Qui veut rencontrer un fou?

Invité

HJ: A qui veut faire un rp peut poster ^^

Que c'était-il passé, je m'étais retrouvé la, dans un couloir alors que j'étais dans ma cellule, pourquoi suis-je si différent, je veux mourir, je veux qu'un gardien me tue, je le mérite je els ait tous tuer, tous... Un par un, je les aient coupé de leur famille a jamais, il ne le méritait pas, je veux mourir.

Sans meme le remarquer, c'est parole sortait inconsciemment de ma bouche, je murmurai toute c'est infamie de ma bouche ensanglanté, dieu seul sait pourquoi, je m'avancai lentement sur le plancher froid et dur, mes pieds me tuait, il me fesait tant mal, je peut sentir chaque roche pénetrer a l'interieur de ma peau. Je ne fais plus du tout attention au monde exterieur, non, il n'existe plus, je suis dans mon regne mental et sans le remarquer, je continue de marcher lentement vers la salle commune.

-Je n'aurais pas du, je les ait tous tué, je ne leur ait laisser aucune chance, pourquoi suis-je ainsi, je veux mourir, je ne mérite aps la vie, j'espere qu'ils vont me battrent ici, je v...

J'ai continuer de marcher et sans me rendre compte qu'il y avvait quelqu'un d'autres droit devant moi, je rentre dedans cette personne et tombe brusquement sur le sol, m'égratignant le poignet. Lentement je leve la tete et j'affiche un regard confus a la personne, mon regard est quelques peu flou et je n'arrive pas a distinguer quoi que ce soit.

-Je... je... Je... Je...

Je ne sais pourquoi, mais je ne suis capable de dire autre mots, je ferme ma bouche pateuse et je laisse ma vision devenir plus clair, en esperant toutefois ne pas etre battu, je vuex juste mourir sans douleur... Pourtant je mérite cette douleur.

657903 Nombre de messages : 184 Age : 32 Date d'inscription : 29/08/2007

Là, je suis vraiment de mauvaise humeur. Je déteste un peu plus cet endroit à chaque seconde, et je m'y sens seule, tellement seule que je voudrais gueuler, gueuler pour qu'elle m'entende et vienne me rejoindre. Bien sûr, ce serait inutile, et après ça toute cette foutue prison pourrait deviner ma peine, ce que je ne pourrais pas supporter. Je marche donc d'un pas rapide dans le couloir sans même savoir où je vais, peu importe la direction puisque je ne sortirai de toute façon pas d'ici.

C'est alors que j'entends une voix solitaire, et qu'en suivant un tournant je découvre un homme, un prisonnier d'après son uniforme, parlant tout seul et à voix haute. Génial, un fou... enfin, je me doutais bien qu'il y aurait des gens bizarres ici...
Alors, pourquoi il parle tout seul lui? Un copain imaginaire peut-être? Je ne pense pas non... en écoutant, je crois plutôt qu'il a des remords, simplement des remords. Pourquoi ça? S'il pense que ses crimes étaient injustes, il n'aurait pas du les faire, point final.

Malgré tout ce qu'on a pu me dire je n'ai pas de remords, et je serai vraiment étonnée d'en avoir un jour. Après tout, je n'ai pas tué et torturé pour rien, ils lui avaient fait du mal et je l'ai vengée, je les ai punis pour ce qu'ils lui avaient fait. Mon seul regret est de ne pas avoir fini le travail, même si je pense avoir assez terrorisé mes deux seules victimes encore en vie pour qu'ils ne recommencent pas à faire de mal aux petites filles. De toute façon, il me semble qu'après mon propre procès elle ait porté plainte contre eux, ils doivent être en plein procès à l'heure qu'il est, et je suis certaine qu'ils seront condamnés.
Bref, ce n'est pas vraiment le moment de penser à ça. Le prisonnier continue à marcher et à parler, et il me semble de plus en plus barge. J'ai l'impression qu'il ne me voit pas... ce doit être le cas, puisqu'il me rentre dedans, me propulsant imméditement à terre (faut dire aussi qu'il doit bien faire trentre centimètres de plus que moi, et que malgré tout ce que j'ai pu faire je ne suis pas spécialement forte). J'aurai sans doute pu l'éviter, mais je considère que c'est le seul fautif. Après tout, c'est lui qui marche sans regarder où il va, non? D'ailleurs, je lui fait assez rapidement remarquer mon énervement, sans manquer de relever le seul mot qu'il semble pouvoir prononcer.

" Tu pourrais pas faire attention où tu marches, non? Et qu'est-ce que t'as à dire "je" tout le temps? "

Mon ton est assez agressif, faut dire que c'est voulu. Vous ne le savez peut-être pas, mais je n'apprécie pas spécialement être mise à terre, et le fait que ce soit accidentel n'arrange pas les choses. Ca me rappelle combien je suis faible physiquement, et je déteste ça. Parce que même si je peux parfois être forte, c'est surtout quand je suis vraiment folle furieuse, et dans ces moments là, je ne me contrôle pas.

Invité

" Tu pourrais pas faire attention où tu marches, non? Et qu'est-ce que t'as à dire "je" tout le temps? "

Lentement ma vision s'éclaircit et je distingue enfin qui me regarde, une douleur me poignarde la tete, j'ai l'étrange impression qu'un liquide coule sur ma tete, remarque c'est peut-etre mon imagination. Lentement je porte ma main sur mes cheveux et me met a tater délicatement ma tete... Aucun liquide, ouf au moins ca fait une hémorragie de mois... Quoi que j'aurais peut-etre pu en mourir, ca aurait été plaisant. Lentement je pose mon regard sur la femme devant mes yeux qui ne semble pas nécessairement contente de ma présence, remarque qui le serait. La femme en question semble d'origine koréene... Ou peut-etre chinoise, japonaise peut-etre... Enfin un truc du genre, elle possede de long cheveux qui ressemble a mes yeux a un joli rouge vin et ses yeux sont brun... Je crois, il faut dire que ma vision est encore un peu flou, je peux toutefois quand meme voir qu'elle m'en veut, je me sent encore plus coupable maintenant et mon visage semble l'afficher aussi. Délicatement je replace de ma main droite mes cheveux et je me leve doucement avec l'aide de ma main gauche, tous les bruits semble distant, je peux sentir mon genou craquer sous l'effort, il faut dire que je n'est jamais vraiment été en forme, pourtant les autres eux semblent l'etre... Sinon comment aurait-il tuer plus d'une douzaine de personne a eux seul... Et avec mon corps en plus, si seulement j'aurais pu mourir avant tout cela. J'étais maintenant relevé et je replacais encore une fois mes cheveux dont la pointe cachait un milimetre de mes yeux couleur noisettes. Je pouvait sentir mes levres trembler légerement, je proposais ma main anormalement pale a la femme, mon visage n'éprouvant toujours que remords et tristesse.

-Désolé... Je ne voulais pas... Je ne veux jamais...

Tous les mots que j'eut prononcé l'ont été de facon triste et mélancolique, mais néanmoins sincere, toutefois j'ai prononcé la derniere phrase avec plus de lassitude, beaucoup moins d'intonation et surtout avec beaucoup moins de forces, c'est a peine si je les ait entenduent en fait. Ma main se crispait nerveusement et mes yeux grand ouvert ne semblait pas regarder la prisonniere mais plutot une chose inéxistante sur elle, mon regard habituelle quoi, meme enfants j'ai toujours eu le regard absent du monde des vivants, il m'arrive parfois d'avoir un regard lucide, mais c'est aussi rare que de voir une mouche volé a l'envers. La prisonniere semble dédaigner ma main, est-elle sale, je ne crois pas... Qui voudrait me toucher, je ne susi qu'un tueur... Qu'un fou. Peut-etre devrais-je dire quelque-chose pour la mettre en confiance.

-Je me... Huh... Oliven Olgu... Huh... Toi...

657903 Nombre de messages : 184 Age : 32 Date d'inscription : 29/08/2007

Avant de prononcer un mot, il se tate la tête, sans doute à la recherche d'une quelconque blessure. Il me regarde ensuite, et son visage commence à laisser voir un sentiment qui ressemble bien à de la culpabilité ou à du remord. Ca semble être une émotion omniprésente dans sa vie... il se relève précotionneusement et me réponds d'une voix presque faible, tout en me tendant la main pour m'aider à me relever. Au moins il s'excuse, c'est déjà ça. Je ne suis pas calmée pour autant, mais je lui en veux déjà un peu moins. Pourtant, je ne prends pas sa main. Ce n'est pas qu'elle me dégoûte d'une façon ou d'une autre, mais je n'ai pas envie qu'on m'aide, je peux parfaitement me débrouiller toute seule. Je n'ai certainement pas besoin de lui pour me remettre debout.
Je reste pourtant à terre, quelque peu... troublée par la façon dont il me regarde. Plus exactement, on dirait qu'il ne me regarde pas vraiment, mais plutôt quelque chose qui serait entre nous ou juste devant moi et que je ne peux pas voir. C'est vraiment étrange. Maintenant, il semble plus perdu que fou, mais je pense qu'il est un peu des deux. Ou plutôt beaucoup des deux, mais c'est encore un peu tôt pour que je me fasse une idée précise de son état mental.
Il n'a pas l'air spécialement étonné que je ne prenne pas sa main, mais il se remet à parler, et je dois dire que je mets un peu de temps à comprendre sa phrase, si on peut appeler ça comme ça. Ce n'est pas la première fois que je ne comprends pas tout ce qu'il dit, il a aussi dit quelque chose d'étrange quelques secondes auparavant, en s'excusant. C'était tellement bas que je ne suis pas totalement sûre de l'avoir entendu, mais c'était quelque chose comme "je ne veux jamais". Que voulait-il dire par là? je suppose que ça a un rapport avec ses remords, mais c'est tout ce que je peux dire. Quoi qu'il en soit, il m'a dit -ou plutôt bafouillé- son nom, je lui dis donc le mien.

" June Weich. "

Je trouve son nom assez original, Oliven... je ne l'avais jamais entendu avant. J'ai vu des Oliver, des Olivier et des Olive, mais jamais de Oliven. Amusant. Enfin, peu importe, je suis toujours à terre et ça commence à m'énerver. Je me relève donc sans son aide, consciente que ce n'est certainement pas ce qu'il aurait voulu.

" Merci pour ton aide, mais je préfère me débrouiller seule. "

Ca, c'est dit, il sera peut-être moins vexé comme ça. Enfin peu importe, il n'avait qu'à pas me rentrer dedans de toute façon. Il n'empêche que ce qu'il a dit tout à l'heure m'intrigue toujours, et que je ne suis pas vraiment du genre à tourner des heures autour du pot avant de poser une question, surtout quand je suis énervée.

" Dis-moi, pourquoi t'as dit "je ne veux jamais" tout à l'heure, après tes excuses? "

J'essaye de faire en sorte que ma voix soit la plus calme possible, mais je n'ai jamais été douée pour cacher mes émotions et l'énervement que ej ressens toujours, bien que moins fort que prédément, s'entend toujours quand je parle. Tant pis, j'aurai au moins essayé..

» Ou suis -je? [ouvert a qui le veut]