Recherche d'une arme

Je tournait rapidement la tête vers Yuuri. Quelqu'un, enfin!! Mais ce qu'il dit me fit arrêter de respirer, je ne pus m'empecher de dire d'une voix forte:

-Non!! Ne fait pas ça!!

Je me taisis, c'était presque des suplications, je n'étais pas comme ça. Mais j'étais sincèrement découragé. Je voulais sortir d'ici. Mais qu'êst-ce qu'il lui prennait bon sang! Il ne me détestait pas au point de me faire ça!!!

Je me remis à me débattre, lachant des hurlements de rage.

Je lanca à Carl un regard faussement désolé.

-Tu ne pense toute de même pas que je vais oublier ce que tu m'a fais non?

Je croise les bras et je m'approche. Je jubilais de le voir soumis de la sorte.

-Apprend à aimer ce que tu déteste le plus parceque ton calvaire n'est pas près de se terminer...

Je souris méchamment.

-Pense-y la prochaine fois où tu voudra t'en prendre à moi!

Je me retourna et partis vers la porte, juste avant de sortir je regarda par dessus mon épaule.

-Hey,lancais-je à Steve, fait-toi plaisir!

Je crus un moment que mon moment de bonheur à venir était terminé. Je n'avais pas prévu être interrompu. Mais bon, c'était un des risques que j'avais mal calculé. Je compris rapidement que mon compagnon de chambre ne poserait aucune résistance à mes actes à venir. Comme il était gentil! Je l'embrasserait presque, s'il était de mon bon goût.

-Hey, fait-toi plaisir!

-Ne t'inquiète pas mon ami, dis-je en tournant mes yeux vers Carl. Je n'avais pas l'intention de ne pas m'amuser...

Je l'ignora, réalisant vaguement que mon collègue était en train de quitter la pièce.

-Il n'y a plus rien que toi et moi mon tendre ami...

Je remonta sur la table et me positionna à califourchon sur lui, lui caressant doucement le torse d'une main, le marquant légèrement avec mon couteau de l'autre.

-Comme nous allons avoir beaucoup de plaisir...

Idiote que je suis. J'étais arrivée trop tard pour retourner dans ma cellule. Je pris peur en entendant des pas. Sûrement un gardien. Merde! Je ne voulais pas me faire chopper en dehors de ma cellule. Je fis marche arrière et retourna à la bibliothèque. Yuuri pourrait peut-être me faire retourner dans ma cellule sans problème.

Je le vis prendre un escalier au moment où je vins pour entrer dans la bibliothèque. Et les pas qui se rapprochait. Je ne pouvais pas crier son nom. Je m'engouffra dans l'escalier et m'arrêta en plein milieu.

Les pas se rappochèrent... Encore... Encore... Et... Ils passèrent tout droit. OUf! Je descendit le reste des escaliers et chercha Yuuri. Il faisait noir dans ce trou à rat on sang!

J'avança un peu et vit Yuuri sortir d'une pièce.

-Hey! Je suis arrivée trop tard, et je ne voudrais pas me faire choper. Tu peux m'aider ou tu dois me punir? Je sais pas moi, je suis pas habituée aux prisons!

Je bougea un peu la tête pour regarder à l'intérieur de la pièce d'où il sortait.

-C'est quoi cet endroit?

Je figea en voyant Clairval. Mais qu'est-ce-qu'elle faisait dehors de sa cellule?s Et dans les sous-sols en plus!

-Hey! Je suis arrivée trop tard, et je ne voudrais pas me faire choper. Tu peux m'aider ou tu dois me punir? Je sais pas moi, je suis pas habituée aux prisons!

Elle regarda dans la salle et je me mis au travers de sa vue, je ne voulais pas qu'elle intervienne dans ce que Steve avait l'intention de faire. Je m'avanca et la pris par les épaules pour la faire pivoter. Je fis un soupir.

-Ce n'est pas grave, aller viens si on découvre que tu n'est pas entrée et qu'en plus tu te promène aux sous-sols ça l'ira mal pour toi!

Il me retourna et me poussa dans la direction que j'arrivais.

-Ce n'est pas grave, aller viens si on découvre que tu n'est pas entrée et qu'en plus tu te promène aux sous-sols ça l'ira mal pour toi!

-D'accord!

Je me pencha et tourna la tête. Je voulais voir ce qu'il y avait dans la pièce.

-Pourquoi tu ne veux pas me dire ce qu'il y a dans cette pièce? Vous avez droit à un table de baby-foot?

Je lachais un soupire de découragement. Je regardias Steve d'un autre oeil, plutot inquiet cette fois. Je devais dire que j'avais épuisé la plupart de toute l'assurance dont j'avais pu faire preuve jusqu'à maintenant. Je le regardais jouer avec son couteau et caresser mon torse. Je ne me laissais même pas faire ça par une femme alors avec un homme.

Je fermais les yeux et relevais la tête. Sans prévenir je lachais un autre hurlement de rage et je me remis à me débattre. Mais c'était certainement le dernier que je lachais, je commençais à être épuisé et découragé ...

Je sursauta en entendant un hurlement. Je me tourna complètement brusquement.

-C'est quoi ça?

Je contourna Yuuri et me dirigea vers la porte. Merde! Pourquoi il ne voulait pas que j'y aille? Depuis quand il était méchant au point de laisser des gens se faire maltraiter, battre ou pire!

Merde! Pourquoi fallait-il qu'elle soit aussi curieuse?

-C'est rien! ... vraiment!

Je me mis devant la porte avant qu'elle ne l'atteigne. Elle ne devait pas entrer, je ne voulais pas qu'elle interompe Steve et encore moin qu'il ai la chance de s'interesser à elle! Non... je ne pouvais pas la laissée entrer et lui faire courir ce risque.

-S'il-te-plaît... viens avec moi et oublie ça daccord?

-C'est rien! ... vraiment!

Il me bloqua le chemin jusqu'à la porte

-C'est rien! On laisse pas des gens hurler de cette façon sans faire quelque chose. Il est où ton code d'honneur hein? Tu l'as oublié chez une de tes conquêtes?

Je me taisit. Je n'étais pas le genre à m'en faire pour les autres. J'avais tué de nombreuses personnes, des gens dont j'ignorais tout, tout simplement pour suivre les ordres que m'avais donné. Mais ici, dans cet endroit. Je ne sais pas... J'avais l'impression qu'il fallait se rattacher au peu d'humanité qui restait en nous.

-S'il-te-plaît... viens avec moi et oublie ça daccord?

-C'est ça, on va faire ça!, dis-je de mauvaise humeur.

Non, je ne le reconnaissais vraiment pas. Il semblait préoccupé sur le fait que je ne devais pas entrer dans cette pièce. Ça me démangeait de savoir pourquoi.

Je me détourna de lui sans lui jeter un regard et me dirigea vers les escaliers.

Je fis un soupir de soulagement. Je marcha sur ses pas d'une allure rapide, il ne fallait pas qu'elle me distance. Juste avant de monter les escaliers je regarda une dernière fois la porte de la salle de torture. Je monta les escaliers en gardant bien un oeil sur Clairval, au cas ou elle déciderait que me distancer sous l'effet de la colère.

Je retins Carl par le coup lorsqu'il hurla.

-Qu'est-ce que tu t'imagines? Que quelqu'un va t'entendre? Que quelqu'un va venir à ta rescousse? Il n'y a plus personne à cette heure dans les couloirs... Que toi et moi...

Je lui lécha l'oreille rapidement avant qu'il ne me morde la langue, comme il me le répétais souvent.

Je redescendis de la table et sortit la photo des enfants de Carl. Je la posa sur la petit étagère à armes de tortures diverses.

-Voilà! Tes enfants vont pouvoir profiter de la situation aussi! Ils vont être contents de voir leur papa.

Je retourna vers lui et lui baissa son caleçon d'un geste rapide.

-Voilà! On est prêt à l'action mon cher?

Je posa mes mains sur ses cuisses et remonta lentement.

Je gardais un oeil sur la photo. Je sentais que j'allais devenir fou, et je songeais au fait que j'aurais dû me débarasser de cette photo, je savais qu'ils ne pouvaient pas me voir en ce moment ... Mais qu'est-ce que c'étais que cette situation. J'étais un tueur, certainement beaucoup plus agressif que beaucoup d'autres personnes et j'allais me faire violer par un perturbé mental ...

Je réussis à enlever mon regard de sur la photo. Je ne savais plus quoi faire, quoi dire maintenant. Je posais un regard effrayé sur Steve. Je préférais mourrir que de me faire faire ça.

Je dis d'une voix sourde:

-Ne fait pas ça ...

Je n'étais même plus agressif. J'étais perdu, completement découragé. Dépassé par les evenements. Je ne pouvais même pas bouger, l'empecher de me toucher m'était impossible, cette situation me rendais fou.

Je souris et continuer mon mouvement, arrêtant ma main sur son membre, le caressant doucement. C'était bon de se savoir dominant. Qu'une personne vivait des moments de plaisirs physiques grâce à moi. Il ne pouvait rien me faire, il ne pouvait m'atteindre. Cette sensation de supériorité, je l'adorais. J'en mangerais si cela se pouvait!

-Ne fait pas ça ...

-Je vais me gêner tiens... Ferme les yeux, profite du moment présent.

Je continua de le caresser. J'aimais son regard en ce moment. Une petite bête, prise au piège, qui comprend finalement qu'elle ne peut plus rien faire pour s'échapper.

-À quoi tu penses? N'essaie pas de me mentir ou éviter la question...

Je fermais les yeux et je me crispais. Pas parce qu'il me l'avais demandé. Simplement, me faire caresser de cette façon m'était insupportable,

À quoi tu penses? N'essaie pas de me mentir ou éviter la question... Me demanda t-il.

Je laissais échapper un grognement, je dis d'une voix entre-coupée:

-Tient ... Je vais me gêner ... Va te faire foutre connard!!!

J'avais terminé ma phrase en parlant plus fort. J'avais ouvert les yeux, et je le dévisageais agressivement.

Je restais crispé. Si j'avais pu serrer quelque chose, je l'aurais bien apprécié. Bordel ... Il finirait par m'exiter, bien malgré moi ... Mais je ne pouvais pas réellement controler mon membre... Mais il ne pouvait pas être exité par ça!! C'était dégoûtant!!

-Tient ... Je vais me gêner ... Va te faire foutre connard!!!

Je ris et empoigna complètement son membre pour lui infliger un mouvement de vas et viens. J'aimais que mes conquêtes soient aussi excité que je l'étais. Et je commence à vraiment l'être en ce moment. Vive la domination! Un travail d'homme, de vrai!

-J'adore ton petit côté sauvage, dis-je en grimpant sur la table sans laisser son membre seul.

Je le regarda un moment dans les yeux et tourna ensuite mon regard vers la photo de ses enfants.

-Comme ils doivent être fiers en ce moment, tu ne crois pas!

Je retourna mon regard vers lui.

-C'est un privilège immense de partager mon lit... ou plutôt la table de madame Böse...

Je refermais à nouveau les yeux, non ... je ne voulais pas que ce monstre m'exite ... Et c'était pourtant ce qu'il arrivait à faire ...

-Laisses ... mes enfants en dehors ... Ne parles plus d'eux! Dis-je entre les dents.

Je voulais tellement qu'il me lache, être exité à cause d'un homme, ça ne pouvait pas m'arriver, j'aurais du plus profiter des femmes ...

J'étais tellement fatigué, mes membres me faisaient souffir, j'aimerais pouvoir me ballancer dans tout les sens, bouger le plus que me permettais cette table, mais j'en était incapable. Et maintenant j'étais bien trop concentré sur mon corps pour m'agiter, il ne me ferait pas bander ce porc ... Jamais!

Je continua mon mouvement. Il ne saurait me résister bien longtemps. C'est ce qu'il y a de bien avec les hommes, on le sait toujours lorsqu'il aime, et se sentait que bientôt, il serait en pure extase.

-Laisses ... mes enfants en dehors ... Ne parles plus d'eux!

-D'accord... On va parler de ta femme alors... Elle te faisait plaisir avec autant de passion et d'amour que moi?

Mon sourire se pervertie un peu. J'adorais jouer dans la tête des mes amants et amantes, les troublés. Personne ne pouvait être meilleur que moi!

-De toute façon, tu vas devoir te contenter de moi... Tu ne la reverra plus jamais...

Je me pencha à son oreille.

-Je te dirais si elle était bonne lorsque je reviendrais d'aller lui rendre visite. Ça va te faire des nouvelles d'elle!

Je sentais mon cœur et ma respiration s’accélérer, il me déconcentrait, et bientôt je me relâcherais je le savais. Il s’approcha de moi, je devais me retenir, non j’en étais incapable. Je tournais rapidement ma tête et je lui mordis rageusement l’oreille. Je ne la lâchais pas. Je sentis son sang se rependre dans ma bouche. Le salopard. C’était tout ce que je pouvais faire, mais ça faisait tellement de bien.

Je le lâchais finalement lorsque le sang manqua de m’étouffer. Erreur, je le savais, mais je n’étais qu’un impulsif incontrôlable, et j’étais bien incapable de le supplier de ne pas toucher à Eddy.

Je recrachais le sang que j’avais dans la bouche, Je ne lui avait pas arraché l’orreile, je n’avais pas eu le temps, mais mon intention avait été là, donc il devait bien la sentir la morsure.

Je le fixait avec rage, je voulais tellement le tuer.

Je le lâchais lorsqu'il me mordit l'oreille. LE BÂTARD! J'aurais du être plus prudent. Je savais qu'il mordait, c'était un animal sauvage après tout.

Je lui asséna quelques coups de genoux avant qu'il me lâche finalement. Je porta ma main à mon oreille et l'autre alla rencontré brutalement la mâchoire de Carl. Il avait la bouche pleine de sang, il était mignon à voir comme cela... Mais je souffrais là! Il aurait voulu m'arracher l'oreille que ca n'aurait pas fait de différence.

-Tu vas regretter ce geste.... Vraiment beaucoup!

Je n'avais même plus envie de lui là, il m'avait fait perdre mon érection. Je grogna et descendit de la table, me dirigeant vers la photo.

-Ça va être eux dans ce cas!, dis-je en prenant la photo. Tu n'avais qu'à être plus gentil!

Je me dirigea vers la porte, en rangeant mon couteau, ma matraque et mon arme que je récupéras au sol.

je pris le coup à la figure sans réagir. La douleur n'était rien face au coup psycologique qu'il venait de me donner. Je le regardais prendre la photo de mes enfants, me sentant devenie de plus en plus énervé. Jamais je ne supporterais de savoir que je l'avais envoyé vers Eddy, et c'est encore pire de ne pas savoir si il a vraiment l'intention de le faire. Je me remis à m'agiter . Lorsqu'il se dirigea vers la porte, je dis en un geste désespéré:

-Non!

Je fis une pause, pratiquement incapable de prononcer les mots que je devais dire. Je réussi finalement:

-...Je vais rester calme ... Je t'en pris ...

Je le regardais, j'espérais presque qu'il revienne.

-Ne leurs fait pas de mal ... Dis-je d'une voix faible et beaucoup moins agressive. J'étais plus calme, mais terriblement effrayé. Je m'en voulais, il m'avait parlé de ma famille plusieurs fois et je n'avais rien pris au sérieux., maintenant j'étais attaché, si personne ne venait dans cette salle rapidement, je me vidrais de mon sang. La situation m'échappais depuis le début. Pourquoi est-ce que j'étais aussi impulsif?!

-Non!

Je m'arrêta sur le pas de la porte et jeta un oeil en arrière, vers lui. Il était en piteux état. Si je n'étais pas aucun en colère contre lui en ce moment, j'aurais presque pitié.

-...Je vais rester calme ... Je t'en pris ...

Des supplications maintenant? Qu'est-ce que c'est pathétique. On attaque et on s'excuse? Non, cela ne fontionne pas de cette façon.

-Ne leurs fait pas de mal ...

Encore des menaces? Plus faible évidemment, mais toujours des menaces.

-Tu n'avais qu'à y penser avant!, dis-je simplement avant de sortir de la pièce.

Je jeta un oeil à la photo. Qu'est-ce qu'il pouvait bien leur trouver? Je la chiffonna et la jeta par terre, me tenant toujours l'oreille. Bon... Cette fichu infirmière n'accepterait sûrement pas de me soigner, pas après le coup que je lui avais donné. Je devrais essayer d'être moins agressif avec les gens qui pourrait être mes alliés.

Je me dirigea vers ma chambre pour me faire un bandage. Carl attendrait. Je reviendrais plus tard pour m'amuser de nouveau avec lui, le temps que je me remette dans le mood d'excitation requis.

Je crois plusieurs gardien pendant mon trajet, mais je réussis à me cacher dans l'ombre des couloirs à chaque fois. Cette putain de prison avait un côté positif. C'était facile de se cacher la nuit.

J'allais entrer dans la cage d'escalier lorsque j'entendis quelqu'un qui montait. J'alla me cacher dans une autre cage d'escalier et vit un gardien, l'oreille en sang, sortir précipitamment. Merde! C'était vraiment grave leurs trucs!

J'attendis un moment et descendit. Je me dirigea vers la porte. Je remarqua un papier par terre et le ramassa. C'était une photo d'enfants. Je fronça les sourcils et la mit dans ma poche. Quelqu'un devait l'avoir perdu.

Je me tourna finalement vers la porte. Je colla mon oreille contre elle. Rien. Aucun son ne sortait. Je tourna la poignée lentement. La porte n'était pas verrouillée. Je l'ouvris et passa la tête à l'intérieur.

Je resta complètement abasourdi par le spectable qui s'offrait à moi. Carl. les pantalons aux chevilles et attacher sur une table. Je resta pétrifier un moment, puis me resaisit. J'entra dans la pièce, refermant et verrouillant la porte derrière moi et me précipita vers Carl.

J'avais envie de tuer Yuuri maintenant. Il savait ce qui se passait ici, et il y avait participé d'une certaine manière.

-Carl?, l'appelais-je en lui remontant au moins son boxer.

Je restais figé en voyant Clairval venir. Je n'aimais pas particulièrement qu'elle me voit dans cet état, mais j'étais terriblement soulagé qu'elle soit là. Elle me détacherait ...

-Clairval ... Détache moi ...

Je n'avais pas parlé d'un ton méchant. Mais d'une voix sourde et un peu seche. Je ne savais plus comment je devais être. Soulagé ou en colère. J'étais terriblement furieux.

Mais pour l'instant j'étais épuisé. J'étais ensanglanté. Ma main ne m'avait jamais autant fait souffrir et disons que le mouchoir enroulé autour d'elle n'imbibais plus grand chose.

-je veux sortir d'ici ...

Ce n'étais pas ce que je voulais dire, je voulais être en colère. Lui dire que j'allais le tuer ce salopard ... Que j'allais tuer Yuuri également. Mais je ne le dis pas et je ne savais pas pourquoi ...

-je veux sortir d'ici ...

J'hocha nerveusement la tête. Merde, on était tombé chez les dingues!? Je détacha les mains et les pieds de Carl et l'aida à s'asseoir.

-T'es vraiment en mauvais état. Tu es certain de pouvoir marcher?

J'accrocha les clés à ma ceintures et mit l'arme dans mon pantalon. C'était un gardien qui lui avait fait ça?

Je sortis la photo de ma poche et la lui tendit. Yuuri avait dit que Carl avait des gamins.

-C'est à toi?