Tout le monde amenez vous! XD

Avec le temps qui nous reste à vivre ici t'as même le temps de me raconter ta vie de ta naissance jusqu'à maintenant...Dis-je avec ironie

Je reste un moment à promener mon regard dans la pièce...Je regarde les gens présent quelques secondes. Je commence à me fatiguer de cette pièce. Et oui...Déjà...Les années ici seront longue...Très longue...

...Mais pour l'instant moi je m'en vais...Aurevoir Clairval...

Je repars...Je dirrigeant vers la porte de sortie...Je jette un dernier coup d'oeil aux gens dans la salle. Je quitte la pièce.

Je fis un léger signe de la main à Jade et jeta un oeil autour de moi. À qui j'allais parler maintenant? Tous semblait SIII occupée à faire autre chose que me parler.

Je soupira et me leva. Me dégourdir les jambes me ferait le plus grand bien. Je détestait rester en place trop longtemps. Il devait encore y avoir des milliers d'endroits à visiter dans ce trou perdu. Évidemment, j'étais ironique. Si ça se trouve, il n'y a que les toilettes que je n'ai jamais visité!... En parlant de toilettes.... Ce serait bien que je les trouve rapidement...

Je sortie de la pièce sans jeter un regard à personne et partie à la recherche des toilettes.

Regardant chaque déplacement des prisonniers je pensai....à quoi ? Je l'ignore, c'était ce genre de moment où on pense sans prendre conscience de tout ce qui nous passe par la tête. La grimace de Clairval j'en prit encore moins conscience, ceci étant le cadet de mes soucis.
Mon regard gris errait parmi eux, blasé qu'ils soient si nombreux....ah! si je pouvais en électrocuter plus d'un !
Je soupire, me tournant vers le gardien je lui adresse un petit sourire

« Je dispose dans mes appartements, si l’on a besoin de moi n’hésitez pas surtout s’il faut punir un prisonnier. Sévissez encore s’il le faut je vous fais confiance pour cela. Bonne journée. »

Regardant une dernière fois Younes je me détourne de la salle, un détenu passe à côté de moi et me bouscule sans trop faire attention. Posant ma main doucement sur son épaule je l’expulse violemment au point qu’il s’écrase dans un fracas quelque peu important sur une table. Lorsque je rejoins mes appartements pour me reposer il est hors de question que l’on stoppe ou gène ma progression. Sans me retourner je passes les portes de la salle commune et m’engouffre dans les couloirs sombres