Sadismus Jail
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 Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk)

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MessageSujet: Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk)   Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk) Icon_minitimeMer 29 Aoû - 15:29

J'en ai plus que marre de cet endroit, cela faisait pratiquement un mois que j'était ici, et je ne m'était toujours pas casser d'ici, il faut dire que l'a sécurité ici était plus que renforcée, normale pour la prison la plus réputé du monde. Cela aurait simplifier grandement les choses si je pouvais demander aux gardiens l'ouverture des portes que bien sur celui ci accepte et que je sorte... Sa éviterait pas mal d'effort et cela me simplifirait ma tache, ensuite j'irais voire le mort en sursis, celui que j'aurais du tuer le jour de mon proscès et je lui ferrais vivre un cauchemard éveiller.

J'en était arrivée à la conclusion que je ne pourrais jamais me tirer d'ici seule, il me fallait donc des coéquipier, même si cela m'énervait passablement...J'ai toujours détesté noué des contacts, non ce n'est pas totalement vrai, il fut un temps où j'était plus que sociable, mais il est révolu depuis longtemsp déja, partit en fumée avec tous ce que j'avais de chère...En tout cas je me vois mal allez un prisonnier choisis au pif, et lui demander gentiment si il veut bien m'aider à m'évader.

Je m'était lever de bon matin, j'avais explorer la majeure partit de la prison, mise à part le quartier des gardiens et le sous-sol, tous deux étant bien entendu interdit au prisonnier. J'avais choisi pour aujourd'hui d'explorer le sous-sol, plus facile d'accès que les quartiers privée. Mais avant pose réféctoire, je ne sais pas combiende temps me prendrais mon exploration des sous-sols, alors autant y aller le ventre plein. A peine assie à une table qu'un type trouve bon de venir me casser les pieds, à force j'en ai pris l'habitude, généralement les plus froussards prennent leurs jambes à leurs cou en voyant mon regards plus que glaciales, celui ci ne fait pas éxeption.

Rentré au sous sol, avait été plus facile que prévu, j'avait facilement échapper au gardien en me faufilant discrétement jusqu'a la porte, je ne savais pas ce que je trouverais ici, sans doute le quartier d'isolement, mais aussi la salle de torture dont j'avait entendu parler dès son arriver ici acuellit par un gardien détraquée, comme la plupart des employés ici, mais aussi par des prisonniers qui parlaient de cette endroit comme d'un enfer.

L'enfer je conaissait, et cela ne ressemblait guère à une salle de torture, non, plus à un gouffre s'en fin, dépourvu de tout sentiment et à un brasier infernal brulant les êtres chères, absolumment rien à voire avec une salle remplie d'objet de douleur.
Comme sans doute beaucoup de prisonnier je cherchait à me procurer une arme, je n'esperait pas me tirer d'ici avec, je ne suis pas encore folle et cette idée est stupide, mais pour se défendre, autant que des prisonniers que des gardiens, cela pouvait se relever bien utile et me faciliter grandement la vie.

Comme chaque matin, j'avais été reveiller par mon cauchemard, le même depuis des années, je ne sais pas pourquoi, mais en marchant dans ce couloir desert, j'eu des souvenirs, si cela peut se nommer ainsi de ce rêve affreux, que j'essayait tant bien que mal de chasser de mes pensées, en me concentrant sur le chemin et la direction que je prenais.

J'entend deux voix, et à mon avies ce sont deux gardiens qui discutent, je me colle au mur, et ose un coup d'oeil rapide, très rapide étant donnée que j'ai eu l'impression que l'un des gardiens m'as repéré, impression très vite dissiper, puisque rien ne se passe
J'entend alors un cliquetis que je reconnais aisement, le bruit d'un briquet qu'on allume, même si je ne vois rien de la scène, cela ne m'empéche pas de me paralyser, j'ai horreur du feu, j'en ai une peur absolu et incontrolable. Une terreur sans nom qui s'empare de moins dès que je suis ou que je pourrais être en contact avec le feu.
Heureusement pour moi, les deux gardiens s'éloignent. Cela me fait songer que le seul au courant dans cette prison de ma phobie est sans doute le gardien le plus fous que j'ai rencontré....Mais quelle veine.

La seule arme que j'ai sur moi, eest une arme recupérer à l'infirmerie, un simple scapel pour être exacte. Ce n'est pas à proprement parler une arme d'attaque, non, si j'ai à m'en servir, c'est soit en lame de jet, soit de manière que je qualifirais de fourbe, ni vu ni connu... Par une chance inouie, je n'est pas encore eu à m'en servir. Et jusqu'a la, je me suis réellement battu qu'une seule fois, avec des prisonniers et ayant un allié avec moi, il n' y avait pas trops eu de dégat de notre côté, quand à nos adversaires, on les avait prévenu.

J'attend encore quelques secondes, mais n'entendant plus le bruit des gardiens dans le couloir, je continu mon exploration des profondeur de Sadismus.
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Rurisk K
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MessageSujet: Re: Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk)   Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk) Icon_minitimeMer 12 Sep - 10:22

Je me sens de fort bonne humeur aujourd’hui… c’est ce que je me suis dit en me levant ce matin. Ca a malheureusement bien changé depuis. Déjà à peine sorti de ma chambre –oui exceptionnellement j’étais venu dormir dans ma chambre dans l’aile des gardiens et je peux vous dire que je l’ai regretté- j’ai du subir le bavardage dans le couloir de deux gardiennes énervantes qui se vantaient l’une et l’autre d’avoir maté je ne sais plus quel prisonnier, j’ai oublié son nom… J’oublie toujours les noms… Ca me rends triste je crois… Enfin peut importe, ça n’est pas le sujet. J’ai donc fuis en marchant pourtant doucement, je n’aime pas particulièrement courir sauf lors d’une chasse évidemment mais l’enjeux est tout autre et l’ambiance si particulière… Hum rien que d’y penser j’en ai des frissons mais ce matin j’avais surtout envie d’étrangler n’importe qui pourvu qu’il se trouve là mais malheureusement je n’ai croisé aucun prisonnier. Il y avait juste pie n°1 et pie n°2 qui semblait me suivre où que j’ailles. Pie n°1 est sans aucun doute la plus exaspérante avec sa voie stridente même quand elle chuchote… Toujours est-il que je me suis baladé dans toute la prison pendant toute la matinée et que fort étrangement, tous les prisonniers semblaient fuir à mon approche… Ca a de l’instinct ces bêtes là j’aurais bien aimé me défouler sur l’un d’eux… Dommage que les deux pies n’aient pas eu le même instinct pour sentir mes pulsions de meurtre à leur égard.

J’ai commencer à avoir des soupçons quand elles sont restée une heure avec moi dans la salle de musculation à rien faire du tout d’autres que continuer et à –oh mais que c’est exaspérant- glousser. J’ai eu un gros doute quand elles ont attendu une autre heure devant les toilettes pendant que je fumait tranquillement une clope en attendant qu’elles s’en ailles. Et finalement je leur ai demandé de cesser immédiatement de me suivre ou d’aller s’acheter un sachet d’arsenic parce que ce serait moins douloureux. Mais elles n’ont pas du saisir l’allusion parce que j’ai eu droit à une magnifique déclaration d’amour, qui m’a donné une nausée difficilement réprimable. Je suis resté immobile deux minutes en me répétant très fort que mademoiselle Böse ne veut pas que les gardiens s’entretue, je me le suis répété vraiment vraiment très fort avant de pouvoir répondre très calmement que définitivement non merci. Et je me suis enfuit à grande vitesse cette fois ci vers les sous sols en embarquant le premier prisonnier qui m’est passé sous la patte.

Ce même prisonnier est maintenant en isolement dans un très sale état mais soigné puisque j’ai maintenant pris soin de laisser traîner divers pansements, désinfectants et autres objets de soin dans la salle de torture pour ne pas avoir à remonter les chercher à l’infirmerie. J’ai passé l’après midi à cette charmante occupation et je suis recouvert par endroit d’un sang séché qui n’est pas le mien. Ce prisonnier avait une très belle voie quand il hurlait ce qui fait que je me sens un peu plus calme que ce midi –d’un autre côté ce n’est pas tellement difficile, c’est d’être moins calme que ce midi qui serait un exploit- même si je suis encore loin de ma belle bonne humeur du réveil. Et puis j’ai faim. Bah je vais aller au réfectoire et puis en attendant. Je sors mon briquet et m’allume une cigarette avant de tourner au coin d’un couloir. Ce qui fait que j’ai toujours mon briquet en main quand je tombe sur elle. C’est peut être pour ça que je l’ai tout de suite reconnue.

« Mon petit oiseau des neiges !! »

C’est bien elle, j’en suis certain, en plein milieu du couloir. Je souris, elle ne m’a probablement pas entendu arrivé, pour une fois je suis réellement heureux d’avoir l’habitude de marcher silencieusement en toute circonstance. C’est alors que mon sourire s’évapore et que mon visage se ferme d’un coup. Derrière mon petit oiseau des neiges et lui barrant toute échappatoire viennent de surgir pie n°1 et pie n°2 . Elles ont une drôle d’expression sur le visage, pour un peu je jurerais qu’elles sont blessées, mais par quoi ? Elles regardent mon petit oiseau des neiges avec une haine fascinante et puis pie n°1 finit par dire d’une voie acide.

« Une prisonnière dans les sous sols c’est strictement interdit, ça mérite une punition de circonstance… »

Quand je vous disais que c’était la plus teigneuse… Mais au fait c’est vrai ! On est dans les sous sols et les prisonniers n’ont pas le droit d’y aller… et mon petit oiseau des neiges est une prisonnière. Me désintéressant complètement des deux pies je regarde mon petit oiseau des neiges d’un air aussi étonné que le ton de ma voie pendant que je joue machinalement avec mon briquet mais sans l’allumer.

« Tiens au fait c’est vrai ça, qu’est ce que tu fais là mon petit oiseau des neiges ? »

C’est bizarre j’ai l’impression que le regard des deux pies sur mon petit oiseau des neiges c’est fait encore plus haineux.
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MessageSujet: Re: Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk)   Ouh ! la petite curieuse ! (Pv Rurisk) Icon_minitimeMer 12 Sep - 11:06

Bon jusqu'a la, tout ce passe plutôt bien, prions pour que la chance continue d'être avec moi. Je m'avance toujours dans les couloirs qui me sont pourtant interdit, je note mon chemin, mémorisant par coeur, la direction que j'emprunte, histoire que si on me surprend, il me reste une échappatoire.
C'est comme même assez grand les souls sols, et quand on ne connais pas l'endroit, on à du mal à trouver ce que l'on cherche, alors je compte sans doute sur un grand coup de bol pour que mes pas me guident vers la salle de torture, histoire que j'admire de plus près se soit disant enfer qui terrorise pas mal de prisonnier, et croyez moi, ce n'était pas des prisonniers très tendre.

Je fais très attention aux moindres bruit que j'attend... Alors dite moi pourquoi, pourquoi lui je ne l'est pas entendu ? J'ai d'ailleurs eu du mal à le croire, mais il n'y a que lui pour m'appeller ainsi. Moi qui me pensait chanceuse.

-Oh Non.

Parmis tous les gardiens de Sadismus, il fallait justement que se soit lui qui me surprenne dans les couloirs. Il joue avec son briquet, que je ne quitte d'ailleur pas du regard et il souri, génial, dois je rappeller ce qui c'est passé la dernière fois qu'il à sourit, non inutile de présciser que je me suis retrouvée avec les cotes cassées et une mains en piteuse état...Pourtant, on pourrait presque croire qu'il est heureux de me voir, ce qui me semble, venant de sa part, impossible.
Tiens qu'est ce que je disais, son sourire s'évapore, avec difficulté, je suitte des yeux son briquet pour savoir ce qui provoque son changement d'humeur.
Deux femmes, gardiennes de tout évidence si j'en juge par l'air méprisant/méprisable qu'elles affichent.

Bon ba me voila bien, je n'est plus aucune échappattoire. Je suis coincé entre 3 gardiens, prisent aux piège dans un endroit où je ne devrais pas être.

Mais je leur est rien fait moi, pourquoi tant de haine dans leur regard. Oh non, pitié pas sa. De ma voie glaciale mais non dénué d'ironie, je reprend la parole.


Non, pas les feux de l'amour version Sadismus...

Oui, en plus de la haine, c'est bien de la jalousie que je lis dans leur regard, c'est bien ma veine, je rend deux gardiennes jalouses parce qu'un fou me nomme mon petit oiseau des neiges.
Une punition ? Ouais, la rpochaine fois que je me surprend à dire que j'ai de la chance, je ferrais mieux de me la fermer. Non, pourquoi l'autre en rajoute une couche, il peut pas se la fermer, le regard des deux gardienne se fait plus dur et plus haineux que jamais.
Mais comme à mon habitude je ne peux m'empécher de balancer l'une de mes petites piques glaciales à leur charmante attention.

Votre Maman ne vous à jamais dit que la jalousie est un vilain défault.

Accompagné le tout d'un jolie faux sourire froid et de mon regard fait maison, qui m'as sans doute valu ce surnom stupide de la part du gardien. Puis je me tourne vers celuiet repond à sa question, à quoi bon lui mentir il y a peu de chance qu'ils gobent que je me suis perdue, le panneau écrit inerdit aux prisooniers est present sur 500m avant l'entré dans les sous sols.

Je comptait aller dans la salle de torture voir qu'elle genre d'arme je pourrais récupérer la bas.

Mon regard est toujours aussi glaciale, disons que j'ai du mal à pardonner l'état dans lesquel il m'a mit lors de notre dernière rencontre. Bon résumons la situation, je suis coincer entre un fou et deux dindons jalouses......Et merde manquais plus que ça, l'une des gardiennes pointent son arme sur moi, tandis que l'autre s'avance matraque à la main.
Je calcule rapidement ce que je peux faire, pas grand chose en l'occurence... Quoique, idée, si je met de côter pour le moment Rurisk, et que je m'occupe de se qu'y risque de se passer si je ne fait rien, à savoir une correction en bonne et du forme, je peux tenter une chose, de toute façon si je me loupe sa ne changera pas grand chose, correction pour correction.....

Dans ma manche de chemise se tient toujours le scapel piqué à l'infirmerie, je le fais glisser dans ma main, tandis que la gardienne à la voix de dindon se rapproche toujours matraque en main, elles semblent décidées à en mettre plein la vue à Rurisk, mais que ce qu'elles lui trouvent ?
Bon, le tout c'est d'éliminer, celle qui me tient en joux pour ensuite pouvoir m'occuper sans grand risques à l'autres... Bien sur si Rurisk ne se décide pas à intervenir. En même temp je le vois assez mal en sauveur de ses dames, bien que je suis certaine que cela leur ferait très plaisir.
Je n'est plus le temp de réflechir, je lance rapidement le scapel dans la mains de la gardienne tenant l'arme, après un flot d'insulte que je tairais, elle lache son pistolet et se tient sa paume tentant d'évitez le sang de trop jaillir, j'ai bien visé, elle n'est pas prés de pouvoir s'en reservir et si elle compte rester en vie, elle est obliger de stopper l'hémoragie, bref elle ne me fera plus suer celle là.

Voila une bonne chose de faîte, l'autre gardienne s'avance l'air encore plus menaçant, en lachant son flot conséquent de jurons, tout en abbatant sa matraque sur mon pauvre tête, du moins en essayant, je compte pas me laisser faire. J'esquive l'assaut, et me prépare au suivant qui ne tarde pas à arriver, j'arrive à la frapper dans son visage, mais en contrepartit, elle arrive à m'atteindre sur le bras et croyez moi sur parole, sa fais mal...Mais ce qui me console c'est qu'elle doit souffrir encore plus, si j'en juge par le sang qui coule en masse de son nez.
Je pense que j'aurais pu m'en sortit, si cette dinde n'avait pas sortit son arme à feu à son tour et que dans un rictus sadique elle me la pointe dessus.

"Tu fais moins la fière maintenant, tu viens d'aggraver ton cas."

-Mais c'est quand plus d'être lache on est perpicace

J'vous passe les nouvelles insultes qui pleuvent, sa doit être la saison. Bon j'ai le choix entre un tir je ne sais où et des coups de matraque, sauf que cette fois, elle ne me laisse pas le temp de réfléchir et m'abbat sa p***** d'arme dans l'estomac et sa sa fait très très mal, résultat du compte je me plis en deux, pourquoi j'ai l'impression que ce n'est que le commencement ?
Sans soute parceque son bras se lèvre encore.

Et tout ça pour les beau yeux de Rurisk....
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