, me coller sur lui, lui donner tant d’amour….minute!? Je me fais peur en ce moment. Je bloque. Je ferme toutes pensées de lui, mais je ne suis pas capable. Il a vraiment été cherché mon cœur. Je ne sais pas comment l’expliquer. Comment réagir si vous avez toujours été rejeté dans votre enfance et puis ensuite, plus tard, quelqu’un vous dit ‘’ Je t’aime’’ sans aucune raison. Moi, j’ai réagis comme un enfoiré. Bordel…que je me déteste.

Quelque chose me brûle dans mon cou. On dirait que je me suis grafigné, mais où? Quand cela s’est passé? Bordel….qu’est-ce que c’est cela…Je mis ma main sur mon coup. Pourquoi c’est là qui ça me fait mal autant…Je me retourne vers Van en le regardant perdu. Je ne comprends rien. Je suis vraiment dans les patates. Ça me fou les chocottes d’être avec lui en plus. On dirait qu’il veut me violer. Mais bon, je suis trop habituer à mon boss. Non…mon ancien boss.

Pendant quelques secondes, je sens qu’une tentation monte. Je me retourne et je vis encore ce Van avec son sourire si jolie. Ses cheveux blonds dorés qui m’appel pour les toucher…les sentir...les vénérer. Je veux toucher à ce visage que j’aimerais encore goûter ses lèvres et cette peau si mangeable et douce…Ses yeux que j’ai envie de posséder comme si ils sont des pierres précieuses. Ses mains d’homme si belles que j’ai envie qu’elles me touchent encore une fois. Ce corps si….attrayant. Ses cuisses d’athlètes si mangeables. Une petite voix me dis ‘’ Vas-y Ian, une simple tentation…Vas-y Ian…il est à toi…vas-y Ian…désir le’’. Ça m’énerve. Tout ce que j’ai envie maintenant c’est …c’est…c’est….bboorrddeeelllll…Je suis complètement fou. Aidez moi quelqu’un…

En regardant son membre, mes joues devinrent rouges. Je le fixe comme une statue. Pendant quelques secondes, je le contemple avec gêne. Je me tourne ma tête de côté, toujours rouge et je cache un peu mon corps avec mes bras. Je fis une pose un peu féminine. Mon cœur battait la chamade et je ne savais plus quoi faire. Je veux sauter sur lui, mais j’ai un blocage. Non, je ne dois pas. Je ne dois pas faire comme me boss faisait. Non….


-Van...?

Il ma surpris quand il à touché mon cou pour regarder mes blessures. Je fut encore plus gêner quand je le vis s’approcher de moi doucement. J’ai peur qu’il me saute dessus. Qu’il me fait mordre la poussière. Je ne sais pas pourquoi je pense cela.

Qu'est-ce qui c'est passé ? Tu as des égratignures là.

- Ah non …c’est rien, dis-je rauque et embarrassé. Je crois que c’est Eizan qui l’a fait sans faire exprès. Cela m’arrive souvent.

J’essais de ne pas regarder son regard en tournant ma tête de droite à gauche. Je le vois me regarder de ses yeux perçants de la même nature qu’un animal. Je le trouve un peu doux pour une personne qui à le regard animal. Son sourire m’absorbait tranquillement comme si j’étais dans un néant de douceur extrême.

Je continue de détourner son regard toujours avec ma tête qui fait le droit à gauche. Je ne sais pas vraiment quoi faire et je panique. Sa main n’a pas quitté mon coup. Je panique encore plus. Mon cœur n’arrête pas de battre la chamade. Il me touche le visage avec sa main douce comme de la soie et là je craque. Je ne sais plus quoi pensé. Je suis gêner et fou. Je pense à lui, de le désirer et de le goûter. Mais pourquoi je pense cela bordel!? Mon dieu...au secours. Que dois-je faire?

Je décide de le regarder dans les yeux. Il me regarde, à son tour, avec tant de gentillesse. C’est sure et certain…il m’aime. Mais …je dois le savoir d’avantage. Je ne sais pas vraiment quoi faire…oh j’ai une idée, mais cela est risqué. Je ne suis pas bon avec les hommes….est-ce que c’est comme les femmes?

- Oui?


Je pris sa main qui touche mon visage et je fermis les yeux avec un visage rassuré et un peu perdu. Je la mis sur mon torse et je la frôle avec mes doigts. Mon cœur et mes joues montrent que je suis encore plus gêné. J’avais un peu froid et je voulu avoir de la chaleur.

- Van? Je….

Je me suis approché de lui, toujours en gardant sa main contre mon torse.

- Prend moi, dis-je bas et sensuelle. J’ai froid…

Je lui donne un baisé tendre avec la langue avec tant de rougeur sur mes joues. Bordel, comme je me sens gêner à l’extrême pour la première fois de ma vie.

Ian

Je me sens bien dans ses bras. Je me sens rassuré et protéger dans les bras d’un homme animal. Devrais-je avoir peur? Devrais-je courir à toute jambe et oublier ce moment marquant? J’en sais rien du tout. La seule chose que je pense est de le désirer. Même si c’est un homme, c’est un être normal comme tout le monde. Eizan m’a dit une fois que tout le monde à le droit d’aimer de qu’il veut et faire ce qu’il veut. Elyan m’a dit la même chose et Mina aussi. Même si Elyan à peur des hommes, il en aime un, mais il n’est jamais sûr de lui par exemple.

Ses lèvres me bercent et me fait un grand bien. Même si je rougis, j’essais de me contrôler avec ma peur et ma gêne. Je l’embrasse de plus en plus profond pour cacher mes craintes. Je serre la prise de ma main qui tien toujours celle de Van. L’autre, elle, tiens son épaule avec force.

- Je t’aime

Me dit-il. Je m’accote la tête sur la sienne et je ne réponds pas. J’avais un blocage. Mes paroles ne sort même plus. Je n’ai jamais dit ‘’ Je t’aime’’ à quelqu’un auparavant. Je commence à avoir les larmes aux yeux. Comment lui dire que je l’aime? Bordel…Je me comprends plus.

Je frissonne de gêne et de désir. Je me sens un peu fatigué, mais en même temps je suis excité. Je me colle plus sur lui et j’emmène la main que je tiens sur ma cuisse. Je vais essayer de lui dire autrement que des mots. Je monte sa main en frôlant mes parties d’homme et je monte plus haut en direction de ma hanche. Je lui donne des baisés dans le coup en prenant entre mes dents une petite parcelle de sa peau.

- Van…? Prend moi…

Ian

Il me lève la tête pour m’enlever de son coup. Il décide de prendre la relève. Moi je ne me plains pas. Mon cou est une de mes parties les plus sensibles. J’offre plus de peau en balançant ma tête vers l’arrière. Je respire fort et des petits gémissements sortir avec un des aigues. Je sens que sa main descend et ses lèvres aussi qui traverse le haut de mon torse. Je bouge très peu, comme des faibles gestes.

Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Mon sang bouillonne de plaisir de désirer un autre du même sexe que moi. Je suis nerveux et vraiment en colère, mais je suis joyeux et bien. Est-ce que vous comprenez de quoi vous? Pas moi…bordel! Nous sommes au beau milieu d’une salle de douche publique de notre aile et puis nous sommes tous nus en plus. Bravo Ian…Tu es par terre avec un homme qui t’attire et puis tu es dans ses bras. Il t’embrasse le cou et tu aimes ça! Vraiment là, je dois me contrôler. On ne sait jamais si quelqu’un peut entré et nous voir ainsi…tous nus et entre de faire des choses catholiques! Et oui, catholique. Savez vous que la bible à des passages sexuelles? Un de mes anciens collègues me l’avait dit. Bah, ferme la Ian…

Une de mes mains alla vers sa nuque et l’autre, se tien sur son dos. Mes jambes se frottent bizarrement et mon torse se contorsionne. Je ferme les yeux et j’essais de me contrôler. Ses lèvres me faisaient tellement du bien que j’en perds la tête. On dirait vraiment qu’un ange apaise mes douleurs en les transformant en jouissance.

- Van…?

Ma voix a sortit un peu bas imprégné de gémissements. Je lève ma tête pour m’accoter sur la sienne en me frottant sur ses cheveux.

- Si… tu veux… prends moi...tout….je suis…à toi…

Je suis vraiment gêner. Bordel! NIAAHH!!!!! Je me comprends plus. C’est comme si mon cœur et ma tête n’était pas d’accord et ne se suivent jamais. Mon cœur dit’’ OUIII!!!’’ et ma tête dit ‘’ NOONNN!!!’’’ Mon cœur est plus’’ Je le veux!!!’’ et ma tête est plus’’ Je suis gêner et je panique comme un con!!’’.

- Fait ce …que tu veux…

J’ai un peu de la misère à parler avec tous ce qui se passe. Van, ma tête et mon cœur. Il y a aussi mon âme. Bordel…je suis fou.

Ian

Je sens le plancher froid sure mon dos. Van lui, me réchauffait sur le dessus. Tous ses baisés me berçaient dans ma tête et mes désirs. Je vois qu’il s’amuse à bécoter mon torse, mon visage et mon ventre. La partit que j’ai craqué le plus c’est quand il est allé proche de mon nombril et mes mamelons. Je suis très sensible et je ne puis me retenir de trembler de joie. La tentation fut trop forte. En plus, il me chatouille un peu quand il est sur moi. Je le sens contre moi et je panique un peu. Je n’ai pas l’habitude d’être ainsi. En fait, je suis plutôt habituer dans un autre méthode, mais je ne vais pas embarquer plus dans les détails.

Soudainement, je me suis mis à penser à mon passé. Même si une petite peur des hommes, j’essais de mon mieux. Mon visage avec des expressions qui dérivent entre la joie et la tristesse, le plaisir et la douleur. Je ne sais plus quoi réagir à par de gémir comme un mongole. Il m’embrasse et je tremble un peu. J’ai froid et en même temps j’ai chaud. Le plaisir et le désire bouille dans mon sang. Sa langue chaude de mêle avec la mienne avec de tendresse que j’en ai des frissons dans le dos.

Tu es sur que c'est ce que tu veux ?

Bordel, depuis tout à l’heure que je lui dis que je le veux en entier. Il ne comprends pas que je veux lui au complet et qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. Oops, non. Pas tout. Il y a des limites. Je ne veux pas revivre mon passé, sinon je gueule et je deviens fou. Je vais devenir animal et tout détruire. Crier et tuer tout ce qui m’entour avec mes mains.

- Oui….

Je me colle la tête sur son torse et je le lèche. Sa peau goûte ma peau et la sienne mélanger. Je veux le manger en entier et le dévorer. Il m’attire et je ne comprends même pas ma réaction en se moment. Je le veux….et jamais personne l’aura à part MOI! J’aimerais lui dire que je l’aime, mais…de un...je ne suis pas sure de moi-même et de deux…j’ai un blocage et de trois….je ne comprends même pas encore du pourquoi il m’aime.

Je me frotte mon nez sur son cou et je bouge un peu bizarrement comme si j’étais une femme en chaleur. Mon corps est souple, alors je peux faire des gestes très décontracter. Mais avec lui, je ne fais que bouger très minimalement en essayant de me coller contre lui. Mes mains se dirigent vers ses côtes et son dos.

- Je suis à toi…

J’ai vraiment dit cela!? Bordel…

Je passe mes mains dans mes cheveux longs pour les remettre en place. Je suis assis sur mon lit car je vient terminer une petite sieste réparatrice. Ma matinée bien qu'elle fut sans accrocs, était morne, trop calme. Tout comme les détenus. Je me suis fait chier royalement. alors j'en ai profité pour aller dormir un peu. Mais maintenant j'ai la super forme et mon après midi va devoir être géniale, sinon je serais obligé de m'en prendre à un détenu sans raison et ce n'est pas dans mon optique.

Je me lève et sors de ma chambre, j'étire mes bras vers le haut tout en marchant. ça fait du bien, même si j'entends mes os craquer un peu. J'ai vraiment besoin d'un peu d'exercices mais j'ai surtout envie de m'amuser. Si je veux me divertir autant aller directement là ou est entreposé l'outil de première nécessité: l'étage des détenus.

Je décide donc d'aller faire un petit tour du coté de ces chers prisonniers. Mon pas est vif et très léger, j'ai hâte d'aller faire mon shoping.
Après quelque aller retour devant les cellules, je suis absolument déçu et blasé. Rien de vraiment intéressant sous les yeux. Tout est calme, ils sont presque polis, les autres baissent la tête pour ne pas en découdre avec moi. Je secours ma crinière à la négative, je ne vais avoir de bol aujourd'hui, se sera un jour sans. Je repars dans l'autre sens en priant que demain sera meilleur.
Je passe devant les douches communes. Et là je stoppe net, je viens de capter des gémissements. Je tends l'oreille, oui c'est bien ça, des gémissements. Je me frotte les mains l'une contre l'autre, voilà qui est bien venu.

J'avance doucement sans me faire entendre. Je penche la tête à l'intérieur et là ... Oh bonheur!
Deux détenus allongés à même le sol, l'un sur l'autre. Un beau blond dessus embrassant un jeune et mignon brun, c'est une très belle image. Je me montre à la chambranle de la porte qui n'en est pas une ou je m'appuie négligemment. Je croise mes bras, et mes jambes. Je les regarde faire avec une certaine envie. Je commence même à être un peu excité, la preuve en est mon début d'érection.
Je ne peux me taire plus longtemps.

-Voilà une image alléchante ... Besoin d'un coup de main?

Ian

Voilà une image alléchante ... Besoin d'un coup de main?

À se son de cette voix qui grince dans mes oreilles, Je me décolle rapidement de Van pour reculer brusquement de côté comme un animal primitif. Je la reconnu avec un frisson de peur dans le dos. Est-ce vraiment celui qui m’a violé la semaine dernière? Non...je n’espère pas…

- Thor……Thorkel!?

Je lève ma tête vivement vers la voix et mes yeux se remplirent de peur et de colère. Je le vois avec ses allures toujours aussi angéliquement sombre et profondément calme. J’essais de me cacher avec la serviette qui est à ma droite. Je rougis et je regarde Van avec nervosité. Je respire rapidement et je tremble comme un énervé. Mon regard se pose, ensuite, farouchement vers Thorkel avec un air surpris et détruit.

- Qu’est-ce que tu fais ici?, lui dis-je fortement avec un voix tremblante et rauque, Espèce de….de….

Je ne sais pas, mais ma voix se coupe en ne voulant pas allez plus loin dans les insultes. Je me retiens étrangement pour ne pas tuer cet homme avec mes propres mains…l’homme qui m’a violé et torturer pour son propre plaisir personnel. Il a des armes et moi je suis nue par terre avec rien…nue devant l’ennemis….encore. Je me sens impuissant et je veux protéger Van. Je ne veux pas qu’il se fasse violer à son tour. Merde…pourquoi là…..pourquoi lui?

- Qu’est-ce que tu me veux encore? Je ne veux pas de ton coup de main salopard!

Je rougis de colère et je me cache le visage avec une de mes mains.

- Tu a déjà assez eu assez du moment avec moi, alors pourquoi ta présence encore?