Sous la bruine [Alec]

Invité

Il commence a me pomper l'air avec sa dépréssion ! Si jamais il meurt avant que je ne l'ai tué, je serais surement accusé, et en plus, je n'aurais pas eu le plaisir de le faire vraiment.

Mais il n'y a pas que ca qui me pousse a le poursuivre comme ca... Je le trouve sexuellement attirant, bien sur, ca s'arreter la, de mon coé uniquement malheureusement pour moi...

Il est entré dans la cour, et je le suis. Il ne fait pas beau, il bruine même un petit peu, aussi, la cour est vide, personne aux alentours... Sauf lui, sous la pluie, en plein milieu de la cour interieure...

Je m'approche, et a nouveau je répète :

-Pourquoi ? Je croyais que tu me détestais ! Tu l'as même dis !

Il est là, dans mon dos, près de moi... Je sens sa présence et je n'ai qu'une envie: me jetter sur lui, l'embrasser, le serrer contre moi, le toucher... Je ferme les yeux.

"Bien sûr que je te deteste... Ou du moins, je devrais... Je devrais te haïre pour le simple fait que tu es un gardien et que tu te crois supérieur à moi..."

Je me retourne brusquement vers lui et je cris presque:

"Je voudrais te detester ! Ca serait tellement plus facile ! Je prendrais mon pied à te faire du mal, je te detruirais et je serais tranquille !"

Puis mon ton se calme brusquement et je conclue douloureusement:

"Mais je t'aime."

Sans réflechir, je l'enlace et l'embrasse voracement. Oui, je l'aime et je me fous du reste. Si je ne peux l'avoir, avoir au moins son attention... A quoi bon continuer ?

Invité

Oui, popurquoi est ce qu'il ne me hait pas ? C'est vrai ca serait tellement plus simple ! On aurait pu continuer a se voir, tranquillement, se lancer des regards haineux, de temps en temps peter les plongs comme on le faisait jusqu'ici si souvent, et coucher enssembles... Mais non, il fallait toujours quelqu'un pour tout compliquer.

Mais quand même complètement attiré par lui,d'une autre facon, je lui rend son baiser, mais je ne touche pas son corps, mes bras restent le long de mon corps.

Puis, quand nos lèvres se séparent, je reprend mon soufflen avant de lui dire :

-Tu sais bien que je suis quelqu'un de fièr... Hors, hier soir, tu m'as détruit ! Je ne peux pas t'aimer, je ne peux que te hair mais...

Je me raproche de lui, et je pose ma main sur sa taille, et je glisse doucement mes lèvres sur sa joue, pour aller jusqu'a son oreille pour lui souffler :

-Mais je suis autrement attiré par toi...

D'abord ses mots me déchirent, puis ses gestes me font fondre... Et ses dernières paroles me calment... Je glisse ma main dans son dos en me rapprochant de lui. Je pose un baiser dans son cou et murmure à son oreille:

"Ca me suffit amplement Ludwig... Si tu ne m'ignores pas totalement, si tu poses tes mains sur moi... Mon corps t'appartient entièrement. Prends le maintenant et n'importe quand si tu en as envie. Je ne te demanderais pas plus... Si au moins je peux te plaire et être près de toi de cette manière."

Je parle bas et pour qu'il m'entende malgrè la pluie, je me suis encore rapproché de lui. Mes lèvres frolent son oreille et je le sens frissonner sous mes doigts. Je veux être pour lui ce que j'ai essayé de faire qu'il soit pour moi... Ce rend-il compte de l'ironie de la situation ?

Mes doigts glissent dans ses cheveux et je les carressent doucement en écartant mon visage de son cou. Mes yeux plongent dans les siens pour qu'il comprenne à quel point je suis sien... totalement soumis... Nos corps sont collés, se tenant mutuellement chaud. J'ai l'impression que la brume a quitté mon esprit. Si au moins mon corps lui plait...

Invité

il est apparamtn près a accepter ce que moi je veux, rester amants, sans le moindre sentiment, de mon coté en tout cas. Le plus souvent, quand j'ai un ou une amant dans ce genre, je le prend une fois, et basta, on ne se revoit plus, mais avec lui... Je prend beacoup de plaisire... Et je ne sais pas pourquoi... Il m'attire.

-Oui je te veux... maintenant... Mais c'est tout ce que je veux de toi...

Mes mains dans son dos, je colle son corps encore plus contre le mien, et je viens l'embrasser sensuellement, carressant son dos, puis ses fesses.

Je fai des baiser courts et répétés, mes lèvres vont progressivement de ses lèvres a son cou. Puis, détachant quelques secondes mes lèvres de sa peau, je lui répète :

-Je te veux...

A peine a-t-il prononcé ses mots que mes doigts passent sous sa chemise et commencent à carresser son dos langoureusement.

"Sers-toi, je suis tien. Même si je ne peux pas retenir certains mots, je t'assure que cela me suffit amplement... Merci..."

Je pose mes lèvres sur son cou et le couvre de baisers. Puis je murmure.

"Tu me veux maintenant... ici ?"

Je n'ai rien contre, c'est évident et je pense que mes gestes lui permettent de s'en rendre compte. Je glisse déjà mes mains dans son pantalon et le resserre contre moi pour que mon erection frotte sa cuisse à travers le tissus.

"Dis moi ce qui te ferais plaisir, Ludwig."

Mes lèvres caressent se joues si douces, je respire son odeur et déjà, je me sens mieux.

Invité

Ici ? Pourquoi pas !? quoi qu'en plein milieu de la cour, c'est un peu risqué. Je le pousse, pour le plaquer contre un abre, assez gros, et nous sommes maintenant cachés derrière.

Je l'embrasse langoureusement, ma main derrière sa tête, mon sexe qui frotte contre sa cuisse a travers nos vetement, il est déja très tendu, parce que je sais ce que je peux avoir avec Alec... Je suis d'autant plus pressé.

-Oui... Ici, et maintenant...

Je lui retire sa chemise, mais je n'ai pas la patience de lui enlever ses bouton, lentement, je tire sur le tissu, et les boutons sautents un a un, pour tomber sur le sol. Puis, la chemise est complètement ouverte mais je ne la lui retire pas encore.

-Rien de spécial... Je veux juste baiser la maintenant, avec toi..

Il me plaque contre un arbre et cette forme de violence, de passion, de déraison, m'excite. Je laisse mes mains se perdre dans ses cheveux alors que mon visage plonge dans son cou. Il arrache ma chemise mais je crois que je préfère qu'il ne me l'ôte pas totalement... surtout si je dois être appuyé contre le mur...

Il veut baiser... Juste du sexe... Entendu. Je deboutonne mon pantalon puis le sien et me laisse glisser à ses pieds. Je fais descendre son boxer et sans même lui laisser le temps de souffler, je le prends en bouche. Mes doigts se perdent sur ses fesses.

Ma langue remonte le long de sa verge, mes dents glissent sur sa peau... Je le goute avec plaisir... Mais je sens qu'il est trop impatient et qu'il va bientôt m'arreter... j'accelère mes va et vient sur sa hampe tendu... Rien que de le toucher ainsi, je commence à perdre la tête. Lentement, mes doigts s'imissent en lui.

Invité

Sa spécialité... Il fait ca a merveille, mais a chaque fois c'est le même scénario, seulement voila, je ne sais pas pourquoi, mais cette fois ci, je veux qu'il ai autant de plaisire que moi, aussi, je le laisse faire pendant quelques temps, poussant quelques gémissements, puis, quand je sens que mon corps veut se vider, je l'arrete, je lui pose un doigt sous le menton, et je le fais se relever.

Je viens alors l'embrasser férocement, puis, mes lèvres descendent dans son cou, puis, elle parcourent son torses, s'attardant principelement sur le nombril, puis, mes lèvres arrivent jusqu'a son sexe, que je ne touche encore pas...

Je relève la tête, avec un sourire, et je lui glisse

-C'est ton tour pour une fois...

et cette fois ci, ca sera bien fait, pas comme la dernière fois, la dernière fois, j'avais uniquement fais "comme si", je le faisais, mais maintenant, je n'avais plus aucune raison de mal le faire.

Je prend son sexe en bouche, uniquement le gland pour commencer, que je carresse avec ma langue, puis, mes mains viennent taquinner ses bourses.

Il m'arrête et me fais me relever. Je pense qu'il veut me penetrer, mais il m'embrasse et se laisse glisser sensuellement contre mon torse. Je sens des frissons me parcourire. Ses doigts sur moi me rendent fou. Ses lèvres me font perdre la tête. Je ne suis que gémissements et il s'arrête.

Pour reprendre sur quelque chose que je ne contrôle pas du tout... Ses lèvres se posent sur mon sexe et je cris en projettant ma tête en arrière pour l'appuyer contre le tronc. Mes doigts se crispent dans les cheveux de mon amant et je ne fais que crier son nom. Je ferme mes paupières si fort que j'en ai presque mal. Mon corps se cambre sans que je puisse l'en empêcher.

C'est tellement différent de la dernière fois... Je ne cherche plus à le diriger, je ne cherche plus à le forcer, je me laisse totalement faire, m'abandonnant entre ses mains... et lui veut me donner du plaisir... Ce simple fait me rend heureux. Il me veut, il aime mon corps, je peux le satisfaire, il s'interresse à moi... Oui, je n'ai pas besoin de plus...

Invité

J'ai maintenant tout son sexe en bouche, et avec celle ci, je fais des mouvements de va et vien, alternantle jeu de mes lèvres, de ma langue et de mes dents.

Et tandis qu'une de mes mains joue toujours avec ses bourses, l'autre lui carresse doucement les fesses. Je ne veux pas qu'il jouisse maintenant, aussi, je ne continue pas trop longtemps, et je finis par me redresser, et je l'embrasse.

Je ne sais pas pourquoi, mais aujourd'hui, je suis d'humeur a inover, peut etre a cause de ce qu'il m'a dit, ou peut etre que ca n'a aucun rapport, mais quoi qu'il en soit, j'approche mes lèvres de son oreille, et je lui murmure :

-J'ai changé d'avi... Je veux qu'aujourd'hui, ca soit toi qui me prenne...

Je lui mordille l'oreille, passant sensuellement mes mains dans son dos.

Je cri son nom, le plaisir me rend fou... Et d'un coup il s'arrête. Je grogne de frustration... mais il vient m'embrasser et je l'enlasse doucement. Ses mots me surprennent et j'ouvre les yeux de surprise. Il semble serieux, je n'en reviens pas qu'il me demande celà. Je suis tellement troublé que je ne bouge pas pendant un instant... Que je le prenne... Mon coeur s'affolle. Il me laisserait faire ça ? Mon sexe se tend un peu plus encore si c'est possible...

Je le fais pivoter pour que ce soit lui qui soit appuyé à l'arbre et je plonge dans son cou, le mordille, lèche son oreille... Pendant que mes doigts descendent jusque ses fesses pour le préparer. Je gemis en sentant ses doigts sur ma peau. Je l'embrasse fortement dans le cou laissant une marque rouge sans m'en rendre vraiment compte...

Puis, doucement, je remonte l'une de ses cuisses sur ma hanche et le pousse un peu pour qu'il s'appuie sur le tronc alors que je place son autre jambe sur moi. Il est maintenant dans mes bras et mon sexe est entre ses fesses... Comme si c'était sa place...

"Je t'aime Ludwig... et je suis heureux d'être la cause de ton plaisir... Merci de me permettre cela."

Je le pénètre lentement, très lentement...

Invité

Ses je t'aime me frustre, je n'ai jamais aucun srupuls a coucher avec quelqu'un que je n'aime pas, mais même si c'est une personne comme lui que je hais du plus profonds de moi, je n'aime pas a savoir que mon partenaire ou ma partenaire lui m'aime... Et j'ai en quelques sortes l'impression de profiter de cette personne, mais j'ai trop envie de le faire encore avec lui... Je fais abstraction de cela pour le moment...

-Tout le plaisire... Est pour moi

Le jeu de mots est évident bien sur...

Je gémis en le sentant entrer en moi, passant mes bras autour de son cou, pour l'aider. D'habitude, quelques soient mes partenaires, c'est plutot l'inverse qui se produit, mais la... J'avais envie de le sentir en moi, et non pas l'inverse.

[désolé c'est court, mais je dois partir en répète, a ce soir]

[Juste pour info, "plaisir" y a pas de "e"]

Il s'appuie à moi je rentre un peu plus en lui. Ses gémissements m'encourragent à continuer et je le pénètre entièrement. Je gémis à mon tour et, l'appuyant un peu contre l'arbre, je commence de lents et amples mouvements de va et vient.

Je suis en lui. Je le tiens dans mes bras. Son corps se tend contre le mien. Ses gémissements emplissent mes oreilles. Son torse nu frotte contre le mien. Il est si étroit...

Peu à peu, j'accélère mes mouvements. Mes mains sont accrochées à ses fesses pour le maintenir et je ne pense qu'au plaisir que je lui donne et au plaisir que je ressens. Il est là, entre mes bras, contre mon corps... Abandonné. Oui, je sais, je me répète... Mais je n'en reviens pas... Je l'aime, je l'aime, je l'aime... Mais je retiens ses mots, les remplacant par son nom encore et encore... Mes lèvres collées à son oreille, je l'appelle...

Il fait erreur... Le plaisir est plus que partagé !

Invité

[tu sais... Au point ou j'en suis u_u...]

Je me colle encore un peu plus à lui, m'agripant a lui, un bras autour du cou, l'autre qui passe sous son bras, pour aller dans son dos, ou les ongles de mes mains se plantent férocement.

Je sens mon dos frotter ontre l'arbre, ca fait certes un peu mal, mais cela est compenssé par le plaisir que je resens grace a Alec. Je l'encourage de paroles, de gémissements de plus en plus répétés, de mes lèvres de ma langue et de mes dents qui sans relache, parcourent le cou du jeune homme.

Je sens égualement mon sexe qui frotte contre le bas ventre d'Alec, et bientot, je sens la jouissance qui demande a exploser, mais je veux que ca dure, je prend trop de plaisir pour que ca s'arrete maintenant.

Fermant les yeux, je me contracte autour de lui, et presque dans un murmure, je l'appelle, une longue et unqieu fois, je prononce son nom.

Toutes ses sensations mélangées, me grisent. Et je le sens se resserrer autour de mon sexe, je gémis de plaisir et à ce moment, je l'entends prononcer mon nom dans un gémissement ressemblant à une supplique. Ses yeux sont clos, je sens qu'il va se laisser aller, s'abandonner au plaisir. Alors je me saisis de ses lèvres en accélérant le rythme, frappant sa prostate à chacun de mes mouvements. Il se cambre, ses ongles s'enfoncent dans ma peau et je sens que je ne vais plus tenir longtemps. Je l'embrasse passionnément, nos langues jouent ensemble, tournent, se cherchent... La jouissance s'empare de moi peu à peu et mes gestes deviennent encore plus rapides, desordonnés, j'appelle le nom de mon amant, lui répétant mon amour, malrgé moi et dans un rale rauque, je me libère en lui. Je continue mes mouvements lancinants le temps qu'il atteigne lui aussi le plaisir. Puis, le serrant contre moi, je me laisse glisser, accroupi sur le sol. Je me retire de lui et embrasse à nouveau son cou, lèche son oreille et murmure:

"Merci de... tout... Merci..."

Je reprends mon souffle lentement puis je me detache enfin de lui pour me rahabiller et lui demande d'un ton neutre:

"Tu pars quand ?"

Invité

Je ne dis rien, je reprend juste mon souffle, de la sueur ruisselant sur mon corps pâle. Le problème après un rapport fait comme ca dehors sous la pluis, c'est qu'on a vite froid, et je regarde mes vetements, et les siens, ils sont trempés, bien qu'il ne tombe qu'un peu de bruine, ca a eu le temps de bien s'imprenier d'eau... Je soupire, et a mon tour, je commence à m'habiller.

-Demain midi... Pourquoi ?

Je me méfie tout de même un peu avec lui. Mais bon, pendant 15 jours, je n'aurais plus a me soucier de cette prison, je serais tranquil, avec ma fille, et rien ne saura m'enlever ce bonheur.

Je finis de fermer ma chemise, qui est imprégnée d'eau, mes cheveux aussi sont trempés, je frissonne, et tremble un peu.

Vu ma carrure, je suis assez frileux, mais bon, la en même temps, j'ai des raisons d'avoir froid... Il pleut, il y a du vent, je viens de faire un effort physique... J'espère ne pas etre malade pour ces 15 jours.

"Juste pour savoir"

Je m'approche de lui et l'embrasse tendrement. Mes mains passent dans ses cheveux pour les repousser vers l'arrière et je carresse son dos. Mes mains glissent sensuellement sur ses fesses en une douce carresse et quand je les remonte dans son dos, elles tiennent la photo qu'il avait glissé dans sa poche... Je la cache aussitôt dans ma manche, puis je me détache de lui et lui souris. Je me sens beaucoup mieux, je suis heureux et je sais qu'il l'est aussi. Je me penche vers son oreille et lui glisse.

"Passes de bonnes vacances, j'attendrais ton retour bien sagement."

J'évite de lui répeter une fois de trop mes sentiments, je l'oublirais dans les bras de Gleb et j'aurais une surprise pour lui à son retour... Si Yann a pensé à moi.. Je lui sourris et retourne en courrant à l'interrieur des bâtiments, je suis censé être dans ma cellule depuis un bout de temps. Mon coeur est léger, Ludwig ne me deteste pas autant qu'il le dit, j'en suis intimement persuadé !

Invité

Je me laisse embrasser, bien que j'ai déja eu ce que je voulais. D'ordinair, je n'aurais pas accepté, mais comme je l'ai déja dis, même si je le hais, je ne peux pas m'empecher de me sentire un peu coupable... Il suffit de me dire ces simples mots : je t'aime, pour que je me sente coupable...

Ca pour passer de bonnes vacances, j'allais tout faire pour en passer ! Je ne vis pas Alec me reprendre a nouveau la photo, et heureusement pour lui d'ailleurs, parce que sinon.... Il n'avait plus qu'a courire vite.

Je regarde le ciel, il fait sombre, la nuit est tombée, et je reste la, assez longtemps, sur place, la tête vers le ciel, a regarder la pluis me tomber sur le visage, et la lune dont la lumière perce les nuages.

Puis, enfin, je me dirge vers l'aile des employé, ou je prend une douche, puis, je vai dans ma chambre, pour lire un peu, et faire mes valises.

» Alec Praens
» Dans les douches (Pv Alec)/Contenu Chaud/!
» Soliloque [pv Alec]