Sur un banc [Fini]

Je n'est pas envie de rester dans ma célulle même si la pluie tombe à flot et que tout les prisonier ou presque sont entré, je reste deor car j'aime la pluie tout simplement elle me fait soufrir car elle me rapelle que je suis triste mais pour temp la fraicheur de ces goutes m'appaise, ça va bien tôt faire 2 ans que je moisi dans cette prison où je meurt peu a peu, dans quelques heures la nuit va tomber, ce soir c'est la plaine lune ... Je me passe la main dans mes cheuveux tremper et je vais m'assoir sur un des banc de la cour, il est mouiller et sous la pluie mais cela m'importe peu ...
Je me frotte délicatement cette cicatrice qui me fait encor souffrir en pencent a ma délicatte Marylin, comment vivre en paix quant l'on a perdu son amour et ça libertée ? Je me pause souvent la question et l'idée du suicide ce fait de plus en plus présente ...

Tiens, aujourd'hui il pleut, bizarre j'ai du coup envie d'aller dehors. La pluie m'attire, lorsque je suis dans cet état paisible sans émotions dominantes, j'aime aller sous la pluie et savourer sa fraîcheur. La sensations des gouttes qui heurtent ma peau est tellement jouissive, j'ai envie de rire, je ne sais pas pourquoi peut être parceque j'arrive à trouver un bon côté alors que je suis en prison. Les gardiens me laisse sortir malgrès la pluie qui commence à tomber de plus en plus intensemment. J'avance donc à l'extérieur, dans la cour. Il n'y a pas grand monde, je m'avance alors vers le grillage au début. J'entrelace mes doigts avec ce grillage qui s'ondule et je sens que mes vêtements me collent à la peau. Je lève la tête fermant les yeux je passe ma main dans ma chevelure pour la placer en arrière vu qu'elle est maintenant toute mouillée. Juste quelques mèches retombent sur mon visage et je me mord encore ma lèvre infèrieur légèrement sentant au passage ce goût amert d'une goutte de pluie.

Je commence à avoir mal aux jambes et je décide donc de m'assoire quelque part. Je vois un homme assis sur un banc, il a bien l'air seul et à l'air de réfléchir. Je m'approche et m'assoie à côté, je croise mes jambes et je regarde au loin sans lui adresser la parole. Je sais que dans ses cas là, généralement on ne veux pas que quelqu'un nous parle alors je fais comme si de rien n'était. Je m'étire en levant mes bras et je laisse s'échapper un soupire lorsque je me rassis normalement. Je crois que je suis bien restée là sans rien dire trois ou quatre bonnes minutes. Le silence devenait lourd pour moi, je sentait que mon autre moi voulait se manifester, alors pour me calmer je décide de prendre la parole

"Belle journée pluvieuse tu ne trouves pas ?"

Je regardais le ciel clignant des yeux à chaques impacts de gouttes sur mon visage. Je me mord encore ma lèvre inférieur avec toujours ce goût amert.

Elle est restée là, trois ou quarte minutes sans rien dire, je n'osais même pas la regarder, dans cette prison on ne sait jamais sur qui l'on peut tomber, un jour on vient vous voir pour parler, le second une autre personne vient pour se battre ... Mais elle avait l'air honnête et quand j'ai entendu le son de sa voix, ça ma fait un choque électrique comme si pour une fois une personne qui avait du coeur et de la bonté en elle était entrée entre ces quatre murs, un ange ? Ou une innocente condamnée pas erreur ? Il ma fallut un peu de temps pour dire quelque chose et ce ne fut pas la phrase la plus judicieuse pour entamer une conversation avec une personne.

"Que faites vous dehors, alors qu'il pleut ?"

J'ai dit cela avec un ton tellement sec qu'elle peut croire que je veux qu'elle parte ... Quel maladresse ! Depuis que je suis entré dans cette prison, je change chaque jour ... Je n'ai rien contre cette femme, au contraire une agréable compagnie me ferai du bien mais pourtant je l'envoi baladé ... Peut-être ai-je peur de mes sentiments ou peut- être que je me trouve simplement des excuses ...
Les gouttes sont froides et me font réaliser ma bêtise, elles frappent mon visage que je tourne vers l'inconnue, elle a le visage levé vers le ciel, je ne sais pas pourquoi mais j'ai trouvé cette image magnifique, une peinture de maître, cela traduisait tellement de sentiment que je ne pus bouger mes yeux de cette femme... Quelle image angélique !

Je laissais ainsi ma tête levée vers le ciel. J'aime ce contact avec les gouttes, sa me rapproche plus de la nature. Et j'en ai besoin car à Sadismus nous n'avaons pas beaucoup de contact avec tout ce qui est herbes, arbres ou fleurs, même l'air libre est rare dans une journée. Je ne pensais vraiment pas que je pourrai passer un moment agréable en prison, mais apparemment c'était possible car en ce moment je me sentait bien, appaisée. Bizarrement la compagnie de cet homme assis à côté de moi ne géné pas, sa présence était plutôt agréable .... pour l'instant car avec tous les tarés qui se trouve ici, peut être en était-il un finalement. Enfin, je n'avais pas le coeur à penser à ça, j'entendit soudain ça voix et son regard qui venait maintenant se poser sur moi. Je ne pris pas la peine de le regarder encore, je n'aimais pas plonger mon regard dans les personne qui me regardait. Juste je restée là et j'écoutais.

"Que faites vous dehors, alors qu'il pleut ?"

Sa voix retentit en moi comme un ultrason, elle parcouru mon corps le faisant frissonait. je ne sais pas pourquoi à vrai dire mais je pouvais bien sentir la chaire de poule. Je sentais encore son regard sur moi, je ne savais pas si je devais mal le prendre ou pas, en tout cas "elle" l'aurait mal pris, mais je ne réflchie pas par "elle" alors je fit le contraire de ce qu'"elle" aurait fait. Je me retourne finalement vers lui plongeant mon regard dans le sien. Peut être que je devais lui faire peur par la noirsseure de mes yeux, mais pour une fois, ce n'était pas voulu, ils sont ainsi point. Je me passe alors légèrement la langue sur mes lèvres pour humidifier et pris la parole.

"Je veux un peu profiter de ces moments de solitude ! Et toi que fais-tu ici ?"

Finalement ce que je venais de dire, n'avait aucun sens, je parle de solitude alors que j'entame la discution avec lui. Mais bon, je sens que j'ai envie de le connaître.

Un sourie ce dessina sur mes lèvres, je ne voulais pas de ce sourire mais c'est comme si je ne contrôlais plus mon corps, le passage de sa langue sur ses lèvres me fit frissonner, qui est-elle ?

"Moi ... ça n'a pas d'importance ..."

Finialement notre discussion n'en était pas une ... À bien y réfléchir tout ce que je lui disais ne servais à rien ... je suis resté au moins 2 minutes à la regarder sans rien dire, elle a des yeux des plus magnifique, ils font presque peur, mais peux importe ! Ils me traversais l'âme ! Je me ressési et détourne le regard vers le triste mur qui est en face de moi, de quoi ai-je peur ? La pluie tombe de plus en plus et les murs ce gondole à cause des gouttes, la silhouette des garde n'est presque plus visible car l'obscurité de la nuit tombe peu a peu sur Sadismus, le bruit de la tôle des toits percuté par les gouttes d'eau et un son percent qui fait mal aux oreilles, il rappelle la douleur et la souffrance de ses lieux, le couvre-feu ne va pas tardé et je sens un sentiment que je n'avais pas éprouvé depuis bien long temps ... J'ai peur, peur qu'elle parte sans connaitre mon nom ... Qu'es que j'attends ?!

"Je ..."

Baltazar tu es vraiment le roi des crétins !! Fini ce que tu as commencé ou elle va ce posé des questions ...

"Je m'appelle Baltazar"

A présent je regrette mes mots ... Elle doit sûrement en avoir rien à cirer de comment je m'appelle !

Je ne le quitte pas des yeux, enfait je ne sais pas pourquoi si c'est parceque j'en ai pas envie ou parceque je n'y arrive pas. Peut être les deux. On dit que les yeux sont le miroire de notre âme, les siens montraient qu'il avait un passé, un passé chargé mais je ne pouvais rien voir d'autre, ils étaient incroyablement beau et profonds. Je noyais les miens dans les siens sans but spécial juste parceque cette idée m'attirais.
La pluie commençait vraiment à devenir forte et j'étais maintenant trempée, les habits me collent à la peau, je n'aime pas top cette sensation, mais je ne vais tout de même pas rentrer maintenant alors que la journée prend enfin une bonne tournure. Heureusement pour moi sur mon débardeur blanc je porte une chemise bleue ce qui fait que ma poitrine n'est pas visible car mon débardeur blanc n'est maintenant q'une deuxième peau, mes cheveux dégoulinent et se collent sur ma peau, on dirait que je sort de la douche toute habillée. Je place alors mes mains dans mes cheveux, je les essort et puis je les frotte pour pas qu'ils se collent entre eux se qui donnerais ensuite un tas de cheveux sur ma tête. Les gouttes que j'envoie ici et là ne se différencient même pas de celles qui tombent du ciel. Sur le coup je me dit que j'étais impolie de fair cela, ou alors ça devait parraître bizarre, je parle et il me parle en retour, et moi qu'est ce que je fais, je me coiffe ! Il m'a pourtant parlé il y a de celà déjà quelques minutes, je devrais peut être lui répondre. Non ! Mince encore "elle" qui fait des siennes, j'en ai marre une lutte permanente se fait dans ma tête avec "elle" et elle arrive quand même à me contrôler lorsque je montre une faiblesse. Je repose alors mon regard sur lui la femre intention de répondre, un peu en retard certe mais bon il faut que je gagne ce combat.

" .... Pourquoi tu dit ça ? Si biensur que ça en a !"

Mainetant je sens un grand soulagement et ma tête ne me fait plus mal, je lui affiche alors un grand sourire, peut ête le plus beau que je n'ai jamais fait, en tout cas j'ai essayé. Je ne sais pas, c'est l'un des rares détenus avec qui je parle et c'est la première fois depuis mon arrivée que je me sens aussi bien avec quelqu'un. Je ne sais pas quoi penser, d'un côté j'ai peur car je ne le connais pas vraiment et je ne sais pas si je dervais finalement le connaître. Si finalement c'était quelqu'un de bien j'aurais trop peur qu'"elle" lui fasse du mal, je ne peux pas prendre un tel risque. Mais plus je le regarde, plus je lui parle, plus la tentation de le connaître est forte.
Il me dit maintenant son nom. Tiens c'est vrai qu'on ne c'était pas présenté et d'ailleur il ne connais pas mon prénom. Je ne sais pas si je lui dit, en tout cas pour l'instant, j'ai envie de faire durer le suspens, j'aime bien ne pas me dévoiler tout de suite. Mais je trouve cela charmant qu'il ait eu de l'hésitation avant de se prononcer. Je laisse s'échapper un petit rire non moqueur.

"Et bien Baltazar que fais-tu alors ici ?"

J'essaye d'éviter pour l'instant de dévoiler mon nom tout en voulant vraiment savoir ce qui avait bien pu l'attirer ici sous la pluie batante. Cette foie je me mord la lèvre inférieur, non pas pour lui faire passer quelquonc message mais tout simplement parceque c'est mon tic.

Super ! Mon gas t'a gagné ! Elle se fout de ta gueule ... Mais elle est si belle quand elle passe sa main dans ses cheveux ... Qu'es qu'il me prend ?! Elle m'a posé une question et je ne sais quoi répondre ...

"A vrais dire ..."

J'esite encore ...

"C'est stupide mais ... Je trouve la pluie triste et apaisante, c'est le seul moment de paix que nous avons ... Quand il pleut j'ai l'impression de tout s'efface, les murs ce gondole et deviennent sur-réaliste comme dans un rêve, les gardiens disparaissent et tout ce qui reste c'est la fraicheur de gouttes et le ciel ..."

Je laisse échappé un ricanement, je me sens si stupide ...

"Je vous l'avez bien dit que c'était stupide ..."

Je tourne ma tête à nouveau vers elle et je sens à nouveau ce regard qui me traverse, me remuent les entrailles ! Qu'es qu'il m'arrive ?!

(désolé pas d'inspiration =_=)

Je regarde son visage et je vois qu'il a peut être mal interprété mon rire. Je suis bête aussi, pourquoi est-ce que j'ai rigolée quand il m'a dit son prénom ? En moi je me maudis, enfin je maudis plutôt "elle", encore un de ses coups. Tiens il se décide à répondre, je me demande bien alors ce qu'il peu bien faire ici. Je me retourne vers lui, pliant les jambes sur elles même. Peut être que ça peu parraître étrange, mais je suis très curieuse du bon côté de moi même et vu qu'"elle" me laisse tranquille apparemment, j'en profite pour être moi même. J'écoute alors attentivement ce qu'il dit, je le regarde comme si j'essayais de déchiffrer ses paroles. Je trouve ce qu'il dit totalement compréhensible, et je reste là, légèrement penchée vers lui examinant sa réaction, il ricane. Je ne comprend pas pourquoi parceque ce qu'il dit est normale, je ne rigole pas avec lui, je préfère garder mon sérieu, d'un parceque ce n'est pas stupide ce qu'il vient de dire puis parceque tout simplement "elle" ne veux pas rigoler. Il tourne sa tête vers moi, et alors là nos regards se croisent à nouveau, je ne le quitte pas des yeux. Je reste comme celà quelques bonnes secondes pour rendre un moment comme celui-ci intense, nos regards se mélangent, se fondent l'un dans l'autre et je ne dit rien. Enfin quand je sens que le moment devient un peu trop long et qu'"elle" commence à taper du poing je me reprend, me relève légèrement pour m'étirer le dos et prend à mon tour la parole.

"Non ce n'est pas stupide .... Je trouve ta raison parfaitement normale, c'est vrai que la pluie est appaisante, et les gardiens pour une fois dans la journée ne sortent pas pour nous surveiller donc oui, c'est le seul moment de paix que nous avons. "

Je marque un temps de pose me repassant sa phrase dans ma tête, je détourne alors mon regard vers le ciel puis reviens le plonger dans son regard à nouveau.

"J'aime bien ta façon de décrire ces moments là, je trouve cette image jolie. Toute personne prend différement le rôle de la pluie, quelques uns pensent qu'à chaques gouttes qu'ils reçoivent, c'est une sorte d'aggression. Je trouve ça étrange et je ne les comprend pas, moi quand je sens ces larmes du ciel qui se heurtent à ma peau..."

Je m'arrète à nouveau, je me remet bien assise, les jambes croisées et mes bras tendus derrière moi, me supportant, et pendant un instant j'expose mon visage au ciel les yeux fermés.

".... Peut être est-ce une délivrance."

Je retourne ma tête vers lui, un oeil encore fermé.

"Au fait, tu ne m'avais pas dit le mot stupide, tu m'a dit sans importance !"

Il fallait bien que je change un peu cette atmosphère, je laisse s'échapper alors un petit rire et sans vraiment réfléchir pour qu'il rigole aussi je heurte mon épaule contre la sienne gentillement.
Je me lève ensuite, fatiguée d'être assise et je m'adosse en face de lui au mur croisant les bras et ne le quittant pas du regard.

Le son de son rire me réchaufe le coeur et me fait sourire a mon tour, elle me done un légais coup d'épaule sur la mienne qui me donne alors des frissons dans tout le corps, elle s'adossa alors sur le mur en face de moi et je vit sont corps, mes yeux se fixsaire dans les sien, la pluie continué a tomober, et perlé sur nos deux visage et regarde les gouttes tomber de ces cheveux, glisser sur sont visage, parcourent ses joue, carraissent ces magnifiques lèvres, continuer leur chemain en éfleurent ça poitrinne et parcourir sont corp si parfait, mes yeux remontèrent, je ne sais pas si elle a vue que mes yeux la regardait mais tout ce que je sais c'est que cette vision me fit comme un rayon de soleil qui me réchaufe le corps, je ne dit rien, pour la première fois depuis que je suis ici, jeme me sent bien ! La pluie commença a s'arréter et je sais que si elle ce calme les garde nous vairé ... Je me le vas et mi mon visage a 5 centimetre du sien, la regardent droit dans les yeux , ma main contre le mur au niveau de sont visage, mes lèvre n'avait qu'une envie : Se joindre au sienne mais je ne voulais pas qu'elle me repousse et ça ne faisait que quelque minutes qu'on ce connaissais ... Alors je dit simplement :

"Dit moi tom nom ..."

J'essita un peu après ces paroles imulsive et je fini ma phrase :

"S'il te plais ..."

La pluie commençait à se calmer, mais elle restée quand même intense. Maintenant j'étais vraiment trempée et là adossée au mur j'arrivais à sentir sa fraîcheur à travers mes habits. Je vois que Baltazar me regarde, non dans les yeux mais plutôt mon corps. Sur le coup je jette vite fait un regard sur moi pour voir si il n'y avait rien de trop transparent qui aurais pu me géner. Mes yeux se pose directement sur ma poitrine qui était légèrmeent dévoilée mais je me réconforte vite, elle ne se dévoile pas complètement heureusement. J'aurais pus en temps normal remettre correctement ma veste, mais si je ne bougeais que se soit un peu le tissu, le tee-shirt viendrais avec et là parcontre elle manquerait pas de se faire voir complètement. De toute façon le tissu blanc n'était pas complètement transparent mais bon, enfin je ne tarde pas mon regard dessus. Juste comme ça de Baltazar on croirait que je n'avais que la chemise bleue faisant un décolté plongeant. Je le regarde à nouveau et vois qu'il me regarde toujours... La pluis commence à cesser et en même temps que je vois toutes ses gouttent nous échapper je vois aussi les bons moments s'envoler.
Bien, voilà que Baltazar se lève et s'approche de moi, son visage se retrouve vite à quelques centimètre du mien. Je sens son souffle sur mon visage, sur mes lèvres et il doit surement sentire le mien qui viens de légèrement accélérer. Il pose sa main à côté de mon visage, cette image me fait penser à deux adolescents dans les couloirs du lycée qui flirt. Sur le coup je cru qu'il allait m'embrasser mais non à la place d'un baiser des mots sortirent de sa bouche. Je fixais ses lèvres et je me mordi la lèvre. Devrais-je lui dire mon nom ? Bon j'ai assez laissé de marge depuis tout à l'heure, lui me la bien donné alors pourquoi le lui cacher plus longtemps ? Apparement une alchimie nait entre nous.... Non, voyons je sais très bien qu'elle n'ira pas bien loin, elle ne le peut pas en tous cas, mon autre moi m'empècherais de vivre quelquuechose de bien une fois dans ma vie. Enfin pour l'instant je suis là, à quelques centimètres de ses lèvres et il me demande mon nom.

".... Domino, mon nom est Domino."

Je ne quittais pas mes yeux de ses lèvres, je n'avais qu'une envie c'était de les sentir contre les miennes, je les imaginais délicate, douce mais avec ce plus qui amène quand même un peu de brutalité sans en habuser. Je relève mon genoux droit et pose mon pied contre le mur. Puis je pose ma main délicatement contre son torse sentant le tissu mouillé qui collé à sa peau, je m'apprète à l'embrasser mais je ne veux pas brusquer les chose, alors je reste là, ma main sur son torse pratiquement contre lui et lui chuchote.

"Que veux tu savoir de plus sur moi ?"

Je sens sa main sur mon torse, la fraicheur et l"humidité de mon haut me font frissonner, mon coeur bas la chamade, mon souffle s'accélère, je met un petit moment avant de répondre à ses questions, je contemple ses yeux qui regardent mes lèvres à croire qu'elle ne m'entend pas et qu'elle a besoin de regarder mes lèvres pour me comprendre, elle est si mystérieuse et belle que je ne sais toujours pas quoi dire ... j'hésite un moment, j'ai peur que ma cicatrice lui fasse peur de si prêt mais ces si bon de sentir sont souffle sur mes lèvres, un coup-de-foudre ?! Jamais je n'aurai crus mais, je crois qu'il n'y a plus de doute pour moi ... je réponds enfin à sa question ...

"Ton nom me suffit amplement"

Je dit ça d'une voix calme et douce sans m'en rendre compte ... et je continue ...

"Et toi ? ... Que veux-tu savoir de moi ?"

Je redoute la réponse mais, je pose quant même la question, c'est comme donné le bâton pour le faire battre, je doit être un peu masochiste ...

Je sens comme un frisson ayant ma main sur son torse. Je me dit qu'il doit frissonner à cause de la fraîcheur de la pluie mais au fond de moi j'espère que ce n'est pas le cas. Je déplace ma main sur son coeur sentant un assez forte vibration intérieur, il bat vite, un peu comme le mien qui vient encore d'augmenter d'un cran. Je ressers mes doigts, non jusqu'à le griffer mais juste je les recroqueville, aggripant à peine son tee-shirt. J'ai envie de sentir sa peau sous mes doigts mais ce tee-shirt fait barrage. Bon ce n'est pas bien grave je ne veux pas non plus lui faire peur. Mes yeux restent encore rivés sur ses lèvres perlant de gouttes de pluie, je sens comme une boule au ventre et une chaleur me réchauffe petit à petit. Je perçois une hésitation chez lui, je me demande bien pourquoi suis-je trop effrayante ? Ou peut être que je suis trop entrerenante ça ne lui plaît surement pas. Je finit par détourner mes yeux de ses lèvres si attirantes et me fraye un chemin sur son visage encore dégoulinant sous l'effet de la pluie. Tiens voilà qu'une rayure viens déranger sa joue, il a une assez grande cicatrice. J'eu peut être un regard étonné mais je qualifirais ça plutôt s'un effet de surprise simplement parceque je ne m'y attendais pas. Je trouve en fait qu'elle rajoute un plus à son visage, du caractère, un quelquechose de personnel qui attire l'attention et la mienne personnellement à cet instant précis. Je sens comme un souffle chaud sur mes lèvres, voilà qu'il me parle avec un petit temps de silence. Etonnemment il ne veux rien savoir de plus sur moi mais me retourne plutôt la question. Que voudrais-je savoir sur lui ? Je voudrais beaucoup de choses en fait, j'aimerais sentire ses lèvres contre les miennes, sentire sa chaleur corporelle réchauffer la mienne rien qu'au contact.... Enfin je m'enlève vite ses idées là de ma tête, pourquoi faire des allusions alors que lui n'en à faites aucune ? Je me force plutôt à répondre correctement tout en ne pouvant m'empécher de penser à ces interdits là.

"Je ne sais pas, il y a quelquechose que tu voudrais me faire connaître ?"

Je dégage ma main de son torse et fait délicatement glisser mon doigt sur sa joue effleurant sa cicatrice. Je le regarde dans les yeux. J'approche mes lèvres des sienne ouvrant légèrement la bouche mais je stoppe et fait glisser mon doigt sur ses lèvres. Mince c'est trop tard mais je me rend compte que ce geste est ridicule il va surement réagire et me repousser. Qu'ai-je dans la tête ? ... biensur mais je ne suis pas dégourdie, dans la tête j'ai "elle", un autre moi assouvie de sang, de meurtres mais aussi de désires et de tentations. Elle influance donc sur mes actes et mes sentiments depuis tout à l'heure ou pas ? Enfin je n'y pense pas trop et reviens à la réalitée. Mon doigt s'est arrété sur sa lèvre inférieur, je l'enlève alors lui volant avecune de ses goutte de pluie qui n'allait pas tardait à finir sa course sur le sol.
La pluie s'est légèrement remit à tomber un peu plus fort. Je recule alors ma tête jusqu'à toucher le mur et attend de voir sa réaction.

Ca main se pose délicatement sur ma joue, alors je ferme les yeux je sent un souffle délicat et chaud sur mes lèvres et sont doigt doux et fin vien en suite ce poser sur ma lèvre inferieur, je ne peu décrire ce que je ressent, mon coeur bas si fort et si vite que j'ai l'imprétion qu'il va lacher, la prison n'exsite plus, autour de moi il n'y a que ce souffle chaud et humide qui vien me carrésser le visage, ce doigt fin et doux qui s'est poser sur mes lèvre et les gouttes de pluis freche et fluide qui tombe sur mon corps et le sien.
Je garde les yeux fermer, espérent que ce moment ne se finisent jamais mais la dure réalitée me fait décendre de mon nuage quant je sent cette chaleur s'éloigner de de moi, et son doigt partir dans une dernière caresse, mes yeux ce réouvrirent et je la vois, là, adossé au mur, si douche et si dure a la fois, si forte et si fragile, si mystèrieuse ... Je ne peu suporté qu'elle s'éloigne de moi, j'ai l'imprétion d'être dépendant de sa chaleur, comme si a présent je ne pouvais plus me séparé d'elle !
J'avence d'un pas hésitent, ne sachent pas si elle aussi resent ce qu'il ce passe a l'interieur de mon coeur, j'essaie de lui montré ce que je ressent a lui envoyent un message sens mots mais rien qu'avec un regard, j'approche mon visage du sien, mon coeur bas de plus en plus fort ! Il est pret a exploser !
J'aimerai lui dire ...

"Je vous est menti tout a l'heure ..."

Je marque une pause, en me rendent compte que j'avait penser a voix haute, il est a présent trop tard pour reculer, cette phrase est trop embarassente et risque la faire partir ...

"Vous m'avez demander si je voulais connaitre quelque chose sur vous ..."

J'hésite encore ...

"J'aimerais ... J'aimerai savoir ..."

Mon coeur et a deux doigts de craqué !

"J'aimerai goûter a vos lèvres"

Mince ! Je l'ai dit ... J'ai l'aire si stupide et trop directe ! Si jamais elle ne ressent pas ce que je ressent, elle va me détesster !
En même temps ... C'est telement vrais ... C'est lèvre on l'air si douce, j'envis l'eau de pluie qui les caressent ...

La pluie garde une intensité constante maintenant. Il pleut assez pour que les gardes ne sortent pas mais pas trop, assez pour pouvoir garder les yeux ouverts sans cligner tout le temps. On dirait que le temps joue en notre faveur, qu'il a compris qu'il nous fallait plus qu'un regard et un toucher entre Baltazar et moi. En tout cas c'est ce que je souhaitais, je voulais qu'entre nous ça aille plus loin et ne pas attendre que l'on se revoit, je voulais profiter de l'instant présent, et je le veux encore.

Je le vois qui s'approche de moi, mon coeur commence presque à me faire mal. Voilà tellement longtemps que je ne l'avais plus sentis, et c'est maintenant qu'il me fait partager ses premiers battements. C'est une sensation agréable mais qui à la fois fait légèrement souffrir. Il me soulève la cage torasique et je le sens pret à exploser par ce flux d'émotion qui m'envahit. Plus Baltazar s'approche, plus mon coeur accélère et me fait mal et je sens comme un feu qui s'allume dans mon ventre, ça me procure une drole de sensation de plaisir. J'aimerais l'embrasser pour sentir ses lèvres, qu'il m'enlace et que nous restions comme cela dans un temps infini. J'aimerais beaucoup de choses enfait, mais pourtant je suis là impuissante sous son regard et sa présence. J'essais de garder un peu de lucidité pour ne pas me faire dépasser par cet instant et pouvoir le savourer comme il se doit.

Son visage se rapprche du mien et je crois qu'il va m'ebrasser, mais au lieu de cela il laisse s'échapper quelques mots. Sur le coup si je n'avais pas eu le mur derrière moi, j'aurais eu un mouvement de recul. Pourquoi m'avoir menti ? Et sur quoi ? Mince je me serrais donc trompée sur lui ? Que de questions se disputent dans ma tête à une allure folle. J'imagine alors tous les scénaios dramatiques, catastrophiques, tragiques et j'en passe. Mais vite il se continue sa phrase et je me rend compte que ça n'a pas l'air si grave que cela. Enfin son hésitation me rend légèrement nerveuse, l'attente de la réponse me fait me mordiller ma lèvre, mon tic se réveil souvent lorsque je stress et là je ne m'en rend compte que trop tard qu'avec les gouttes d'eau se mèle une gouttelette de sang. Je ne fais pas attention à cela car il vient de finir sa phrase et au lieu de faire une grimace sous l'effet de cet infime douleur, je sourie. Mon inquiétude disparait et je reprend le total controle de moi. Mon regard devient alors aussi profond et désireux que tout à l'heure et je ne prend pas la peine de répondre.

Je replonge mon regard dans le sien quelques instants puis le détourne vers ses lèvres une nouvelle fois. Ma main vient à sa joue et de mon pouce vient lui chatouiller quelques caresses puis descend jusqu'à ses lèvres. Je m'approche alors doucement vers lui, mes yeux ne quittent pas leur cible et viennent presque à se fermer tellement elle se tient proche maintenant. Je sens son souffle de plus en plus fort, nos deux respirations se mélangent l'une dans l'autre. Alors que j'entrouve ma délicate bouche signe que le baisé est proche, je m'arrète. C'este une de mes façon pour faire durer le plaisir. Mais je ne reste jamais ainsi très longtemps et après une pause devant ses lèvres, je décide enfin de poser les miennes sur les siennes. Mon coeur est sur le point d'éclater, on dirait que nous venons de mettre en contact deux plaque chauffantes. Sur le coup cette sensation de bouffée de chaleur me surpris et j'aurais presque pu avoir un recul, mais elle laisse vite place au plaisir de sentir la douceur de ses lèvres contre les miennes.

Le soleil commence a ce cacher dèrière les haut mur de sadismus mais cela m'importe peu, je suis dans un autre monde, un autre univers, c'est lèvre si douce et chaude me fon frissoné de plaisir, mes mains ne peuvent rester statique devent une tel émotion, l'une d'elle ce loge dans le creux de sont dos, agripent ces vètement mouillés alors que la seconde parcoure tendrement sont épaule puis se logue dèrière ça nique glissent ces doit dans ces cheuveux. Je fait glisser lentement ma langue sur ça lèvre infèrieur, je sent un gout cuivré de sang mais ça na pas d'importance ! Je la sert fort contre moi comme si j'avais peur de la perdre, je ne veu pas qu'elle parte, ma mains droite qui était dans sont dos glisse doucement sous ces habit tremper et sans malice carsse cette peau délicate et ardente, mes yeux ce ferme comme si elle était souder, je ne veu pas voir ce monde extèrieur, si laid et froid ! Je veux seulement voir la beautée brulente de ce moment, garder mes lèvre coller au sienne durent une éterniter, ne jamais la voir partir comme j'ai vue partire ten de personne ! Ce moment est si intence que je sent sont coeur et le mien dancer au ritme de notre amour, un magnifique balais qui m'émeu au point que mélé a une goutte de pluie une de mes larme s'échape et me carsse la joue comme pour me réconforté. Nos corps s'embrase mutuèlement, si la pluie n'était pas la nous nous eflamerions !

Je ne sais combien de temps nous sommes rester comme ça mais ce moment s'acheva quant le soleil eux complaitment disparut dèrriere les mur de la prison et que les projecteur des gardien remplacaire le soleil, un de ses rayons nous touche de plien fouet et l'on entend un grosse vois qui nous ordonne de nous décoller, mais c'est imposible ! Je ne peu me séparré d'elle !

Un garde m'attrape le bras et un second le torce, il me tire loin d'elle, je ne suis même pas a deux mètre d'elle que ma douleur est tel que j'ai l'imprétion que l'on m'arrche un membre, comment suporter une tel douleur ?! JE ted la main vers elle comme si je voulais la ratraper et huren sont nom, en hurent mon désèspoir, deux autre gardien attrape ma douce Domino, ma colère devien assez grande pour avencer a nouveau vers elle mais les garde toujours plus nombreux a m'attraper finissent par me tennir a l'écard de ces douce lèvre.

Comment suporter ten de cruotée ?

Oh mais quel agréable instant près de lui ! Cela faisait tellement longtemps que j'avais perdu tout espoirs quand à l'amour... Mais pourrais-je vraiment définir ce que je ressent en ce moment comme étant de l'amour ? Je n'ai jamais vraiment su ce que c'était que d'être amoureuse donc comment savoir ? Mon coeur bat la chamade à me fair exploser la poitrine, mon souffle s'accélère à une allure folle, mon corps se réchauffe et pourtant au contact de la peau, des lèvres de Baltazar des frissons me parcourent tout le long du corps. Des sensations contraires se déclenchent en même temps et je ne me sens plus maître de moi même. Est-ce vraiment cettte seule personne, cet homme qui me fait tant d'effet ? Tout en étant troublée je bénis ce moment et espère qu'il continue pour l'éternel. Mais je sens que tout autour de moi devient de plus en plus sombre, le soleil commence à ce coucher et les nuages audessus assombrissent encore plus la Terre. Mince ce moment ne durera pas aussi longtemps que je souhaiterais. Je sais ce qu'il va se passer par la suite, et ça ne m'enchente pas du tout !

Le baiser en soit même est tout simplement magique et incroyablement beau. Beaucoup de sentiments y passent et se mélangent maintenant entre lui et moi. Depuis tout à l'heure il m'attirait mais maintenant qu'il est tout contre moi, en moi, il ne m'attire plus, ça y est je suis collée à lui et l'attirance c'est changée en un sentiment. Oui finalement peut être bien que je peux appeler ça de l'amour ou de la passion alors. Ce qu'il se passe en ce moment durant ce baiser est une explosion de sensations, de bonheur qui m'émerge tel un poison sans remède. Non il n'y a pas de remède à ce que je vis, ou alors on ne m'en a pas parlé..... Un remède à l'Amour ? Peut être qu'il en existe un, mais alors je n'en veux pas, je me sens tellement bien là que pour rien au monde je voudrais stopper cet instant. Ses mains se placent dans mon dos, dans ma nuque et des doigts carressent mes cheveux mouillés. J'ai envie qu'il me serre encore plus fort contre lui. Le goût du sang se melle a la salive mais peu m'importe, sa langue est douce et jmalgrès mon envie de l'embrasser fougeusement je me retiend augmentant mon exitation envers lui. Je place mes bras autour de son coup et de ma main droite plonge mes doigt dans sa chevelure blonde rapprochant sous une légère force sa tête de la mienne pour être malgrès le baiser encore plus contre lui, le sentir encore plus proche de moi.

Je me cambre sous l'effet de sa main dans le creu de mon dos, mon ventre touche le sien, ma poitrine se comprime contre son torse, tout les deux trempé jusqu'aux os. Mais alors que ce moment atteignait son apogé, une lumière m'agresse par sa puissance. Le spot extérieur de la prison me pointe ainsi que Baltazar.... Mince non, je ne veux pas qu'ils nous séparent, pas maintenant... jamais ! Et pourtant alors que même n'étant pas chrétienne je priais pour que personne ne viennent, deux gardes, suivis de quatres derrières nous interpellent. Les deux premiers tirent Baltazar loin de moi, notre baiser en est arraché. La douleur m'en est presque fatale, je ne bouge pas, mon coeur explose à l'intérieure de moi. Je regarde Baltazar s'éloigner de moi, et on dirait que c'est mon âme qui part. Au d&but je ne réagis pas, je ne sais pas ce qu'il se passe, je croyais impossible qu'un moment pareille puisse s'arréter surtout de cette façon. Je le vois qui hurle mon nom et me tend la main. C'est alors que je comprend l'horrible acte que font les gardiens en nous séparant. Je n'ai pas le temps de placer un pied devant l'autre que les deux autes garde me choppent au poignet et au ventre. Il se trouve qu'a quelques mètres de moi et je ne puis même plus le toucher. A mon tour je hurle, non son nom mais simplement un cri de désespoir et de colère. Ils sont à quatres sur Baltazar et seulement à deux sur moi, pourquoi n'ai-je pas plus de force pour les envoyer loin de moi et pouvoir retrouver la chaleur du corps de Baltazar ? Suis-je si faible que je ne puis rien faire quand il est question d'amour ? Et pourquoi "elle", si forte, si meurtrière ne se montre-t-"elle" pas, je suis sûre qu'"elle" y arriverait !

Non, je m'éloigne de plus en plus de lui, de ses lèvres, de son touché, de sa chaleur, de son parfum...... Les gardes me font mal aux poignets mais pourtant je ne dit rien, je suis juste accablé par la tristesse, la douleur.

Je n'ai pas perdue une personne, non, j'ai perdue mon coeur.

La force des gardien me qui me retienne est grande mais ma volonté de retrouver la chaleur de ces lèvre est encore plus grande, je comprend très vite que je ne la revairais pas maintenant ... mais alors que deux garde suplémentaire ce gette sur moi je lui hurle dans un sanglot mélé a la pluie quelques petits mot qui je l'esspère lui remonterai le moral :

"On se revérra !! Je te le promet !!"

Et la je sent la forces des garde grandir, ils me plaque au sol et je me laisse faire, la douleur ne peu plus exsiter pour moi, pas apprés avoir gouter a un baiser pareille, ma penne s'éfface peu a peu part l'idée que je la revairais, quant au souvenir de cette intent il resterons a jamais graver dans ma tête.
Un des garde me tien la tête par-terre et me hurle dessus :

"C'est la célulle d'isolement que tu cherche ?!!"

NON !! Plus aucune parcelle de mon corps ne bouge, je me laisse faire par les gardes, je me prend des coups maic ce n'est pas grave, je veu tout faire pour évité l'isolement ...

Je te retrouverais mon amour ...

[Couloirs <Rencontre entre un sabreur et une poupée>]
(c'est fini désolé pour cette fin qui est un peu pauvre ^^")