Perdue [PV]

Je venais de sortir du réfectoire. Je me promenais toujours la tête basse. Ne voulant pas que quelqu’un croit que je lui jette un regard indiscret ou méchant. Depuis ma semaine à la salle d’isolement je suis devenue beaucoup plus craintive, depuis que cet homme m’avait violé dans cette même salle, ma peur des hommes est devenue obsessionnelle.

Je n’étais plus blessée, j’avais retrouvé des forces grâce à la nourriture que j’avais mangée. Mais je craignais beaucoup la rencontre d’un homme. Je ne savais plus comment j’allais réagir, j’avais bien tué des tas d’hommes parce qu’ils m’avaient effrayé. Alors si je rencontrais une autre personne violente? Est-ce que je l’attaquerais? Et puisque je n’avais rien pour me défendre autre que ma force, qui visiblement n’était pas grand-chose, je me ferais immédiatement tuer.

Je continuais à marcher, sans remarquer où j’allais. Finalement je perdis le fil, ne sachant plus du tout où j’étais. Je soupirais regardant autour de moi. Je n’avais pas envi que quelqu’un me trouve, que ce soit un homme ... Je craignais plus que tout au monde qu’un homme me trouve ici. Je savais comment cela se terminerait.

Je sentis une larme couler sur ma joue. J’étais vraiment quelqu’un de faible. Pourquoi est-ce que l’ont m’avait mit dans une telle prison? Je serais incapable de survivre ici, et je le savais très bien...

Je continuais de regarder autour de moi, ne sachant plus si je devais espéré qu’une personne ce montre, en fait j’espérais rencontre une femme ... et je craignais un homme.

Je venais tout juste d’arriver au poste de gardienne et déjà on m’avait attribué une ronde. Ils exploitaient vraiment leurs employés ici. Enfin je vêtis mon costume d’agente, cachant mon couteau dans une pochette de cuir près de ma matraque. J’e jetais des regards furtifs aux autres prisonnières, il y en avait de vraiment jolie et que hasard, aujourd’hui il se trouvait justement être la pleine lune. Tournant les corridors je me rendis vite compte que j’étais dans un couloir peu fréquenté. C’est alors que j’aperçus au loin une femme qui semblait perdu. Malheureusement, la femme était de dos, je ne pouvais pas donc voir son visage qui me semblait si charmant.

- Excusez-moi, je peux vous aider ?

La jeune femme se retourna et lorsque je sentis son regard se poser sur mon visage j’en eût des frissons. C’est elle qu’il me fallait pour mon rituel, elle ne devait pas me regarder trop longtemps avec ces yeux suppliants ou bien je finirais par mouiller, voir même craquer et être incapable de la tuer correctement. Mon regard descendit ensuite le long de son bras, parcourant sa fine peau, mais je me ressaisis vite, je devais gagner sa confiance pour l’emmener loin et pouvoir abuser de sa confiance. Je fis donc celle qui a grand cœur et s’inquiète.

-Vous me semblez triste ? Vous n’allez pas bien ?

Je glissa subtilement ma main sur la pochette de cuir contenant mon couteau. Comme j’avais envie de sentir son sang encore chaud sur mon visage, son cœur encore battant dans ma bouche et voir son visage, juste avant sa mort. Huuum je devais cesser de me faire de tels scénarios sinon mon envie de tuer serait trop forte et je pourrais me faire arrêter, ce que je craignais le plus au monde car, en prison, je ne pourrais faire de rituels et je redeviendrais laide.

Je me retournais vivement en entendant une voix près de moi. Je ne sais pas pourquoi j’avais une telle crainte. C’était pourtant bien la voix d’une femme que j’entendais. Je soupirais lentement lorsque je l’à vit. Mais c’était une gardienne? Allait t’elle réellement m’aider? Je chassa rapidement la larme de sur ma joue. Jouer les fortes, voila ce que je devais faire dans cet endroit sordide. Mais malheureusement, je n’étais pas assez forte pour jouer la comédie.

-Je ... Oui, je suis perdue ... Désolé ... Dis-je d’une voix faible.

Je baissais la tête. J’avais vu un panneau tout à l’heure qui nous interdisait de venir ici. Mais je ne retrouvais plus mon chemin. Et m’excuser, c’était tout à fait moi ça ...
J’attends sa réponse, me retenant de trembler. Si en arrivant en prison j’étais un peu confiante en l’avenir, maintenant j’étais réellement terrifiée, j’avais de la difficulté à penser et même si je voulais me défendre contre une quelconque attaque, j’en étais incapable. Je n’étais pas très forte, et tous les meurtres que j’avais commis, j’avais utilisé un couteau.

Je garde la tête baissée, jouant nerveusement avec mes mains. Je craignais un peu la réaction des gardiens. L’un d’eux m’avait bien attaqué non? Alors elle pouvait faire de même, mais bon, j’avais plus confiance en une femme qu’en un homme, c’était certain.

-Allez vous m’aidez à sortir d’ici? Demandais-je finalement d’une voix timide.

Je n’aimais pas pousser les gens à faire des choses, mais j’en avais assez d’être ici. Il faisait froid, c’était lugubre et j’étais un peu trop près à mon gout de la salle de torture. Ho! Je ne l’avais jamais vu. Mais je savais qu’elle était ici et cette pensée me donnais froid dans le dos ...

Je vis rapidement que la jeune femme n’était pas à son aise, mais quel prisonnier censé le serait ? Je fis un grand sourire amical puis mis ma main dans son dos.

-Tu sais je ne suis pas ces gardiens méchants qui s’amusent aux dépends des prisonniers, tu me dis que tu t’es perdu et que tu es arrivé dans cette section interdite et je te crois. Alors oui je vais t’aider et même que je ne vais même pas aviser mademoiselle Böse de ce petit incident si en échange, tu me fais confiance pour t’aider ça marche ?

Je tendis ma main à la jeune femme dans la lumière des néons qui était sur le point de lâcher et qui clignotaient à chaque seconde. Heureusement, avant de rencontrer la jeune prisonnière, j’avais eu le temps d’explorer un peu les sous-sol et je savais exactement ou je pourrais faire souffrir la jolie prisonnière, afin d’avoir toute sa beauté et ce sans que personne n’en ait connaissance. Il ne me restait plus qu’à me trouver un prisonnier sur qui mettre la faute mais enfin bref, je penserais à cela plus tard, je ne devais pas manquer cette chance qui ne se reproduirait pas. Je devais rester vigilante, à la moindre erreur la jeune femme pouvait me filler entre les doigts.

-Alors en route.

Sans même attendre la réponse de la jeune femme, je lui pris la main et l’entraîna dans un petit couloir sombre, puis dans un autre et un autre, jusqu’à arriver dans un long couloir qui ne débouchait pas. À cet instant ce sentis la prisonnière se crisper, certaine que je voulais lui faire du mal, comme je l’avais dirigée dans un couloir sans issue. Je continua à avancer jusqu’à arriver devant la salle de torture.

-Ne t’inquiète pas tu ne va pas souffrir longtemps.

Je suivis la jeune gardienne d’un air un peu hébété. Je trouvais étrange qu’elle décide de m’aider de cette façon alors que tout le monde rebutait à m’offrir leur aide. Mais en fait, est-ce que tout le monde devait être méchant? Non, une gardienne pouvait être juste. Je me calmais un peu à cette idée.

-Oui … En fait j’ai entendu un peu parler de cette directrice, et je n’aimerais pas avoir affaire à elle … Dis-je d’une voix douce.

Je parlais toujours tranquillement, lentement. J’étais une personne excessivement calme. Sauf lorsque j’avais peur, et la plupart du temps c’était les hommes qui me mettais dans cet état.
J’avançais d’un même pas que cette gardienne et je tournais un peu la tête d’un air interrogatif vers elle.

-Vous êtes certaine que la sortie est dans ce sens là? Demandais-je d’une voix mal-assurée.

C’est qu’en fait j’avais un peu tourné en rond et j’étais déjà passé par ici. À moins d’avoir mal regardé, je n’avais vu aucun signe d’une sortie. Nous entrâmes finalement dans une pièce. Je clignais quelques instants des yeux pour m’habituer à la noirceur de l’endroit.

-…Mais … qu’est-ce … Commençais-je d’une voix étonnée.

Lorsque je pus enfin apercevoir ce que je redoutais tellement j’ouvris un peu la bouche d’un air effaré et je me retournais vers la gardienne.

-Ne t’inquiète pas tu ne va pas souffrir longtemps.

Mon regard changea rapidement, passant de l’étonnement à la frayeur. Je restais figée, incapable de faire le moindre mouvement. Lorsque je pus bouger un peu. Je reculais lentement. Non! Qu’est-ce qu’elle voulait? Elle ne voulait pas m’aider c’était un piège …

-Ne me faite pas de mal … Dis-je d’une voix entrecoupée par l’émotion.

J’avais une impression de déjà vu, cette phrase que je disais. J’avais dis la même chose au gardien qui m’avais violé dans la salle d’isolement. Et maintenant, je ne sais pas ce qu’il allait m’arriver, mais cette salle de torture n’était rien pour me rassurer …

Mes connaissances militaires domaine discrétion m'ont été bien utile ces derniers jours. Il avait fuit du trou et il se cachait beaucoup dans les sous-sols mais aussi à la blibliothèque, dans les endroits les moins fréquentés en fait. Mon oreille avait retrouvé sa couleur normal même si il y avait encore des marques d'égratignures et de grattages excessifs. J'espérais que Kathryn s'était bien faite soigné, c'était pas dans mon genre de me préoccuper de quelqun mais cette fille elle n'avait rien a faire dans un endroit dur comme ici. J'avais senti la nécessité de la protéger.
En cette soirée je m'étais donc réfugié dans la salle de torture, dans un coin sombre qui me camouflait pas très bien mais bon ... J'avais entendu des bruits de conversation lointaine, je dressa l'oreille, craignant un gardien quoique j'étais bien en mesure de me battre et un peu de violence ne me ferais pas de mal. Je vis une femme entraînée une autre femme vers le bout du couloir, en fait ici puisque que c'était un cul de sac. Je retins ma respiration lorsque je reconnu la voix de Kathryn.

-Ne me faite pas de mal …
Je me releva souplement et m'approcha à grand pas de loup de la porte, les dents serrées et les poings fermés prêt à frapper. Quand je vis une femme dans l'uniforme de gardien je fus frustré ...Je ne pouvais pas frapper une femme ! Je me contenta de la bousculer en me plaçant devant Kathryn, juste assez fort pour la déplacer, en lui jettant un regard noir.
- Qu'est-ce que tu voulais faire là hein ?

Un sourire sadique assombris mon visage lorsque la prisonnière me supplia de l’épargner. Les supplications, c’était le moment que je préférais, ou peut-être étais-ce de sentir la vie quitter leurs corps ? Peu importe, ses plaintes m’amusaient. C’est lorsque j’allais frapper la jeune fille que je compris que nous n’étions pas seuls, la suite des événements s’enchaîna si rapidement que je ne pu empêcher l’homme de s’interposer entre moi et ma victime.

-Ce que je compte faire, très cher ne vous regarde pas, il est passé minuit vous êtes donc dans l’illégalité présentement. Mais je me sens clémente aujourd’hui.

D’un geste rapide, je sortis mon couteau de ma pochette de cuir et lui asséna un coup au visage. Ho rien de bien méchant, juste des égratignures mais ce fût assez pour me permettre de placer mon couteau sur le cou de l’homme. Si il y avait quelque chose que je détestais c’était bien qu’on m’interrompe dans mon travail, une fois avait déjà suffit, je ne laisserai pas cet homme m’empêcher de continuer alors que je suis si près du but. Je sortis ensuite rapidement mon fusil et visage la tête de la jeune femme.

-Maintenant mon grand tu vas cesser de faire ton héros et tu va aller bien gentiment te coucher sur la table de torture ou je lui explose la tête, et crois moi, je n’ai pas peur de tuer.

Évidemment je voulais utiliser cette femme pour mon rituel mais si je devait la tuer pour rester en vie je ne m’en priverais pas. Pro être certaine qu’il ne tente pas de me frapper ou de se sauver avec la fille, je tira rudement sur son bras pour la mettre à quelques centimètres de moi. J’avais maintenant les deux prisonnier sous menace : L’homme avait un couteau sur la gorge et la jeune femme un fusil pointé sur son crâne.

-Alors tu y vas ou tu préfères faire deux morts inutiles

Lorsque je vis Stanley sortir de la salle de torture pour se placer entre moi et la gardienne, je me sentis immédiatement soulagée. C’était certainement la seule personne qui ne m’effrayait pas dans cette prison et il était fort. Mais je ne restais pas soulagée bien longtemps, la gardienne semblait très fort et elle était bien armée.

-Maintenant mon grand tu vas cesser de faire ton héros et tu va aller bien gentiment te coucher sur la table de torture ou je lui explose la tête, et crois moi, je n’ai pas peur de tuer.

Je sentis mon cœur repartir à toute allure. Non elle n’allait pas le tuer par ma faute tout de même!

-...Non ... Ne lui faites rien ... Dis-je d’une voix faible.

Mais pourquoi est-ce qu’elle faisait cela? Parce que nous étions venu dans les sous-sols alors que nous n’avions pas le droit? Mais qu’est-ce qu’elle voulait?

-Stanley ... Fait ce qu’elle dit ... Dis-je finalement.

Je sentis une larme couler, je ne voulais pas souffrir ... J’avais tellement peur de cette salle. De cette femme ... Je ne voulais pas mourir ... Lorsqu’elle pointa son arme sur ma tête je restais figée, elle allait me tuer? Si Stanley ne lui obéissait pas? Je me remis à trembler de plus belle, j’étais terrifiée.

-Je vous en pris ... laissez nous tranquille ... Dis-je d’une voix tremblante de sanglots.

Je me faisais toute petite. Si je survivais, je ne sortirais plus jamais de ma cellule ...

J’étais prête à ne pas trop le faire souffrir voir même peut-être le tuer sans souffrance mais lorsque l’homme jeta mon arme au sol, je devins rouge de rage. Sans le vouloir un coup de fusil fut propulsé directement dans l’épaule gauche de Katherine. Mon visage devint rouge de rage et rapidement j’enfonça mon couteau dans l’épaule droite de Katherine.

-J’avais pourtant été gentille avec toi. Si tu n’arrêtes pas tes bêtises, je ne me contenterai pas seulement de la blesser, je vais l’amputer. Je me demande ce qui serait le plus amusant à séparer de son corps. Une main ? Un œil ? Peut-être même pourrais-je lui arracher les doigts uns par uns. Tu veux un conseil mon beau ? Ne fais pas le con ou ta petite amie y passera.

Je sortis mon couteau emprunt du sang encore chaud de ma futur victime et le remis sous la gorge de la jeune femme, pour être certaine que l’homme ne tente pas de me l’arracher des mains.

-Je t’avertis, au moindre faux geste, je lui tranche le cou.

Furtivement, j’aperçus le regard apeuré de la jeune femme et l’air déterminé de l’homme. Comme ils étaient stupides. On voyait bien qu’ils étaient des êtres inférieurs. Comment osaient-ils tenter de saboter mon plan ?

J’étais prête à ne pas trop le faire souffrir voir même peut-être le tuer sans souffrance mais lorsque l’homme jeta mon arme au sol, je devins rouge de rage. Sans le vouloir un coup de fusil fut propulsé directement dans l’épaule gauche de Katherine. Mon visage devint rouge de rage et rapidement j’enfonça mon couteau dans l’épaule droite de Katherine.

-J’avais pourtant été gentille avec toi. Si tu n’arrêtes pas tes bêtises, je ne me contenterai pas seulement de la blesser, je vais l’amputer. Je me demande ce qui serait le plus amusant à séparer de son corps. Une main ? Un œil ? Peut-être même pourrais-je lui arracher les doigts uns par uns. Tu veux un conseil mon beau ? Ne fais pas le con ou ta petite amie y passera.

Je sortis mon couteau emprunt du sang encore chaud de ma futur victime et le remis sous la gorge de la jeune femme, pour être certaine que l’homme ne tente pas de me l’arracher des mains.

-Je t’avertis, au moindre faux geste, je lui tranche le cou.

Furtivement, j’aperçus le regard apeuré de la jeune femme et l’air déterminé de l’homme. Comme ils étaient stupides. On voyait bien qu’ils étaient des êtres inférieurs. Comment osaient-ils tenter de saboter mon plan ?

Lorsque je vis Stanley réagir. Ma première réaction fut de reculer. Mais pourquoi les choses se passent aussi rapidement? Sans que je ne puisse dire un seul mot, une balle se figea dans mon épaule. Aucun son ne sortis de ma bouche. Je ne ressentais même aucune douleur. J’avalais difficilement puis je baissais la tête. J’ouvris lentement la bouche et un gémissement en sortit. Maintenant je sentais quelque chose, et c’était atroce.

-…S..Stanle…y … Dis-je d’une voix basse.

Je sentis des larmes couler, si je pouvais m’évanouir en cet instant précis, et bien ce serait terriblement apprécier. Je ne bougeais plus, comme parfaitement figée. Et comme si ce n’était pas assez, la gardienne enfonça un couteau dans mon autre épaule.

Je laissais échapper un hurlement, Je n’avais jamais ressentis quelque chose d’aussi douloureux. Je n’avais rien fait, alors pourquoi me faire souffrir de la sorte??
Elle posa ensuite le couteau sous ma gorge, je ne respirais pratiquement plus, ayant beaucoup trop peur que le couteau me tranche la gorge. Je dis en pleurant et en regardant Stanley :

-…Je t’en pris … arrête … Je t’en pris … je t’en supplie …

Je fermais les yeux, la douleur était tellement forte, et moi je n’étais pas assez forte face à tout ça. J’étais quelqu’un de bien faible, j’en étais consciente. La preuve, je ne pouvais empêcher les larmes de couler sur mes joues … c’était impossible …

Lorsque la femme hurla, je ne pus m’empêcher de la trouver stupide. L’homme qui tentait de la défendre perdit sa concentration un moment et, armé du fidèle tison, je lui assène un coup au crâne, voyant son corps inerte s’affaler sur le sol, je ne pus retenir un rictus mesquin. J’allais enfin avoir la paix.

Sans me faire prier, je pris fermement le poigner de la jeune fille et la coucha de force sur la table.

-Si tu bouges je t’éclate la cervelle

Profitant du moment de confusion de ma victime, j’attacha fermement ses bras et ses jambes à la table de torture, si serré, que la sang avait peine à se rendre jusqu’au bout des doigts de la demoiselle. Ensuite je soulevai tant bien que l’homme, le couchant sur la table et l’attachant à son tour.

-Il semble bien que tout espoir d’un éventuel secours se soit envolé n’est-ce pas ?

Tout en m’approchant de la détenue, je faisais tournoyer mon couteau dans les airs. Je m’assis ensuite sur la table, près de la jeune femme et déchira ses vêtements d’un simple coup de couteau. À la simple vision de sa peau peu vêtue, je sentis le désir se créer en moi, me poussant à poser ma main sur le sein simplement recouvert d’un soutient gorge. Lorsque je sentis ses mamelons bien durs sur ma main, je ne pus m’empêcher de déposer un baiser sur les lèvres tremblantes de la prisonnière.

-Je vais tenter de ne pas te faire souffrir longtemps, promis.

Je regardais ma geôlière attacher le corps de Stanley sur la table de torture … Mon seul espoir de survit venait de ce faire assommer et fermement attaché. Je n’allais jamais m’en sortir, elle allait me tuer et je ne pourrais rien faire.
Je tentais de me défaire de son emprise lorsqu’elle m’empoigna et m’attacha sur une autre table. Mais elle était trop forte et moi trop faible, pourquoi est-ce que j’étais aussi faible?

Si tu bouges je t’éclate la cervelle

Je sentis mes membres trembler de crainte lorsqu’elle me dit cette phrase. J’avais tellement peur. Est-ce que quelqu’un ne pouvait pas venir visiter la salle de torture? Venir me sauver? J’en doutais. Les gardiens n’aidaient pas les prisonniers, et les prisonniers ce fichaient d’une pauvre fille comme moi.

Je fermais les yeux lorsqu’elle déchira ses vêtements, ne voulant surtout pas regarder lorsqu’elle promena ses mains sur mon corps. Je ne voulais pas voir son visage, je ne voulais pas savoir ce qu’elle voulait me faire, j’avais tellement mal à cause des coups qu’elle m’avait donné, les liens me serraient trop, j’avais de la difficulté à penser clairement. Mais de toute façon? Comment est-ce que je pourrais m’en sortir?

Lorsqu’elle m’embrassa, j’écartais ma bouche en laissant échapper un petit cri de surprise. Pourquoi est-ce qu’elle m’embrassait? Ne voulait-elle pas me tuer?

-Ne me faites pas de mal … Je ne veux pas mourir … Dis-je d’une petite voix craintive.

Je levais finalement les yeux vers elle. C’était une gardienne. Je ne lui avait rien fait pourtant. Pourquoi est-ce qu’elle s’en prenait à moi?

-Je ne dirais rien à personne … Mais laissez moi partir … Je vous en pris …

Je sentais d’autres larmes couler le long de mes joues. Est-ce que j’allais finir par être tranquille? Est-ce qu’ils allaient finir par arrêter de me faire souffrir?

Je glissais lentement ma main vers son entre jambe, sentant des palpitations parcourir mon corps en entier. C’était fou ce que cette fille pouvait me donner du désir et évidemment chaque fois qu’elle pouvais des petites plaintes elle me donnait toujours encore plus envi de son corps.

-Te laisser partir ? Mais je ne peux pas j’ai besoin de ta beauté chérie !

Que voulait-elle dire ? Je savais qu’au fon d’elle, elle mourrait d’envie de me donner du plaisir mais je devais profiter de la crainte qui l’envahissait en ce moment même pour glisser mon doigt dans son sexe légèrement tendu.

-Calme toi et tu va peut-être même adorer.

Lentement, je fis glisser le couteau entre les seins de la jeune puis sur son ventre aux courbes bien féminines à la peau aussi douce que le satin.

- Chasse tes craintes et laisse toi envahir par le plaisir.