Steve Lowell

Dossier médical

Nom & Prénom- Lowell, Steve.
Sexe- M
Âge- 19 ans
Traits physiques- J’ai les traits assez fins, des yeux bleus et des cheveux bruns tirant sur le roux. Je possède aussi un tatouage, le signe chinois du mot "amour" sur la partie gauche du front...
Taille- 1m76
Poids- 65 kg
Maladie ou handicap physique- n/a

Dossier psychologique

Qualités- Mon détachement envers la réalité, si je peux dire. Mon nihilisme qui me sauve souvent la mise. Une autre de mes qualités est la facilité avec laquelle je me fais des amis. Et en général je garde mes amis. Mais je n’ai aucun mal à retourner ma chemise si ils sont pas réglo. Une autre qualité appréciable est ma discrétion.
Défauts- Mon opportunisme, je considérerai ça plutôt comme une qualité pourtant mon expérience m’a prouvé le contraire. Car je ne suis pas capable de vraiment me débrouiller, car j’attends patiemment que tout me tombe dans les mains. Et je n’hésite jamais à profiter d’une situation pour la tourner à mon avantage, même si celle-ci est à l’encontre de mes principes. Un autre de mes défauts est que je ne supporte que très mal le fait de ne pas être le meilleur dans ce que je fais, j’accepte de ne pas être le meilleur en tout, mais dans le domaine où j’excelle, trouver quelqu’un de meilleur que moi peut et à moi, et à lui, poser problème…
Aime- J’aime voyager, me sentir libre dans mes déplacements. J’aime aussi être au centre de l’attention, enfin, pas toujours, juste quand il faut. J’aime aussi les changements, alors je fais tout pour les provoquer, à vrai dire je crois que c’est la seule chose pour laquelle je m’actionne vraiment, je passe le reste du temps à attendre pour saisir les bonnes occasions…
N'aime pas- Je hais les personnes sans ambitions, disons les personnes “faible d’esprit“, celle qui ne peuvent prendre de décisions, celle qui suivent les autres les yeux fermés. Les gens qui me disent quoi faire. Et enfin, perdre, je déteste perdre. Je suis capable du pire mépris, et donc quand je perds, je deviens (presque) fou… Enfin, quand il s’agit d’un simple jeu de carte –par exemple-, j’aime perdre, pour pouvoir après mettre une raclée à mon adversaire.
Comportement avec les gens- A priori, je serai aimable, essayant de m’intégrer et de me faire un maximum de d’amis, évitant les problèmes, surtout avec les gardiens. Après, avec les autres détenus, une fois les pièces de l’échiquier bien en place, je prendrai plaisir à créer des conflits internes où personne ne connaîtrait le responsable… Ou encore ouvrir un petit marché de produits intéressants, histoire d’être bien vu envers le maximum de gens.
Maladie ou handicap mental- n/a
Valeurs- J’affectionne la loyauté, envers les autres et les autres envers moi. Je considère aussi l’amitié comme une valeur importante. Je parle bien entendu de la Vrai amitié et la Loyauté, pas celles qu’on se fait pour éviter les ennuis…
Une autre valeur importante à mes yeux est l’indépendance, même enchaîné, il est possible d’avoir de l’indépendance, car quand elle est impossible physiquement, elle doit être développé mentalement.
Tics- n/a
Passé- "C’est marrant, je r’pense souvent à mes vieux, mais pourtant qu’est-ce qu’ils étaient cons. Entre mon père qui m’tapait (voir pire) dès qu’il buvait un peu, et ma pouf de mère qui ne savait même pas la capitale de l’Inde, j’étais pas aidé. Enfin, j’ai creusé mon trou comme on dit…

J’ai d’abord été dans une sale école communale, genre tu ferme les yeux, tu tourne trois fois sur toi-même et tu les rouvre, et où t’es ? Marrakech…
Qu’est-ce tu veux c’est comme ça quand tu nais au milieu des sales quartiers de Londres. Et ouais, j’viens de cette ville qui tombe en ruine, enfin, vu où je suis aujourd’hui, je crois pas qu’j’y retournerai un jour… Passons. Donc, je grandis dans les sales quartiers où une fois que tu commences à prendre de l’age (à dix ans quoi) tu risque de te faire pointer à chaque tournant. Alors il faut s’y faire, faut s’faire des amis, des connaissances, histoire de pouvoir cité un nom effrayant quand tu te fais vider les poches. De toute façon, pour ce qu’il y avait dans ces poches…

Quand j’ai eu seize ans, mes parents en ont eut marre que j’sois toujours 4ème, alors il ont voulu me faire aller dans une école privée, enfin, le genre d’école limite pire qu’ce trou. S’ils m’ont pas mit dans une école plus cool, c’est parce qu’ils avaient pas la thune les salauds, et l’école en question-là, elle était financé par le gouvernement… Pas de quoi rire, c’est que pure vérité. Je peux dire que c’est là que ça a commencé. Quoi ? Bein la décadence, la douce chute jusqu’au merdier qu’est la cause de notre discu.
Donc, j’arrive, joyeusement candide, dans une des pires écoles d’Angleterre. Et vous m’connaissez, moi et les brimades ça fait pas un, alors qu’est-ce que j’ai fait ? J’me suis barré, pas question de rester là, après six mois horribles, je suis partit, et disons que ça a été assez… …catastrophique. J’vous explique, en fait, moi et un pote, Alex, on avait décidé de faire le coup ensemble, on avait tout organisé. Il était minuit quand tout était prêt. En fait dans l’école il y avait des grands murs qui servaient d’enceinte, et au-dessus, des barbelés. Et je ne devrais même pas citer les chiens qui patrouille dans la cour la nuit. Et oui, ça coûte moins que des humains. Donc, on avait décidé d’aller dans la chambre du directeur, on avait chopé la clé de sa chambre avant, chez un crétin, limite taré –enfin avec les étudiants du lieu y’a de quoi- qui s’occupait de la cantine, et son trousseau était toujours attaché bêtement à sa ceinture, enfin plus aujourd’hui. Donc on arrive devant la porte du dirlo, on l’ouvre doucement et là boum, l’crétin il lit un livre, à trois heures du mat… J’vous dis pas l’angoisse.

« -Qu’est-c’que vous faites là !?! » hurla-t-il.

Ni de une ni de deux on s’était jeté sur lui, avant qu’il n’appuie sur le joli bouton qui réveille toute la dar. Il s’débattait le bougre, faut dire, avec son putain d’ventre, on était pas de trop à deux. Seulement voilà, dans nos batifolements, le type il s’est brisé la nuque sur l’appuis-tête de son lit… Aïe, nous qui voulions juste prendre ses clés, les seules de la porte arrière, et filés incognito, on était mal.
Alex commença alors à stresser, et à faire encore plus de bruit qu’on en avait d’jà fait, on vit alors les gardes s’pointer, il y eut un vis-à-vis de quelques secondes pendant lesquelles ils comprirent c’qu’il s’était passé, et ils dégainèrent. En effet oui, ils avaient les permissions nécessaires pour tirer sur nous dans c’genre de situation, ils hésitèrent pas les sales putes. J’vous raconte pas comment ce fut moche, du sang partout, le sang d’Alex, qui sauta par la fenêtre du dirlo un poil trop tard, quand il arriva en bas, ce fut en charpie, enfin, en passoire, le terme convient mieux.

J’ai donc couru, longtemps, dans mes habits d’pensionnaire, j’sais pas trop comment ils n’me retrouvèrent pas. J’arriva à Londres, et je retourna chez mes parents. J’avais alors 17 ans tout juste. Lorsqu’ils me virent, ils eurent peur… Hu hu hu, quand j’r’pense à leur tête, y’avait vraiment de quoi rire. Evidemment ils avaient vu le jt, ils étaient au courant, quoi d’plus normal, alors ma conne de mère se jeta sur le téléphone, quelle pute quoi ! J’en r’viens pas qu’elle voulait appelé les flics ! M’enfin, si j’étais venu c’était pas pour parler d’la pluie et du beau temps, j’étais passé chez un pote, Amed, et oui, j’avais fini par fricoter avec la racaille, et il m’avait passé un gun, un gentil petit beretta, et à peine ma grosse mère s’était jeté sur le téléphone que son cerveau se jeta sur la moquette. C’était la première personne qu’j’ai tué. En fait, quand j’y r’pense, j’trouve ça plutôt bizarre, normalement j’aurais du buter mon père et puis baiser ma mère, et j’aurais été un homme accompli ayant passé le stade oedipien… Enfin. Donc, là mon vieux il d’vient tout blanc, ça aussi c’était plutôt drôle. Puis il se mets à sangloter comme une pute, chier dans son froc, tout l’tralala, avec en prime les p’tites phrases du genre “Non, Steve, non, j’ten prie, beuheuheu….“ et j’en passe. Et puis là j’commence à entendre les sirènes de police faire leur tapage, alors hop, je rapproche mon index tendrement vers moi pour avoir une belle giclée de sang.
Je fouille les tiroirs vite fait bien fait, j’connaissait leur bête planque à fric, à force d’avoir pris dans leur porte-feuille, ils en ont eut marre et ont caché leur thune dans un vase, enfin, ça m’a privé d’beuh pour une moment, mais j’ai vite trouver le vase de la vieille de mon vieux.
Donc, là, la cavale course-poursuite flic-voleur se mets en place, et j’peux vous dire, putain, qu’est-ce que c’était drôle, enfin, j’avoue qu’c’est vachement plus impressionnant qu’dans les films, mais d’autant mieux !
J’arrive le long de la Tamise, j’les ait semé pour un moment, j’jette mon gun dans l’eau toute crade et j’me casse, direction la gare. Et c’est comme ça qu’a commencé ma vie d’errance, de drogues, putes, meurtres, viols, et j’en passe. Un moment j’ai commencé à croire que je devenais fou, là je parle de mon époque à Paris, ouais, j’m’étais baré de Londres, trop un trou à rat, et puis avec tous ces flics au cul, c’était pas la joie. Alors je me suis jeté sur une péniche de la Tamise et elle m’a trainé jusqu’au port, où je me suis caché dans un container.

Donc, Paris. Les Champs-élysées, la Tour Eiffel, Le Louvre, St-germain, et enfin Pigalle…
Au début j’ai eu du mal, je parlais pas un mot d’Français, mais après ça a été. En fait c’est un vieux mac qui m’a prit sous son aile à Pigalle, et il parlait anglais, alors il m’apprit l’Français. Sympa comme langue, sauf que j’ai jamais su l’écrire, pas moyen, la conjugaison… Ca m’a vite soûlé. Enfin ça m’a pas empêché de continuer mon business. C'est aussi à cette époque que j'me suis fait ça sur l'front, ça veut dire "amour" en chinois, d'ailleurs ce fut mon surnom pendant longtemps –"Ai"- plutôt ironique nan ?

Quelque chose que j’aimais par-dessus tout, c’était de voir la pupille tourner son regard vers la mort, la transformation, cristallisation d’un être… A une époque je tuais que pour ça, enfin pas à Paris même, les flics sont encore plus chiant que ceux de Londres, non, j’allais dans les p’tits villages de bouseux, tranquille quoi, et hop, tu t’fais une ‘tite famille. On dit que lorsqu’un œil se cristallise comme ça, la dernière image qu’il voit se grave à jamais, alors j’essayais de prendre des photos de mon visage, à vrai dire ça a jamais marché…

Histoire de pas m’faire catcher, j’étendais mon rayon jusqu’en Suisse, la Belgique aussi c’était sympa, là les flics c’est vraiment des putes, puis ensuite l’Hollande, sympa d’faire son plein de beau légalement, j’trouvais ça plutôt rigolo. Et enfin, l’erreur que j’aurais pas dû faire, traverser le Rhin. Un jour, alors que je faisait une gentille famille –de loin le truc que j’ai toujours préféré- l’oncle ou je sais pas qui s’est ram’né, et il était flic le connard… Arf, j’me souviendrai toujours comment il gueulait en allemands, j’crois qu’il m’a fait plus peur que l’inverse avec ses sonorités bizarres… Vraiment les allemands.. Enfin soit. Donc il se met à brailler où j’sais pas quoi et, là je pointe mon gun vers lui, et je tire, bien entendu. J’étais soulagé quand ses braillements s’arrêtèrent. C’pendant je sortis, p’t’être un peu trop précipitement car j’avais mal achevé l’aînée, en fait j’comptais m’la taper avant qu’elle crève et dans l’excitation de l’oncle j’l’avais complètement oublié.

En général, je suis propre, je mets des gants, ne marche jamais dans le sang, n’éjacule jamais dans une gonz, change de bagnole comme de chemise, et change ma manière de faire. Donc jamais il y avait eu de corrélation entre les meurtres, enfin, je sais pas si ça se dit, les avocats et leur jargon… Mais là, la pute que j’avais épargné par mégarde avait vu mon visage. Je fus arrêté avant la frontière. Et là cette bande de connards ils ont commencé à m’accuser de pleins de trucs que j’avais pas fait, et ils oubliaient ce que j’avais fait. Par exemple ils m’ont condamné pour un braquage, vraiment, quelle bande de cons !
Enfin quoiqu’il en soit, mon manège avait déraillé, et donc, entre pleins de petites prisons ils m’ont transporté d’un Palais de Justice à un autre, entre celui de Rotterdam, Bruxelles, Paris, Londres et enfin Berlin. Enfin, entre nous hein, j’ai fait un peu de tourisme.
J’ai chopé prison à vie, mon avocate m’a dit qu’elle avait calculé la peine équivalente à chaque chef d’accusation, et au total j’avais un truc du genre 430 ans de prison, Plutôt rigolo non ? Dommage qu’ils aient supprimé la peine de mort du programme sinon j’aurais pu économiser du temps, j’veux dire d’ici la prochaine vie.

L’Allemagne a eut du cul, comme c’est eux qui m’ont chopé, ils ont eu le droit de m’foutre dans une de leur prison de taré, celle où j’vais là maintenant, une fois qu’j’ai fini cette discu avec vous….

En fait, j’crois bien qu’elle est fini, vous savez ce que vous voulez savoir non ?
Bien, alors ciao."

Dossier criminel

Crimes commits- Braquage, viols, meurtres, trafics de drogues, vols, vols à main armé.
Matricule- 452677
Rang- N° 452677
No. de cellule- Cellule O
Gang désiré- Pour l’instant aucun.
Personnage sur l'avatar- Gaara

je crois bien que quelque part dans le règlement *la flemme d'aller chercher où* il y a écrit qu'il ne fait pas que l'avatar soit une photo mais un dessin... Efectivement elle est belle, mais je pense que Maybeth va te demander de changer

*se rend compte que ca fait deux fois qu'elle répond à une présentation avec la chef... désolée, je m'entraine :p*

mdr Alec, c'est pas grave si ce que tu dis est un commentaire sur la fiche de la personne ou un truc qui aide. Donc dans ce cas-ci, pas de problème. ^^ C'est pas du flood.

Ta fiche est très bonne. Mais effectivement, je te demanderais de changer ton avatart. Donc quand ce sera fait, tu me préviendras. ^^ pour que je te valide.

oui, là j'ai été assez "pro"... le dernier nouveau c'est Quentin, il est dans les fiches validées... mauvais lieu de postage... *oups, encore du flood*

Hihi, content qu'elle soit bien
A vrai dire j'avais eu peur d'en faire un peu trop avec mon BG...

J'm'occuperais de l'avatar demain à la permière heure, là j'ai pas le temps...

Pas de problème ^^ je suis pas pressée

Mmmm... idem... attends un peu Angel...

Voilà voilà, enfin...

J'ai aussi modifié un peu ma fiche pour qu'elle concorde avec le nouvel avatar.

Mais au fait, juste pour savoir, pourquoi les photos sont interdites ?

pour la simple et bonne raison que quand le réel et le dessin est mélangé, ça gâche l'harmonie du forum. ^^

Sur ce, fiche validée. Je vais te mettre ton rang et ta couleur. Tu seras dans la cellule... O, avec Kira et Joan.

Bon jeu.

Oki, merci.


Juste une autre question, je commence devant l'entrée ?

oui, devant les grilles