Premier pas dans la prison

[Dans le couloir]

Je marche dans les couloirs de la prison, je cherche ma cellule, toutes les cellules sont ouvertes et les prisonniers dehors, drôle de prison, je cherche dans mes poches mon paquet de cigarettes, merde il m'en reste qu'une seule, je l'allume et repart à la quête de ma cellule, A... AA... B... BB... C... CC... D... DD... E... EE... F... FF... Enfin! La cellule G.

J'entre et constate que je n'était pas seul, j'éspère au moins que c'est pas un lourdingue qui parle tout le temps, j'enlève ma veste, la pose sur le coin du lit qui était maintenant le mien, puis je m'allonge, calmement en savourant ma dernière cigarette. En réfléchissant, je calcula que je n'avait pas eu de procès. Combien de temps je dois rester ici? Avec tout ce qu'ils ont contre moi je pense que je peux m'installer.

Merde! Ma cigarette était fini, je la jette par terre. Ca dois bien se vendre ici des cigarettes, je m'en occuperais plus tard. Je me lève de mon lit, remet ma veste et décide d'aller prendre l'air.

[Il sort]

Si l’extérieur de la prison sent à plein nez sa fonction alors l’intérieur lui sent l’accumulation de corps crade et le sang. Il ne manquerai plus que l’odeur de la poudre et je serais 20 ans en arrière en Algérie, pendant cette foutue guerre, pour une pseudo indépendance servant les intérêts des deux bloc. À l’époque j’y croyais à la mission de pacification de l’Algérie. Mais mort après mort, j’ai fini par comprendre que ce n’étais rien qu’une boucherie entre des hommes qui ne connaissaient même pas les vraies raisons de cette guerre absurde. Une fois que j’eus été jeté hors du cyclone de cette grande guerre, bombardé du titre de héros pour certain et de boucher pour d’autre, j’avais juré ma fidélité à l’un des parties qui m’avaient jeté dans cette tourmente, en l’occurrence le PCF. Mais qu’est-ce que je radote ainsi ? Je deviens vraiment vieux ! Enfin pour en revenir à la prison l’intérieur et très éloignée des souvenirs que je garde de mon passage à la prison d’Alger ! Ici, il n’y a pas une chaleur étouffante, les murs sont sombres et la lumière passe difficilement alors que là-bas, la lumière atteignait même la salle la plus obscure et les murs avait cette couleur sableuse qu’ont toutes les maisons Oranienne. Quitte à choisir, j’aurais voulu être interné là-bas plutôt qu’ici ! L’Allemagne c’est pas bon pour mes rhumatismes en plus je suis sûr d’attraper la goutte ici ! Un vieil homme comme moi mérite des soins attentionnés !
Je répétais d’ailleurs cette réflexion à voix haute à l’attention de Paul. Qui est Paul ? C’est le gardien qui pousse ma chaise, je le nomme Paul parce qu’il n’y a pas de nom plus banal et que cet homme c’est la banalité même ! Il est un peu myope, ce qui me permet d’avoir une petite supériorité sur lui, car même mes yeux ont été épargnés par la vieillesse, il a une allure banale. Genre : Lever, Boulot, télé, dodo ! Je suis prêt à parier qu’il est marié et qu’il n’aime plus sa femme, mais qu’en contrepartie, il adore ces deux enfants. Et comme il est banal l’aînée est un fils et la cadette une fille. Le seul élément qui le sort de la banalitéc’ est son silence ! Mais d’un autre côté un garde-chiourme qui parle c’est plutôt étrange !!Et dangereux ! En attendant je lui massacre les oreilles en lui discourant sans arrêt sur le manque de d’hygiène de l’endroit et sur la fragilité des personnes âgées ! À ma grande surprise, il semble approuvé toutes mes déclarations, de sorte que j’ai plus l’impression d’être dans un asile de fou que dans une prison ! A moins que je ne lui rappelle un membre de sa famille , à moins qu’il ne soit tous simplement bien élevé ? Si c’est le cas, merci mon Dieu de m’avoir envoyer un homme qui connaît les bonnes manières !Je ne dirais plus jamais que tu sembles commun !

Je me signe, puis me tournant vers Paul, je lui demande :

« On est encore loin de ma cellule ? »

Celui-ci semble avoir compris ma question et d’un geste lent ou se lisait l’habitude, il me montra les lettres inscrites sur les cellules ! Et il me dit :

« Vous êtes dans la cellule G ! »

Ce à quoi je réponds :

« Oh ! Vous parlez ? »

C’est une question d’une rare vivacité intellectuelle, vous en conviendriez. Et lançant un discret regard vers les panneaux, je vis la lettre EE inscrite dessus. Satisfais de cette information, je continu de monologuer avec mon tortionnaire. J’abuse et abuse encore de l’avantage de penser et de parler. Un avantage non négligeable pour faire mourir d’ennui votre auditoire.
Et entendre un petit vieillard vous énumérez la liste des maladies qu’il peut attraper dans ce lieu ,ou un cochon refuserait d’y vivre, ne doit pas être des plus passionnants. Cependant maintenant je peux occuper mon esprit en suivant notre progression vers ma future cellule. Une fois arrivée devant mon futur logis, je pus admirer mes camarades d’infortune, pendant que Paul ouvrait la porte. Tous des hommes dans la fleur de l’age, j’espère qu’il allait prendre exemple sur Paul, pour traiter un vieil homme. Cependant mon avis sur l’homme qui m’avait amené ici vira du blanc au noir, quand il me poussa d’un coup de pied dans la cellule. Je me retrouvais ainsi dans la cellule avec trois autres hommes, levant une main pour saluer mes camarades et affichant un sourire colgate/freedent je dis :

« Bonjour, mes frères ! Je suis le frère Vincent Pounze ! Je suis arrivée récemment ici et si quelqu’un pouvait m’indiquer et m’amener à mon lit, je lui en serais éternellement reconnaissant ? »

Même si mon ton semblait heureux et confiant, je sentais l’appréhension dévorée, retourné, arraché mes entrailles. Il existe une différence fondamentale entre eux et moi ! J’avais commis des crimes pour d’autres que moi avec la pensée que je faisais mon devoir et que mes idées triompheraient et donc que l’on ne me jugerait jamais ! Alors qu’eux avaient entrepris leurs crimes en sachant d’avance les conséquences. Je n’étais qu’un ancien idéaliste fou que la réalité avait détruit puis rattrapé au moment où j’allais m’abandonner à la liberté de ne plus rien attendre de ce monde. Et au plus profond de mon être une voie psalmodiait :

« Seigneur protége moi ! Seigneur protége ton humble serviteur ! Seigneur protége moi ! »

Dah ! Quoi de pire qu'être enfin entré dans la prison. J'ai jamais aimé les espace confinés, petite et tout le tralala. Je pense que je susi clostrophobe... Nah, là je serais "Ful Capoting à Max" si je le serais. J'ai été trainé par les deux même foutu policer depuis Londre à Allemagne. L'un deux était silencieux, et l'autre prenait un malin plaisire à m'arracher la tête. LE plus calme prenait les devans, il marchait regardant les lettres sur les cellules, r'garde : Ouvre une porte et met moi dedans ça va faire pareil ! Mah non faut faire tout un marathon pour trouver un endroit où m'enfermer. J'aurais bien gardé ma tête basse, regardant mes chaussures, mais le ofutu deuxième policier m'attrapait les cheveux et me tenait la tête droite comme s'il voulait me faire passer un message bien cruel du genre: "Regarde droit devans ! Ta demeure pour toujours!" En tout cas, s'il ne voualit pas me donner cette impression, c'était raté.

Lorsque nous arrivâmes finalement dans le bon couloir, oui les idiots c'étaient trompés, j'ai commencé à parler, je m'ennuyait dans ce silence et les clapotie de mes souliers humides.

Elle est loin ma cellule ! Je tourna mon regards sur la gauche et fit un geste d'épaule dans sa direction puis continua. Mettez moi dans celle-là... Mes faibles pupilles aperçurent une silouhette guère rassurantes qui me fit changer d'avis. Finalement je vais marcher jusqu'à celle qu'on m'as accordé !

La police qui me tennait depuis des heures resserra son emprise sur ma chevelures qui vivait un martyre. J'entendais tout pleins de sons, des gouttes d'eau qui tombaient, des personnes qui respiraient, des bruit de pas, etc. Je ne voyais pas très bien et cet endroit déja pas trop claire ne me serait pas favorable.

Lorsqu'on arriva, enfin ! à la cellule qui serait prochainement mon nouveau logis, j'entendue la personne qui venait d'entré, les policierrs qui c'était croisé ce saluèrent aux passage. J'entra dans la cellule, abandonné de mes deux nouveaux amis qui quittaient sans un mots ni un regard vers moi. Je marcha lentement jusqu'à un lit, qui serais dorénavent le mien, au pire il y en avait d'autres !

J'aperçu quelqu'un d'autre dans la cellule. Si je me souviens bien, se serait lui qui aurait parler v'la pas trop longtemps. Je me leva lentement et l'amena à un lit libre. J'était peut être en prison, mais que depuis quelques minutes. Ma personnalité n'as pas eu le temps de changer encore, je ne pouvais pas le laiser là, pauvre tit pit ! [xD]

Mais c’est scandaleux ! Intolérable ! Et encore sa me paraît trop doux pour décrire mon indignation envers ces gens qui non seulement ne me saluent pas , ni ne me réponde mais qui m’ignore et qui m’abandonne dans cet environnement sordide! Si ma vocation n’est pas d’être remarqué par tous, l’on doit toujours gardé un minimum de respect pour les anciens ! Ah, enfin il y en a un qui a réagi. Je sens le lourd fauteuil avancé vers un lit avant de s’arrêter devant celui-ci. Avec une dextérité que l’on ne penserai pas possible venant d’un homme aussi décharné et vieux , de plus en fauteuil roulant, je monte sur mon lit et me tourne vers mon bon Samaritain. Euh ! Je veut dire ma bonne Samaritaine ! En effet c’est une femme qui l’a menée jusqu’ici. Ce simple constat m’horrifie encore plus si c’est possible sur le manque de politesse de la jeune génération ! Encore une chance , qu’il existe encore des gens bien élevées comme cette demoiselle. Cependant une part cynique de mon esprit me souffle :

« Si elle est ici, c’est qu’elle n’est pas aussi pure qu’il ne le semble au première abord ! »

Et ce rappel me remonte sous la forme d’un frisson le long de ma colonne vertébrale. Ici, c’est comme en Algérie les mains sont blanches et soigneusement lavées pour cacher le pourpre qui y est resté attaché. Je la regarde de haut en bas dans l’espoir d’apprendre quelques choses de plus sur elle, mais en vain ! Elle est plus grande que moi et elle pourrais avoir l’âge d’une de mes petites filles, cependant nous sommes trop différent physiquement pour que ce soit possible et je n’ai jamais entendu parler dus fais d’avoir eut des rejetons ! Comme je ne sais pas qui dire je lui tends une main amicale et je commence par me présenter :

« Bonjour, je m’appelle Vincent Pounze ou frère mineur Vincent ! »

J’hésite quelque instant avant de dire :

« Je vous remercie de m’avoir sortir de cette délicate situation ! Nos colocataires sont tellement malappris que je suis heureux de voir une rare fleur ici ! Mais, je suis véritablement choqué par la jeunesse actuellement ! Entre ces jeunes riches, qui se croient tous permis ! Et les conducteurs maintenant ! Les trois quarts du temps, ils ont de la vinasse dans le nez et ils conduisent comme si la Sainte Vierge leur avait offert leurs permis sur un plateau d’argent. Et il porte souvent des tenue indécente ! »

Et je continuais ainsi mon babillage sans faire attention à ma partenaire ! Je dévoilais ainsi la technique numéro 94 du parfais petit vieillard :

« Parlez sans faire attention au monde extérieur ni aux éventuelles réponses ! »

Et voilà , je continuais ma discussion oiseuse sur la jeunesse actuelle sans me rendre compte que je parlais à l’un des membres de cette jeunesse décadente, corrompue, condamner a erré en quêtes de nouvelle et fugace passion.

Après l'avoir apporté à son lit, je le regarda me tendre la main. Oui quelqu'un de plus normal que moi l'aurait serré, mais moi qui détestait être toucher ou toucher quelqu'un, je me contenta d'un faible sourire. Lorsqu'il se mis à parler de tout et de rien, je retourna m'assir où j'était quelques secondes plus tôt en continuant de l'écouter. Moui, il parlait et parlait, beaucoup en faite. Je continua de l'entendre en hochant la tête et je me sentis un peu...*tousse*...hum...visée. Je descendit mes yeux sur ma tenue, noir, rouge et blanc étaient les seules couleurs que l'ont pouvait retrouver sur moi. Le noir en grande quantité et le blanc en faible, surtout son teint pâle qui faisait tout contraster. Je repensa à pas mal tout ce qui avait dit, c'était parfaitement moi ! Je n'était pas délinquante, mais fesait plus à ma tête parce que je savais ce qui était bien pour moi. Et oui je conduis drôlement...nah, dangereusement, mais en même temps, surement ! Je boucle ma ceinture, j'ai mes permis de conduire, en faite je les avaient !

Bon ok je me vois encore, dans mon automobile avec deux ou trois amis, nous allions dans la place centrale de Londre et fesons du drift, moi au volant ! J'était très douée, je n'ai jamais frapper personne, ni de chose, aucun lampadaires, aucunes autres voitures ! Je n'ai jamais compris pourquoi on m'arrêtait pour ça... 'Fin si mais quand même...

e releva la tête vers Vincent et lui dit sur un ton neutre :

Moi c'est Yume... J,ai rarement crue au hazard, mais ce que vous venez de dire à propos des jeunes est mon aprfait portrait !

Je babillais quant, elle toussa, un instant je suspendit mon discours oiseux. Mais voyant que ce n’étais rien de grave, je repris rapidement mon monologue byzantin. Je discourut ainsi sans continué en dévoilant la majorité des griefs que j’avais envers la jeunesse, du moins ceux donc je me rappelai ! Et, à mon grands plaisir, elle m’écouta sans m’interrompre. Voilà, une fille bien élevée ! Dommage qu’il y en ait de moins en moins ! Je suis sûr que c’est géniteurs lui ont donné une bonne éducation ! Et en plus elle me répond, c’est une vraie perle dans cette prison ! Elle me dit d’un ton neutre :

« Moi c'est Yume... J’ai rarement cru au hasard, mais ce que vous venez de dire à propos des jeunes est mon parfait portrait ! »

Je la regarde de haut en bas comme si c’étais la première fois que je la voyais. En quelques instants un cerveau super entraîné à faire des gaffes fais un parallèle entre mes déclarations et la personne en face de moi. Et la réponse est sans équivoque. Oui, tu viens exactement et très précisément décrite ! Je la regarde encore une fois et la je confirme la réponse de mon cerveau ! Et j’en profite pour imposer une conclusion assez gênante :

J’ai gaffé !

Bien ! Mon intégration avec mes camarades de cellule commence bien ! Deux qui m’ignore et la troisième que je met sur ces grands chevaux ! Seigneur pardonnez- moi mes erreurs mais il semble qu’actuellement je les accumule. Donc un peu d’aide pour les pallier ne serait pas de refus ! Au contraire même. Enfin laissons Dieu hors de cette histoire ! Je suis assez grands pour me débrouiller seul et me tirer de cette situation. Bon alors que pourrai-je dire ? Après quelque centième de seconde de réflexion, je réponds enfin à mon interlocutrice avec une voix candide:

« Et cela vous gêne-t’il d’une quelconque manière d’être décrite comme ceci ? Si c’est le cas, vous m’en voyez désolé ! »

Et pour éviter qu’elle ne retourne l’hallebarde dans la plaie, je l’aborde sur un autre sujet. Je doute qu’elle morde à l’hameçons mais j’essayais quand même.

« Par contre je ne suis pas d’accord avec vous ! Je pense que le hasard existe ! Ne dit-on pas que les vois de Dieu sont impénétrables ! Le hasard a toujours une naissance parfaitement rationnelle mais c’est le moment et les conséquences qu’il occasionne qui tiennent du miracle ! En parlant de miracle c’est plus ou moins la même chose, combien même on prouve scientifiquement que ce miracle est possible, on ne peut pas expliquer pourquoi cela arrive-t’il a ce moment précis ! »

Je m’arrêtais le temps de lui laissais digérer ma réponse en espérant qu’elle mordrais à mon petit discours et non pas à ma précédente déclaration. Enfin ce serait mon interlocutrice qui en décidera. Car moi, je ne peut que me félicité de la qualité de mon argumentaire sur le hasard ! Ou comme je préfère le nommer la divine providence !

Je continua de l'écouter parler, il semble m'aovir entendu réponde. Je susi en effet la description qu'il donnait des jeunes, mais tout le monde pensee ça de ceux-ci. Personnellement c'est aussi mon cas on pourrait dire, pourquoi je dis ça ? Parce que j'en ai connu des détraqués, des malades et drogués, mais moi je n'ai jamais été comme ça, et ne le serais probablemetn pas, 'fin j'espère. Je susi peut être chiante à mes heures, mon sarcasme prend le dessus asser souvent, mais je suis aussi très discipliné, les arts martiaux m'on changé, j'ai pleins valeures, et je crains de les perdres dans ce trou.

En l'entendant bouger et respirer, je devines asser bien qu'il semble un peu mal à l'aise. Ma vue m'es d'une déficience fondamentale, les couleurs de la cellules grises m'apparaissent bleutées, peut être le sont-elles vraiment, mais peut importe, tout ce qui compte c'est qu'il y es quelques chose.

Assise sur mon lit, je m'écrase dessus en me cognant contre le murs geler de cet endroit. Je ne dit rien, à l'origine j'aurais fait un cris de meurtre en hurlant : "Qui à mis se stupide mur là?" ou des choses du genre, mais là, ce n'était pas pareil et je comptais bien faire le silence.

Vincent ce remis à parler, moui changer de sujet, bonne idée, mais pour parler des miracles et des bienfaits de Dieu, je ne suis pas sûre de suivre là. Oui j'ai lue la bible, je m'y connais asser bien, mais il y a tellement de chose que je trouve fausse. Tout pleins=es d'histoire dite crée par le saint-esprit, mais toute on une explication. Comment une nouvelle-prisonnière comme moi peut savoir ça ? Ah bah très simple, avant de rentrer dans cette prison j'était étudiante en science ! plus précisément en anatomie. Je regrette les personne avec qui j'téait en cours, mais sûrement qu'un jour je finirai par les oublier. L'absence amène l'oublie, comme l'a dit quelqu'un je ne sais plus qui.

Lorsqu'il m'avait demandé si c'était grave qu'il parlait comme ça, j'avait hochée négativement de la tête, j'avais l'habitude de recevoir des commentaires de ce genre, et de me faire traité de danger public. Je lui répondut donc :

Chaque miracle accomplie par Dieu on eu une explication scientifique, voyez les set fléaux d'Égypte, il on tous été expliqués, mais je crois tout de même qui à une présence bienfaitrice quelques par, comme Dieu disons. Mais je me demande juste quand il décidera à se bouger !

Zut...Je l'ai peut être offenser avec mes paroles, lui il est croyant, lui dire tout ça m'apportera des foudres. Tant pis, j'endurerais, comme toujours.

Il faut croire que mon interlocutrice à soit une vue encore plus mauvaise que la mienne soit, elle est folle. La seconde hypothèse ayant 80% de chance d’être juste mais je préfère envisagée l’autre idée. Enfin bon, elle esquive notre ancien sujet de conversation et me répond :

« Chaque miracle accompli par Dieu on eu une explication scientifique, voyez les set fléaux d'Égypte, il on tous été expliqués, mais je crois tout de même qui à une présence bienfaitrice quelques par, comme Dieu disons. Mais je me demande juste quand il décidera à se bouger ! »

J’hoche la tête pour montrer que je partage en partie ces idées. Puis je lui dis :

« En effet, chaque miracle a et doit avoir une cause scientifique ! Par exemple pour les sept jours de la création ! Nous le savons particulièrement bien que sa ne c’est pas fait en sept jours, cependant combien fais un jour de Dieu pour nous ? De plus qui croirait en un Dieu qui dépasse allégrement les règles qu’il a établies ? Sûrement pas moi ! Je n’aurais qu’une seule envie ça serait savoir comment il fait puis l’imiter ! Non, il vaut mieux que ces miracles soient explicables mais pas les miraculeux minutages avec lesquels la divine providence agit. Cependant pour le silence de Dieu, je vous renverrais à cette parabole qui raconte l’histoire d’ouvrier se révoltant contre leur patron. Celui-ci envois chacun de ces serviteurs fidèles les exhorté à revenir sur le doit chemin, puis il y envoie son fils bien-aimé. Chaque fois les rebelles tuent tous les envoyés ! Une fois que son fils bien-aimé est mort, ils laissent les rebelles en paix. Déclarant que s’ils refusent son aide, il attendra qu’il veuille bien de lui.
Il en est de même avec Dieu. Depuis que nous avons crucifié le Christ, Dieu nous a fait libre ! Les miracles qui arrivent de temps en temps ne sont plus des faits de Dieu, mais des autres puissances autour de lui. Dieu nous as fait libre et responsable de nos actes. Il nous considère non plus comme des enfants, mais comme des adultes responsables. Donc je pense qu’il n’y que deux raison pour qu’il intervienne à nouveau dans la vie des hommes. Soit nous souhaiterons assez fort qu’il reviennent. Soit…. »

Je pris un instant d’arrêt et sentis un frisson parcourir le long de ma colonne vertébrale, avant de continuer :

« Soit sa sera l’Apocalypse ! »

Il partage mon idée ? Lui, un croyant ! Ok c'est probable, mais c'est vrai que les dis, oui pas sept je me suis tromper, je me mélange toujours entre les nombres, j'aime pas ça, je me trompe toujours du à ma mémoire super sensas 2000 révolution, c'est faux, j'oublie tout, mais me souviens de choses inutiles, comme... aucunes idées...

Je n'écoutait qu'à moitié, j'étais concentrer ailleurs, ou nul part. Jamais je ne serais attentive, on m'annoncerais la fin du monde et je n'écouterais même pas. Je ne me suis jamais interressé qu'aux art martiaux et aux voitures. Ah ! oui aussi, à l'anatomie. C'est bizarre pour une fille comme moi, mais j'étudiais bien en acupuncture, ça m'intéressait, mais je suis prisonnière de cet enfer maintenant, je ne peut plus retourner en arrière.

Je rapprocha mes genoux contre ma poitrine et m'adossa au mur. Dans la lune, mon regard était perdu dans la pièce, dans un de ses quatre coins. Vide et froid. Je n'ajouta rien avant quelques secondes de silences.

Au bout d'un petit moment, je laissa aller un bâillement puis lui répondit finalement :

Qu'es-ce que ça changerait que ce soit l'apocalypse maintenant ? On est pris ici pour le restant de notre vie !