Suite et fin de la visite.

Dès le moment où je sens le métal froid sur mes poignets et le cliquetis de la serrure, je sens mon coeur s'accélérer d'un coup, d'excitation... et de peur, même si pendant quelques secondes j'essaye - désespérément - de le nier. Récapitulons... Je suis menotté - ah, suspendu les bras en l'air maintenant - dans une salle de torture, à la merci d'un sadique notoire...

Oui, c'est bien cela, excitant et flippant. Mais légèrement plus flippant qu'excitant... Je déglutit péniblement, me demandant ce qui m'attend. Ma respiration s'accélère lorsque Pyth fait monter la tension en déboutonnant ma chemise sans me toucher. C'est reparti pour un tour. Et cette façon qu'il a de me regarder, comme absent, comme si... Non, il ne va quand même pas me laisser là ?

Puis, ses paroles me rassurent. Cela me donne le sentiment qu'il me reste un semblant de contrôle sur la situation. Je pousse un soupire qui se meurt en un faible gémissement. Je plante mes yeux dans les siens et soutiens son regard. Je décide d'être sincère.

"Vas-y doucement quand même... L'idée de me retrouver estropié n'est pas exactement l'idée que je me fais de l'excitation." dis-je avec un petit sourire.

[je t'ai involontairement viré de mes contacts msn... tu peux me remettre dans tes contacts ? désolée... fausse manoeuvre...]

Je me rends compte que j'en fais peut être trop, mais je sais que ce que je vais lui faire vas l'exciter à un tel point qu'il en redemandera... J'acquiesce donc lentement et m'éloigne de lui... Je crois avoir repéré un placard spécial pour ce genre de torture... Effectivement, trouvé !

Un sourire satisfait se dessine sur mon visage alors que je retourne vers lui en lui cachant ma trouvaille... Je pose doucement mes lèvres sur les siennes puis vais lecher doucement son oreille avant de murmurer:

"Tu vas devoir me faire confiance... Dans ce genre de choses, c'est necessaire pour arriver au plaisir... Si tu veux arreter, il suffit que tu le dises et je te détacherais, d'accord ?"

Sur ses mots, je passe ma main dans ses cheveux et attache le bandeau que j'avais trouvé... Le voici aveugle, encore plus sensible à mes moindres effleurements... D'ailleurs, je ne me prive pas pour l'aider à s'en rendre compte: mes doigts passent partout sur son torse, déordonnés... Puis je pose mes lèvres sur l'un de ses têtons et commence à le mordiller de plus en plus fortement alors que ma langue passe et repasse sur sa pointe...

Je prends le temps de la réflexion, ignorant ce qu'il semble cacher dans son dos, puis :

"Je te fais..."

Mais je n'ai pas le temps de dire le "confiance" qui manque que je m'interromps en appercevant le bandeau qu'il dévoile. Je me laisse faire lorsqu'il le passe autour de ma tête, m'aveuglant. Je me sens tout à coup comme fiévreux, mon rythme cardiaque et ma respiration accélèrent encore.

Puis soudain je sens ses caresses et je ne peux retenir un gémissement de surprise et bien sûr... de plaisir. Mes muscles se crispent. Mes poignets prisonniers des menottes se font douloureux. Ce mélange de douleur et de plaisir est aussi excitant que la frustration. Je ne peux m'empêcher de sourire.

Je voudrais pouvoir passer mes bras autour de lui mais je suis immobilisé. Alors en contrepartie, j'enroule une jambe autour d'une des siennes, l'attirant vers moi.

Je le sens près de moi, me prodiguant ses caresses, ses baisers... Et soudain plus rien. Je me mords la lèvre inférieure. Un frisson parcourt mon échine. Un sentiment de peur se forme dans mon estomac pour remonter jusque dans ma poitrine. La fièvre monte toujours. Je suis à nouveau à l'étroit dans mon pantalon, mon érection se fait douloureuse.

Je ne l'entends plus. La peur se fait plus intense. J'hésite à l'appeler, ouvrant la bouche, puis la refermant. Puis je l'entends et ne retiens pas un soupire de soulagement. Puis je souris à nouveau. Je sais à qui j'ai affaire. Je sais qu'il fera tout pour faire monter la tension, mais j'ose croire qu'il ne me laissera pas en plan, car il semble avoir compris mes limites. Néanmoins, je sais que malgré tout ce que je pourrais penser pour me rassurer... je continuerai à avoir peur. Pourquoi ? Parce que c'est un "pro" et qu'il sait parfaitement ce qu'il fait.

Je le sens revenir à moi. Le contact de sa peau sur la mienne me surprend encore une fois et je pousse un petit soupire de surprise.

"Oh gosh..."

Encore une fois il me dit de lui faire confiance. Je hoche la tête, me mordant la lèvre. Et lorsque je sens sa main sur mon érection, je rejette ma tête en arrière en poussant un gémissement, me retenant de dire son nom.

[En espérant que ce que j'écris te plaira ^^ je reviens ce soir, dans 3 ou 4 heures...]

Il s'abandonne totalement, sa confiance est complète, parfait. Je m'éloigne à nouveau laissant l'air froid caresser sa peau puis j'entreprends de déboutonner son pantalon. Pas question qu'il ressente une torture autre que la mienne. Je ne le touche pas une seconde alors que je fais glisser le tissus jusqu'à ses chevilles. Je descends ses dessous aussi... toujours sans le toucher... Et je tends la main vers la table.

J'attape une plume, douce et blanche (ca, il ne le vois pas...) et je la passe furtivement sur son membre dressé avant de l'éloigner. Plus aucun contact sur sa peau... un coup de plume... plus rien... La plume à nouveau... Je suis à genoux devant lui, mon souffle atteint sa peau douce... La plume délaisse son membre pout s'attaquer à son ventre, à ses cuisses... elle change de main, je poursuis mon jeu en attrappant autre chose... D'un coup, j'éloigne l'objet de torture, le laissant suffler un peu... un tout petit peu... avant de le prendre totalement en bouche. Je descends ma main plumée le long de sa cuisse, à l'arrière de son genou, de ses molets... puis je pose la plume à terre.

Pendant ce temps, son membre est dans ma bouche et je le lèche, je le caresse, je le frole de mes dents, menacant de la mordre avant de passer ma langue sur lui en une multitude d'arabersques infinies... Mes doigts passent sur ses fesses et entrent en lui sans préavis. Je l'ai pris il y a moins d'un quart d'heure, je n'ai pas besoin de le préparer autant... C'est alors que l'objet que j'ai pris tout à l'heure entre en scène. Alors que mes lèvres se font de plus en plus gourmande, je fais glisser le gode à l'interrieur de son intimité.

Encore une fois, je ne sens plus aucun contact puis soudain... mon diaphragme se contract alors que je sens une caresse douce et mutine sur mon érection. C'est à la fois agréable et... Argh non ! Je suis hyper chatouilleux ! Mon corps hésite entre le rire nerveux et les gémissements de plaisir, et tout cela se mêle en un étrange et indéfinissable résultat.

Puis cela cesse, quelques secondes, je reprends mon souffle... mais manque de le perdre à nouveau lorsque je le sens me prendre en bouche. Je laisse échapper un gémissement de plaisir. Ma respiration est courte et saccadée, j'ai l'impression de manquer d'air. Je perçois à nouveau le contact de la plume sur mes jambes maintenant. Ce qu'il me fait subir avec sa bouche est jouissivement cruel. Plusieurs fois je crois qu'il va me mordre, et une sensation de crainte mêlée d'excitation remonte de mon bas-ventre jusque dans ma poitrine.

Soudain, je sens ses doigts rentrer en moi et mon corps se crispe. Rapidement, ses doigts laissent la place à quelque chose de plus conséquent... tandis que je sens toujours la caresse de ses lèvres sur mon sexe. Alors que je comprends de quoi il retourne, je m'abandonne complètement au plaisir, poussant des gémissements et parfois des râles de plaisir sans retenue.

[ca me manque de ne plus t'avoir dans mes contacts msn TT vérifie si je suis dans ta liste verte... *en manque*]

J'allume la fonction vibro alors que ses cris emplissent la salle. Mes lèvres n'entourrent plus que son gland rougi que je mords un peu plus fort. Je sais que je provoque une douleur, mais elle n'est pas assez forte pour gacher son plaisir... au contraire...

Je le relache alors complètement et, tout en continuant à jouer avec l'objet vibrant, je me relève lentement. Je me colle à lui. Mon erection se frotte contre la sienne... sauf qu'entre les deux, il y a mon pantalon fermé par des boutons et une ceinture... Le contact est certainement à la fois excitant et desagréable. Je prends ses lèvres sans prévenir et les mords farouchement... Pas assez pour le faire saigner, mais suffisemment pour que la douleur soit encore présente alors que je passe ma langue sur son oreille.

Je change l'inclinaison du gode, le fait sortir un peu, le fait rentrer à nouveau... Je sors mon briquet de ma poche, l'allume dans un bruit si familier et passe doucement la flamme sous sa machoire... sans le brûler, bien sûr ! Puis je sussure à son oreille:

"As-tu peur du feu, James ? Moi, j'ai grandi avec... Il fait parti de ma vie... Je ne suis pas un De La Flaam pour rien..." Je mords doucement sont oreilles puis son cou avant de continuer: "laisse moi te présenter mon ami. Je te promets que les marques sur ton corps ne seront que des rougeurs absoluement pas définitives."

Je relache l'objet vibrant qui s'échappe de son intimité et tombe au sol avant de rouler un peu plus loin. Le choc l'a arreté. J'etteinds la flamme du briquet et monte mes bras le long des siens. Mon erection frotte toujours doucement contre la sienne. quand mes mains arrivent au niveau des siennes, je les guide vers l'anneau en metal.

"Accroche toi là, je vais te soulever, ca sera moins douloureux..."

A peine ces mots prononcés, je recule d'un pas brusquement... puis j'ôte tranquillement mon pantalon...

[contente de voir que tu es encore en vie, je m'inquietais ^^]

Une fois que je suis totalement nu, j'approche la petite table avec tout le matériel et je me serre de nouveau contre lui. Je le soulève, plaquant son dos au mur alors que ses jambes entourent mes hauches. La position doit être assez inconfortable pour lui, mais tant qu'il ne me demandera pas de le relacher, je ne le ferais pas... supposant qu'il tient... Il est donc incliné, le bassin en avant par rapport à ses épaules. Mon sexe s'est glissé dans le sillon de ses fesses et le frotte à chacun de mes mouvements.

Quels sont ces mouvements ? Mmm...

J'attrape une bougie et l'allume. J'attends un peu puis me penche pour emprisonner son têton dans mes lèvres. Au même moment, des goutes de cire tombent sur sa peau. Je le mordille alors que la cire goutte encore sur lui. Je pose ma main qui tient la chandelle sur son ventre comme pour me maintenir... Ainsi, la cire coule lentement le long de son torse et la flamme réchauffe doucement le têton dont je ne m'occupe pas. D'un coup, je lache la bougie. Toute la cire chaude contenue en haut de celle si tombe sur son flanc alors que la flamme lèche amoureusement sa poitrine. Le cylindre de cire roule et tombe au sol. La flamme s'étteint.

Je pose mes deux mains sur ses hanches et prends possession de ses lèvres. Je le pénètre d'un grand coup de rein, le plaquant avec force contre le mur. Je suis entré en lui d'un seul mouvement, dans ma lancée, et j'ai violemment percuté sa prostate. Je gémis mais ne bouge plus. J'attrape alors d'autres bougies. Je vais lui donner un plaisir digne de se nom melé à la douleur de la cire brulante sur ca peau...

J'allume deux chandelles que je tiens en V dans ma main gauche au dessus de son torse alors que l'autre main est posée dans le creux de ses reins pour le soutenir. A chacun de mes mouvements de bouttoir, des goutes de couleur viennent parsemer sa peau...