Un "groupe de recherche"

J'ouvre la porte de la bibliothéque et j'apprécie l'ambiance des lieux, enfin dans cette prison je trouve un endroit calme ou personnes ne me regarde avec une lueur prédatrice dans le regard. Je jette un coup d'oelil au gardien qui semble plus absorbé dans la lecture d'une bd porno que par mon entrée. Oui, ce lieu sera parfais pour ce que je compte y faire. Du coin de l'oeil je repére les caméra de sécurité et aprs quelques secondes de refléxion je repére les tables qui sont le moins couvert par les va et vient des objectifs. Il faudra étre prudent mais... Discrétement je décale un meuble et cache ainsi la dite table qui devient presque totalement dissimuler au caméras.

Puis je m'assied, une fueille de brouillon et un simple feutre pour gamin, un stylo semblant ici étre considérer comme une arme, puis j'inscrit en lettres noires bien lisibles:

"GROUPE DE RECHERCHE"

Comme sa si un gardien me demande ce que cela veut dire je me lance des des explications longue et compliqué en éspérant qu'il se décourage et si il s'agit d'un prisonnier curieux je tenterai de voir si il mérite que je lui parle de ce qui se cache réellement derriére mon groupe de recherche. Cela me fait angoissé car cela signifie que au début je ne devrait me fier que a mon instinct pour choisir les gens qui pourrons faire partit de ce que j'ai choisie de nommé les évadé de la connaissance. Et oui, je compte créer un groupe de personne saine d'esprit et préte a tout pour fuir. En attendant que quelqu'un vienne voir ce qui se passe je me saisi d'nu livre, une sorte de magazine sur la pssychologie, rarement fueilleté en ces lieux, je m'y intérrésse pourtant, sa pourai me permettre de dicerner les fous des gens biens...du moin je l'éspére.

Cela fait plusieurs minutes que je suis ici, concentrer sur un article intérréssant sur les principaux trés de caractére d'un tueurs en séries, j'entend a peine la porte s'ouvrir puis se refermer dans un léger claquement. Par contre l réplique d'une jeune femme me fait lever la téte. Je voit alors le gardien qui se léve et s'appréte a la suivre. Il se rapproche de plus en plus de la table alors, en me disans que face a deux prisonnier il sera moin virulent je prend mon affiche et vient m'assoir avec la jeune femme que je salue comme si je la connaissai depuis toujours:

"salut, comment sa va ?"

Déja le gardien c'est arréter. S'en prendre a une jeune femme insolente il peut sans probléme mais moi je ne lui est rien fait, mon petite affiche pourrait me faire passer pour un intellectuel, et je sais a quelle point je peut avoir l'air innocent quand je veut. Alors, avec un regard joyeux je me tourne vers le maton qui est resté planté la et lui dit d'nue voix amusé

"bonjours monsieur. Vous comptier rejoindre notre groupe de recherhce. En se moment on est sur un sujet passionant, la psychologie enfantine et aussi les causes principal de mort des matons, le cancer des testicule arrive en premier."

Dégouté par ces sujets il jette un regard courroucé a la jeune femme qui signifie clairement que si elle revient a le chercher il n'y aura pas toujours un intello pour étre témoin. Il fait demi tour et retourne a sa lecture éducatif. Je pousse un soupir déséspérer et désolé que des sujets intellectuel face fuir les gens. Puis je me rappel de pourquoi je suis arriver sur cette table, je me retourne et lui adresse un sourire, puis je reprend mon étiquette et retourne a ma table invisible au systéme de sécurité et replonge dans ma lecture

Je n'avais pas remarquer que ce vieu con de gardien m'avait suivie. On aurait dit un vrai chien de garde. Puis sans que je le voie arriver, un gars qui devait surement faire partie des prisonnier mais que je n'avais jamais vu auparavant arrive a ma "rescousse". Puis comm ençant à taper la discut comme si on se connaissait depuis toujours je répondit a sa question qui commençait a me faire rire interieurement.
" Salut "
Puis il commensa a nous reciter une longue tirade scientifique dont je ne compris mème pas la moitié. Mais je fis celle qui si intérrèsait le plus possible pour passer inapersue.
Avec sa gueule d'intello et son charabia son but fut rapidement fixé et le gardien retourna bien tranquilement a son poste d'observatoire. Mais vu la tète qu'il tira quand le maton se cassa je comprit bien vite qu'en réalité il était bien loin du jeune homme parfait. Puis ce mystérieux inconnu retourna s'asseoir comme si de rien n'était. A un moment il se retourna vers moi et pendant qu'il me regardait je lui chuchota:
"Merci"
et avant de retourner a ma lecture je lui fit un clin d'oeil dont la significatin était très claire.

Il me murmura un petit derien que je pris avec le sourire, mais ne mis attardant pas je commença a feuilleter un bouquin qui était rester sur ma table. Le titre était "Amour et Trégédie" un roman a l'eau de rose de l'époque de mes grand parent. Je ne savais mème pas qu'il y avait encore des gens assez fou pour lire ses espèce de bouquin qui te font chialer a chaque chapitre. N'étant pas fan de se genre de bouquin je le reposa sur la table

Puis voyant l'inconnu tirer de sa poche un paquet de cigarette, un creu se fit dans mon estomac. Cela faisait si longtemps que je n'avais pas gouté a cette merveille. Je regardait le long filet de fumée qui s'échappait de sa bouche et sa délicieuse odeurme parvint au narine. Puis le voyant m'en proposer une je ne me fis pas prier. J'alla le rejoindre a sa table et lui prit celle qu'il m'offrait. Lui arrachant presque son briquet des mains je l'alluma et en tira une grosse bouffé. A ques que cela faisait du bien, rien qu'une bonne clope et on oublie tout. Je le remercia et un peu curieusement je lui demanda:

" C'est pas souvent que l'on voit des hommes de votre genre dans une
bibliotèque." Puis je vous demander ce qui vous attire ici? "