Tout le monde amenez vous! XD

Je suis au sol et je reprends lentement mon souffle ! Je me reléve doucement en lui disant

"Avait tu seulement une raison de m'agresser ?!"

Une fois debout, je lui pris sa cigarette et je l'écrase sous mon pied en lui disant

"C'est pas interdit de fumer ?!"

Puis je lui colle une belle droite dans le ventre l'envoyant au sol sans souffle et je lui dis

"Tant que c'est pas ton trou sa me convient ! Vois-tu, j'ai encore moins de patience que toi et j'aime visiter de beau endroit !"

Je me releve rapidement, j'avais dépassé le stade de la mattraque, maintenant il allait apprécier mon arme. Je sors mon revolver et je lui pointe sur la tête. Je reprenais mon souffle et je dis:

-Tu verras ... c'est le plus bel endroit sur cette terre!

Je tiens mon arme pointée sur lui et je dis:

-Tu vas me suivre ... Et sans rien tenter ... Tu vas comprendre qu'ici tu n'as plus la situation entre les mains ...

Je le dévisage froidement, je détestais ces maudits prisonniers ... Alors un de moin ne me faisais ni chaud ni froid, mais je doutais que j'irais jusqu'à en tuer un. Sa en viendrait à m'abaisser jusqu'à être comme eux, et je ne supporterais pas une telle chose.

J'attend qui décide de coopérer.

Mon compagnon de cellule a l'air d'un type qui se laisse pas faire. Le genre insoumis qui refuse les règlements. Je ne peux m'empecher d'éprouver de la solidarité envers lui. Il ose tenir tete à ce gardien et je trouve cela courageux mais lorsque cet homme sort son flingue, je sens que les choses risque de dégénérer. Je trouve que ce gardien a exagérer en refusant qu'il fume meme si personnellement je n'aime pas ça. Il devrait y avoir une pièce réservée au fumeurs pour ne pas déranger les autres, tout simplement.
Je ne peux m'empecher de donner mon avis au gardien.

-"Pourquoi vous l'avez embéter comme ça juste pour une cigarette, c'est un peu normal qu'il se soit énervé... on dirait que vous faites tout pour trouver une raison de mettre quelqu'un au trou..."

Je regarda la situation avec amusement. J'aimais bien les bagarres, surtout lorsque je n'en faisais pas partie.

-"Pourquoi vous l'avez embéter comme ça juste pour une cigarette, c'est un peu normal qu'il se soit énervé... on dirait que vous faites tout pour trouver une raison de mettre quelqu'un au trou..."

Je me met à rire et regarde le nouveau venu.

-Bienvenu en prison gamin! C'est comme cela que ça marche!

Je lui lanca un regard amusé avant de me retourner vers mon petit gardien. Il est mignon. J'aime bien les type qui ont l'air louche, et il a l'air louche à souhait!

-Et j'imagine que vous ne prenez que l'argent liquide.... Car c'est justement la seule chose que je ne peux pas vous offrir en ce moment...

Que voilà des choses bien minables, à peine je venais d'entrer dans la salle commune j'entend déjà du monde se disputer et tout ceci pour quoi ? Une cigarette. Stupidité, si cela netenait qu'à moi les détenus ne seraient pas là pour polémiquer sur le droit de fumer ou non.
Ils étaient tellement absorbés par leur discussions qu'ils ne m'ont même pas vu entrer...tant mieux dans un sens, comme cela j'ai pu observer et écouter tout ce qui avait pu se dire. Un sourire apparait sur mes lèvres, oh non je ne peux pas m'empêcher de le dire.....Prenant en compte le ton des discussions j'en juge qu'il me serait aisé de me faire entendre. Evidemment à chaques fois que je prenais une voix grave dans son contenu et bien posée elle réussissait à résoner dans leur petites tête à tous. J'ignore comment je fais mais je n'ai qu'à élever un tout petit peu la voix. Donc, les bras croisés sur ma poitrine, matraque en main, je les toise tous de ma hauteur et de façon peu adorable.

" Et bien, et bien messieurs les détenus, si vous vous disputez pour une simple cigarette j'ai de quoi vous proposer mieux....Si vous voulez vous enfumer c'est direction les fours crématoires pour vous !!"

Oh cela faisait quelque temps que je ne les avait pas fait fonctionner ! J'aime voir la fumée s'élevée au dessus des grandes cheminée, jouant avec le vent de façon si innocente alors que les cendres sont issus de monstres sanguinaires en tout genre. Cela me manque, si l'un d'entre eux veut jouer avec le feu je suis prête à lui répondre avec un tisonnier brûlant et peut être, je l'espère, un four allumé non loin.

Je regarde alors tout le monde qui s'était réuni pour regarder la scéne et je ne peux m'empécher de rire

"Et bien, et bien voilà que la propriétaire nous fait l'honneur de sa présence ... Ralalala ..."

Je me retourne et je vais dans le couloir et pendan ma marche , je dis à l'intention du garde

"Bon tu m'enméne ou pas ?!"

Et j'attends alors que ce garde minable daigne m'enmener jusqu'au trou comme il le disait si bien !

"Eh bien tu es lent ! Si tu préfére, je retourne dans ma céllule, par-ce qu'a se train là, j'y suis pas avant demain !"

Je fais un mince sourire, voila un prisonnier bien récalcitrant ... Et ce ne serait certainement pas la derniere fois qu'une atercation entre nous dexu se ferait entendre. Je dit simplement en le poussant de ma matraque:

-Avance et tait toi ...

Je salut la directrice, une femme forte. J'appréciais la maniere dont elle menait cet établissement, elle ne prenait pas les prisonniers en pitié et c'était la bonne façon de gêrer, selon moi. Je trouvais les fourneaux un peu barbare mais le trou était l'endroit que j'aimais le plus dans cette satanée prison. Et c'était là que Menkai allait passer les prochains jours.

Je le conduit jusqu'a la salle d'isolement

-) suite salle d'isolement

" Et bien, et bien messieurs les détenus, si vous vous disputez pour une simple cigarette j'ai de quoi vous proposer mieux....Si vous voulez vous enfumer c'est direction les fours crématoires pour vous !!"

Et c'est dans des moments comme ça qu'on dit que...La fumé tue...

Je regarde Böse. C'est la première fois que je la voi mais je sais que c'est la directrice. Itachi et Ryan vont à la salle d'isolement. Menkaï me parait vraiment bizzard. Je regarde Clairval qui cause toujours à l'autre garde. Je parle peux mais j'observe tout. Je regarde denouveau la directrice. Allait-elle faire quelque chose de la situation? Je m'en fou un peux...Cette situation m'indifère. Si je suis venu ici et que je suis encore là c'est parce que je ne voulais pas retourner dans ma cellule.

Et j'imagine que vous ne prenez que l'argent liquide.... Car c'est justement la seule chose que je ne peux pas vous offrir en ce moment...

Je regarde Ryan et Itachi s'en aller. J'espère bien que ce Itachi allait arrêter d'être aussi confiant. Je n'aimais pas ça. Je souris un instant Wächterin Böse. Toujours pareille celle-là...Elle continue avec ses répliques...Je rigolerais bien si un de ses prisonniers accepteraient d'aller ce faire tuer...Ça serait bien la premiere fois. Je reporte mon attention sur Clairval.

Alors trouve toi de l'argent et reviens me voir...

Je lui fais un clin d'oeil

Après mon intervention, une femme me réplique un peu pour se moquer de ma naiveté que ce sont les règles de la prison, un peu la loi de la jungle en somme. Je me rend compte que c'est vraiment la loi de l'arbitraire et j'ai l'impresion de me retrouver dans ma famille.
Je me sens assez mal tout à coup. La directrice qui était venue me voir dans ma cellule est entrée dans la pièce. A sa vue, je sens mon coeur se serrer. je a regarde, comme fasciné, elle me fait un effet rès particulier. je me sens comme envouter par elle et je ne peux expliquer pourquoi. Je ne peux m'empecher de la comparer à ma mère et cette impression m'envahit à un point tel que j'ai du mal à respirer? Je m'asseois sur une chaise dans un coin et je la dévisage, mon visage est blème.

Je reviens dans la salle comune, de meilleur humeur, et je ne comptait pas me pogner avec un autre prisonnier sinon je serais obligé de delivrer l'autre, je m'amusa à cette idée.

Je soupirais et poursuivit mon avancée dans la salle, je fus surprit de voir le gamin assis sur une chaise, le visage bien bleme, j'haussais les épaules, la prison pouvait faire cet effet là.

Je m'approchais de la directrice et je dis, d'un air amusé:

-...Alors vous avez effrayé des prisonniers ces derniers temps?

J'aimais bien lorsqu'elle s'en prenait aux prisonniers, c'était toujours d'un extreme divertissement.

Le gardien qui avait fait preuve d’autorité envers l’un des détenus revint quelques instants plus tard et, se postant à mes côtés me posa une question. Depuis son départ je n’ai guère bougée même pas d’un millimètre, restée droite, bras croisés sur ma poitrine, matraque en main, visage fier et froid seulement relevé de ce sourire incompréhensible je toisai chaque
Prisonniers uns à uns, la question arrêta ce passage en revu et me fit ricaner.

« Monsieur Hyde s’était malencontreusement égaré dans les sous-sols, j’en ai profitée pour lui faire visiter la salle de torture de façon bien personnelle…. »

Face à ce souvenir je souris encore plus

« Les scalpels, les pinces et les tisonniers sont encore en fort bon état je dois avouer. »

Je continu alors de passer en revus les rats qui occupaient mes cellules aux barreaux que j’adorai tant faire tinter de ma matraque quand mon regard se posa sur une connaissance que j’avais rencontrée durant un orage. Assis ainsi et blême comme un spectre on croirait qu’il a vu un fantôme. Je ne peux que sourire encore plus face à se spectacle, je garde mon regard dirigé vers lui, j’avais dit que je le surveillerai et bien je ne faillis jamais à ce que j’annonce. Lorsque son regard croise le mien je ne me gène pas pour lui faire un clin d’œil plus pervers que malicieux, assez intime oui mais pas dans le sens que l’on croit. Ceux qui me sont intime c’est ceux que je torture le plus possible, souvent, ceux que je surveille sans cesse telle une harpie décidée à faire de ce qui leur reste de vie un Enfer. D’ailleurs ce jeune homme me tenterait bien, hum….vais je jeter mon dévolu sur lui et sa belle frimousse ? Tandis que je songe à tout ceci j’adresse quelques mots au gardien se tenant à mes côtés

« Et vous, la salle d’isolement vous plait je crois non ? »

Tous les va et vient qui s’exécutaient au sein de mon établissement ne m’échappaient jamais, j’étais au courant de toutes les visites à l’infirmerie, à la salle d’isolement, au bureau de la psychologue…..Je suis directrice après tout, et comme je ne peux contrôler seulement les visites de la chaise électrique à cause du trop peu de clients qu’elle reçoit à mon goût il faut bien que je me rattrape. En martyrisant les détenus par exemple….

Mon regard croise celui de cette femme qui m'envoute à un point démesuré. Son sourire s'élargit, elle lui ressemble tant... je connais cette manière de sourire qui contient tant de promesses... Je ne sais pas si je reve ou si elle m'a fait un clin d'oeil. Cela confirme tous mes soupçons. Elle m'a déjà dit qu'elle me surveillait, et en effet elle est là, me guettant, ne me laissant pas de répit.
Je devrais me lever et quitter cette pièce à toute vitesse, rien ne m'oblige à rester auprès de cette femme dangereuse mais elle me fascine tant, son regard m'hypnotise complètement et je ne peux arracher mon regard de la contemplation silencieuse de son merveilleux visage.

Ma mère, je la craint autant que je l'aime, elle m'inhibe et je la vénère... Je confond son souvenir et l'image de cette femme, le visage sévère de ma mère se superpose au sien.
L'ombre me souffle la mort et la destruction, me conseille de déchirer et de pourfendre mais ce n'est pas ce que je désire...Je voudrais me faire pardonner et obéir comme avant, expier mes fautes et me soumettre à toutes ses envies comme autrefois...
Je continue à la dévisager, je n'ose pas lui parler, que pourais-je lui dire, elle représente l'autorité supreme ici et cela m'écrase comme je l'étais par ma mère autrefois.

Je fis une petite moue. Je voulais des cigarettes! Et tout de suite!! Pourquoi ce type devait-il être à l'argent!

-Et il n'y a rien que je puisses faire pour te faire changer d'avis et pour que tu me donnes des cigarettes, du moins une, sans te donner d'argent?

Je m'approcha un peu de lui en disant cela. Si seulement mon pouvoir de drague pouvait encore fonctionner dans un endroit pareil. Je savais que c'était un peu désespéré, mais c'était ce que j'étais non, désespérée!

Elle la voulait sa cigarette celle-là! Elle manque nettement de subtilité. Je lui fais un clin d'oeil et je m'aproche de l'oreille de la prisonnière...Et je commence à murmurer...

Trouve de l'argent...Et on s'en reparlera de ta cigarette...

Je ris de façon méprisante et l'observe avec amusemant. Je me lève de ma chaise et sort de la salle. Je lui jette un dernier regard moqueur. Qu'elle essaye toujours celle-là! Je gardes mes cigarettes...Elle devra trouver quelque chose de plus covainquant. Je pars maintenant sans me retourner et sans dire aurevoir. Comme si le fait que je partais leur importait de toute façon.

je souris à la pensée qu'un détenus avait pu passer quelques instants avec Bose dans la salle de torture. Si même moi qui était un gardien n'esperait jamais ce retrouver dans une telle position, pour un prisonnier ce devait être l'enfer. Et je devais dire que j'appréçiais cette pensée.

-Je ne déteste pas le trou ... effectivement ... Mais je n'aime pas le manque de respect des detenus ... Alors il faut sevir dans ces cas là.

dis-je d'une voix calme. Effectivement, sévir etait presque devenu mon mot favoris. les prisonniers ne meritaient aucune considération de notre part, et si l'ont les laissaient fumer ils était bien chanceux. Moi j'avait décidé qu'il n'avait pas le droit et il aurait dû m'écouter ...

Malheureusement il ne l'avait pas fait, et maintenant il était au trou pour un petit bout de temps ...

Je croisa les bras et me tourna vers Jade.

-Ce type n'est pas un vrai homme! Je lui offrais ni plus ni moins une pipe contre une cigarette et il reste avec son discours d'argent!

Je soupira et m'éloigna. J'alla m'installer, ou plutôt m'étaler, sur un sofa.

-Tu aurais choisi la pipe ou l'argent toi?, demandais-je à la femme sans faire attention au timbre de ma voix.

Je me foutais un peu que les gens m'entende ou non.

Peu importe, ce n'est pas de lui qu'on se trouvera de quoi fumer...

Je soupire.
L'autre là...Qui a aboutis au trou il en avait des cigarettes non?

Je m'aproche de Clairval et j'acote mon coude sur le sofa.

Seulement je crois qu'il va y rester un bon moment...

J'observe les autres dans la salle...Ryan aussi en avait...En tout cas je suis peut-être desesperé...Mais pas au point d'aller lui demander...

Il ya aussi Neylen qui en a je crois bien...Dis-je à Clairval en baissant mon ton...Je ne l'aime pas vraiment. En fait, j'aime pas grand monde, mais lui, il est franchement désagréable...Enfin, avec les prisonniers il l'est...Mais, il doit détester les prisonniers encore plus qu'on peut le détester nous. Je ne sais pas c'est quoi son problème mais je m'en fiche un peu. Quand même ridicule d'être employé dans une prison et d'haïr les gens avec qui ont travaille...

Je souris à nouveau à la réponse de Neylen

" Sevir....voilà un mot bien appliqué par votre personne. Mais des fois sévir peut être remplacé par " inspirer le respect. Je vous laisserai bien accès à la salle de torture mais pour le moment elle reste mon lieu favoris, lorsque je n'y suis pas je vous y laisse quartier libre Monsieur Neylen."

Je tourne le visage vers lui pour trouver son regard, le mien veut dire tellement de chose que je n'exprime guère pour reserver la surprise aux prisonniers

" Je vous fais confiance pour vous amuser."

J'attend de m'être bien faite comprendre avant de tourner à nouveau le regard sur les détenus, apparemment mademoiselle Clairval s'est correctement remise de sa douche froide et souhaite se réchauffer grâce à une cigarette. J'adresse calmement à Neylen ces quelques mots

" Je compte sur vous pour faire en sorte qu'aucunes cigarette ne soit allumée si ce n'est pour allumer les fours."

Je suis formelle et cela se ressent dans ma voix, je ne veux aucunes fumées dans ces locaux. Je supprte mal la fumée, elle m'empêche de voir clairement chaque détails et surtout elle a le chic de me faire tousser si je reste trop longtemps baignée dans celle ci. Mon regard se pose par hasard de nouveau sur le jeune Younes qui me regarde bizarrement, se sentirait il encore mal ? Je soutien à nouveau son regard, cherchant à savoir calmement la raison qui le poussait ainsi à me dévisager, je resterai ainsi à le regarder jusqu'à que l'un des regard se tourne et je compte bien que ce ne soit pas le mien

" Je compte sur vous pour faire en sorte qu'aucunes cigarette ne soit allumée si ce n'est pour allumer les fours."

Je tourna mon regard vers Böse et lui tira la langue. Quelle plaie cella-là! Je roula les yeux et reposa mon regard sur Jade.

-C'est le moment idéal pour arrêter de fumer, tu ne crois pas?, dis-je d'un ton joyeux.

Je retins par cependant un grognement de mépris. Au nombre de cigarette que je pouvais griller dans une journée, j'allais sûrement mourir de «manque de nicotine» avant la fin de la journée.

-Aaaah! Que peut-on faire dans ce trou à rat à part dormir ou mourir?

Arrêter de fumer? J'pense qu'on a pas trop le choix mais puisque la seule raison que je peux voir pour arrêter de fumer c'est notre santé...Mais rendu dans un trou pareil on se fiche un peu de notre santé...

-Aaaah! Que peut-on faire dans ce trou à rat à part dormir ou mourir?

Perso je lis...Mais c'est pas l'idéal de tout le monde...Et puisuqe j'en ai pour perpete je vais surement lire tout les livres qu'on peut trouver dans cette prison...

Je jette un oeil à la directrice...Elle allait pas nous rendre notre séjour facile ça c'est certain. Je soupire. Il est vrai...Qu'est-ce qu'on ferra bien de notre séjour...Pas de cigarette...Pas d'ordinateur...Je toucherais plus à un ordinateur de toute ma vie! Triste sort...À moins de m'échaper mais ce n,est toujours pas mon occupation.

Perso je lis...Mais c'est pas l'idéal de tout le monde...Et puisuqe j'en ai pour perpete je vais surement lire tout les livres qu'on peut trouver dans cette prison...

Je grogna un peu et me réinstalla plus confortablement. À vrai dire, je m'étendis carrément sur le sofa miteux.

-J'ai pas lu de livres depuis.... TRÈÈÈÈS longtemps... On sait jamais, je pourrais me découvrir une passion!

Je souris et regarda autour de moi. Il y avait beaucoup de gens... C'était sympa qu'il y ait une ambiance, même un peu... étrange je dirais. Je n'étais pas encore habituée à être en prison. Je n'y avait jamais été vraiment longtemps.

-Tu lis quelque chose en ce moment?, demandais-je plus par désir de parler que par intérêt à ma nouvelle amie.

Je la regarde...Comme si ça l'interressait...

M'oui un vieux bouquin...On trouve se qu'on peut dans la biblio...Mais je ne crois pas que ça t'interresse...

Je regarde autour, observant les gens dans la pièce...Il y en avait de tout les genre.

Au fait t'es ici depuis combien de temps? Moi depuis seulement quelques jours...C'est tout de même triste de s'ennuyer déjà...

Ma voix n'est toujours pas très expressive. Je prête une certaine attention à Clairval qui est jusqu'à maintenant la personne que je connais le plus...Et déjà on ne se connait pas vraiment...Mais j'étais quand même étonner de connaitre quelqu'un au bout de seulement quelques jours.

J'haussa les épaules. C'était vrai que cela ne m'intéressait pas. Ce devait être lisible sur mon visage en plus.

Au fait t'es ici depuis combien de temps? Moi depuis seulement quelques jours...C'est tout de même triste de s'ennuyer déjà...

Je me mis à regarder le plafond.

-Je sais pas... deux jours je crois. C'est fou comme on perd la notion du temps en ne pouvant pas avoir accès à une horloge ou à la lumière du soleil. Mais, c'est vrai que c'est désolant de s'ennuyer autant! Je ne sais pas quel âge tu as... Mais dans mon cas, j'en ai encore pour au moins... facilement 70 ans à vivre dans ce trou à rat!

Je soupira. Vivre l'héritage des Clairval. Aucun membre de ma famille n'était mort de cause naturelle avant d'atteindre 100 cents. J'avais bien choisi mon héritage génétique avant de débarquer ici...

-Au moins, on peut parler!