Recherche d'une arme

Je voulais sortir d’ici. C’était évident pour moi. Et la seule façon que j’avais trouvé c’était par la force. Je n’hésiterais pas à tuer tout ce qui se mettrait en travers de mon chemin. Et j’avais besoin d’une arme pour cela. J’entrais dans la salle de torture. Je n’avais absolument aucune envi de retrouver dans cette horrible salle. Mais je me disais que Bose ne devait pas dormir ici, et qu’il n’y aurait certainement personne d’autre. Je pourrais même certainement être un peu calme ici.

Je soupirais. Je laissais la porte ouverte. Cette salle n’était pas si petite, mais avec aucune fenêtre et au sous-sol comme ça, je n’appréciais pas tellement cette pièce.

J’avançais lentement entre les divers instruments de tortures. Ils ne semblaient plus utilisés, mais j’avais l’impression qu’ils ne devaient pas hésiter à s’en servir. Je m’attardais à chacun d’eux. Cherchant également quelque chose qui pouvait me servir d’arme. J’avais trouver une sorte de ciseaux que je pourrais trafiquer en couteau, je le pris et je le gardais avec moi à la recherche de quelque chose de mieux.

J’étais vers le fond de la salle. Me songeant à revenir plutôt vers l’avant car l’arrière me donnait des frissons. Ma claustrophobie me disait de sortir d’ici maintenant …

J'en avais marre. Je voulais aller dormir! Je travaillais trop! Bon, j'avais choisi cette prison, mais ce n'était pas une raison pour me brûler. Bientôt, je n'aurais plus d'énergie pour avoir du plaisir! Ce serait un drame terrible!

Je descendis au sous-sol. Je voulais voir s'il y avait des gens intéressant en isolement. Mais mon regard fut attirer par la petite salle de torture de la directrice. La porte était entrouverte.Elle était peut-être en train de torturer quelqu'un! OH! Quelle joie si c'était le cas!

Je m'approcha et passa ma tête dans l'ouverture. Personne? Je remarqua alors un mouvement dans le fond de la pièce. Je sortis mon arme et entra silencieusemenet et referma la porte derrière moi. Je pointais mon arme devant moi et ne put m'empêcher de sourire. Mon petit con préféré!

-Salut!

Entendre la porte se refermer derrière moi, ce n’était pas bon signe. Je tenais le semblant d’arme que j’avais trouvé fermement dans ma main. Je n’hésiterais pas à m’en servir. Je tombais rapidement face à face avec Steve, et son arme. Je ne perdis pas une seconde. Je voulais le tuer ce salopard, j’avais un semblant d’arme, j’allais m’en servir.

Je lâchais un grognement puis je lui lançais directement sur lui. Je visais le cœur. Je visais habituellement bien, mais j’avais tiré de la main droite et j’étais gauché. Et puis cette arme n’était pas totalement droite … Elle se ficha dans son épaule, bien entrée là et ce devait être assez douloureux, je m’approchais rapidement de lui et je donnais un coup sur son arme. Elle tomba assez loin de nous, je me passerais d’elle pour l’instant, je voulais le faire souffrir avant de le tuer!

-Salut! Dis-je d’un air enragé.

J’arrachais rapidement le couteau de son épaule et je le gardais dans mes mains. Je l’approchais de son visage et je dis :

-Ça te fait quoi quand c’est ton sang? Sale ordure!

Je lui donnais un bon coup de poing à la figure. Il recula. J’attendis qu’il revienne vers moi pour le frapper à nouveau. Je n’avais oublié qu’un seul détail. Son couteau, il avait un bon couteau lui aussi. Mais je ne songeais plus à grand-chose, j’étais tellement enragé, il allait crever ce soir, j’allais le tuer et ensuite je foutrais le camp de cette foutue prison.

Je ne m'attendis pas à cet accueil pour le moins non chaleureux. Je reçu ce que je crois être des ciseaux dans l'épaule et retint un cri de douleur. La douleur, je n'y étais pas habitué, pas aussi forte du moins. Je préférais encore mieux la faire subir aux autres. Il en profita pour me désarmer.

-Ça te fait quoi quand c’est ton sang? Sale ordure! , dit-il en me frappant au visage.

Je recula de quelques pas et baissa la tête. J'étais rarement VRAIMENT en colère. Mais j'étais en train de le devenir maintenant. Je sortis lentement mon couteau de son étui et regarda son reflet. Je releva à peine les yeux et lui jeta un regard à travers mes cheveux.

Hmm.. Je devrais me faire couper les cheveux bientôt.

-Je trouve que mon sang est magnifique... Mais pas autant que le tien!

Je me précipita sur lui et lui donna un coup de matraque sous le menton, avant de lui entrer mon long, magnifique, et dur couteau dans les côtes.

Je profita de ma proximité avec lui pour lui lécher le visage en tournant un peu mon couteau.

-Tu goûtes meilleur quand tu saignes, murmurais-je.

Je me recula en retirant brusquement mon couteau. Je laissa tomber ma matraque. Mon épaule me faisait trop souffrir pour être capable de tenir quelque chose dans ma main.

-Mais je devrais peut-être te laisser tranquille... Ta descendance me donnerait beaucoup plus de plaisir...

Je retins un hurlement de douleur, pourquoi est-ce que j’avais oublié son maudit couteau, j’avais eu toutes mes chances de tuer ce salopard et je l’avais perdu. Je restais sans bouger quelques instants. La douleur était atroce. Je retins tout de même mon arme, mais d’une main faible… J’avalais difficilement et je dis :

-Tu n’auras pas le loisir de les touchers …

Je lâchais un hurlement de rage puis je me jetais sur lui, je sentais du sang couler de ma blessure, le moindre mouvement m’étais pratiquement intolérable, mais je ne laisserais pas cette saleté en vie. Je pris un élan avec mon couteau puis je lui enfonçais dans le ventre, moins profondément que dans son épaule, j’étais plutôt faible, mais la rage que j’éprouvais envers lui me donnait de la force.

-Je vais te tuer maintenant!!!

Je lui redonnais un coup à la figure. Songer à ce qu’il pourrait faire à mes enfants de rendais fou, ce n’était qu’un porc dégoûtant. Jamais il ne les toucherait, Jamais!! Pas tant que j’étais en vie!

Je fis un petit sourire en coin. Je reprenais le contrôle de la situation. L’avais-je perdu? Non, c’est impossible.

Il se précipita vers moi et m’enfonça son petit couteau laid dans le ventre. Il appelait ça une blessure? Bon, c’était douloureux. Je ne souffrais pas encore le martyre, mais ça ne serait tardé. C’est traître des blessures à l’abdomen!

-Je vais te tuer maintenant!!!

Il me donna un autre coup au visage. Merde, s’il n’arrêtait pas, je ne pourrais plus me montrer en public. Je profita du moment pour le frapper également à la mâchoire. J’étais plus en forme que lui, et moins blessé. Je l’envoya revoler contre une table… de torture.

Une très jolie table en fait. C’était une honte d’envoyer un type plein de sang contre elle. Quoique, elle en avait sûrement vu d’autres…

Je m’approcha rapidement de Carl et grimpa sur lui. Je lui pris les poignets, serra celui qui tenait le couteau pour qu’il le lâche. Je retins ces pieds avec les pieds, en faisant bien attention de mettre tout mon poids contre lui.

-Tu n’as besoin d’être aussi agressif avec moi si tu es à la recherche de rapprochements. J’aime ça quand c’est doux…

Je lâchais un hurlement de rage lorsqu’il m’envoya contre la table. Bon sang Carl!! Tu avais le dessus … qu’est-ce qui m’arrivais!! J’avais déjà tué des mec beaucoup plus fort que lui.

Mais je devais avouer que pour un salopard, il était très fort, et je n’étais pas au sommet de ma force, je n’avais pas prévu de me battre contre qui que ce soit, je comptais me trouver une arme et ruminer ma vengeance jusqu’à ce que je sois totalement guéris, mais ça ne se passais pas comme prévu.

Je pris un élan avec la seule chose que j’étais capable de bouger, ma tête, je lui en balançais un énorme coup contre la sienne, ce qui le fit reculer. Il était étourdi, mais moi aussi. Je descendis de la table. L’arme, je devais aller la chercher!

J’avançais un peu, secouant la tête, j’avais mal frappé, habituellement je ne dois pas être si étourdi. Mais j’étais tellement stressé que je faisais des erreurs.

J’avançais lentement vers l’arme, enfin vers l’endroit ou je croyais qu’elle était car j’avais la vue légèrement embrouillée.

Ouch! Je me recula en m’adossant à une autre table derrière moi. Je posa ma main sur ma tête. C’était douloureux! Et complètement désespéré de sa part! Je le regarda s’éloigner. Qu’est-ce qu’il faisait cet imbécile!

-La porte est de l’autre côté idiot!

Je me frotta le bras et réalisa soudainement qu’il cherchait mon arme. Je m’élança à sa poursuite et lui sauta dans le dos, l’envoyant au sol. Oh! Ce devait être douloureux. Surtout avec mon poids sur lui.

-Qu’est-ce que tu essais de faire? Me blesser? Tut tut tut! Ce n’est pas bien!

Je pris mon couteau et le glissa sur son dos, faisant une longue marque. J’évita la colonne vertébrale, je ne voulais quand même pas trop l’abîmé…

Il me projeta sur le sol. Douloureux … Je gémis lorsqu’il me passa son couteau dans le dos. Je serrais la mâchoire et je levais les yeux devant moi. L’arme, elle était là … Mais malheureusement hors d’atteinte pour moi. Je pris une grande inspiration. Un dernier effort. Et lorsque je mettrais la main sur cette arme je le tuerais, et cette fois-çi, je ne le raterais pas, non, pas avec un fusil.

Je me mis à lui donner des coups de coude dans les cotes, ce ne devait pas être bien agréable … Il finirait bien par ce dégager de sur moi! Je continuais, sans relâche et j’étendis l’autre bras, tentant d’attraper le fusil qui était presque à ma portée.

Je tenta de le maintenir contre le sol. Mais merde! Il voulait vraiment que je lui plante mon couteau dans le dos ou quoi! J’essaya de lui attrapa le bras pour qu’il arrête de me donner des coups dans les côtes. Cela commençait à être douloureux.

Je le vis s’étirer, tout à fait inutilement, pour atteindre mon arme. Je me coucha un peu plus contre lui et approcha ma bouche de son oreille.

-C’est une arme spéciale… Un trois coups! Il n’y a plus de balles à l’intérieur! Je ne croyais pas que tu m’attaquerais. Sinon, j’aurais sorti mon couteau bien avant…

Je lui lécha l’oreille de nouveau. Je commençais à apprécier ce petit geste coquin entre nous.

-Maintenant, tu te calmes… Tu ne voudrais perdre toutes tes forces… et tout ton sang!

Je glissa doucement et sensuellement une des mes mains contre ses côtés.

Je continuais à le frapper quelques instants puis je me calmais. Oui me calmer. C’est ce que je tenterais de faire. Je ne devais pas tout foutre en l’air, plus il me blessait, plus je resterais encore longtemps en prison. Mettre ma fierté de coté. Est-ce que j’en étais capable? Je n’en savais rien, c’est ce que je verrais maintenant.

Je ne bougeais plus, je ramenais même mon bras vers moi et je dis :

-Ok … Je me calme.

J’avais parlé d’une voix basse. J’attendrais ça réaction, il serait certainement surprit. Je voulais qu’il me laisse tranquille. Que je ne sois pas trop amoché. Je ferais ce qu’il faudrait, mais je savais que je ne serais pas capable de faire tout ce que lui avait en tête …

-Ok … Je me calme.

Je souris, sans bouger. Quelle gentille petite bête. Sûrement prête à me sauter dessus et à me mordre à la gorge au premier instant d'inattention de ma part, mais tout de même gentille!

-C'est joli cette pièce, hein? J'adore tout particulièrement cette jolie table, là... Tu vois, celle avec les GROSSES menottes. Je suis certaine qu'elle est très confortable...

Je glissa mon couteau sous sa gorge et le força à se relever lentement, en même temps que moi. Je le guida jusqu'à la table.

-Couche-toi!

Je laissais échapper un grognement sourd. Comment me jeter totalement dans la gueule du loup. Je ne bougeais plus. Je ne savais pas quoi faire. Me laisser attacher! C’était complètement stupide.

Rester calme. J’étais toujours calme, il n’y avait seulement que ma respiration qui s’accélérait.

-Non. Dis-je d’une voix ferme.

Je ne voulais pas me coucher là. Mais je n’avais pas bien le choix, je cherchais une solution … Une solution bon sang! Un petit quelque chose qui me sortirais d’ici!!

Il ne bougea pas. Il semblait incertain. Que pouvait-il bien s'imaginer? Ah... Peut-être les plaisirs charnels qui l'attendait s'il se couchait sur cette belle table.

Du merisier je crois. Une belle couleur. C'est solide du merisier.

-Non. dit-il fermement.

-Non?, répétais-je lentement. As-tu bien dit... non?

Il en manquait encore un peu sur le côté de la docilité. Mémo pour moi-même, rendre Carl plus docile.

-Et moi, je te dis que OUI, tu vas te coucher sur cette table. Le dos contre la table... Pour que je puisse voir tes magnifiques yeux!

Je n’avais qu’une envie, lui arracher la langue … Pourquoi cette partie de son corps? Je n’en savais rien, simplement parce que l’entendre parler me donnait envi de vomir. Je me tournais lentement pour être face à lui. J’étais très près, puisque si je m’étais éloigné il ne m’aurait certainement pas raté avec son couteau.

-Je dois le répéter? Dis-je d’une voix basse.

Je le fixais dans les yeux. Je cherchais un moyen de lui enlever son couteau, si il perdait son arme, s’en était terminé pour lui. Mais je n’étais pas quelqu’un de bien subtil. Je n’ai jamais travaillé ma subtilité. Rien ne me disait que je me ferais attaquer par un pervers Sexuel… Surtout moi.

Je rajoutais en espaçant bien mes mots :

-Fout le camps … Je vais te tuer …

Lorsque je parlais je levais ma main lentement vers son couteau, mais je n’étais pas encore rendu …

-Fout le camps … Je vais te tuer …

J'haussa un sourcil, ne sachant si je devais être amusé ou en colère. Il était vraiment... Je ne parvenais pas à trouver de qualificatif pour décrire le degré de stupidité dont il faisait preuve en ce moment.

Je le vis approcher sa main lentement de mon couteau. Il s'imaginait quoi? Que je le laisserais faire aussi facilement? D'un mouvement rapide et brusque je transperça sa main de mon couteau. Oh! Grounch! J'adorais le bruit que faisait mon couteau en transperçant une surface croquante. Mon autre main alla s'accrocher sous sa gorge et serra.

-Écoute-moi bien connard. C'est la table ou l'isolement pour une semaine. Je ne donne pas cher de ta peau si tu y vas dans cet état!

Je le repoussa contre la table, mon couteau s'ôta de sa main alors qu'il reculait.

Je lâchais un cri de douleur. Cette douleur là, elle était violente! Lorsqu’il me poussa je tombais contre la table. Je ne tentais pas de me rattraper. Il avait raison, si j’allais au trou je ne survivrais pas deux jours … Alors une semaine c’était impensable.

J’étais sur la table. Je n’essayais plus de me relever. C’était bon maintenant, j’avais joué les cons assez longtemps. Je laisserais les choses se terminés, peut importe ce qui se passerait … Je devais être vraiment désespéré.

Je regardais ma main, elle n’était pas bien belle à voir, Je la serrais contre moi pour l’empêcher de saigner un peu. Je lançais un regard mauvais à Steve. Il avait encore gagné. J’étais totalement découragé.

Mon sourire était rayonnant! Cela faisait longtemps que je n'avais pas sourit de la sorte.

Je m'approcha de la table et attacha les jambes de Carl, le regardant dans les yeux. Le contact visuel est très important dans une relation physique. J'alla ensuite lui attacher les mains. Lorsque je fus rendu à sa main blessée, j'y allais plus doucement. Lorsqu'elle fut attachée, je sortis un mouchoir de ma poche et lui banda la main avant de lui donner un baiser. On ne pouvait pas dire que je n'étais pas gentil! Mon beau mouchoir blanc! Et en plus, j'avais fait un bécqué-bobo!

Je grimpa ensuite sur la table, me positionnant à califourchon par dessus Carl.

-Bon bon bon! Par où commence-t-on?

Je fis glisser doucement mon couteau sur son torse, ne le coupant pas. Je ne voulait plus lui faire de mal. Pauvre petit chéri à moi.

Je lui lançais un regard méprisant. Je le regardais s’installer à califourchon sur moi. Je savais qu’il me ferait ça. Ça me rendais fou, je voulais sortir d’ici, je préférais me faire torturer par Böse, peut importe, mais pas ça.

- Bon bon bon! Par où commence-t-on?

Me dit t-il. Je lâchais un grognement et je dis d’une voix agressive :

-Va te faire voir!!!

Personne ne venait donc pas dans la salle de torture? Non évidemment, c’était pour cette raison que j’étais venu ici au départ. Mais ce fichu gardien s’amusait à me suivre partout ou je me rendais, je devais sortir de cette prison, car je doutais qu’il me violerait seulement une fois.
Gagner du temps … Je devais gagner du temps … Mais comment faire??
Je dis d’une voix plus calme :

-…Tu vas commencer comme ça? Sans parler? Tu n’aimes pas parler alors? Moi j’adore Ça. « Je ne sais pas pourquoi, mais le J’adore ça, avait sortit un peu plus agressivement de ma bouche… »

-Je ne connais même pas ton nom … J’aimerais au mois savoir qui va me violer … Dis-je d’un ton sarcastique.

J’essayais plutôt d’avoir une voix douce, mais sans grand succès. Je doutais qu’il se prendrait au jeu et débuterais une discutions avec moi. Mais je ne savais plus quoi faire …

Je conserva mon sourire, l'agranddisant un peu. Il commençait à devenir bavard. Il devait commencer à se faire à la situation. Une partie de lui tentait de me combattre, mais une autre adorait la situation. C'était évident!

-Tu peux m'appeler Steve ou chéri ou bébé, c'est comme tu veux. Évites les noms désagréables par contre, ça me rend agressif. Je préfère et TU préfères que je sois de bonne humeur.

Je me frotta un peu contre son bassin et me pencha sur lui, posant mes mains de chaque côtés de sa tête.

-Maintenant que nous avons faire plus ample connaissance, nous pouvons apprendre à nous connaître plus... intimement.

Je me pencha vers ses lèvres et m'arrêta à quelques centimètres. Je restais prudent. Je n'avais pas envie qu'il me mordre ou qu'il tente de me donner un autre coup de tête.

Hmmm... La situation devenait de plus en plus excitante. J'avais rarement accès à ce genre d'environnement. Un environnement parfait, excitant, limite sadique. Bon, c'était une table de torture, mais ma douce tortude le mènerait plus près de l'extase que de la douleur.

-Alors, ta langue a envie de continuer à parler ou elle daigne enfin se faire gentille?

Je tournais rapidement ma tête sur le coté. Je savais qu’il me ferait plus de mal si je n’étais pas plus coopératif … Mais j’étais tout simplement incapable de me convaincre. Des mots agressifs sortirent de ma bouche sans que je ne puisse les empêcher.

-Tu approches ta langue et je te l’arrache …

C’était sortit tout seul, mais je le pensais tellement.

Je me mis à gigoter, cette proximité me rendait fou. Il voulait me violer bon sang!! Je ne devais pas rester calme, je devais arracher ces maudites menottes … Peut importe! Je continuais à me débattre, je savais très bien qu’elles ne cèderaient pas, enfin j’espérais fortement qu’elles cèdes. Mais c’était pratiquement impossible.

-Je vais t’arracher la langue!!

Je fis un mouvement de tête vers l’avant. Je ne pouvais pas l’atteindre, mais qu’il approche sa bouche juste pour voir … Il serait défiguré pour le restant de ses jours.

-Tu approches ta langue et je te l’arrache …

Oh, des menaces! Et amusantes en plus! Un sourire moqueur apparut sur mes lèvres. J'imaginais bien la scène... Ah, douce effusion de sang! Mais j'avais encore besoin de ma langue!

Il se mit à se débattre comme un déchaîné, ou devrais-je dire, un «enchaîné». J'aurais du être humoristique! Quoique, j'aurais eu beaucoup moins de plaisir qu'en ce moment.

-Je vais t’arracher la langue!!

J'éclata de rire et redescendit par terre.

-Tu ne vas m'arracher rien du tout mon bel animal enragé! C'est moi qui vais t'arracher quelque chose! Commençons par...

Je glissa ma main sur sa cheville et je remonta lentement, tout en chantonnant. Lorsque ma main fut rendu à son entrejambe, je la laissa glisser lentement sur son membre.

-Par le pantalon?

Je le regarda un bref instant et secoua doucement la tête. Nan! Ce serait trop rapide, je n'étais pas encore assez excité! Je pris mon couteau et arracha les boutons de sa chemise un à un, dévoilant son torse.

-Hmmm, tu as l'air appétissant, dis-je en lui léchant un mamelon.

Je repensais à ma conversation avec le nouveau prisonnier, Kirof, le cannibale. Je devrais peut-être faire l'honneur à Carl de le manger, au figuré comme au sens propre...

Je me calmais un peu lorsqu'il descendit de sur moi. Ma respiration était halletante, je n'avais rarement été aussi frustré, choqué, et stressé de toute ma vie je crois bien. Je le regardais ce promener, passer sa main sur mon corps. J'étais déja bien dégouté. Alors qu'est-ce que ce serait lorsqu'il déciderait d'aller plus loin.

Je fit un air dégouté lorsqu'il me lecha un mamelon. Je ne comprennais pas qu'il puisse éprouver du plaisir en me faisant ça. Je secouais la tête. Je devais me sortir de là ...

-Hey tête de couille! "ne me demandez pas d'ou sortais cette insulte, je me rappellais simplement qu'il m'avait dit qu'il n'aimait pas les noms désagréable"

Je fis un mice sourire et je dis:

-Termine en donc rapidement ... Que je puisse m'amuser avec toi à mon tour ...

Lorsqu'il aurait le malheur de me détacher, je trouverais un moyen de le tuer, de le faire souffir ... Il souffrirait. Je lui arracherait les membres un à un ... Je n'avais jamais torturé personne, mais je ne manquerais certainement pas d'idées pour lui ...

Je n'appréciais pas les insultes. Il devait être complètement dérangé. Il était allongé, menotté, sans aucun moyen de se sauver, et il m'insultait. Moi, qui était libre et qui avait un joli couteau.

-Termine en donc rapidement ... Que je puisse m'amuser avec toi à mon tour ...

Je fis un sourire semblable au sien.

-Si tu insistes!, dis-je en défaisant la ceinture de son pantalon. Mais ne crois pas que tu vas avoir la chance de t'amuser avec moi... Il ne restera probablement pas grand chose de toi lorsque j'aurai terminé!

Je tira son pantalon jusqu'à ses chevilles, ne lui laissant que son caleçon pour le moment. Je pris la photo de ses enfants dans sa poche et la contempla.

-Vraiment réussi cette photo! Ça va m'être pratique pour les reconnaître!

Je mis la photo dans la poche de ma chemise et posa mes mains sur la table.

-Alors, tu es prêt à vivre le plus beau moment de ta vie?

J'entra dans la salle de torture, j'y avais entendu de drôles de bruits, habituellement quand Mademoiselle Böse utilisait la salle de torture il y avait plus de bruit(des bruits, plutôt des cris).

Intrigué j'ouvris la porte et entra dans la grande pièce. Je vis tout de suite Carl sur la table de torture avec mon nouveau compagnon de chambre penché sur lui, Carl étais attaché et il avait les pantalon baissé jusqu'aux chevilles. Bien... très bien, il va regretter de m'avoir frapper!

-Ho! Je vous dérange, je vais vous laisser! Je ne voudrais pas gâcher votre beau moment!

Je lanca un regard rieur à Carl.