mais qu'est ce que je fais ici....?

Invité

Je regardais avec gravité les portes qui me paraissait immenses. Pourquoi donc étais-je ici, après tout ce que j'avais fait n'était pas si grave. Je me retournais brusquement les rudes mains des hommes qui m'avaient ammené ici me faisaient mal. Elles m'insuportaient et leurs regards narquois ne me plaisaient pas du tout. Je savias que l'endroit ou j'allais désormais vivre n'était pas une prison normale, si j'avais échappé à la peine capitale, ce ne devait pas être par simple pitié de mon incorigible innocence...non j'avais vu les regards des gens au sortir du tribunal....mes amis terrifiés, me regardaient avec ces adieux silencieux que l'on adresse aux morts ou aux disparus...et pourtant je vivais...il y avait aussi ceux qui me regardaient avec cet air sadique des victimes face à la souffrance de leur bourreau. Oui je le préssentais avec amertume, ma vie qui en y repensant n'avait étée que peine et desillusion, c'était sa fin qui sonnait si clairement comme les cloches un matin d'hiver.

Je serais avec d'autres qui avaient tué eux aussi, que savaient ils de la peine que je ressentais, tout mon être qui me hurlait que j'aurais dû mourir pour épargner au monde la peine de me voir vivre en son sein. Je fermais les yeux aussi fort que possible je secouais la tête...forte...oui il me faudrais l'être pour survivre. Peut être pourrais je jouer? Je m'étais tant ennuyée pendant le temps qu'avait pris ma condamnation. Mais nan! Il ne fallait pas que je pense au bonheur, il n'avait plus sa place dans ma vie. Le sang me manquais j'essayais de ne pas ma l'avouer mais la pression était trop forte, mon esprit se brouilla je voyait la prison comme un gigantesque parc d'attraction...

Je secouais la tête chassant mes mauvaises pensées. Je soupirais, c'était définitif j'était irrécupérable. Même ma naïveté m'apparaissait dans sa terrible immensité, j'avais même espéré trouver des gens qui me comprendraient...Après tout paut être ce but n'était pas totalement inatégnable. Je regardais la prison avec nostalgie.

Mon coeur se serra, ma vie allait changer il ne me manquais pour ca que de faire quelque metres, alors ce serrais certain, mon histoire serais derrière moi, éloignée pour toujours par ces grilles...

Invité

J'eu la chance de m'enfuir une fois, pourquoi n'y arriverais je pas de nouveau ? Personne ne peut m'arreter et me retenir contre ma volonté, non, cela est impossible, je suis une tornade, un tsunami, un tremblement de terre, un incendie, je suis un caprice de la nature, dangereux et incontrolable, alors pourquoi, dites moi, comment cela se fait il que je me retrouve ici ? J'aimerais comprendre, je ne suis pas bete, loin de la, j'ai mené une vie à la dure, c'est grace a la pointe de mon sabre que je continue a vivre, encore et encore, et voici que ce dernier m'abandonne. Non, je ne puis le céder, il m'appartient ! Je refuse que quelqu'un d'autre que moi le touche, le tienne, le dégaine ! Saka, aide moi ! Ce sabre est mien, tu me l'as offert, je n'ai pas le droit de le quitter, Saka ! Pourquoi le seul souvenir heureux que j'ai de toi doit mettre ainsi confisqué ? Saka, je, je suis désolée, j'ai échoué, je, je vais mourir si ce sabre est éloigné de moi, non, c'est mon ame, personne ne doit le toucher, rendez le moi !

Dans le chaos de mon esprit, je regardais la grande batisse qui s'étendait devant moi, voici ce qui allait etre ma future demeure, je ne l'aimais deja pas, rien qu'a l'observer, je comprenais que ce n'etait pas mon chez moi, je n'avais jamais trouvé ma maison, je n'avais jamais pu dire, je suis rentrée en le pensant reellement, mais la, je vis tout espoir me quitter. Je m'etais fait prendre, je meritais l'emprisonnement, je le savais parfaitement, mais je ne pouvais me resoudre a rester enfermée ici, je n'avais pas le droit de sejourner derriere des barreaux, il me fallait continuer ces meutres, il me fallait trouver le repos de mon ame, de mon corps mais avant tout, je devais reinstaurer le sabre dans la vie de tous les jours et si je n'etais pas libre d'agir, alors je n'accomplirais jamais ma mission que ma soeur avait temps voulu voir realiser.
Saka, il me faudra fuir a nouveau, et la force, l'aurais je ? Cette prison est bien reputee, difficile sont les évasions, bien sur, j'ai réussis une fois alors que j'étais sous drogue, à m'enfuir d'un asile, mais ce n'est pas pareil, c'est encore mieux garder ici, non ?
J'ai appris que la cheftaine était dangereuse et que son fouet s'il claquait sous votre chair, vous l'arrachait, si cela était vrai, mon dos, mon corps sera à sang......
Saka, je n'éprouve aucune peur, et je vais relever ce défis, je sortirais de cette prison très vite.

Cet homme, pourquoi tient il mon sabre ? Comment ose-t-il ? Je dois à tout prit le punir ! Malheureusement ces liens me retiennent, je ne puis bouger tellement ils sont serrés, un humain normalement constitué pourrait il respirer avec tout cela ? J'en doute, déjà que j'ai l'imprésion de ne pas y arriver moi meme, ou peut etreest ce a cause de ma cote brisée ? Cela est très problable.

Je ne suis pas une enfant, je ne me plaindrais pas, je n'implorerais pas, j'entrerais dans ce lieu la tete haute, et j'en ressortirais le sourire aux levres, narguant les personnes qui croyaient pouvoir m'arreter !....Enfin, peut etre, tout ce que je veux pour l'instant c'est mon sabre. Me le rendront ils, si je leur demandais gentiment ? Je le veux, il me manque deja. Ma vue se brouille, j'aimerais un peu discuter avec le policier qui me battu quelques jours auparavant dans la foret, je suis certaine que lui me comprendrait un peu, car bien que nos voie soient opposées, nous avions tout de meme un lien, le sabre. Je ne sais pas, je verrais, une fois a l'interieur.....

Voici, mon enfer terrestre qui ouvre ces portes.....

Invité

Je regardais le monde qui devait être bientôt le mien. Pourquoi étais je ici avec tous ces gens, qui était tous des criminels, on me reprochait d'avoir joué c'étais injuste. Je sentais la colère monter en moi. Je ne comprenais pas à vrai dire pourquoi je devrais être ici. Un vague sourire rêveur passa sur mon visage, toujours le même quand j'avait une idée. Peut être après tout avais je été envoyée ici parcequ'il y avait des jouets juste pour moi. Je regardais tout autour de moi, du moins, autant que me le permettait les lourdes chaines qui m'enserraient. J'aurais été cannibale que l'on ne m'aurait pas autant enchainée. Je riais cela me rappellais un vieu film que j'avias vu à propos d'un canibal...bref passons....n'empêche ce n'était pas une si mauvaise idée....peut être que si je mordais mon gardien....ho pas beaucoup...juste une petite morsure sur le bras...rien de bien méchant.....Je me mordais la lèvre inférieure, il faudrait que j'essaye un jour. Mais pour le moment mieux valait me tenir à carreau... Je laissais mon regard trainer sur les alentours.
*tients??!!*
Je n'avais pas remarqué la présence d'une autre jeune fille...qu'est ce qu'elle avait bien pu faire elle pour être ici....je n'avais pas envie de jouer avec elle, elle avait l'air gentille, pas pour le commun des mortels, mais je trouvais qu'elle avait au fond d'elle quelque chose de grand, pas comme tout ces êtres insignifiants. Elle s'approchait...non en fait gentille n'était pas le mot exact....en véritée elle avait l'air...grande...c'est ca grande, elle n'était pas destinée à rester entre quatres murs tout les restant de sa vie. D'ailleur je n'avais pas envie de rester longtemps enfermée...je savais que j'aurais trop envie de jouer.
Je lui fi un immense sourire rayonnant, celui que je faisais quand j'étais heureuse...car au fond j'étais heureuse, j'avais trouvé quelqu'un qui m'interessait à peine arrivée...Je n'avais pas vraiment conscience que mon sourire et mon visage rayonnant faisaient un peu tache dans le décors!Quelle importance?! Elle était maintenant à porté de voix.

"Salut!!Ca va?"

Il est vrai que j'avais toujours été décalée, mais me rendis compte, après avoir dit ma phrase qu'elle n'était pas vraiment apropriée au cadre d'une prison...mais tant pis...j'attendais de voir la réaction de l'autre jeune fille.

Invité

Plongée dans l'abime de mes pensées, mon regard perdu dans le lointain guettait le sabre qui m'était oté. Je ne bougeais qu'à petit pas, dépourvu de sens, pourquoi avancais je vers ce lieu alors que l'envie m'en manquait ? Je ne comprennais pas, mon esprit ne semblait pas vouloir réfléchir à ces questions qui lui semblaient futiles, il me disait doucement dans un souffle rassurant que je ne devais pas m'en faire, ma vie me reviendrait et ce lieu s'effondrerait, je voulais le croire, je savais que personne ne pouvait me retenir dans un lieu contre mon gré, je suis une enfant qui ait grandit d'elle meme, telle une rose, belle mais dangereuse j'ai accru dans ce monde sans me faire aucun soucis sur mon futur, il était déjà traccé, j'étais partis pour rentrer dans l'histoire, mais il fallu que des gens s'interposent.
Moi, Ayumi, je ne serais pas un animal en cage, personne ne pourra oter l'animosité qui m'anime, personne ne pourra dompter le félin qui en moi est tapis et attendant vaillament que son heure arrive pour bondir sur sa proie, je suis, la créature que le monde entier doit craindre et respecter, je suis au comble de la terreur, le régne d'un régime totalitaire sera mis en place sous mon pouvoir, sous ma force, sous ma domination, non, je ne suis pas arrogante, audacieuse, je suis réaliste ! Moi, la fille du diable et de la mort, moi qui suis née dans le sang, je détruirais la race inférieure qu'est l'humanité, je la réduirais à l'esclavage !
Un jour......peut etre.

Devant la grande porte j'attendais qu'un personnel daigne venir m'accueillir, ma respiration commencait a se faire difficile, bien sur mon entourage ne le remarquait pas, et de toute facon cela ne l'aurait sans doute pas plus allarmer qu'à présent. Soudain, j'entendis une voix féminine et enjouée sonner à mon oreille, qui cela pouvait il etre ? Je ne connaissais personne ici, ou peut etre connaissais je quelqu'un sans le savoir ? Je ne savais plus, j'étais un peu perdue, enchainée et mourrante à petit feu, je cherchais spirituellement à me débattre. Je me retourna de trois quarts, la, sur ma droite, une personne se trouvait, enchainée elle aussi, un sourire aux lèvres, elle était radieuse, mais je ne comprennais pas cette air ravie, elle ne semblait pas comprendre que la prison dans laquelle elle entrain était la plus renommée du pays, de l'Europe, peut etre meme du monde.
Je l'observais avec attention, que dire, peut etre comme elle pensait elle pouvoir s'enfuir quelques temps après y etre pénétrer ? Je n'en savais rien. Elle me posa une question, je ne sus que répondre, dire que j'allais bien était peu etre exagérer, mais dire que j'allais mal serait donner un sujet de moqueries à mes géoliers, moi, la renommée Ayumi aux mains sanglantes allait mal parce qu'elle entrain dans une prison, non, cela ne le faisait pas, alors j'affirmai de ma voix de glace avec ces quelques mots :[/i]

- Jamais la vie me semblait plus belle, je crus l'accès de cette prison difficile, mais il semblerait que tous peuvent y pénétrer comme bon lui plait, sans doute la sortie en est elle plus simple.

[i]Je lui souris, du moins, il me semblait qu'un sourire se dessinait sur mes lèvres, mais peut etre n'était ce qu'une grimace, je ne sais, après tout, les amabilités et moi, c'était un autre monde.

- Et vous, comment vous portez vous ?

Invité

J'étais un peu perturbée par la grimace de l'autre jeune fille. Que pouvais elle bien signifier? Je continuais à lui sourire, alors elle aussi n'étais pas déprimée!!Tant mieux, je me sentais moin seule.
"Tout à fait si il suffit de tuer pour y rentrer tout le monde en est capable. Dommage qu'elle ne soit pas plus belle, on serais presque contente d'y rentrer!!"
Je la regardais d'un air amusé. Pourquoi avait elle l'air si malheureuse si elle allais bien?Décidement le comportement du genre humain resterais à jamais un mystère pour moi.
"oui je vais bien! merci!J'espère juste qu'il n'y aura personne de méchant ici!!"
A vrai dire je n'avais vraiment saisi la différence entre bien et mal. Cela m'avait toujours un peu dépassé et puis ça ne devait pas avoir tant d'importance que ca. Je me rapprochais un peu de l'autre future détenue mais la main du garde m'arretta.
"ho ca va j'vais manger personne"
Il ne m'en laissa pas moins l'approcher.
"Bon et bien je crois que nous sommes detinées à nous parler à distance. On peut savoir quel est votre nom??"
Je me demandais quel genre de personnes pouvait bien vivre dans cette prison.

[désolée manque cruel d'inspiration...^^"]

Invité

Hj : aucun probleme ma belle

Le sourire, la bonté, la joie de cette personne m'agacait, je ne comprenais cette joie de vivre alors qu'elle était condamnée comme moi à etre la victime d'une directrice tyranique. D'ailleurs je me demandais comme cela était possible qu'une sadique dirige une prison, mais après réflexion je m'étais dis que c'était une personne qui avait tout réussis et tout compris dans sa vie. Elle pouvait exercer sa passion de la souffrance librement sans que personne ne lui reproche quoi que ce soit. La chance....C'était une personne qui avait bien mené sa vie.
Je regardais avec attention la personne qui me faisait face, je m'approchais doucement d'elle, les gardes tentèrent de m'en empecher, mon regard les disuadèrent. Je m'avancais mais je restais tout de meme à quelques pas d'elle. Je n'aimais pas etre proche des inconnues, déjà que je ne supportais pas la présence des gardes, enfin je n'avais pas le choix, il me fallait y consentir.

- Avant de réclamer le nom d'une personne, il faut se présenter avant. Quand aux personnes méchantes comme vous le dites, il n'y a que cela, sauf peut etre quelques innocents, mais dans un établissement pareil, personne ne le reste bien longtemps.

Je regardais le ciel au dessus de moi, magnifique et d'une noirceur sans pareil, je soupirais légèrement, peut etre que mes paroles fusionnées à ma voix de glace étaient un peu rude envers cette étrangère mais je ne m'en excuserais pas, j'avais toujours été ainsi et jamais je ne changerais, meme sous la torture, je ne me plierais jamais a la douceur, etre une créme, douce et octueuse ce n'étais pas moi, et si j'agissais comme telle c'est que je jouais un jeu bien particulier.
J'étais à quelques pas de la personne, les genoux fléchient, les gardes avaient la main sur leurs armes, ils doutaient du comportement et des actions que j'allais faire.

Invité

J'étais un peu surprise de sa réaction mais elle avait raison j'aurais du me présenter.

"ho désolée! Je me nomme Yuko. Mais je ne suis pas sure de bien être clair quand je dis 'méchante'...vous, vous ne l'êtes pas...enfin je ne pas vraiment l'espliquer...je ne crois pas que vous soyez destinée à payer dans cette prison pour des crimes dont on vous dit coupable. Ceux qui sont méchant ont une âme minuscule...ils méritent eux de rester enfermer. Moi je ne suis pas méchante....tout comme vous....on enferme pas une panthère parcequ'elle à tué une gazelle."

Je ne sais pas si j'avais été claire, j'avais toujours eu cette manière de parler ou de penser, hachée sans vraiment de suite logique. Peut être était elle triste parcequ'elle doutait que son âme puisse jamais sortir de cette prison. J'étais destinée à être une incomprise, mais cela n'avais pas grande importance.

*J'espère que je pourrais peindre quand je serrais dans la prison....*

L'envie de mordre le garde se fesait de plus en plus forte....j'étais persuadée que cela me détendrait...mais d'un autre côté je craignais d'agraver mon cas au sein de la prison.

*Je me demande si dans le code pénal 'coups et blessures' ca comprend aussi morsure*

Je ne pus empécher un sourire carnassier de se dessiner sur mon visage, je l'étouffais bien vite, mais il n'échappa pas à mes gardiens qui resserèrent un peu plus leur emprise.

"Ca va!!j'ai dis que j'allais pas vous manger, pas besoin de panique comme ca!!Et puis quand est ce qu'on nous fait entrer?"

Moi voix restait comme toujours douce et enjouée, mais le tont laissait laregement planer la menace, ils savaient ce que j'avais fait et n'étaient pas spécialement réjouis de devoir ici attendre avec moi que quelqu'un daigne nous ouvrir.

Invité

Suis je épuissée ? Je ne comprenais pas les paroles de la personne, c'était étrange, j'avais la sensation de comprendre ce qu'elle voulait dire, mais je n'avais pas l'impression de tout comprendre, c'était un peu au milieux des deux, je voulais savoir, sans le vouloir, en fait, je ne savais plus ce que je désirais. La fatigue m'emportait petit à petit, voila plus d'une semaine que je n'avais dormis plus d'une heure par jour, j'étais un peu à bout, il me fallait du repos.

- Je suis Ayumi, je ne sais pas ce que vous attendez d'une prison, peut etre est ce un terrain de jeu, enfin pour moi s'en sera un.

La gamine que j'étais esquissa un sourire, j'avais hate de m'amuser un peu avec les autres détenus, j'étais une enfant, je voulais jouer, m'amuser a les torturer, cela me plaisiat d'avance. Enfin, il me fallait d'abord pouvoir entrer dans cette batisse.

- Je ne sais pas, lorsque nous serons mortes peut etre. Oye, les gardiens, ouvrez donc cette porte et conduisez nous a notre cellule, immediatement !

Les gardiens froncerent leurs sourcils, quelle etrange creature avaient ils entre leurs mains ? Pourquoi etaient elles si pressees de rentrer en prison ? C'etait vraiment etrange, elles avaient l'air bien spéciales ces deux la, deux tarrés dans cette batisse, cela promettait.

Invité

"et bien Ayumi enchantée!!A vrai dire je suis sure que je pourrais jouer...Tu comprends.....ils ne me laissent pas jouer dehors....j'ai joué une fois vraiment et ils m'envoient en prison....vraiment pas drôle du tout....Mais je suis sure que l'on va pouvoir bien s'amuser...tu ne crois pas?"

Elle riait elle avait enfin trouvé quelqu'un qui n'avait pas peur de la prison. Pourquoi en avoir peur d'ailleurs, les coups, la souffrance, on pouvait les rencontrer partout ailleurs. Elle soupira, qu'est ce qu'elle était lourdes ces chaines, j'avais une folle envie de les enlever, peut être qu'alors je pourrais donner libre cour à ma nouvelle lubie:mordre mes gardiens, je sentais que cela devait être amusant.
J'avais une forte envie de rentrer moi aussi, rester comme ca en attente ne me disait rien qui vaille. Aussi je parlais à mon tour aux gardiens en écho à ce qu'avait dit ayumi.

"Oui laissez nous rentrer maitenant qu'on est là de toute façon autant aller au bout nan? Je suis sure que vous avez mieux à faire que de ovus occuper des deux détenues. Vos femmes doivent vous attendre....allez soyez pas comme ca....je veux rentrer moi!!"

Elle regarda Ayumi d'un regard qui voulait dire 'pfff ya rien a faire avec eux'.

"Dit Ayuyu (je peux t'appeller Ayuyu?!) qu'est ce qu'on fait?"

Voilà quelques temps que je me trouvais adossée derrière les portes de la prison à écouter la rencontre entre ces deux détenus leur dossier en main je tentai de discerner qui était Ayumi et laquelle était Yuko. Chose aisée lorsqu'on passe son temps près de bagnards l'on entend leur façon de parler et de raisonner. A vrai dire j'étais appuyée contre cette porte depuis leur arrivées mais pourquoi ne pas les faire mariner un peu ? Et puis j'ai pu entendre leur rencontre et cela m'a beaucoup plue dois je dire. Bon plue est un bien grand mot ce qui me plait c'est d'entendre les grésillements de la chaise, la sensation du levier froid dans ma main....Oh ouiiiii !! Cela ça me plaisait vraiment !!
Enfin bref, refoulant mes envies bien souvent refoulées par le désir de ma très chere soeur, je me décida enfin à faire entrer ces jeunes demoiselles. La grande porte s'ouvrit lentement, mon corps fit face aux nouvelles arrivantes mais mon regard finissait de lire les dossiers plus que passionnant.. Finalement leva légèrement ma main gauche, les deux pochettes réunies en celle ci je les ragarda avec un sourire narquois.

" Et bien et bien, que de belles histoires !!"

Passant mes mains derrière mon dos je regardais ces jeunes personnes...décidément les crimes commençent tôt. Les gardes étaient quelque peu rassurer de me voir, il est vrai que ce genre de demoiselles avaient le caractère bien trempé. Mon regard gris se posa sur celle qui souriait et qui avait l'air ravie d'être ici.

" J'imagine que c'est vous Yuko. Ne vous en faites pas la prison est grande, un immense terrain de jeux ! Mais il y a plusieurs échelons, vous serez surement l'un des rats qui écrase les petites souries pour s'amuser. Mais souvenez vous qu'au pays des souries et des rats il y a toujours un gros vilain chat !"

J'avais bien aimé son expliquation sur la panthère qui mange une gazelle...si elle ne pouvait comprendre que comme cela elle était servie. Maintenant je regardais la seconde, différente, faible apparemment. Comment ce qui apparaissait à première vu comme une loque pouvait avoir un dossier aussi épais ? Regardant le sabre que tenait l'un des garde j'hocha très légèrement la tête. Celui ci s'empressa se pénétrer dans la prison, il savait ce qu'il devait en faire.

" Et donc voici cette Ayumi, la sanglante Ayumi qui m'a offert une bien belle lecture. Ainsi donc vous avez hate d'entrer en ces lieux...."

Le rire de mes employés se firent entendre, ils savaient que la chaise était toujours bien entretenue ainsi que les fours crématoires et tout le reste également...sauf les prisonniers elle devait l'avouer. Mais à cela Nett apportait toujours un peu de douceur.

" Vous voir jouer dans la cour de Sadismus sera une bien bonne distraction j'espère. Si cela traine trop je ne me gènerai guère pour venir mettre un peu de piments dans vos jeux entre détenus."

Invité

Mon regard se posa sur la lourde porte qui me séparait de la cours de la prison, j'avais la terrible impression qu'une personne était la depuis le départ, mais jusqu'à la je n'y avais pas preter attention. Je tournais ma tete, posant mon regard ailleurs, sur une autre personne, un autre objet, mon sabre. Plongée dans mes pensées je ne pretait qu'à demi attention aux paroles de la jeune fille, je ne réagis pas du tout à ce qu'elle venait de dire, apparemment elle voulait me rebatisser, je n'aimais pas du tout le surnom qu'elle voulait me donner, j'avais l'impression que mon image était réduite à néant, comme si j'étais une gentille peluche toute innocente, qui n'avait pas l'air du tout d'un tueur à gage psychopathe atteinds de folie, si je l'avais entendu me dire si elle pouvait me nommer ainsi j'aurais sans doute refusé immédiatement en la menacant de mort, mais je n'avais percu qu'un faible bourdonement à mon oreille. C'est pourquoi je ne jugea pas utilise de répondre quoi que ce soit. De toute facon, le temps ne m'en fut pas laissé car la porte s'ouvrit. Je vis une jeune femme apparaitre, il semblerait que ce fusse la directrice de l'établissement, le doute ne m'en fut pas laissé lorsque je ressentis le soulagement des personnes qui me gardaient ainsi que le fait qu'elle tenait des dossiers dans une main, je compris plus tard que c'était le mien et celui de Yuko.
Je l'écoutais avec une pseudo attention, mon sabre s'en alla en courant vers le batiment, je fis un léger mouvement pour aller le chercher, mais les chaines me rappelèrent à l'ordre. Je reviens soudain a la réalité, mon regarda se posa alors sur la personne qui venait d'arriver, je l'observais avec une attention digne de moi meme, et lorsque je l'eu épié de la tete aux pieds, je plongeai mes yeux dans les siens. Aucun mot ne franchit mes lèvres, je n'avais rien à lui dire, il semblait qu'elle savait tout de moi, mais que pouvait elle savoir ? Personne ne savait ce qui était arrivé de ma vrai famille ainsi que celle de ma famille adoptive, peut etre savait elle tout le reste ? Je n'en savais rien, et à dire vrai, je ne me faisais pas trop de soucis. Pourquoi devait je me prendre la tete pour quelques informations que pouvait posseder cette personne ? De toute facon elle ne pouvait pas connaitre mon passé ni mon point faible, car personne ne le connaissait, moi meme, des fois je m'en posais la question.

J'avais toujours du mal à respirer, mais je ne m'en faisais pas, si cette personne m'approchait, je trouverais un moyen pour la tuer, mieux valait qu'elle se tienne loin de moi, peut etre avait elle tous les pouvoirs, mais elle n'avait pas mon esprit, enfin elle avait mon ame tout de meme....Peut etre devais je m'inquiété, mais je n'en avais pas envie. Je défiais de mes deuxyeux cette personne.

Aucunes des deux ne dédaigna répondre, même Yuko qui depuis son arrivée ne cessait de parler. Je regardais vaguement ces deux jeunes personnes, voyant le mouvement d'Ayumi vers son sabre, je pus sans le vouloir ressentir l'état dans lequel elle était....foutue empathie ! Je ne voulais pas compatir ou ressentir un pincement au coeur avec ces personnes séjournant dans mes cellules, les jours de fatigue lorsque cela m'arrive je me maudis. Nett me dit que c'est normal de ressentir de la compassion, à chaque fois je lui répond que je n'en ai aucune....si seulement elle pouvait en ressentir moins elle !!
Mon regard croisa celui de la jeune femme qui me défiait du sien. Je n'en fus nullement offensée ne prenant pas cet air pour moi, si je devais répondre à toutes les insultes et les menaces aucuns détenu n'aurait eu le temps de parvenir à la chaise faute d'avoir perdu la vie devant les portes de Sadismus. Pour cette raison je répondis à ce regard avec un petit sourire

" Lorsque nos mains n'ont plus d'arme à porter, la seule arme qui nous reste est le regard. Les yeux sont le reflet de l'âme et quelle belle âme noire vous possédez là."

Soupirant en haussant les épaules j'élevai un peu la voix pour m'adresser aux deux. Je brandit les dossiers en les jetant derrière moi, évidemment l'un des gardes le ramassa pour débarrasser le passage et entretenir la propreté de la prison.

" Voilà, votre passé est comme ces dossiers : derrière vous comme eux sont passés derrière moi. Je ne connais que ce que l'on m'a montré dans ces dossiers mais je ne connais rien dans les détails et ne souhaite rien en connaître. Lorsque vous aurez franchit ces portes tout sera derrière vous, ici il n'y a qu'un éventuel avenir, éventuel car la chaise et les fours sont toujours là pour y mettre un terme. Sur ce mesdemoiselles ces messieurs vont vous conduire dans votre nouvelle demeure. Bienvenu à Sadismus !"

J'avais dit cela en écartant les bras afin d'attirer l'attention sur la grande bâtisse qui apparaissait maintenant à leur vue grâce à l'ouverture des portes. Je m'inclina légèrement

" Au plaisir de vous revoir"

Je fis volte face pour me diriger vers ces locaux que j'aimais tant, vers mon bureau où m'attendait forcément les dossiers des futurs arrivants.

Invité

Mon ame etait plus dévastatrice et plus sombre encore que pouvait le concevoir cette personne, mais je savais qu'a cette instant je n'etais pas celle qui dominait l'autre, j'etais la proie, la victime, le jouet entre les mains ravissantes de cette beauté. Elle possedait ma vie, au son de sa voix la mort pouvait réagir et m'emporter, pourtant, ce n'était pas la crainte qui m'animait, loin de la, mais je savais que si je voulais un jour revoir mon sabre, cette personne etait sans doute la seule qui pouvait me le permettre. J'etais comme vouée a une sorte de soumission et cela faisait bouillir mon sang de rage, je n'aimais pas cette sensation de n'etre en controle totale de ma personne, cette personne avait le pouvoir sur moi et ce qui etait le plus agacant, c'était que je le savais parfaitement.

J'entends mon coeurs battre, mes muscles me titillent, oui, je sais, mon corps tout entier veut se jeter sur cette personne. L'envie de lui arracher les yeux, la langue, les oreilles, de lui trancher la gorge a petit coup de griffes jusqu'à ce qu'enfin je la décapite, cette soif de gouter a son sang maudit, je n'arrivais que difficilement a y resister, que devais je faire ? Pourquoi ne pas la saisir, l'etaler au sol et lui demander de me rendre mon sabre ? Tout simplement parce que je n'etais pas en position de force, les gardes tout autours de moi et de Yuko, guettaient nos moindres gestes, si je bondissais sur leur maitresse, il etait certains que j'allais au dela de la mort, et bien que je n'avais pas peur de quitter cette terre, l'envie de respirer encore quelques temps pesait sur mes epaules. Je me devais donc d'etre un gentil toutou en attendant de revoir mon tres cher sabre. Je sentais que cela n'allait pas etre de tout repos.

Doucement j'entrais dans ce qui se presentait sous mes yeux comme une nouvelle demeure, un coin, ou j'allais etre loger et nourrit pendant un certain lapse de temps, avant mon evasion ou bien mon execution. Je n'avais aucune crainte, je sortirais, la tete haute ou les pieds devant, enfin c'est ce que je croyais....

Invité

Je regardais la femme qui me faisait face avec cet air étonné que j'avais si souvent, comme les enfant incrédules devant le monde insensé des adultes. Elle avait une beauté effrayante, elle avait l'air presque heureuse du future qui nous attendait moi et Ayumi à vrai dire moi aussi j'étais plutôt heureuse, pourquoi me serais je inquiété? J'allais enfin rencontrer des gens qui n'avait pas peur de moi! Sans m'en rendre compte j'avais gardé le silence. Mais je ne ressentais pas la colère que semblait éprouver Ayuyu peut être n'aimait elle pas son surnom? En tout cas elle n'avait rein dit et moi il me plaisait, je le garderais donc. Je voulais mettre mes mains dans mes poches,mais une évidence se présenta à moi, non seulement mes poignets étaient plus que solidement liés, mais de plus ma tenue de détenue ne comportait pas de poches. Je soupirais, le sang commencait a couler le long de mes mains ankylosées. J'aurais vraiment aimé m'étirer, combien de temps cela faisait il que j'étais ainsi attachée. J'avais la désagréable sensation de ressembler à un roti, ce n'étais pas réellement la plus grande de mes ambitions.
Mon regardse posa sur l'immense bâtisse, elle ne semblait pas vraiment être accueillante mais cela m'importait peu,jusqu'ici j'avais toujours su vivre ou j'avais étéée aménée à le faire, j'espérais que j'arriverais à vivre ici sans que maclaustrophobie ne se fasse trop insuportable, peut être alors serais je obligé dem'enfuir d'ici. Fuir...a vrai dire bien que cel apuissa paraitre étrange ce n'était pas ma priorité. Je ne le ferrais que si je m'ennuyais trop. Je baillais, il était vraiment temps de rentrer.

"Donc c'est ca notre nouvelle maison?!"

J'avais parler sans trop savoir si je m'adressais ou non aux autres, ou bien si c'étais à moi que ces paroles étaient destinées. Etais je ne train de me convaincre, ma esprit toujours embrouillé mais qui se revelait de plus en plus chaotique. Cette âme malade qui regretablement se trouvait être la mienne se perdait en visions psychédéliques et en images insensées. Tout être normalement constitué aurait été constitué aurait été effrayé. Mais comme toujours j'arborais un sourire énigmatique et amusé, oui je crois que j'allais bien me plaire ici!

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