Sadismus Jail
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Sadismus Jail

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 Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. )

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Moxie Flanagan
454215 Mister self destruct
Moxie Flanagan


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MessageSujet: Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. )   Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. ) Icon_minitimeSam 21 Juin - 9:59

[ Toujours cette alternance italique = Moxie et rien = Charity. (Cha' dit en tout trois phrase, saurez vous les retrouver ?)]

Elle se met à hurler, je sursaute, elle avait épongé le sang de l'autre connard qu'était vraiment partit dans les vapes à cause de la douleur, puis là elle hurle partout. Je me replie dans un coin de la pièce, les bras serré autour de mon corps, essayant d'éviter le coup qui ne viendra pas. Craintif ? Ouais un peu, surtout quand il s'agit d'une folle qui hurle des trucs incompréhensibles à plein poumons. J'ai pu constater cette lente montée en puissance de la folie, cette panique qui est aparue sur son visage, ses doigts qui se sont égarés sur elle, essayant d'identifier je ne sais quoi sur sa tête. Jamais une femme ne m'est aparue aussi hideuse. Je n'aime pas lire ce genre de choses dans les yeux des gens, cela me fait peur, affreusement. Vas t'en.

Je n'arrive plus à penser.

Et l'autre, le vieux, il doit être aveuglé par son nez. Déjà qu'il était pas beau à la base, alors là, avec son nez qu'on à l'impression qu'un mec l'a ouvert au couteau de boucher puis tordu dans tout les sens, c'est vraiment, vraiment pas esthétique. Vous me trouvez cruel dans mes jugements ? Il a cassé la gueule à mon père, que je voyais pour la première fois. Okay, c'est moi qui ai commencé à taper, vieux reflexe con. Enfin pas vraiment reflexe, j'ai eu peur, voilà. Et arrêtes de gueuler pauvre conne ! Je veux plus vous voir ! Vous m'avez abandonné ! Vous m'avez tous abandonné !

J'ai mal.

Je tourne le dos à la scène, allez crever. Vous m'avez toujours considèrer comme un petit animal domestique gênant, vous avez oublié mon nom, vous avez tué ma maman. Tout les deux vous ètes coupable, le vieux comme la moche. C'est de votre faute, tout ce qui m'est arrivé.

J'ai trouvé ceux qui devait purger ma peine à ma place.

Vous vous pisser dessus à cause de vos regrets, mais à aucun moment vous ne m'avez pris en considération. Si seulement vous m'aviez accorder un peu de temps et de tendresse, tout aurait été différent. Mais non, vous n'avez pas voulu. Ca vous coutait trop hein ? Bande de connards, tellement occupé avec vos « Marc » et vos chats. C'est pas pitoyable de s'acrocher à des souvenirs comme ça ? Rester tellement acroché à une rupture, c'est nul tata. C'est fini, ouais ok c'est tout caca, mais faut passer à autre chose, chercher quelqu'un d'autre et se faire trouer le cul avec un nouvel enthousiasme, c'est ça la vie. Je fouille le corps du vieux, ses poches, et je tombe sur son paquet de cigarette. Parfait, c'est à moi ça maintenant. J'en allume une, je tire un peu dessus. Je reigne sur un royaume de blessés et de fous, et je suis entièrement satisfait de mon royaume. Je les hais, ils ont tout ce que je n'ai pas, la liberté, une vie, un passé, de l'affection. Moi, depuis que ma mère est morte, je n'ai plus rien de tout cela.
Pourquoi vous ne l'avez pas sauvé ? Vous auriez pu pourtant, vous étiez là. Moi pas, je pouvais même pas lui téléphoner ou lui écrire. Pourquoi vous n'avez rien fait ?! Et pourquoi vous ètes là maintenant, sur un carrelage froid ? Je me penche sur mon oncle, si serviable de m'avoir « donner » ses cigarettes. Il se tient le nez et ne bouge pratiquement pas. Jamais rien vu d'aussi moche.

- Charity...Hors de question de lui donner un titre qui le ferait apartenir à ma famille.Tu saignes... Il faut désinfecter les plaies... Malheureusement je n'ai pas de droit à l'alcool depuis que je suis ici... Je vais faire avec les moyens du bord.

Devinez qui a fini avec une cigarette collée à son dos ? ... Bravo, vous devinez bien. Je retourne la clope pour qu'elle fasse une brûlure plus grande, une odeur de chair brulée envahie l'air. Vous voulez la description auditive aussi ? Ben là, on joue dans le domaine des grand décibels. Je pensais pas qu'une voix aussi grave pouvais poussé autant. Comment dire ? Des griffes qui auraient déchirés l'intérieur de sa gorge pour donner cette consonance de voix d'enfant atteind de bronchite à ses cris. Ma cigarette est éteinde, je la décolle de son dos avec des bouts de chair qui reste, elle est un peu tordu, j'y suis aller fort.

Je la rallume, et je la fume.

Je m'assois sur Charity, qui est allongé sur le coté contre le mur, je n'ai jamais aussi bien dominé un mec de vingt centimètres de plus que moi. Enfin normal aussi, il s'est bien fait amoché en se battant pour sa soeur et moi... Normalement, je n'aurais même pas réussi à lui prendre une cigarette, mais là, ce fut vraiment une chance que del ui avoir pété accidentellement le nez, et de lui avoir broyer les couilles et tout ça. Je sais, je ne sais pas me battre. Je continue de tirer sur ma clope et...

Ah oui merde, Faith.

- Ecoute sale conne, j'sais pas ce que t'as, mais si tu bouge ton cul, je te fais manger les murs jusqu'à ce que t'en crève t'entends ? J'sais pas qui est Marc, vu que t'as jamais daigné me le présenté, mais je suis intimement convaincu que c'était un connard. Et aveugle en plus, pour se mettre avec un thon comme toi.

Je m'assois en tailleur à coté de Charity, il est évanouie je crois, ou pas en fait. Je ne vois pas son visage en fait parce qu'il y a ses cheveux collés dessus. Je prend les morceaux de mon T-shirt taché de sang, et je lui enfonce dans la bouche.

- Ca, c'est pour maman, tu l'a pas sauvé.

Je prend la cigarette, presque entièrement consummé, et elle fini sur l'intérieur de sa cuisse droite. Mais là, il réagit plus, des gémissements incompréhensibles, sa main qui tente d'agriper mon visage faiblement. Je chasse l'importune d'un geste sex de la main avec un claquement de langue désaprobateur. Ne te débas pas, tu n'y couperas pas.

- Ca, c'est pour mon viol, pour le F, pour l'esclavage.

Première fois que je le dis comme ça, texto. J'allume une autre cigarette, je vais lui faire un « M » en brulure en forme de rond, ça va être fun. Le plus drôle étant que je ne vois pas ses yeux ou même le reste de son visage, à cause de ses cheveux, et que je ne vois que ses doigts qui cherche à éloigner la source de la douleur. Chut chut chut, ne t'inquiète pas, chaque fois que tes mains aproche de moi, je les éloigne, comme celle d'un enfant sans force. Alors que je suis en train de rallumer la cigarette, je suis obligé de lui foutre une baffe tellement il commence à se débattre. Nouveaux pignements. Nouvelle brûlure.

- Ca, c'est parce que tout le monde me considère comme un objet. Comme une...J'appuie un peu plus fort. Chose ! Voir comme un esclave sexuel même. on ne m'aime pas, on me baise. Horrible hein ? Si tu veux tout savoir, c'est la première fois que je pose des mots sur ces choses là, parce qu'on les nomme pudiquement, d'habitude. Mais tu t'en fous....

Puis la, quelqu'un rentre. C'est Rodolphe, il court, il sue, il est énervé. Immonde en somme, je ne peux pas suporter qu'un homme m'aproche. Vas t'en, tu ne peux rien pour moi. Il y a quelque temps, j'aurais tellement parié sur l'issue d'une recontre entren ous, maintenant c'est trp tard. Il se dirige vers ma tante, il ne nous a pas vu, dans l'ombre de la pièce. Il lui tire les cheveux, lui fout une baffe, mais finalement nous vois. Il me pousse d'une revers de la main et enfonce tendrement son flingue dans la bouche de Charity...


Tuez moi... J'ai envie de silence.
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MessageSujet: Re: Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. )   Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. ) Icon_minitimeSam 21 Juin - 10:47

C’est pas mon tour de faire les rondes, j’en suis certain, mais je m’y suis collé quand même parce que l’inaction me ronge littéralement les muscles et les nerfs. Je suis un mec habitué à bouger, à tuer, à se contorsionner, à prendre des risques en somme. La petite vie malgré les apparences bien tranquille d’un maton ne me convient pas du tout, et je suis frustré à m'en frapper la tête contre les murs, me débattre comme un oiseau sauvage fou dans sa cage. Ma ronde se termine très tranquillement chez les prisonniers, absolument rien à signaler, et je me dirige d’un pas peu pressé et volontairement bruyant vers l’aile des employés. Les mains enfoncées dans les poches, mâchonnant un de mes colliers, je suis pensif, j’ai envie de me défouler. Un hurlement me sort brusquement de mes pensées, et je ne mets pas plus d’une seconde à repérer d’où il vient : les salles de bain. Cet endroit me rappelle immanquablement Charity et son sentimentalisme ultra bien caché, et alors que je cours dans les couloirs, mon pas s’est refait parfaitement silencieux.
Il y a un autre type qui a décidé d’y entrer avant moi, et au vu du regard soupçonneux qu’il lance autour de lui, je dirais qu’il sait très bien ce qu’il s’y passe. Froncement de sourcils, il y a très sûrement rien de net qui se trame là-dedans…
Rapide check de mon état de combat : aucune arme, ni blanche ni à longue portée sur moi. J’ai juste mes breloques, ma rapidité, et mes mains – ce qui est largement suffisant, soit dit en passant. J’ouvre la porte d’une dizaine de centimètres, et me glisse très silencieusement dans l’interstice, les yeux posés sur le spectacle apocalyptique qui se déroule dans cette salle de bain. Choc de la réalité des odeurs et des sons écœurants qui me saute au visage.
Il y a une folle furieuse brune que je ne connais pas qui hurle et qui pleure en même temps, tentant de se défaire de l’emprise de l’homme gerbant de sueur et de puanteur qui la gifle. Il y a ce gamin, penché sur un corps malmené, qui continue ce qu’on peut légitimement appeler de la torture, en parlant, et je n’arrive pas à comprendre ce qu’il dit, parce que les hurlements de la fille résonne dans mon esprit un peu sonné.
Rectification, j’ai chopé un mot : Charity.

Je sais que si techniquement je suis un très bon assassin, psychologiquement il en est tout autre chose. Je devrais être insensible, sans aucune prise, sans remords, fort et arrogant. Je ne suis rien de tout ça, il y aura toujours de ces actes qui me font bondir, charger sans trop prendre le temps de réfléchir, juste de quoi assurer ma survie et celle de quelques autres. Pour l’Ordre, je suis ce qu’on appelle un grand sentimental. Ça a sauvé la vie de pas mal de personnes, et aujourd’hui, ça en fait deux de plus.
Silence, ou cet assassin et héros à la fois.
Je mets beaucoup moins de temps que les gens normaux à récupérer d’une surprise, du passage brusque de l’obscurité à la lumière, ou d’une privation de nourriture très longue, ça fait partie de mon entraînement. Je ne reste immobile qu’environ deux secondes, ensuite je me retranche dans l’ombre d’un pas, plissant des yeux de prédateur qui pour les deux agresseurs, ne veulent rien dire de bon.
Je sais pas pourquoi il ne faut pas toucher à Charity, je n’en sais foutrement rien. Par contre, je le sais, y’a une putain de flamme dans mon ventre qui me le hurle, et je suis le genre de mec à suivre ses instincts. « Très dangereux Silence, extrêmement dangereux. » Quand la gueule noire du pistolet s’enfonce dans la bouche de Charity, tout mon corps tendu depuis plusieurs jours se met brutalement en marche, reprenant les mouvements tant de fois appris, tant de fois répétés, parfaitement assimilés, relégués au rang de réflexes. Panoplie de tueur, redoutable efficacité de mouvements léthaux et coordonnés.
Toi, tu vas pas t’en tirer vivant. Mon talon claque sèchement contre le mur pour me donner une forte impulsion, et j’arrive sur le grand type dégueulasse comme un boulet de canon. Je ne réfléchis pas à ce que je fais, les distances s’évaluent automatiquement et très précisément, et la seule chose que je sais quand mon talon s’écrase sur sa nuque, c’est que ça lui a arraché un cri de douleur, et que les os fragiles de la colonne n’ont pas résisté à l’impact de mon pied dessus.
Au flingue, je donne un coup de pied pour l’éloigner, et très franchement, j’en ai rien à foutre qu’il tire ou pas – avec un peu de bol, il ira brûler la cervelle de la fille et on aura la paix sonore. Mais non, le flingue ne tire pas plus que la fille ne se tait, et je fais face à l’apprenti psychopathe légèrement courbé en avant, vaguement menaçant. Il paraît que nous autres, assassins d’élite de l’Ordre, émettons une aura très animale juste avant de charger, et c’est bien possible. Je fais sans doute très peur, mais c’est pas à cause d’un quelconque sourire de psychopathe, d’un regard fou, ou de mains qui tremblent de plaisir par avance. Oh non au contraire. Je suis parfaitement calme, je suis tellement professionnel, je juge si bien comment te tuer le plus rapidement possible en laissant le moins de traces. Je suis tellement à l’aise dans cette situation, tu le sens ?
Tu le sens que mon métier contre-nature, c’est de tuer nos semblables pour des raisons obscures et souvent injustifiées ? Et tu le sens, combien je me fous de savoir que tu as envie de vivre malgré tout, que tu n’es qu’un pauvre gamin qui a été au mauvais moment au mauvais endroit, que tu pourrais peut-être sortir la tête de l’eau ? Si j’avais une once de compassion, peut-être que je te pardonnerai d’avoir fait du mal à Charity, peut-être. Mais la flamme dans mon estomac, elle veut rien entendre tu sais, et je n’ai aucun états d’âme. Alors dis-moi, tu le sens que tu vas crever ? Tu le sens que je suis un mec définitivement hors-catégorie, bien plus paumé que toi ? Tu le sens que c’est parce que tu as touché à Charity que tu vas mourir ?

Et mon collier sur ta gorge, tu le sens dis ?
En tous cas, ce que tu dois sentir, c’est mon souffle beaucoup trop calme pour quelqu’un qui va tuer, c’est mon corps contre le tien, pour bloquer toute possibilité de fuite. Tu tentes de débattre, évidemment, ils font tous ça, alors j’entame un mouvement de cisaillement, qui, je le sais, est très désagréable. Ne bouge pas. Baisse les yeux sur Charity qui nous regarde avec des yeux ronds, fais-lui un sourire ou demande pardon. De toute façon tu vas y passer, tu sais, je suis plutôt têtu, comme garçon.
Charity ne s’attendait certainement pas à ce que l’écervelé qui jouait à Pokémon et qu’il a sauté le jour de son arrivée soit un mec aussi dangereux. Je prends beaucoup de risques, parce que j’ai deux témoins, et que les témoins, ça s’élimine, et plus y’en a, moins c’est facile. Je tuerai la fille après. Les corps je les ferais brûler. Charity, je lui expliquerai, je lui dirai de la boucler, et je le protégerai moi-même.
Mais avant tout ça, il faut en finir avec ce gamin, et je resserre les petites perles en acier du collier sur sa gorge en l’enroulant un nouveau tour sur ma main droite. Et implacablement, je tire, attentif à sa respiration que je suis en train d’arracher à ses poumons, l’air qui s’amenuise. J’ose même pas imaginer la sensation de brûlure que ça doit être – heureusement qu’entre assassins nous avons un certain respect et nous nous tuons très vite, et sans douleur.
Nouveau tour de collier autour de ma main, les perles s’enfoncent dans la chair tendre de sa gorge. Je lui murmure à l’oreille, même pas certain qu’il puisse m’entendre :

« Fallait pas toucher à Charity. »


J’ai parlé assez fort pour que le concerné l’entende aussi. Même si la folle crie toujours, très manifestement en état de choc.
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MessageSujet: Re: Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. )   Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. ) Icon_minitimeSam 21 Juin - 13:25

Bon, déjà, faut que je vous décrives mon champ de vision. Il y a mes cheveux sur la moitié supérieur, et le carrelage en bas, je ne vois que des pieds, des bouts de corps, des mouvements, des choses qui s'écroulent....

Pyth, Pyth, Pyth... Arrêtes, non, je veux pas... Je vais mourir Pyth si tu continues, t'entends ? Je n'arrive plus à respirer, je.... J'ai mal Pyth, j'ai très mal. Quand je t'ai vu arriver, j'ai su que... Quelque chose avait changé. Ton sourire, ta posture. Mais je voulais être comme toi moi ! J'avais presque réussit, et en plus moi, contrairement à toi, je me vengeais sur les bonne personnes. Tu comprends ? Pourquoi tu as tué papa, pourquoi tu es en train de me tuer moi ? Je ne veux pas mourir tu entends ? JE NE VEUX PAS MOURIR ! Je t'en prie Pyth, arrêtes, je t'en prie... Arrêtes de me faire mal, s'il te plaît... Je veux pas je t'ais dis.... Pyth.... PYTH ! Je respire plus ! Je respire plus !
Je me débas pour échapper au mains qui, avec un professionalisme et une maitrise que je n'aurais pas cru chez un maton, tienne une corde. Autour de mon cou. Elle s'enfonce. Je la sens, oui, je la sens bien, ce mouvement de droite à gauche, qui me tue... Oui, qui me tue, je vais mourir. Ne le vois tu pas Pyth ? Je croyais que tu voulais pas que je meurs, j'en étais presque venu à la confiance tu sais ? C'est parce que j'ai fais mal à Charity que tu me punis ? J'avais pas le droit ? Mais j'en pouvais plus tu comprend ?! J'en pouvais plus ! LACHE MOI !!! Aaa-aaah...

...

Je suis sur une plage, loin. C'est une île même, une île minuscule. Vingt mètres de diamètre environ. Que du sable, avec quelques palmiers au milieu. Il ne fais pas trop chaud, une douce brise soufle, et une mer turquoise m'entoure de toute part. Je suis seul, je suis bien, assis là au bord de l'eau. Ma main creuse dans le sable.
Et là, des cheveux rouge caresse ma joue.

...

Oh non.


"Avant de mourir, le cerveau envois des substances endorphiques, ce qui provoque une sensation de bien être et des hallucinations."


Chaque spasmes de son corps provoque des sursauts chez moi, je tremble, et je regarde à travers des mèches de cheveux le sosie de ma soeur subir une strangulation. Il est juste en face de moi, je peux voir l'horreur et la douleur s'afficher sur son visage de façon lisible. Puis finalement, le corps se tend une ultime fois, et s'affaisse. Mort. Il est mort.

- Fallait pas toucher à Charity.

... Qui est ce ? Je ne le distingue pas bien. J'entreprend d'aprocher mes genoux de ma poitrine, comme une forme de protection, mais le tissus coller par les brûlure à ma peau et ma mon sang me refuse cette action. Avec ma main gauche, la droite ayant l'auriculaire pliée dans le mauvais sens, j''enlève ce qui m'empèche moi même de respirer. L'autre gros con avait enfoncer le tissus dans ma gorge en y foutant son flingue. De longs filets de salive et de sang restent collés dessus. J'envois la chose loin de moi. J'ai mal.

Le mec se retourne vers Faith.

Panique.

- BON !! ... C'est ba petit boeur... Ba... Bordel... Fabille.... Touuuuch' pô.

Dis je allongé au milieu de deux cadavres. Ce type...

Silence ?!

Attends, on parle du mec qui jouait à la game boy, qui m'a renversé un seau d'eau sale sur la gueule hein ?! Ben oui, cette voix, ce corps, ce visage. Ben oui, c'est lui. Mais c'est pas le même. Je le reconnais malgré tout, j'suis passé dessus alors ça aide. 'fin bon euh... Silence égal tueur en série méthodique ? Parce qu'il a un putain de professionalisme de bâtard quand même. J'essaye de ramper vers ma petite soeur, je veux pas qu'il la bute. S'il te plaît ?

- FAIBBB !!!|

J'interpèle ma soeur avec force et desespoir. Pourquoi ? Parce que.

J'ai peur.
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MessageSujet: Re: Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. )   Elle est propre.... Enfin. ( Et la pluie lava ses mains. ) Icon_minitime

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