Sadismus Jail
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Sadismus Jail

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 Un retour inopiné [Libre]

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Pythagoras de la Flaam
3046 Aristo Sadique
Pythagoras de la Flaam


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MessageSujet: Un retour inopiné [Libre]   Un retour inopiné [Libre] Icon_minitimeMar 23 Sep - 13:11

[HJ : Ceci est un essai, pas sur que je reste… RP ouvert à tous les bons joueurs excepté à celui qui se reconnaîtra.]


Mes jours sont comptés.

Tout est allé si vite après que Stephen soit venu ici. Ce jour marque un tournant définitif à ma vie je crois. Il est venu m'annoncer que j'étais son héritier officiel. Bien sûr, je savais que ça arriverai. Enfin, je m'en doutais fortement. Et il m'a demandé de rentrer pour régler quelques affaires. Bien sûr, il ne me demandait pas un retour définitif, juste une semaine au Grand Duché pour confirmer mon ascension brutale. Il est reparti presque aussi vite qu'il est arrivé en me laissant le temps de digérer la chose, de prendre mes dispositions. Nous n'avons même pas pris le temps de nous unir ce jour là tellement les lieux lui déplaisaient. Serais-je comme ça d'ici quelques années ? Déjà le retour a été difficile…

Je me souviens avoir passé la soirée sur la plage à tenter de me rendre compte de ce qu'il se passait. En quelques minutes j'avais définitivement été émancipé de mon père. Je n'étais plus son fils, son inférieur, j'étais devenu Prince. J'étais le futur dirigeant du pays, je l'avais dépassé en tout. J'étais fier mais c'était étrange. J'avais passé tant d'années à vouloir me libérer de l'emprise qu'il avait sur moi. Bien évidemment, aujourd'hui c'est Stephen qui me contrôle totalement mais c'est n'est pas pareil… Je suis consentant.

Et quand je suis rentré à la Prison… Je crois que j'aurais pu devenir fou si je n'avais pas vu mon oncle avant, s'il ne m'avait pas rendu un peu d'assurant, de stabilité. S'il ne m'avait pas donné la possibilité d'un havre de paix. Moxie avait été tué. En mon absence, le gamin était mort. Je n'avais pas pu le protéger. Heureusement, les paroles de Stephen faisaient encore écho en moi : Je suis juste, ce sont les autres les déviants. Je n'étais pas responsable. Moxie n'avait eu de cesse de défier la mort, je ne pouvais pas le protéger contre lui même, j'avais fait le maximum, je n'étais pas responsable. Pourtant…

Je suis entré dans la salle de sport et j'en ai éjecté tous les prisonniers. Je m'y suis enfermé et j'ai frappé dans le sac de sable, j'ai ramé et couru jusqu'à tomber d'épuisement et m'endormir à même le sol sale. Je ne sais pas qui m'a trouvé. Je me suis réveillé à l'infirmerie et j'ai aussitôt demandé à parler à la directrice. J'avais un très mauvais souvenir d'elle, je n'aimais pas du tout ses méthodes de torture, ça allait à l'encontre de ce qui faisait mon éthique. Par chance, ce fut sa jumelle qui vint me voir. C'était une femme très douce, je me demandais bien comment elle pouvait être directrice des lieux. Je lui ai donc expliqué que j'avais besoin de vacances, que ma présence était requise au Luxembourg et que je pensais revenir sous peu… Peut être. En fait, je ne savais pas encore si je pourrais revenir et j'étais encore trop affaibli par tout ce qui venait de se passer.

A la fin de la journée, j'étais chez moi. Dans ma chambre dorée… Ou plutôt dans celle de Stephen, unissant mon corps au sien, me ressourçant de sa force et de son assurance. Le lendemain, je me laissais totalement diriger par lui. J'étais redevenu l'aristocrate le plus respectable qu'il soit alors qu'il me présentait à des gens que je ne connaissais pas et que d'autres, vieilles connaissances, venaient me féliciter de ma "promotion". Je signais les papiers officiels et apprenais à répondre quand les gens me disaient "Prince" au lieu de "Vicomte".

Les jours passaient et je reprenais vie peu à peu. Stephen n'était que mien, et je n'étais que sien. Il me montrait tout ce que je devais savoir, me présentait rapidement mes futures fonctions. Il faisait semblant de ne pas remarquer que j'évitais soigneusement les salles de tortures, ces espaces créés par lui et qu'il appréciait tant. Il faisait mine de ne pas voir mes distances… Puis je finis par lui expliquer. Je lui parlais de mes amants, d'Edward, d'Anastasiah et de Moxie… Beaucoup de Moxie. De ce que je lui avais fait et de mes échecs. Stephen ne dit rien, il ne me jugea pas, ne me donna aucun conseil… Mais m'assura que je n'étais pas le monstre que je croyais, que j'étais totalement différent de mon père et supérieur à lui en tout point. Il me redonna confiance. Je ne voyais pas les jours ni les semaines passer, chaque heure, chaque minute, il injectait un peu plus de confiance en moi, de force. Et quand il me pensa prêt, il me posa cette question qui me fit peur sur le coup :[/i]

"Pyth, souhaites-tu retourner là-bas ?"

Sa voix était douce, ses bras qui me serraient étaient chaud et pourtant je me glaçais d'effroi à ces paroles. Il m'expliquait donc qu'il n'y avait rien de mieux pour vaincre mes doutes et que j'avais de toutes façons encore bien du temps avant qu'il n'ait réellement besoin de me former aux ficelles du pouvoir. D'après lui je pouvais repartir là bas pendant le temps que je souhaitais… Jusqu'à ce que Sadismus me lasse. Je refusais d'abord mais l'idée fit son chemin et je pris ma décision.

Me revoilà.

Revenir ici a été très étrange. Le gris du ciel, la saleté des murs, la peur dans l'air, la haine dans les regards, le froid des lits… J'ai failli repartir mais j'avais encore en moi la chaleur du corps de Stephen alors je suis entré. Je me suis annoncé au responsable d'accueil et ai pénétré dans le hall si connu de la Prison. Je n'ai pas pu réprimer un frisson terrible quand les regards des prisonniers se sont posés sur moi. J'étais de retour. Pourtant, je ne me suis pas dirigé vers ma chambre. Je n'avais pas encore envie de retrouver la routine du boulot. J'ai évité soigneusement la porte du sous sol et je me suis engagé dans les parties communes. De multiples images sont repassées devant moi mais je les ai chassées en me dirigeant d'un pas sûr vers la salle commune.

Elle était toujours aussi glauque et passablement vide pourtant c'est là que je devais être, je le savais. Je me suis laissé tomber sur l'un des vieux canapés élimés et j'ai allumé une cigarette. Et maintenant, j'attends. Je profite de cette solitude éphémère, de ce faux calme en tirant tranquillement sur ma clope les yeux clos. Je suis rentré et je crois que c'est ici que je suis chez moi… Dans ces odeurs et cette violence latente. Pourtant il est certain que j'ai changé. Je me demande si je vais réussir à me réhabituer aux lieux et à l'atmosphère si particulière de Sadismus Jail…
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Adélie Roche
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Adélie Roche


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MessageSujet: Re: Un retour inopiné [Libre]   Un retour inopiné [Libre] Icon_minitimeMar 23 Sep - 14:50

[J'm'incruste, y paraît que ça gène pas... ^^'
C'te honte ><]

J'ai mal aux yeux, je les ouvre puis les frotte.
Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillée en sursaut ce matin. L'aube est blanche, comme toujours. Je ne sais plus quels ont été mes rêves. Je ne m'en souviens jamais de toute façon. C'est comme s'ils étaient sans cesse recouverts d'une chape de brume. Si ça se trouve, c'est moi, inconsciemment, qui les force à se taire. Juste pour pouvoir ne pas faire d'introspection. Ça me fait toujours un peu mal de fouiller en moi, c'est sûrement pour ça. Quoi qu'il en soit, j'ai mal partout. Aux yeux, bien que je les aies frottés. Au dos, aussi. Et puis aux jambes. J'ai une soudaine envie de marcher. Mais je ne veux pas sortir. Il y a des gens dans la prison, ne le saviez-vous pas ? Remarque... Vu l'heure qu'il est, il ne doit pas y avoir grand monde. Je me souviens de la fois où je suis sortie avec Damara, il n'y avait pas un chat dans les couloirs. Peut-être est-ce là une occasion...
Je regarde autour de moi, les autres dorment. Cela fait deux ou trois jours que je n'ai pas quitté cette cellule, il faut que je marche un peu, je n'en peux plus. Et j'ai faim, aussi... Mais je commence à avoir l'habitude, ce n'est pas grand chose. Si ça se trouve, je finirai par ne plus la sentir, cette maudite faim. Il paraît que lorsqu'on s'habitue à ne plus manger beaucoup, on est moins attaché à ce qui est corporel. J'aimerais bien que ça marche, mais je ne suis pas convaincue d'y croire, peut-être que ça influe... Sans doute, même. Mais bon, ce serait bien quand même.
J'hésite.
J'ai très envie de sortir, mais quand même... Et si je les réveillais ? Et s'il y avait tout plein de gens dans les couloirs ? Et si l'un d'entre eux m'adressait la parole ? J'en frémis d'avance, j'en tremble presque. Le problème, c'est que je ne pourrai pas rester éternellement dans cette cellule, il faudra bien que je sorte, un jour ou l'autre. Pourquoi ? Parce que je n'aime pas trop ne pas bouger du tout. Quand j'étais encore chez moi, je sortais presque tous les jours, le soir ou la nuit. Pour m'aérer et me dégourdir les jambes. Pour ne pas rester tout le temps dans un espace réduit. J'ai besoin de ça. Marcher un peu, tout ça... Allez, ça me ferait du bien. Un petit effort, que diable !
Nouveau regard vers les autre. Ils dorment toujours. Un léger courant d'air entre par la fenêtre. Je me lève aussi discrètement que possible en emportant le dessin de Siriel, qui ne me quitte jamais, et je me dirige vers la porte. J'appuie sur la poignée, tire vers moi. Miracle, c'est déjà ouvert, je peux sortir. Reste à être discrète, histoire de ne pas réveiller tout le monde. Déjà, parce que c'est l'aube, et se faire réveiller par autrui n'est jamais très agréable. Ensuite, parce que j'ai pas envie qu'ils me voient sortir... Ne cherchez pas une raison précise à cela, c'est comme ça et puis c'est tout. Je suis juste pudique à un point qui n'est même pas imaginable. Oui, je rapproche ça de la pudeur. Je pense que ça en est, non ? En tout cas, pour moi, ça en fait partie. Bref. Donc, je tire sur la porte. Par chance, elle ne grince pas trop, et comme je l'ouvre juste assez pour pouvoir sortir, c'est bon, elle ne doit pas faire trop de bruit.

Une fois dehors, je la referme, toujours silencieusement, mais avec une certaine hâte proche de l'empressement. C'est comme si je m'enfermais dans ma chambre, sauf que là c'est le contraire. A l'intérieur, je suis certaine qu'il y a des gens. Dehors, non. Alors je préfère être dehors, pour le moment du moins. Je regarde avec une sorte de fièvre autour de moi. Personne. C'est parfait. Il fait noir dans le couloir, je préfère. Je m'y sens plus à l'abri. Un peu comme cachée... J'ai envie de courir, je pense que ça me ferait du bien. Mais j'avance en marchant, sans trop savoir où je vais. Je n'ai jamais vraiment pris le temps de visiter cette prison. Je connais deux ou trois endroits... Mais je ne saurais même pas les retrouver en fait.
Il y a des cellules un peu partout, apparemment. Je ne sais pas qui s'y trouve, et je ne cherche pas à le découvrir. Je marche apparemment sans but, mais j'évite à tout pris les autres humains. Il est tôt, il n'y a pas grand monde pour le moment. C'est mieux. La plupart des prisonniers doivent dormir. Quant aux gardiens... Il doit y en avoir quelques uns qui travaillent à cette heure-ci, mais ils ne doivent pas être très nombreux. Je continue d'avancer, je respire. Avec comme une sorte de petit défi. Mon cœur bat la chamade, comme si ce que j'étais en train de faire comportait un risque. C'est le cas, mais je suis la seule à le savoir. Je ne sais pas comment je réagirai si je croise quelqu'un. Les couloirs succèdent aux couloirs, je ne sais plus du tout où je me trouve.
Je n'y ai pas réfléchi plus tôt, mais je ne vois pas comment je vais retourner dans ma cellule. C'est pas tellement le fait que je ne connaisse pas bien la prison, qui me dérange. Ça, ce n'est pas bien grave. Ce qui est plus ennuyeux, c'est que plus je vais attendre, et plus je risquerai de croiser des gens. Et puis ceux de ma cellule, aussi... Ils finiront par se réveiller, et je n'ai aucun moyen de savoir à quel moment ils sortiront. Si ça se trouve, il y en a un qui passera la journée dans la cellule. Mais je ne peux pas y retourner, si c'est le cas. Impossible.
Merde, qu'est-ce que j'ai fait ?
Je me rends compte à présent que je n'aurais pas du sortir. C'est pour ce genre de raison que j'évite généralement de passer la porte. Et l'ennui, c'est que je peux pas y retourner. Ça doit faire dans les dix minutes que je suis sortie... Si ça se trouve, ils sont réveillés ! 'Et alors ?', me direz-vous. Je suis tout à fait d'accord. Et alors ? Et alors je veux pas, je peux pas. Ça commence à faire un certain temps que je suis là, et j'ai toujours pas eu le courage de les saluer. Eh non, toujours pas. Il faut reconnaître que j'en ai bien honte. Et plus le temps passe, plus difficile c'est. Normal. Au début, c'est juste un pas de trop. Il suffit de reculer un peu, et c'est bon. Mais plus on avance, et plus le chemin est tracé. Un peu comme des rails. Une fois qu'on est bien engagés, impossible d'en sortir. A moins de dérailler. Mais je ne veux pas dérailler, alors je continue sur mes rails faits de peur.
C'est con, oui je sais.

Bon, cette fois je crois que je me suis bien perdue. Je ne sais plus du tout où je me trouve. Il y a quelques portes, mais elles ne portent pas de numéro. Ce ne sont donc pas des cellules, à mon avis – quelle perspicacité ! Que faire ? Rentrer et demander où je suis ? Hum... C'est marrant, je ne suis que moyennement tentée... Bon, mais j'ai pas trop le choix, en fait. Si ça se trouve, ces salles sont perpétuellement vides. Ou alors, je prends juste mes rêves pour des réalités. Probable. Bon, alors je fais quoi ? Parce que là, je sens que ça commence à monter. Quoi donc ? La crise de panique. Mon cœur bat de plus en plus vite, ma respiration se met en phase. Bientôt, j'aurai l'impression de suffoquer. Je transpire, aussi... Et mes yeux me piquent un peu. Je me sens très faible. C'est ça, crise de panique. Je m'en serais bien passée, mais là je suis tout simplement incapable de la chasser.
Soudain, des bruits de pas. Non, c'est pas possible ! Pas maintenant ! Mon cœur s'emballe, je suffoque. De l'air ! Ça y est. Dans deux minutes, je meurs, c'est certain. J'ai du mal à réfléchir. Ils vont arriver, me trouver là, et se moquer de moi. Ils vont me trouver ridicule, me juger. Ils me veulent du mal, je vais mourir ! Ma respiration se fait de plus en plus rapide, j'ai mal à la poitrine, j'ai mal au cœur, j'ai mal partout.
Une porte.
Je ne réfléchis pas, je la pousse, je rentre et je la referme derrière moi, un peu soulagée mais toujours en proie à la panique. Ils ne doivent pas venir ici, laissez-moi seule ! Calme-toi. Facile à dire. Je me sens toujours aussi mal, j'ai toujours aussi peur. J'ai l'impression d'être poursuivie tout en sachant que je ne le suis pas. Qu'auraient-ils pensé de moi s'ils m'avaient vu, complètement paumée au milieu d'un couloir ?
Et puis enfin, je me retourne.

Merde.
Je ne suis pas seule. Je voudrais pouvoir me ratatiner dans mon coin. Je sais pas où je suis. Il y a deux vieux canapés un peu défoncés, prêts de rendre l'âme – si ce n'est pas déjà fait. Peut-être plus. Je ne suis pas en état de regarder plus précisément ni de compter. J'ai l'impression de mourir, je veux mourir. J'ai si peur ! Et puis sur l'un des sofas, un homme. Je ne le vois pas distinctement, car je n'ai pas mes lunettes. Mais je me rends compte qu'il y a quelque chose sur le sofa, et ça ne peut être qu'un homme. Non ? Je dois avoir un regard passablement craintif et hagard à la fois, le regard d'un animal traqué. Je ne bouge pas, je suis toujours collée à la porte. L'homme est grand, je le vois facilement même s'il est assis... Il a des cheveux d'un rouge vif qui interdisent à quiconque de ne pas le remarquer.
Il n'y a pas moyen de devenir une petite souris, là, maintenant, tout de suite ?? J'ai envie d'ouvrir la porte et de me ruer dehors, mais je ne peux pas. Dehors, il y a les pas, il y a ceux qui vont me juger. Je ne suis toujours pas calmée, je respire comme si je venais de faire une course à pieds. Mes yeux commencent à s'humidifier ; je n'ai qu'une envie : me frapper.
Mais je murmure, assez indistinctement :

« Désolée... »

Ma voix meurt.
Je m'en veux de m'être excusée comme si j'étais rentrée dans le bureau de cet homme. Ça ressemble à une salle de repos. Pour les employés ? Je sais pas, je m'en fiche ! Je devrais pas être là, j'aurais du rester dans mon lit, comme les autres jours... Qu'est-ce qui m'a pris de sortir ? Je devrais me cogner la tête contre le mur, me faire mal, souffrir ! Je mérite rien d'autre, de toute façon. Je ne suis qu'une pathétique merde...
Je sais pas qui est cet homme, je sais pas s'il est quelqu'un de 'fréquentable'. Jusque là, j'ai eu beaucoup de chance avec les quelques personnes que j'ai rencontrées. Et j'espère que ça va continuer. Sincèrement.
L'ennui, c'est que la crise continue, elle aussi.
Maman serait bien déçue en me voyant...

Et lui va se moquer de moi, c'est certain.

[N'hésite pas à me le dire si quelque chose ne convient pas ^^]
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