Une bagare, surprit? [Pv Vongola]

Le lendemain de ma visite à l’infirmerie, J’étais un peu raqué, ma blessure à la jambe me faisait mal mais au moins, ça, personne ne pouvait le voir. Je détestais que l’on vois mes blessures, quoi que je n’étais pas vraiment plus faible blessé, et ça ne pouvait que distraire ceux qui se battaient contre moi. Je soupirais. Ne pas songer à une bagarre, c’était mieux. Mais je savais que aussitôt que je sortais maintenant c’était inévitable, j’ai pété le nez de bon nombres de prisonniers, et depuis que j’avais fais la peau à ce gardiens je n’aspirais pas l’honneur, mais pour la plupart des hommes de cette prison j’étais une menace à éliminer. Je ne savais pas pourquoi, si l’on ne me cherchais pas je ne me battais pas. Mais malheureusement l’on me cherchait un peu trop souvent à mon goût.

Je me rendis tout de même à la cafétéria. Je ne me souvenais pas de la dernière fois que j’avais mangé. J’avais l’impression que j’allais bientôt tomber en faiblesse. C’était bien le réfectoire était pratiquement libre, peut-être que je ne m’attirerais pas les ennuis pour une fois. J’allais me prendre un plateau et en venant pour m’installer à une table, une bande de gars arrivait devant moi. Je ne les avais pas vu et l’un d’entre eux fit voler mon plateau par terre.

Vous savez ce qui est plus chiant que de manger un coup de poing dans la figure? Gaspiller de la nourriture et je ne pourrais plus aller m’en chercher maintenant. Même si la bouffe était infecte à Sadismus, j’avais trop faim pour y songer. Je sentis soudainement le monde se masser autours de nous, la cafétéria n’était pas vide quelques instant auparavant?

Je laissais échapper un grognement et je dis :

-Tu vas aller me chercher un nouveau plateau peut-être? Demandais-je d’un ton arrogant.

L’autre ne prit même pas le temps de me répondre il m’envoya un coup de poing à la figure. Ah non! Je ne vais pas me faire avoir cette fois là. Bien que j’ai de la difficulté à me protéger le visage je l’avais sentit venir celle là. J’attrapais rapidement son bras et je le tordis rapidement, le mec hurla de douleur et tomba par terre. Oups, le craquement que j’avais sentis n’était pas très agréable en fait. Pas pour moi, mais pour lui ... Les autres me sautèrent immédiatement dessus. Je reçu bien quelques coups dans les côtes mais rien de bien important, ce n’était pas difficile de ce battre contre un prisonnier, il m’était souvent arrivé de le faire dans le passé sans même être en prison.

Je parvins à me débarrasser de la plupart lorsqu’un que je n’avais pas encore remarqué me donna un bon coup à la jambe. Je tombais par terre. Le salopard, il avait remarqué que j’avais de la difficulté à m’en servir. Il me sauta dessus et ce mit à me frapper au visage. Je perdis le dessus durant quelques temps lorsque je vis sa faiblesse. Il frappait mal de la main gauche. Désolé pour toi mec, mais je suis l’un des rares à se battre de la main gauche moi.

Je lui donnais un bon coup de poing sur la tête de la main gauche. Vous savez sur la tempe pour le faire tomber dans les pommes. Et puisqu’il est droitier il n’a rien vu venir. Voilà, c’est terminé. Je regardais tout le monde partir, comme déçu que j’ai encore gagné, quoi ils espéraient que je me fasse tabasser? Hm gentil!

Je m’installais lourdement à une table, prennent des serviettes pour m’éponger le visage. Il avait tout de même réussi à me casser le nez. Et voilà, j’étais de mauvaise humeur là, et j’avais surtout faim.

Je n’avais pas vraiment faim mais je voulais aller a la cafeteria pour trouver des personne qui pourrait m'aider à m'en sortir de cet endroit immonde, je pris un plateau me servit .quelque instant après je vis une bagarre démarrer, je m’approchai a peine et vit deux homme se battre. J’allai m'installer à une table en attendant que les choses se calment.

Après je vis que la bataille était terminer et que l'une des personnes qui c'était battu, celle qui avait gagné, s'assoir le nez en sang .je m'approcha de lui et lui donna mon plateau a cause de la réflexion qu'il avait fait a l'autre pour qu'il aille lui en chercher un.

"Comme je l'ai vu il y a quelque seconde tu es plutôt costaud, sa te dis de faire partie de la famille Vongola ???"

[Rha tu m'as tout mélangé avec ton il toi -_-]

Je restais silencieux, hmm Est-ce que ma colère était plus forte que mon envie de manger? Ben, je pouvais tout aussi bien être affreusement frustré tout en mangeant non?

Je commençais à manger sans jeter un coup d'oeil à l'homme qui venait de lui donner le plateau. Il attendrait qu'il ai un peu manger, après cette bagarre qui venait de terminer de lui donner terriblement faim, Je devais manger , sinon je tomberais également dans les pommes ... Comme le mec que je venais de frapper.

Je finis pas daigner lever les yeux. Reniflant d'amusement à sa demande. Tient, quelqu'un qui ne voulait pas me tuer. Mais il pouvait aller se faire voir avec sa "Famille".

-Quoi? C'est un truc de mafioso? Désolé mais je ne suis pas du genre à faire partie d'une bande.

Je marquais une pause. Il avait été gentil, il m'avais donné son diné. Hm Mais mon humeur n'était pas du tout prète à remarquer ce genres de choses.

-Alors tu dégages, et tu me fiches la paix. Merci.

Je repousais le plateau que j'avais terminé de manger à une vitesse effarante et je continuais de m'éponger le nez sans adresser la moindre attention à mon copain le "Mafioso" Pff et puis quoi encore. J'espérais simplement ne pas m'être fait un autre ennemi, je commençais à en avoir assez de me battre moi. Mais j'avais simplement tendance à être provocateur.

je le vis manger comme si il n'avait pasmanger depuis deux mois , je l'entendit ma retorquer qu'il en avait rien a foutre de mon gang et que je devais degageais , mais je n'allais pas me decouragé si facilement .je penser avoir quelque truc a lui proposer qui pouvait le faire changer d'avis .

"tu es ici depuis lomptemp !!! Non ???"

comme j'avais beaucoup de relation je pouvais le faire sortir , lui , moi et les autre personne qui pouvait m'aider . et quand on serai dehors je pouvais les aider grace a mon argent .

"sa te dirais de sortir ???"

Je laissais echapper un grognement. Tenace le mec, je croyais avoir été assez clair, mais je constatais que les gens pas du tout têtu étaient rare dans cette prison.

-Ouais, ça commence à faire un bout. Dis-je d'un air sombre.

Deux ans, sa allait bientot faire deux ans que j'étais ici. Une journée passait horriblement lentement, alors deux longues années. Si je restais encore ici longtemps je finirais par devenir fou, c'est certain!

-C'est pas un peu stupide comme question? Qui ne voudrait pas sortir? Bien évidement que je veux sortir.

Je me retournais vers lui. Il avait une solution peut-être?

-Et comment compte tu m'aider à sortir si je fais partit de ton petit gang? Car sa fait deux ans que je tente de me tirer d'ici, et sérieusement je n'ai jamais réussi à mettres les pied dehors. Je doute que tu puisses m'aider.

Je croisais les bras, mon nez avait arrêté de saigner. Il ne c'était même pas brisé, miracle!

j'ecouter l'homme qui me dit qu'il etait dans se trou a rat depuis 2 ans , je le plaigner si moi je devais rester 2 ans ici je me serais deja mis une balle dans le tete , mais bon il me demanda comment je compter faire , je lui souri , ma sociéter etais former de plus de 1200 hommes je pouvais donc comptais certainement sur eux

"je crois que tu ne comprend pas , je suis un des hommes les plus influençant de toute l'Italie , croi moi que j'ai beaucoup de elation qui pourons nous aider a sortir de se trou pouri "

Je me levais lentement pour être à sa hauteur. Bordel, j'avais encore mal à la jambe avec le coup que l'autre connard m'avais donné. Je le fixait méchament dans les yeux et je dis:

-Tu sais où tu peux te la foutre ton influance et ta notorité? Je m'en tape, et je ne suis pas d'humeur.

Non, j'étais beaucoup trop en colère pour écouter quoi que ce soit. Je restais silencieux quelques instants et je dis:

-Arrive moi avec des exemples concrets de ce que tu peux faire, je veux même t'aider si tu as besoin d'aide, mes les simples paroles, sa ne m'interesse pas.

À ma façon je lui disais que j'acceptais qu'il me montre de quoi il était capable. Je n'avais aucun problème à être mené, du moins pas trop, j'avais tout de même un caractère assez difficile. Mais pour avoir déja travaillé avec un caid et avoir été son adjoint, je savais ce que c'était.

je rigolais de la façon dont il me parler , il ne savait pas qu'en Italie je suis le mafieu le plus dangereux , je me leva d'un coup avec un air moin gentil voir meme mechant .

"Ecoute mon grand , personne ne ma parler comme sa depuis la mort de mon predecesseur , mais comme je suis pas cher moi , sa peut aller"

il le regarda d'un air amuser et lui dit d'un ton interresser

"que veut tu que je fasse pour t'impressionner ???"

[Attention à tes il, tes fautes, ... ]

Je reniflais d'agacement, ce qu'il était je m'en fichais, moi j'ai fichu la trouille à New-York tout entier. Et puis, je n'avais rien du tout à prouver, et dans l'état où j'étais mieux vallait que je ne prouve rien du tout. Je croisais les bras et je dis:

-Écoute "Mon grand" ...

Déja cette simple appélation me faisais vraiment chier, qu'il ne commence pas à aller trop loin avec moi, il ne savait pas à qui il se frotait, il était peut-être un grand mafioso, mais moi les cigards sa ne m'intéressais pas.

-Va faire joujou ailleurs, Je ne suis pas interessé. Dis-je en lui faisait un sourire amusé.

Je pris ensuite mon plateau et je partit vider ce qui restait dans une poubelle. Moi jouer les mafioso, jamais, je préférais encore trouver un moyen de sortir de là tout seul. Et puis, je sentais que je ne m'entendrais pas avec ce mec. Au moins Benny, l'ancien Caid avec qui je travaillait, savait comment ce charger de mon humeur défaillante.

j'etais content de sa reaction j'aime bien les personne qui ne se laisse pas impressioner , sa reaction me donner encore plus l'envi de l'avoir dans la famille .il l'interpella

"eh !!! est ce que tu voudrai un objet ou un autre truc qui pourais te servir ???"

je repenser aux deux ans qu'il avais passer ici

"sa te dis un rendez vous avec une personne que tu n'a pas vu depuis un bout de temp ???"

Je continue à avancer lorsqu'il me parle d'un objet. Non il n'y avait rien qui m'interessait assez pour me joindre à sa "famille" Mais je stoppais ma marche lorsqu'il parla d'un rendez-vous avec quelqu'un. Oui, je voulais terriblement voir Eddy et mes enfants. Je savais que ce n'était que pour m'acheter, mais si il pouvait m'obtenir ça, je ferais n'importe quoi.

Je restais sur place, indécis durant un long moment, puis je finis par me retourner, je vins près de lui et je dis d'un ton sec mais tout de même plus calme:

-Et tu ferais ça comment dit moi? Demandais-je.

Je croisais à nouveau les bras. Attendant impatiament une réponse. Il était mieux d'avoir de bonnes ressources ou de bonnes idées car je ne me ferais pas avoir.

j'etais presque satisfait , il etait deja plus calme il fallais juste que j'aille voir le directeur , lui donner un pot de vin et le tour sera jouer .maintenant il fallait que je demande au gardien d'aller voir le directeur

"le directeur est comme un animal , tu lui jete de la nourriture et il se jete dessus , sauf que la nouriture peut etre remplacer par de l'argent , il n'y a rien de plus simple !!!"

c'est sur il n'y a rien xde plus simple , vu la fortune que j'ai dans mon compte

Je le fixe, incrédule. Je crois que je n'aurais pas pu être plus surprit que ça. Si bien que je me met à rire, carrément! Je ris durant un long moment avant de finalement me calmer et de le fixer durement. Il ne savait vraiment pas ce qu'il disait lui ...

-Écoute moi bien, tu ferais mieux de te rensseigner, j'en sais déja plus que tout là-dessus mon pauvre mec!

Je marque une pause et je poursuivis en disant:

-La Directrice Je te laisse aller l'acheter tout seul, je doute que tu t'en sorte vivant.

J'approchais mon visage du sien:

-Et si tu pronnonce mon nom devant elle, et que par miracle elle ne te torture pas jusqu'à ta mort, moi j'vais t'achever! Compris?

Je ne voulais rien avoir à faire avec la directrice. Non rien, jamais! Plus jamais je ne me froterait à cette femme horrible, si je n'étais pas mort après la séance de torture qu'elle m'avait infligé, c'était encore drôle ...

je le regardais et je ris a mon tour , je me calmi et commença a deboutonner ma chemise . sur mon corp il y avait des cicatrice de balles de poignard de torture , il me manquer meme un foie .

"Ecoute moi , deja tu me parle autrement car des mec comme toi j'en ai tuer des dizaine , puis j'ai endurer plus de souffrance que tu ne pouvais t'imaginer , j'ai perdu ma famille , plusieur de mes ami , alors croi moi que ce n'est pas une directrice qui torture les gens qui me fera fuire ."

je le regardais d'un air mechant et je lui dit sans m'enerver

"si j'arrive a l'avoir ton rendez vous , tu me promet de m'obeire au doigt et a l'oeille ???"

Je ne répondis rien, car la souffrance je connaissais également. Il me parlait d'une famille qu'il avait perdu? J'avais perdu également la mienne. J'avais tué ma première femme parce qu'elle avait tenté de me tuer. J'ai subi diverses tortures dans cette prison. Il ne savait pas de quoi il parlait, il ne parviendrait pas à faire la loi à Sadismus.

Je jetais un bref coup d'oeil à son torse, et ben ... Quoi? Il voulait me prouver quoi là. Je détestais ce genre de mec.

Par contre moi je n'avais absolument aucune envie de lui parler de ce que j'avais subi, je n'étais pas du genre à vanter mes mérites. Je savais de quoi j'étais capable.

-Au doigt et à l'oeil, je ne sais pas. Mais je suis capable d'obéir.

Je restais pensif quelques instants. Ouais je voulais revoir ma femme et mes enfants. Mais pas seulement à travers une vitre.

-Si tu m'obtiens du temps avec ceux que je veux revoir, et non pas séparé par une vitre. Alors je t'obéirait, oui.

Je ris doucement et je dis:

-Par contre, tu n'arriveras à rien avec la directrice, crois moi.

je le regardais satisfait des phrases qui venais de dire , j'allais tout faire pour que carl ariive a avoir le rendez vous qu'il desire avec les personnes qu'il desire , elle avait beau etre cruel , je pense que une belle somme d'argent peut la faire changer d'avis .

"ok ! je ferais tout pour que tu es ton rendez vous !et après tu m'aidera a trouver d'autre personne qui se joigne a nous et alors on pourra s'echapper."

Je roulais les yeux. Ben je ne serais certain que lorsque je le verrais. Donc que lorsque j'aurais Eddy et mes enfants devant moi et que je pourrais les serrer dans mes bras.

-Oui, c'est ça ...

Je n'avais rien de plus à dire. Qu'il m'obtienne mon rendez-vous et je l'aiderais. Car de toute façon, je n'avais absolument rien d'autre à faire. Et je ne supportais plus d'être aussi loin d'Eddy.

Je soupirais et je partis de la cafétéria sans même le saluer. J'avais au moins mangé un peu, c'était déja mieux pour ma forme. Maintenant je retournais dans ma cellule, je ne voulais plus d'ennui, du moins, le temps que je sois totalement guéri.